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mardi 15 juillet 2014

Google riposte a la NSA ? avec ses hackers d’élite dans le Projet Zero…

Projet Zero : Google ouvre la chasse aux failles zero day avec une unité d’élite

Google part en guerre contre les failles qui nuisent à la sécurité des logiciels utilisés sur le Web. Et pour y réussir le géant américain monte une équipe de rêve, composée de hackers d’élite et baptisée Projet Zero…


  Pendant longtemps, la sécurité informatique a surtout été une affaire de silence et de secret. Les failles devaient être cachées. Malheur alors aux hackers assez habiles pour les trouver et assez honnêtes pour les déclarer aux éditeurs.
Bien que son expérience soit un peu différente, George Hotz en sait long sur le sujet. Sous son pseudo GeoHot, il a été le premier à cracker l’iPhone simlocké d’AT&T puis a réussi à hacker la PlayStation 3, jusque-là inviolable, s’attirant les foudres de Sony.

La chasse est ouverte

Après ce fait d’arme et la promesse qu’il ne hackerait plus jamais un produit du géant japonais, GeoHot a mis son nez dans Chrome OS lors d’un concours de découverte de failles organisé par Google en mars 2014.
Après avoir gagné, le jeune hacker a commencé par toucher un chèque de 150 000 dollars de récompense. Puis, deux mois plus tard, il a reçu un mail de Chris Evans, en charge de la sécurité informatique chez Google, même si sa carte de visite indique « Semeur de troubles ». Le courriel lui proposait de rejoindre une unité de hackers d’élite au sein de l’entreprise américaine dont l’objectif est de partir à l’assaut des grands logiciels du Web pour chercher et trouver des failles zero day (qui sont non répertoriées et donc non corrigées).
Grâce à cette équipe, baptisée Project Zero, dont l’existence devrait être officialisée prochainement, révèle Wired, Google entend non seulement éprouver la sécurité de ses produits mais également celles de produits d’autres acteurs du logiciel.
A en croire le site américain, la politique de ce groupe sera, en ce sens, très volontariste. Une fois découvert, l’exploit devrait en effet être communiqué à la société qui aura entre 60 et 90 jours pour le corriger avant qu’il ne soit rendu public officiellement sur le blog du Projet Zero. Ces délais pourraient être raccourcis si la faille est déjà exploitée par des pirates et tomber alors à seulement sept jours.

Une équipe de choc

L’objectif est d’encourager les éditeurs à veiller au mieux à la qualité des outils qu’ils fournissent à leurs utilisateurs. « Les gens méritent de pouvoir utiliser Internet sans avoir peur que des vulnérabilités puissent mettre à mal leur vie privée en une seule visite sur un site Web », déclarait Chris Evans à Wired.
Et pour prouver ses dires, il suffit de regarder les exploits des collègues de GeoHot. Ben Hawkes, chercheur en sécurité néo-zélandais, a découvert une douzaine de bugs dans Adobe Flash et dans la suite bureautique de Microsoft. Tavis Ormandy est un des chasseurs de failles les plus prolifiques au monde. Il a ébranlé l’industrie de l’antivirus en révélant des problèmes lourds dans certains produits Sophos et a découvert une faille zero day dans Windows, en juin 2013. Et la liste ne s’arrête pas là. Elle n’est d’ailleurs pas près d’être close puisque Google recrute pour étoffer cette équipe.

En guerre pour les utilisateurs ?

Et si la liberté proposée aux candidats est évidemment une belle publicité pour Google et un moyen d’attirer (une fois encore) les meilleurs en son sein, ce serait aussi pour les équipes chargées de la sécurité au sein du géant un moyen de rendre la monnaie de sa pièce à la NSA et à sa surveillance. L’Agence a en effet fait usage de ces failles non répertoriées pour écouter les utilisateurs. Après les primes offertes aux chasseurs de failles, Google passe donc à l’étape suivante - en tout logique – et part en guerre contre les failles zero day, avec l’espoir de les éradiquer...


REF.:

CNET hacké pour sensibiliser le web aux questions de sécurité ?

 


Un groupe de hackeurs russes a piraté les serveurs du site d’information technologiques CNET.com. Un million de noms et de mots passe cryptés ont été dérobés.

 
Un représentant d'un groupe dénommé « w0rm » déclare sur Twitter avoir hacké la base de données clients de CNET.com. Cette team de hackeurs russes a d'ailleurs posté une image de l’accès à distance à un serveur du site américain, ce qui prouve l’intrusion. Jen Boscacci, directeur de la communication de CBS Interactive (qui détient CNET) a déclaré dimanche 13 juillet : « quelques serveurs ont été consultés, nous avons identifié le problème et nous l’avons résolu ». Il s’agirait en fait d’une faille de sécurité dans le framework Symfony du site.

Un gros coup de pub

Les hackeurs de w0rm auraient ainsi dérobé une base de données contenant les noms et mots de passe (cryptés) de plus d’un million d’utilisateurs. Mais CBS a indiqué qu’il s’agissait davantage d’attirer l’attention que de réellement vouloir monnayer ces données. Ce qui n'a pas empêché les hackeurs de w0rm de mettre en vente la base, pour la somme modique de 1 Bitcoin !
Ces pirates ne sont pas des nouveaux venus : ils revendiquent avoir accédé avec succès l’an dernier aux sites de la BBC, d'Adobe et de Bank of America. C’est, disent-ils, leur façon de sensibiliser l'opinion sur les questions de sécurité sur le Web. D’ailleurs, lundi 14 juillet, le représentant de w0rm a proposé sur Twitter une solution de sécurité à Cnet (voir ci-dessous). Le hack d'un des plus gros sites au monde représente pour eux un superbe coup de pub...



REF.:

vendredi 11 juillet 2014

Le Centre de la sécurité des télécommunications du Canada (CST) s'apprête à déménager son quartier général

Un milliard $ pour un immeuble top-secret


Payeriez-vous le gros prix pour quelque chose que vous ne pourrez même pas voir en images? Vous l'avez pourtant fait sans vous en rendre compte.
Le Centre de la sécurité des télécommunications du Canada (CST) s'apprête à déménager son quartier général dans un immeuble de l'est d'Ottawa qui a coûté un un peu plus d'un milliard à construire, ce qui en fait sans contredit l'immeuble le plus dispendieux jamais construit par le gouvernement canadien.

(TVA Nouvelles)
Escaliers stylisés, atrium, imposantes façades vitrées... rien de trop beau pour l'agence fédérale qui a le mandat de surveiller les communications à l'extérieur du pays.
Cependant, seuls les 2200 employés auront la chance de s'en approcher puisque le CST refuse tout accès et toute prise d'image par les médias. L'édifice en entier a été classé top secret; une décision que conteste l'ex-agent du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), Michel Juneau-Katsuya.

(TVA Nouvelles)
«Ce n'est pas tout qui est très secret. La preuve que ce n'est pas si très secret, c'est qu'ils ont donné le mandat de construction à une firme étrangère plutôt qu'à une firme canadienne. Arrêtez ça, c'est ridicule», tranche-t-il.
L'équivalent américain du CST, la National Security Agency (NSA), fait quant à elle preuve de beaucoup plus d'ouverture et a même ouvert ses portes à une équipe de production pour réaliser un documentaire à l'intérieur de son quartier général.
À ceux qui voudraient pénétrer dans le nouvel édifice du CST, sachez que l'agence est en pleine période de recrutement.


REF.:

TAXI: L'industrie du Taxi corrompu par la mafia de bas étage

La livraison de poudre et autre dérivés hallucinogène se fait depuis loingtemps par taxi.

La protection des chauffeurs de taxi se fait par des fier-à-bras ,qui font de l'intimidation social.

La collusion avec l'industrie des pièces auto ,le vol d'auto,le vol de catalyseur , se fait par eux.

Ils en mène de plus en plus large.

Qui peut contracter la nuit dans un service 24/7 , les mains sales ? .............Les Taxis , et ont saient qui  est assis derrière le volant, une communauté qui ne vient pas de la Nouvelle France , et non !

Vous ne faîtes que crétiquer le service et personnes du département des plaîtes vous écoute,ils n'ont même pas un ombudsman du citoyen .

Les contrôleurs du Métro n'ont même pas pattes blanche a la STM,......syndiqué endurci,droit acquis,personnes intouchables,toutes ces réponses sont bonnes.

Le réseau de la STM incluant le Métro de Mtl et des cie de Taxi a contrat  avec la STM est pourri de l'intérieur !

La collusion avec le milieux policier se fait depuis longtemps.

Personne ne fait rien !

Personne ne se plaint,autant de rumeur que de mauvaise humeur,les histoires d'horreur sont la!

Des photos circule sur le web ,concernant certains fautif,ont attend celui des policier ,maintenant !

Faîtes circuler Anonymousement !






REF.:bougeDelaw,

mercredi 9 juillet 2014

Contraventions : Des quotas à atteindre

Contraventions : un document remis à des policiers énonce les quotas à atteindre


Une note de service destinée aux policiers de la Régie intermunicipale de police Richelieu Saint-Laurent, dont Radio-Canada a obtenu copie, énonce clairement un objectif de 12 constats d'infraction par quart de travail, en prévision de l'été et de l'automne 2014.
Pour atteindre leur objectif, les patrouilleurs sont invités à surveiller plusieurs types d'infractions :
  • l'utilisation du téléphone cellulaire et l'envoi de textos au volant
  • le respect des panneaux d'arrêt et des feux de circulation
  • les limites de vitesse (« avec discernement », précise-t-on)
  • la validité des permis de conduire et des certificats d'immatriculation
  • les normes sur les silencieux et les vitres teintées
  • les actions imprudentes
  • les gestes illégaux
Le service de police précise en outre que les agents doivent continuer de porter une attention particulière aux véhicules stationnés illégalement et aux véhicules dont les portières sont laissées déverrouillées. Ces dernières infractions ne sont toutefois pas prises en compte dans l'atteinte du quota de contraventions.
La note précise que les sergents auront la responsabilité de voir à ce que les quotas soient respectés par tous les policiers « sans exception ».
Avec les informations de Karine Bastien