Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

mercredi 10 avril 2013

Google et son format WebP

Il y a quelque temps maintenant, la firme Google, que l'on ne présente plus, a mis au point un nouveau format d'image pour le web, libre et open-source, WebP. C'est un format d'image qui exploite la compression avec perte et qui se définit comme étant le successeur du très connu JPEG. Récemment le géant Google a ajouté des nouveaux outils à son format. C'est l'occasion pour nous de parler de ce domaine qu'est la compression ainsi que du format de Google en lui-même.

Compression avec ou sans perte ?


La compression est une opération informatique qui consiste à réduire la place occupée par une donnée (un mot, une musique, une image, mais plus généralement un fichier). Concrètement on effectue donc une opération de codage qui modifie la représentation du fichier dans le but de le rendre plus petit que l'original. Il y a plusieurs façons de compresser, des algorithmes utilisent la compression sans perte, d'autres avec perte.

Une compression est sans perte lorsqu'il n'y a pas de perte de données par rapport à l'information d'origine. On ne supprime donc pas de données pour réduire la taille du fichier, mais on réécrit l'information de manière plus concise. Lors de la décompression, le fichier sera identique à celui de départ, qui n'était pas compressé. On utilise ce mode de compression par exemple sur les fichiers audio, où lors du décodage, le son ne sera pas modifié (pas de grésillement).

C'est par exemple le cas du format audio de compression sans perte FLAC, qui est un codec libre. Mais c'est aussi le même principe pour des formats comme les très connus ZIP (ce dernier permet aussi l'archivage des données) et RAR développé par Eugene Roshal. On retrouve aussi dans cette catégorie, la compression avec l'algorithme RLE ainsi que le codage de Huffman.

La compression avec perte opère différemment. En effet, elle supprime des informations qui sont souvent insignifiantes, que nous ne percevons pas (dans des fichiers son, des images, etc.). Dans le cas d'une image, l’œil ne perçoit pas tous les détails de cette dernière, et c'est là que les algorithmes de compression avec perte entrent en jeu. Ils modifient l'image de telle sorte qu'il n’y a presque pas (voire pas du tout) de changement avec l'originale.

Un de ces algorithmes très connus de compression avec perte est le JPEG. Pour compresser une image via cette norme, on effectue une suite de six étapes. Bien que ces méthodes avec perte soient parfois appelées compression irréversible, le JPEG a la possibilité de décompresser les images en effectuant les étapes dans le sens inverse. Le récent format WebP fait aussi partie de ces formats de compression avec perte.

WebP le format d'image de Google

Image utilisateur

Précédé par le codec pour la compression vidéo WebM, le format de compression d'images libre, WebP a vu le jour il y a quelque temps déjà grâce aux ingénieurs de Moutain View. Ce format permettrait de transporter des images plus légères d'environ 39 % par rapport aux formats déjà disponibles (principalement le JPEG, mais aussi le JPEG 2000).

La firme justifie la création de son nouveau format de compression d'images en évoquant le fait de vouloir réduire la quantité de données qui circule sur la toile. Selon les développeurs de Google, réduire la taille des images, c'est réduire le temps de chargement des pages Web et améliorer la fluidité de la navigation. En effet, les images et les photos représenteraient environ 65 % des données reçues lors de la consultation de différentes pages Web.

Comment ça marche ?


Image utilisateur
Une image
au format WebP
C'est donc avec cette perspective là que les développeurs de Google ont élaboré WebP. Pour créer leur algorithme, ils se sont servi de la même technologie employée par le codec VP8, un format de compression vidéo (déjà à l'origine du format vidéo WebM). RIFF leur a aussi été relativement utile. C'est un ensemble de spécifications pour les fichiers multimédias (par exemple, les formats WAV, AVI et PAL sont tous conformes aux spécifications RIFF). L'idée, lors de la conception de cet algorithme, était alors d'utiliser une compression de type prédictif.

WebP utilise donc un codage prédictif qui se sert des valeurs des blocs de pixels voisins pour prédire les valeurs d'un bloc. Il encode ensuite la différence entre la valeur réelle et la prédiction. Il y a souvent des valeurs nulles (prédiction correcte), c'est notamment dans ce cas que la compression est efficace.

Des modifications récentes


Actuellement, le format d'image du géant est pris en charge par les navigateurs Chrome 9 et supérieur. Google a récemment mis à jour les outils de conversion pour les sytèmes d'exploitation Linux, OS X, et Windows 32 bits et 64 bits. Vous pouvez d'ailleurs retrouver le codec WebP pour Windows sur la page du projet.

WebP, le format web de demain ?


Pour le moment, WebP ne peut encore pas prétendre prendre la place du très célèbre JPEG. Les développeurs doivent encore implémenter un canal alpha. C'est en quelque sorte une couche supplémentaire (celles de base étant les couches bleue, rouge et verte) qui permettra au format de gérer la transparence des images. Néanmoins, la capacité de WebP de réduire de manière significative la taille des images sur le disque dur ou sur Internet représente un certain intérêt pour les éditeurs.

Malgré la critique que WebP a fait naître, Google est bien déterminé à percer avec son format. Même si les employés de la firme admettent que c'est un défi sérieux, et surtout difficile.

REF.:

Ubuntu 10.10 a 13.04 disponible

Linux - Ubuntu 10.10 disponible au téléchargement
La nouvelle version d'Ubuntu introduit un nouvel écran de démarrage, de nouveaux thèmes, des fonds d'écran personnalisables, un nouveau gestionnaire de photos et un service de synchronisation assurant une interopérabilité avec des applications Android ou iPhone.

La société Canonical, dédiée à la promotion du logiciel libre, a lancé la version 10.10 du système d'exploitation Ubuntu, développé à partir d'un noyau Linux,lancé en octoibre 2010.

Cette mouture, disponible en trois variantes (pour les ordinateurs de bureau, les netbooks et les serveurs), introduit un nouvel écran de démarrage, de nouveaux thèmes, des fonds d'écran personnalisables, un nouveau gestionnaire de photos et un service de synchronisation assurant une interopérabilité avec des applications Android ou iPhone.
Les performances d'Ubuntu ont également été améliorées, notamment pour les petits écrans.
Accessible en 25 langues dont le français, Ubuntu 10.10 est dès à présent disponible en téléchargement gratuit.


Les autres versions ubuntu sont :
NoVersionNom de codeNom de testDate de publicationDate d’obsolescence
BureauServeur

1310.10Maverick Meerkat9Alpha10 octobre 201010 avril 2012
1411.04Natty Narwhal10Alpha28 avril 2011octobre 2012
1511.10Oneiric Ocelot11Alpha13 octobre 20118 mai 2013
1612.04 LTS12Precise PangolinAlpha26 avril 201213avril 201714
1712.10Quantal Quetzal15Alpha18 octobre 201216avril 2014
1813.04Raring RingtailAlpha25 avril 201317janvier 2014

Détail version par version

Cycle 5, vers ubuntu 14.04 LTS

Parmi les orientations annoncées on trouve la compatibilité avec les appareils portables type smartphone ou tablette et l'intégration des « services en ligne ».

Ubuntu 12.10 (Quantal Quetzal)

Ubuntu 12.10 (Quantal Quetzal18, en français « quetzal quantique ») est la dernière version d'Ubuntu, sortie le 18 octobre 201216.

Cette version initie le nouveau cycle vers la prochaine version LTS (14.04) avec entre autres objectifs l'intégration de services en ligne, ce qui se traduit par exemple par l'intégration de la recherche internet ou le lancement d'application web directement depuis l'interface du bureau19.

Ubuntu 13.04 (Raring Ringtail)


Ubuntu 13.04 (Raring Ringtail20, en français « lémurien impatient ») est la prochaine version d'Ubuntu. Elle est prévue pour le 25 avril 201317.
Elle semble prévue pour être compatible avec les smartphones et tablettes, et une version avancée serait compatible avec la tablette Nexus 7 de Google21.

Cycle 4, vers ubuntu 12.04 LTS

Ubuntu 10.07

Cette dénomination désigne une déclinaison d'ubuntu 10.04 dans sa version Ubuntu Netbook Edition. Parue en juillet comme son nom l'indique, elle est notamment compatible avec l'architecture ARM.




iPhone: iMovie sur iPhone a $4.99

http://itunes.apple.com/ca/app/imovie
Malheureusement payant,mais aussi c'est pour iPhone 4 et le iPod Touch de 4ième génération.
Très bon pour faire des video HD,conçu pour le multi-touch,


jeux: Assassin's Creed: Brotherhood ,le 16 nov 2010.

Assassin's Creed: Brotherhood
Cumulant près de 20 millions d'exemplaires vendus en l'espace de deux moutures, le titre d'Ubisoft signera son retour le 16 novembre prochain sur PC et consoles haute définition avec Assassin's Creed: Brotherhood, suite directe du deuxième opus.



Toujours dans la peau de l'Italien Ezio, le joueur se frottera au puissant clan de la Renaissance, les Borgia, et particulièrement à Cesare qui souhaite sa mort.
Savant mélange de fiction et d'histoire, la série s'étoffera pour la première fois avec un mode multijoueurs qui permettra à Ezio de recruter des assassins pour lutter contre les Borgia et l'Ordre des Templiers.

REF.:Google?,

Battements binauraux La drogue numérique


Battements binauraux - La drogue numérique
La technique des battements binauraux consiste en l'émission dans chaque oreille de deux sons semblables, mais dont la fréquence diffère, ce qui a pour conséquence d'altérer les ondes cérébrales.
©AFP/Bliznetsov

Les drogues peuvent être injectées, ingérées ou fumées mais aussi, désormais, écoutées: des fichiers musicaux téléchargeables sur Internet promettent de faire ressentir à leurs «consommateurs» des effets semblables à ceux provoqués par le LSD ou la cocaïne.

Ces «substances numériques» reposent sur la technique des battements binauraux. Cette dernière consiste en l'émission dans chaque oreille de deux sons semblables mais dont la fréquence diffère, ce qui a pour conséquence d'altérer les ondes cérébrales.
«Il est possible grâce à cette méthode d'amener le cerveau à produire des ondes voulues: par exemple, des ondes lentes, comme les ondes alpha, associées aux états de relaxation, ou encore des ondes plus rapides, comme les ondes bêta, associées à des états de vigilance et de concentration», a expliqué à l'AFP la neuropsychologue Brigitte Forgeot, qui a rédigé un mémoire sur les effets cliniques et neuropsychologiques des sons binauraux.
Le site I-Doser.com, qui revendique la place de chef de file sur le marché des battements binauraux, propose sur sa boutique en ligne, depuis 2005, près de 200 «doses» différentes, pour lesquelles l'utilisation d'un casque stéréo est indispensable et dont le prix varie entre 2,50 et 199,95 dollars.
Disponible depuis 2007 sur le site de téléchargement américain Cnet.com, le programme d'écoute a été téléchargé plus de 1,4 million de fois, dont quelque 18 000 la semaine passée.
Les deux fichiers les plus chers, baptisés «Gate of Hades» et «Hand of God» et d'une durée de 30 minutes, peuvent au choix, selon leur description, plonger l'utilisateur dans ses pires cauchemars ou lui faire atteindre un état de béatitude.
Entre chaque prise, les concepteurs conseillent de s'administrer un «reset», un son de 20 minutes censé dissiper les effets des écoutes précédentes.
«L'effet des sons cesse dès qu'on stoppe l'écoute», a fait valoir la neuropsychologue, soulignant toutefois que «l'utilisation intensive de sons stimulants peuvent générer à la longue des troubles du sommeil ou de l'anxiété comme peut le faire l'utilisation de beaucoup de psychostimulants».
S'inspirant du fonctionnement des trafics de drogues réels, I-Doser.com propose d'abord d'essayer plusieurs de ses produits gratuitement. Il s'appuie également sur un réseau de revendeurs recrutés par le site et rémunérés à hauteur de 20% du tarif des «doses» qu'ils réussissent à écouler.
Même si elles indiquent avoir connaissance de ces «drogues» d'un genre nouveau, les autorités se veulent rassurantes.
«On n'a pas de remontée du terrain concernant ce phénomène. Rien ne dit qu'il soit en train d'émerger. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir», a assuré à l'AFP la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt).
Interrogée sur la possibilité d'addiction que pouvaient occasionner ces sons, Brigitte Forgeot a estimé qu'il n'y avait «pas de risque».
«Il ne s'agit pas d'une drogue dans la mesure où il n'y a pas d'accoutumance au + "produit", ni de besoin d'augmenter des doses. Pour autant, l'effet n'est pas virtuel, il existe de véritables effets, mesurables par des tests», a-t-elle précisé, ajoutant que «les risques existent plutôt pour des personnes fragiles qui seraient tentées de masquer ainsi, voire de traiter, leur mal-être».

REF.:Google?,