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jeudi 8 février 2018

Cyberattaques : les jeunes ultra-connectés sont les plus touchés




Née avec l'informatique, ayant grandi avec internet, on croyait la génération Y la plus à même d'éviter tous les pièges numériques. Selon le rapport annuel du spécialiste de la cybersécurité Norton by Symantec auquel LCI a pu avoir accès, 2017 a une fois de plus montré que les cyberattaques touchaient plus facilement les ultra-connectés en trop grande confiance.
Depuis plusieurs années, Norton by Symantec livre son rapport annuel sur les cyber-risques. Et 2017 montre une fois de plus que ce sont les générations qui se pensent les plus à l'abri des cyberattaques qui en pâtissent le plus par excès de confiance, en France comme ailleurs.

"On a besoin d'une prise de conscience des cyber-dangers qui arrivent." Laurent Heslault, directeur des stratégies de sécurité chez Symantec, sait combien il est difficile de faire entendre raison aux internautes et autres utilisateurs de produits informatiques. "C'est toujours stupéfiant de voir des comportements en ligne étranges que personne n'aurait dans la réalité", nous explique-t-il au moment de prendre connaissance du nouveau rapport Norton by Symantec sur les cyber-risques. 2017 n'échappe pas à la règle.

Une fois encore, comme les années précédentes, les cyberattaques ont été de plus en plus nombreuses. On estime à 978 millions le nombre de personnes qui en ont été victimes pour un préjudice estimé à 146,3 milliards d'euros, selon une enquête menée dans 20 pays dont la France où plus de 19 millions de personnes (6,1 milliards d'euros de pertes financières) auraient été la cible d'acte de cybercriminalité l'an dernier. C'est tout simplement près de 42% de la population adulte française sur internet qui a été touchée. Et l'on compte en moyenne 16 heures passées par chacun pour tenter de réparer les dommages causés par des ransomwares, des vols d'identités, des délits bancaires, des arnaques en ligne… autant d'actes considérés comme de la cybercriminalité.



Les victimes : les jeunes ultra-connectés en confiance
On croit toujours à tort que les populations les plus exposées et à même de se faire avoir sont les personnes âgées ou celles peu à l'aise avec les technologies. La dernière étude Norton by Symantec révèle qu'il s'agit en fait des ultra-connectés, possédant de multiples appareils chez eux ou en déplacement. Ces personnes sont connectées en permanence et ont donc perdu toute notion de méfiance vis-à-vis des produits qu'elles utilisent à outrance. On estime ainsi à 25% le nombre de victimes françaises de cybercriminalité qui possèdent un appareil intelligent capable de traiter, diffuser ou recevoir du contenu. Alors que, parmi les non-victimes, seulement 13% possèdent ce type d'appareil connecté. De même, trop en confiance, les victimes ultra-connectées ont tendance à multiplier les achats sur mobile.

"On pense toujours que les générations ultra-connectées sont plus matures face à la cybercriminalité alors qu'elles sont en fait les plus vulnérables en matière de sécurité informatique la plus basique", fait remarquer Laurent Heslault. La génération Y qu'on considère comme la plus nombreuse ou la plus connectée "n'a pas de méfiance dans la vie réelle ni en ligne. C'est celle du 'naturisme numérique' et de l'ultra-présence sur les réseaux sociaux. La jeune génération actuelle est mieux préparée car elle a été préservée et préparée par les grands frères et sœurs. Elle fait jouer la discrétion sur les réseaux, prend des pseudos et partage moins."

C'est finalement une question de surconfiance envers ses capacités face à la technologie qui piège les utilisateurs. Ainsi, en France, les victimes ont tendance à utiliser le même mot de passe en ligne sur tous les comptes (23% contre 12% des non-victimes) ou à confier le mot de passe d'au moins un compte à un tiers (41% contre 21%). Même celles qui utilisent différents mots de passe ont tendance à les stocker dans un fichier sur l'appareil.

Plus inquiétant, les victimes de cyberattaques se pensent à même de protéger leurs données contre une attaque (43%) ou pensent leurs risques faibles (25%). "On a l'impression que ça n'arrive qu'aux autres", ajoute-t-il, reprochant que, malgré la multiplication des affaires de piratage, trop nombreux sont les internautes qui se croient à l'abri et négligent toute protection la plus élémentaire. "Cette déconnexion souligne la nécessité de revenir à des fondamentaux pour assurer pleinement son rôle dans la prévention de la cybercriminalité et rééduquer", déclare-t-il. Il faut dire que, pour 45% des Français, installer un logiciel espion sur l'appareil d'un tiers, lui dérober des informations personnelles ou accéder à son compte bancaire sans son autorisation peuvent parfois être des comportements acceptables. "Pour certains, ce n'est pas aussi grave que de voler dans la vie réelle. Ca en dit long sur le décalage existant encore entre ce qu'on tolère en ligne et dans la vraie vie. Quand les internautes auront fait le parallèle, ils auront grandement progressé dans leur rapport à la cybersécurité", conclut-il.

Le ransomware, la nouvelle plaie informatique

En 2017, les fichiers numériques de près d'un Français sur 10 ont été pris en otage contre une rançon. Plus d'un piraté sur cinq (22%) a accepté de payer pour récupérer ses fichiers (contre 64% aux Etats-Unis). Et ce chiffre pourrait encore croître d'après l'étude. Selon Norton by Symantec, 50% des Français reconnaissent ne jamais faire de sauvegarde de leurs appareils ou bien installer les mises à jour. Une façon de s'exposer dangereusement aux risques d'attaque et de perdre potentiellement toutes ses données en un clic. Pourtant, selon Laurent Heslault, il ne sert à rien de payer. "Un tiers des ransomwares ne se déchiffrent pas et donc payer ne sert à rien", prévient-il. "Ne pas accepter de payer casse le business model de ces hackers. D'où l'importance d'avoir toujours une sauvegarde de secours pour ne pas s'exposer au piratage."

Parmi les faits étonnants pour lesquels les Français ne semblent pas s'inquiéter, il y a la protection des appareils mobiles. Quelque 15% des sondés ne mesurent pas les risques encourus à ne pas avoir de protection. Ils sont aussi près de 89% à ne pas envisager de risque en utilisant un wifi public. "Il ne faut surtout pas profiter d'une connexion wifi pour aller sur le site de votre banque ou tout autre site sensible. Ce serait comme laisser quelqu'un regarder par votre épaule", avance Laurent Heslault. Mais il sait aussi rassurer et rappeler qu'en France, "nous ne sommes pas si mauvais face à la cyber criminalité. Nous faisons partie du Top 10 des pays visés car nous avons une grosse infrastructure internet et beaucoup d'utilisateurs. Donc ça tente les pirates."
En vidéo

Cybercriminalité : la demande de rançon numérique fait des dégâts

Les conseils de Norton by Symantec pour se préserver au maximum
1. Toujours être à jour de son logiciel : vérifier les mises à jour de sécurité et les installer sur votre PC comme vos appareils mobiles. Ne pas opter pour un simple antivirus qui ne sert plus aujourd'hui qu'à protéger moins d'un pourcent des cas. Il faut choisir une suite de cyber sécurité capable de prévoir de multiples types d'attaque.

2. Faire des copies de sauvegarde de vos données à l'aide de disques durs externes ou d'un service cloud : les disques durs présentent l'avantage d'être généralement déconnectés de l'ordinateur et d'éviter ainsi qu'un ransomware s'attaque à toutes vos données. Si vous choisissez l'option cloud, vérifiez les conditions générales de vente et assurez-vous que vous serez bien protégés, ce qui n'est pas souvent le cas avec des formats gratuits.

3. Apprendre les pièges des réseaux wifi publics : sachez que tout ce que vous consultez, votre navigation sur le web ou votre usage d'application lorsque vous êtes connectés à un wifi gratuit peuvent être consultés et divulgués. Evitez au maximum la navigation sur des sites utilisant vos données personnels (mails, banque, services divers, etc.). Si vous ne pouvez vous en empêcher, installer un réseau privé virtuel (VPN) sur votre appareil pour sécuriser la connexion et garantir votre confidentialité.

4. Faire attention à ses objets connectés : la nouvelle faiblesse des utilisateurs est désormais dans ces millions d'appareils connectés qui ont envahi les intérieurs des logements et qui sont connectés au wifi ou en 4G. Rare sont les acheteurs qui pensent à changer le mot de passe par défaut. Si vous n'entendez pas le connecter à internet, désactiver l'accès à distance ou protégez-le au maximum.

5. Multiplier les mots de passe : n'utilisez jamais le même mot de passe pour tous vos services. Oubliez d'y mettre votre prénom, nom, date de naissance, ville, nom de votre chien ou de votre enfant. Laissez tomber les AZERTY et autres 123456 tellement faciles à deviner pour les pirates que ça en devient lassant. Plus le mot de passe est long, parsemé de majuscules et de symboles, mieux c'est ! Et n'hésitez pas à le changer régulièrement, notamment si vous avez consulté des sites qui ont été piratés (LinkedIn, Yahoo, Facebook, Orange, etc.).

REF.:

Mais qu’appelle-t-on réellement une smart city ?

"Smart city" : de Denver à Dijon, ces projets pour une ville plus intelligente et écolo


DEMAIN - Partenaire du Prix Entreprises pour l’environnement (EpE), LCI vous livre pendant un mois des articles autour de la thématique digital et environnement. Aujourd’hui, gros plan sur la ville du futur qui se veut plus responsable, notamment sur son empreinte écologique.
Devenir une ville plus intelligente, plus consciente, plus économe et plus responsable. Le rêve de chacun qui prend forme depuis plusieurs années grâce à l’apport des nouvelles technologies. Mais qu’appelle-t-on réellement une smart city ? Il s’agit en fait d’une ville qui se (re)construit autour de ses habitants, de leurs usages, en développant un réseau d’information permettant d’optimiser les ressources dans différents domaines (économie, environnement, communauté, équité, etc.). Tout cela repose essentiellement sur une bonne gestion des données numériques afin d'améliorer les installations publiques, les transports en commun, l’énergie et autres points convergents de la ville qui répondent aux besoins des citoyens, mais aussi des institutions et des entreprises. De rendre la ville plus vivante et vivable en somme.

Bien que technologique, la smart city se veut aussi une réponse au changement climatique. Cela peut prendre la forme d'une meilleure gestion de l’immobilier en centre-ville pour éviter l’étalement géographique coûteux en infrastructures et en énergie, la réduction de la production de déchets grâce à des systèmes de recyclage ou récupération souterrains, la production d’énergie solaire sur les bâtiments ou à partir de ces mêmes déchets... Selon Vitamin, bureau de tendances et prospective, il y aura plus de 50 milliards de données numériques en circulation en 2020. De quoi alimenter ces smart cities et multiplier les bonnes idées.

Des tentatives dans le monde entier

Depuis les années 1980, ce concept anglo-saxon fait des émules à travers le monde. A Singapour, un système de caméras s’intéresse au déplacement des populations. Cela a des effets sur la propreté des espaces publics, la densité de population à certains endroits et même le trafic des véhicules. Cela permet aussi de détecter les personnes fumant en dehors des zones autorisées. A Dubai, 50 services "intelligents" ont été lancés via l’introduction d’une appli qui gère aussi bien les contraventions adressées aux conducteurs pris en flagrant délit par les caméras que les factures d’électricité ou bien les plaintes pour violence à la police.

A Barcelone, on estime que la mutation vers la ville intelligente va permettre des millions de dollars d’économies à l’aide de capteurs qui pourront utiliser les éclairages publics quand il y en a besoin, mieux fluidifier le parking en ville en récoltant les informations sur l’occupation des places. A Paris, un projet mesure les déplacements, la pollution atmosphérique et sonore dans différents endroits de la capitale, mettant le tout sur une plateforme Open Data. Los Angeles a placé des capteurs dans les conteneurs à ordures pour mieux gérer ses collectes. En partenariat avec le français Navya, Las Vegas teste du transport en commun électrique autonome tout comme Chicago ou Lyon.

L’exemple réussi de Denver

En 2016, Denver et le fabricant électronique Panasonic ont annoncé un partenariat afin de transformer une partie de la ville du Colorado en smart city. Cela passait par la transformation de la région autour de l’aéroport en hub technologique, optimisant la consommation d’eau et d’énergie ainsi que les transports et la sécurité. En analysant en temps réel le trafic routier et piéton, le projet CityNow, porté technologiquement par la firme japonaise, rend l’éclairage public intelligent, gère la collecte et le stockage de l’énergie solaire. Denver a centré son projet autour de la mobilité intelligente, mais aussi de la santé digitale à portée de tous avec le déploiement dans des zones résidentielles d’outils de télémédecine et d’identification biométrique.

Deux ans plus tard, les efforts de la collaboration portent leurs fruits. La smart city est équipée de wifi, de caméras de sécurité, de capteurs environnementaux, de kiosques interactifs. Elle s’est aussi dotée d’un micro-réseau capable de prendre le relais en cas de panne de courant généralisée et d’alimenter la zone test durant 72 heures. En partenariat avec le ministère des Transports du Colorado, le système Road X a été mis en place pour permettre la communication entre les infrastructures et les voitures afin de réduire le nombre d’accident. Road X suggère des itinéraires basés sur le trafic en temps réel. Il peut aussi envoyer des messages aux conducteurs pour leur signaler un problème de conduite. Des navettes autonomes, conçues avec le français EasyMile, vont entrer en fonctionnement entre la gare ferroviaire et des stations de bus.

Dijon, la tentative française

En France, l’agglomération de Dijon (24 communes) a lancé un vaste programme de 53 millions d’euros d’investissements pour connecter son espace public. Les équipements vont être modernisés dès 2018. Un premier pas dans la mutation en smart city. La gestion de l’éclairage, de l’énergie, de la vidéosurveillance et de la voirie sera pilotée depuis un seul et même poste de commandement (contre six actuellement). Dijon espère ainsi réaliser des économies d’échelle conséquentes en termes d’énergie et d’intervention.

Les entreprises Bouygues Energies et Services, Citelum (filiale d'EDF), Suez et Capgemini seront en charge de la gestion centralisée. Pour cela, le mobilier va être repensé pour utiliser des capteurs ou LED moins énergivores. D’autres à basse radiation vont monitorer l’environnement afin de récolter un maximum de données (pollution, température, bruit, etc.). Et la fibre sera installée dans la métropole pour faciliter notamment le déploiement des informations. Gestionnaire et communes ont promis de mettre à disposition les données récoltées afin de permettre à d’autres acteurs de participer à la transformation intelligente. Au-delà de la simple avancée technologique et d’une amélioration de la gestion de la ville, l’implantation de tous ces services permettra aussi de créer une quarantaine d’emplois.

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Les réseaux sociaux utilisent de plus en plus le neuromarketing

Le danger des réseaux sociaux : Facebook, Snapchat, Twitter, etc

Au fil des années sur le net, les réseaux sociaux sont devenus très populaires, voire incontournables, à tel point qu’aujourd’hui ils font partie intégrante nos vies et rythment notre quotidien.

Pour exemple, début 2018, Facebook revendiquait plus de 2 milliards d’utilisateurs actifs dans le monde, dont 33 millions en France (source : Alexi Tauzin) :

Cependant, les conséquences de l’utilisation continuelle de ces réseaux sociaux sont peu connues ou mal estimées du grand public puisque ces phénomènes du web sont relativement récents. Or depuis peu, des alertes concernant la collecte et l’emploi des données privées, les effets d’une utilisation excessive, ainsi que les méthodes controversées utilisées par les réseaux sociaux pour captiver toujours plus l’attention des internautes, commencent à être médiatiser.


La guerre des réseaux sociaux

En quelques mots, les réseaux sociaux sont des communautés d’utilisateurs sur internet, proposées par des entreprises à but mercantile. Les utilisateurs sont donc clients de ces entreprises.
Aussi, le but de ces derniers est de captiver au maximum l’attention des internautes pour leur faire passer le plus de temps possible sur les plateformes. Et ceci pour plusieurs raisons :
  • Plus d’amis = plus d’argent : plus le réseau est actif, et plus il a de chance de faire venir de nouveaux utilisateurs, qui vont à leur tour être actif et rendre (par effet boule de neige) le réseau toujours plus attractif.
  • Maximiser le temps passé = plus de publicités affichées, et donc moins de temps passé chez la concurrence.
  • Enfin, plus vous êtes présent sur le réseau social = plus vous voyez de publicité, et donc meilleur sont les revenus pour l’entreprise.
Pour atteindre ces objectifs, ces entreprises utilisent des stratagèmes dont quelques unes seront évoquées plus bas dans cet article. Une partie de ces méthodes sont également utilisées par d’autres entreprises comme des éditeurs de logiciels, pour lesquels il faudra installer certains logiciels de nettoyage pour éviter que Windows ne ralentit.
Du côté utilisateur, la guerre des navigateurs internet que se livrent Google, Mozilla et Microsoft (Cf. Guerre des navigateurs WEB) a pour but d’éduquer l’internaute pour qu’ils se plient aux règles de l’entreprise. Au final, ces méthodes fonctionnent relativement bien, puisque nous faisons quasiment tout sur Facebook, Twitter ou Google.
Ainsi, les deux problèmes qui peuvent se poser avec la multiplication des réseaux sociaux, et leur usage fréquent, sont la perte de la gestion sur la collecte et l’emploi de nos données privées et l’addiction.

La monétisation des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont des applications internet gratuites, souvent financées par de la publicité, mais également par d’autres méthodes un peu moins connues. La marchandisation des données collectées sur les utilisateurs est l’une de ces méthodes.
Cela fait partie des méthodes générales présentes sur le net, qui nous font penser que les applications sont gratuites mais en réalité, il n’en est rien, puisqu’il faut garder à l’esprit que : Si c’est gratuit, c’est que vous êtes le produit.Pour plus d’information, se reporter à notre article : La gratuité sur internet 

Monétisation de la vie privée

Le pistage des internautes sur la toile est devenu un business à part entière. Le but est d’obtenir un maximum d’information pour dresser un profil consommateur. Ce profil peut ensuite être monétiser pour afficher des publicités ou effectuer des campagnes marketings ciblées etc. … En effet, plus l’entreprise obtient des informations précises sur nos habitudes de consommation, ce que nous aimons, ce que nous comptons acheter, nos envies, plus celles-ci pourront être monétiser auprès des sociétés marketings, e-mailing etc. …
Ainsi, dernièrement Microsoft a passé le cape avec la dernière monture de son système d’exploitation Windows 10. Ce dernier a été confectionné pour récupérer des informations statistiques sur l’utilisation de son OS, des applications installées et utilisées, du pistage de surf sur internet, des données de géolocalisation etc. … Pour au final cibler le comportement et les habitudes des utilisateurs, et proposer aux régies publicitaires un identifiant publicitaire unique par utilisateur.
Les réseaux sociaux permettent également de dresser facilement un profil consommateur, puisque nous donnons toutes les informations nous concernant ou celles de nos ami(e)s sans même le réaliser … Début 2017, Facebook est allé jusqu’à proposer une intelligence artificielle pour détecter les possibles tentatives de suicide sur son réseau social. Même si l’initiative part d’un bon sentiment, en pratique, c’est une collecte de données pharaonique qui se cache, reposant sur la détection d’un certain type de vocabulaire employé dans les messages (privés ou non !) afin d’identifier les utilisateurs à risque. Facebook va encore plus loin, puisqu’il peut également monétiser les informations personnelles collectées de manière interne pour attirer les annonceurs. Par exemple une nouvelle société qui vient de voir le jour et qui veut se construire une clientèle ciblée a tout intérêt à créer et renforcer sa présence sur les réseaux sociaux, afin de se faire connaitre et se développer. Pour cela, cette dernière peut créer un groupe sur Facebook puis effectuer de la publicité pour son groupe sur son cœur de cible. Ainsi, le groupe peut rapidement grossir avec de potentiels consommateurs par effet boule de neige. Les premiers consommateurs vont « liker » pour indiquer qu’ils aiment la page, ce qui amène d’autres utilisateurs à « liker » et ainsi de suite. Et cela peut aussi se monétiser, par exemple, un compte Twitter avec 100k followers peut-être payé 2 000 $ pour un tweet promotionnel.
Le nombre de like et de followers ( = « des suiveurs ») sur les réseaux sociaux jouent donc un rôle très important sur la notoriété et la e-réputation d’une marque ou d’une personnalité. Il peut donc parfois être tentant de les gonfler de manière artificielle.

Monétisation parallèle et fraudes

Les « likes » sur Facebook sont donc également un business à part entière puisqu’il est possible d’en acheter ! Aussi, le nombre élevé de « like » servent entre autres à lancer une nouvelle marque, ou à accroître la notoriété d’une personnalité  afin de la rendre plus attrayante et/ou plus crédible.
Des informations personnelles collectées par certains groupes d’internautes malveillants ou entreprises peuvent aussi être récupérées pour créer de faux comptes. Ces faux comptes peuvent à leur tour être monétisés. Cela peut être par exemple l’usurpation d’une photo personnelle d’un internaute, pour l’utiliser comme avatar d’un faux compte d’un autre profil utilisateur virtuel fabriqué de toute pièce.
Dernièrement, le New York Times a publié un article concernant des comptes automatisés sur Twitter reprenant les données de vrais comptes. Ces derniers sont liés à une société du nom de Devumi qui revendrait ces faux comptes à plus de 200 000 clients, pour venir grossir artificiellement leur communauté respective. Parmi ces clients, on y trouve certaines célébrités dont des top models, et autres personnalités de télévision. Les agents de ces stars n’hésitent pas à acheter de faux comptes pour rendre leur communauté internet plus active. Certaines personnalités du monde politique se seraient également laisser tenter par l’achat de ces faux comptes, afin de s’attirer la sympathie des électeurs. Ces dernières sont à l’origine de polémiques autour de comptes automatisés sur Facebook, Twitter etc. … accusées de tenter d’influencer les élections.

Alimenter le réseau social pour rester connecté

Il faut également sens cesse alimenter le réseau social pour captiver et garder l’attention des utilisateurs. Pour cela, l’une des techniques est de proposer régulièrement de nouveaux amis. A cet effet, des algorithmes sophistiqués travaillent sur les données et informations recueilles par les applications qui tournent sur vos téléphones et ordinateurs. Et ceci afin de nous proposer de nouvelles mises en relation toujours plus pertinentes.

Plus d’amis, plus d’argent

Facebook redouble donc d’efforts pour vous inciter à vous interconnecter à vos amis, et ainsi augmente les chances de vous garder actifs, tout en récupérant au passage des informations supplémentaires vous concernant. Sans oublier que si vous ne publiez pas vous même certaines photos ou informations, vos amis peuvent le faire à votre place.
Récemment Marianne a publié un article sur les combines utilisées par Facebook pour trouver vos amis.
A partir des données géolocalisées de vos smartphones et si l’application Facebook est installée, il est tout à fait possible de savoir quelles personnes ont été présentes sur un même lieu à plusieurs reprises. Il est même possible de savoir, si vous vous êtes déplacés (marcher ensemble) grâce aux coordonnées GPS. Cela peut permettre au final de connaître vos collègues de bureau ou vos ami(e)s potentiel(le)s.
C’est notamment pour cette raison que Facebook vous demande à quelle école ou entreprise vous appartenez. Facebook dit ne pas pratiquer ces méthodes mais peut tout à fait le faire …
Si en lisant ces lignes, vous trouvez que ces méthodes de pistage sont plus que choquantes, alors vous serez encore plus surpris d’apprendre que des applications « made in France » font de même. En effet, des applications alimentent des bases de données de géolocalisation pour des sociétés qui ensuite revendent ces informations. Parmi ces applications, on trouve des titres de presses comme le Figaro ou encore L’Équipe : Enquête : comment les apps Figaro, L’Équipe ou Closer participent au pistage de 10 millions de Français. Des scandales de partagent de données utilisateurs sont souvent mis à jour, comme WOT, AccuWeather, etc. …
Enfin, il est à noter que ces mécanismes de collecte de données personnelles pour forger un profil consommateur, proposer des amis, des publicités ciblées ou autres, n’est pas propre aux réseaux sociaux. En effet, NetFlix, plateforme de diffusion de films et séries TV en ligne, enregistre toutes les séries et films que vous regardez, afin d’analyser et cibler vos goûts puis vous suggérer d’autres films ou séries TV dans le but de vous fidéliser. Ces nouvelles propositions peuvent se faire depuis l’interface utilisateur ou par mail.

Rendre addict

Par définition, le temps passé sur les réseaux nous exposent aux publicités, les réseaux sociaux ont donc tout intérêt à maximiser ce temps. Pour cela, il faut rendre les utilisateurs le plus actif possible, comme évoqué dans le précédent paragraphe. Les smartphones sont devenus pour cela  les nerfs de la guerre. Ces derniers permettent une connexion hors du domicile en continue, grâce notamment au déploiement de la 4G. On peut alors prendre des photos et alimenter les réseaux sociaux, et ainsi interagir avec nos amis à tout moment. A ce titre, les notifications jouent un rôle essentiel sur les smartphones, car nos amis en les recevant de façon très régulière, sont elles-même incités à interagir en retour.
Sur PC, même quand nous ne sommes plus assez actif, nous sommes relancer par des mails « Facebook – on ne vous voit plus », car comme nous venons de le voir, notre attention rapporte de l’argent.
Enfin, les réseaux sociaux utilisent de plus en plus le neuromarketing, qui est l’utilisation des neurosciences cognitives appliquée au marketing et à la communication. Cet outil scientifique est redoutable dans la mesure où l’objectif des marques est d’utiliser les mécanismes neurologiques de notre cerveau afin d’activer les circuits du plaisir lorsque nous consommons leur produit. Mais aussi de provoquer une envie de manque exactement comme les drogues le font, dans le but inavoué de nous rendre addict à leur produit. Et au final nous faire consommer toujours plus.
Les « likes » sur Facebook, les flammes sur Snapchat font partie de ces récompenses qui produisent de la dopamine et activent les fameux circuits neurologiques du plaisir dans notre cerveau. Ainsi la baisse de ces stimulations provocants du plaisir, entraine l’effet pervers de manque, et fini donc par rendre l’utilisateur addict. Le fait de manquer est également entretenu par les notifications qui nous rappellent sans cessent que nous avons manquer un post … En effet, manquer un fil Facebook, c’est un peu comme avoir peur de manquer une information si on est habitué à suivre une chaine d’information en continue comme BFMTV ou LCI.
Pour les personnes les plus addicts aux écrans, cela peut aller jusqu’à la provocation de troubles du comportement, proches de ce qui sont observés chez les personnes autistes. Les enfants et adolescents sont les cibles prioritaires de ces réseaux sociaux, et sont de plus particulièrement sensibles à ces procédés douteux qui tentent de les rendre addicts dès le plus jeune âge.
Le nouvelObs a très récemment publié un article autour de ces méthodes qui rendent les adolescents addicts : Shot de dopamine : ce que Facebook fait au cerveau de mon amie Émilie.

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La vie privée, c'est sacrée, Web of Trust (WOT) m'a violé !




Un média allemand a analysé l’activité de l’extension Web of Trust (WOT) et il a découvert que les développeurs vendaient les données d’utilisateurs à des fins commerciales. Plutôt ironique pour une entreprise qui veut proposer un web plus sécurisé

Web of Trust (WOT) se présente sous la forme d’une extension pour Chrome et Firefox. Elle vous permet de connaitre la réputation d’un site. Étant donné qu’elle utilise des codes de couleur allant du vert jusqu’au rouge, on peut identifier rapidement la qualité d’un site. Les avis sont proposés par les utilisateurs et en général, Web of Trust avait une bonne réputation. Mais le média allemand Panorama a fait une enquête (en allemand) sur les internautes allemands et il a découvert que de nombreuses extensions de navigateur violent allègrement la vie privée.
L‘enquête s’est concentrée sur Web of Trust et il a découvert que lorsque vous visitez un site en ayant activé l’extension, cette dernière va collecter de nombreuses informations sur votre historique de navigation afin de créer un profil. Ce profil est ensuite transmis à des Brokers qui sont les entreprises qui exploitent les données pour les vendre à des régies publicitaires. Notons que Web of Trust admet qu’il collecte les données, mais ils les anonymisent pour éviter toute identification. Mais Panorama estime que c’est des bêtises, car les données qu’ils ont obtenues leur ont permis de révéler de nombreuses informations sur l’internaute incluant l’adresse IP, le mail et les différents sites visités par l’internaute.
Quand on fait ce type de tracking utilisateurs, Web of Trust doit en informer ses utilisateurs. Selon l’enquête qui a concerné 3 millions d’internautes allemands, Web of Trust a collecté l’adresse de 10 milliards de sites web. Et si vous ouvrez les yeux sur ce chiffre effarant, alors imaginez juste la quantité d’informations sur tous les utilisateurs de Web of Trust puisque cette extension est utilisée par 140 millions de personnes à travers le monde.
source: https://actualite.housseniawriting.com/ ... vee/18936/

Les journalistes de la chaine de TV NDR se sont concentrés sur un petit échantillon de données d'environ 50 utilisateurs WOT, et ont pu récupérer un grand nombre de données, dont:

Logins
Mots de passe
Habitudes d 'achats
Projets de voyages
Maladies possibles
Préférences sexuelles
Consommation de drogues
Informations confidentielles de l'entreprise
Enquêtes policières en cours
Activité de navigation via le navigateur, y compris l'historique detous les sites visités

On est loin de l'anomysation des données...

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mercredi 7 février 2018

32 Liste de diffusion Blogger Popup Secrets Exposé!



Augmenter la taille de votre liste de diffusion et garder votre public à long terme est le facteur le plus important lors de la création d'un blog ou d'une entreprise en ligne réussie.La triste vérité est que 70% des personnes qui viennent sur votre site pour la première fois ne reviendront jamais. La meilleure façon de les faire revenir pour plus est en les mettant sur votre newsletter, liste de diffusion et / ou séries de répondeur automatique.Les méthodes traditionnelles comme l'ajout d'un formulaire d'abonnement ennuyeux à votre site ne fonctionnent tout simplement pas.La meilleure façon d'augmenter le nombre d'inscriptions à votre liste de diffusion consiste à utiliser une fenêtre contextuelle lightbox (OptinMonster est la solution que je recommande), et je suis sûr que vous avez rencontré de nombreux sites favoris.Le concept est simple ... quand quelqu'un vient sur votre site et commence à parcourir votre contenu, après quelques secondes, un formulaire d'inscription à la liste de diffusion apparaît. L'utilisateur devra entrer ses informations et s'abonner, ou simplement cliquer sur X pour fermer la fenêtre. Cette méthode fonctionne extrêmement bien pour n'importe quel site dans n'importe quelle niche.Il y a de nombreux avantages à utiliser ces méthodes popup, comme inciter les utilisateurs à rejoindre votre liste de diffusion en échange d'un cadeau gratuit (généralement un ebook ou un rapport), la possibilité de tester votre annonce et de synchroniser votre formulaire pour intégrer directement avec votre liste de diffusion préférée, comme Aweber.Le secret pour augmenter votre liste de diffusion pendant la nuitAlors que l'ajout d'un plugin popup comme OptinMonster augmentera instantanément les inscriptions à votre liste de diffusion du jour au lendemain, il y a encore quelques choses que vous pouvez faire pour améliorer vos résultats.

    
Créez un ebook ou un rapport gratuit pour encourager les inscriptions
    
Configurer les tests de partage pour voir quelle copie d'annonce fonctionne le mieux
    
Jouez avec différentes couleurs, textes ou cadeaux
    
Essayez la technologie "exit intention" pour afficher la fenêtre contextuelle lorsque vous tentez de quitter votre siteVous pouvez également configurer la fréquence à laquelle vous souhaitez que ces types de fenêtres de liste de diffusion apparaissent à votre audience (une moyenne tous les 30 jours). Assurez-vous de configurer plusieurs tests fractionnés pour que votre public ne voie pas toujours la même fenêtre contextuelle si vous décidez de définir l'exposition contextuelle à un taux inférieur. 

32 Secrets de fenêtre PopUp de Blogger exposés!Ci-dessous vous trouverez une collection impressionnante de 32 de mes sites de blogs préférés et top sur Internet - chacun avec leur propre fenêtre et comment ils encouragent le processus d'inscription. La clé ici n'est pas d'essayer de copier ce qui existe, mais plutôt de se laisser inspirer par les autres et d'apprendre comment ils traitent leur audience et développent leurs listes de diffusion en même temps.La liste ci-dessous est dans l'ordre alphabétique et il y a de bonnes chances que si vous visitez l'un de ces sites, vous verrez effectivement une fenêtre contextuelle différente, car beaucoup d'entre eux mettent à jour souvent ou diviser tester leurs résultats. 
AffPostsChaque jour, des milliers de personnes visitent AffPosts.com pour vérifier les dernières nouvelles de marketing d'affiliation et les billets de blog dans l'industrie. Avec autant de personnes accédant quotidiennement au site, il est tout à fait logique que les Affposts établissent leur propre liste et envoient des mises à jour quotidiennes à chacun de leurs abonnés - un exemple parfait de création d'une base d'abonnés fidèles en donnant aux utilisateurs exactement ce qu'ils veulent. 
AweberAweber est la principale société d'hébergement de listes dans le monde et a fait confiance à plusieurs des sites mentionnés dans cette liste. Aweber utilise son propre formulaire contextuel de liste de diffusion pour donner des conseils e-mail rentables aux nouveaux abonnés. Si vous souhaitez configurer une fenêtre similaire à celle ci-dessous, connectez-vous simplement à votre compte Aweber et cliquez sur les paramètres de votre formulaire de liste. 
BacklinkoBrian Dean est un maître dans la création de contenu, de guides et d'études de cas exceptionnels sur son site, il n'est donc pas étonnant qu'il ait aussi un très beau bulletin contextuel. Tout au long du site de Brian, vous remarquerez également la génération de leads personnalisés et les formulaires basés sur le contenu que vous lisez actuellement. 

Blog Marketing AcademyDavid a été dans l'espace des blogs pendant un certain temps maintenant et il a concentré la plupart de ses efforts dans son programme Blog Marketing Academy, tout en enseignant aux autres comment blogger avec succès dans le processus. Grâce à la fenêtre contextuelle de David, vous pouvez voir comment il offre une liste de contrôle gratuite de 34 points, ce qui est un bonus téléchargeable agréable à quiconque se joint à sa liste. 
Blogging CageEn tant que l'un des meilleurs blogueurs de l'Inde, Kulwant a fait un travail incroyable pour créer un contenu de qualité sur son site, tout en ayant un site très frais et propre. Grâce à la liste déroulante de la liste de diffusion de Kulwant, il insiste sur la valeur et les bonus de rejoindre ses plus de 13 000 super lecteurs sur sa liste.
 Conseils sur les blogsPrenant une approche différente de nombreux autres sites de blogs et de leurs popups, Blogging Tips va la voie de la monétisation et demande à leur public s'ils veulent gagner assez d'argent avec leur blog pour acheter une voiture de leurs rêves. En plus de leur titre principal, ils se vantent également des vidéos de secrets de blogs gratuits qui sont également disponibles en téléchargement.

 Boîte d'annoncesBoxofAds est un outil pour espionner votre concurrence utilisent également la technologie contextuelle sur leur blog pour attirer de nouveaux abonnés à la liste de diffusion. Leur appel à l'action est assez simple et il n'y a pas de cadeau, donc toute personne qui s'inscrit à leur liste est certainement intéressé par les mises à jour de la société.

 CharlesBoxOfAds
 NgoCharles est un distributeur affilié bien connu qui a eu beaucoup de succès au fil des ans. Beaucoup de ses lecteurs viennent sur le site à la recherche de tutoriels, de guides et de critiques sur les dernières façons de gagner de l'argent en ligne. C'est aussi ce que Charles offre à travers sa liste de diffusion, qui est l'accès aux outils mêmes qu'il utilise pour créer des campagnes publicitaires réussies et rentables.
Chris BroganChris Brogan est un entrepreneur et auteur bien connu dans le monde des affaires et du marketing Internet. Avec une mise à jour de conception simpliste récente à son site, il ne serait logique pour sa fenêtre pop-up de représenter la même chose. "Obtenez mon meilleur travail envoyé gratuitement" - c'est aussi simple que cela. 

Elegant Themes
Elegant Themes est l'un des sites les plus grands et les plus réussis de thèmes WordPress premium sur Internet. Ils ont également un blog qui met en évidence les différentes façons de construire une entreprise, la marque et gagner un public grâce à des blogs. Sur ce blog, vous verrez également leur formulaire contextuel, qui offre à leur public l'accès aux meilleurs conseils et ressources WordPress, directement sur leur email.

Elegant ThemesEntrepreneur 
sur FireJohn Lee Dumas est le cerveau derrière Entrepreneur On Fire et il est actuellement l'un des meilleurs podcasteurs dans le monde. Avec une clientèle très fidèle et forte, John inspire les autres à créer leur propre podcast. Avec tant de gens viennent à son site pour apprendre comment commencer avec le podcasting, il n'a de sens que pour sa fenêtre contextuelle de bulletin d'information pour offrir aussi exactement cela. 

Entrepreneur sur Fire PopupEntrepreneurs Journey 
Yaro Starak est un blogueur très connu et de longue date qui a lancé son blog chez Entrepreneurs-Journey il y a plusieurs années. Depuis Yaro est déjà une marque établie et vend ses propres cours et produits, il utilise sa fenêtre contextuelle comme un moyen supplémentaire de se marquer et d'être plus agréable en montrant son image et en offrant une valeur dans le processus. 

Entrepreneurs Journey Popup 
Jeff BullasJeff Bullas est un autre bien blogueur connu et expert des médias sociaux. L'une des plus grandes réalisations de Jeff a été la sortie de son livre de blog que l'on peut trouver sur Amazon.

 Jeff Rubow,
 John Chow, parle de bloguer et de gagner de l'argent en racontant à ses lecteurs comment il gagne de l'argent - oui, vous l'avez bien lu. ! Grâce à son blog, John a été capable de générer des millions de dollars et raconte comment il est passé de zéro à 100 000 $ par mois dans son livre gratuit "The Ultimate Online Profit Model". 

KissMetrics 
KissMetrics est connu pour ses données analytiques et sa conversion en augmentation secrets Cela étant dit, nous ne pouvons nous attendre à rien de moins qu'une fenêtre d'appel contextuel passionnante lors de la visite de leur site. Les visiteurs peuvent choisir entre «Oui, obtenir l'étude de cas gratuit maintenant» ou «Non, je suis prêt pour l'instant. Peut-être plus tard "... Avec le bouton bleu apparaissant sur la page et avec tout le monde sur KissMetrics recherchant déjà des rapports de données secrètes, je parie que cette popup entraîne des centaines, sinon des milliers de nouvelles inscriptions quotidiennes.KissMetrics  

Lewis Howes 
Lewis est un master en webinars, LinkedIn et aider les autres à démarrer leur propre entreprise. En plus de son podcast "School of Greatness", son blog sur LewisHowes.com se concentre sur ces mêmes principes.  

LukePeerfly 
 Luke est l'un des gestionnaires affiliés à Peerfly et il utilise son blog à LukePeerfly.com pour construire sa propre marque et son propre contenu, tout en envoyant des affiliés à Peerfly. le processus. Luke a un grand popup sur son site qui met l'accent sur les conseils d'experts et le contenu tout en soulignant sa marque personnelle à travers l'utilisation d'une caricature. 

Matt Woodward 
Matthew Woodward est un blogueur primé et il a fait un excellent travail de création de contenu, guides et tutoriels pour les autres à suivre. Tout au long de son blog, vous verrez également les récompenses qu'il a reçues, qui apportent également l'autorité sur le site. Quand il s'agit de la fenêtre contextuelle de Matthew, elle est claire, simple et directe - ce que beaucoup d'entre nous savent apporte les meilleurs résultats!  

Melanie Duncan
 Melanie Duncan est une autre entrepreneure bien connue qui a fait du bon travail pour construire une marque pour elle-même. Tout comme dans l'exemple avec Lewis Howes, Melanie utilise sa marque personnelle et une image photogénique pour attirer les abonnés à sa liste de diffusion. Melanie Duncan  

Michael Hyatt 
Parmi plusieurs choses, Michael Hyatt est un conférencier, blogueur et auteur à succès. Cela étant dit, ce serait un honneur pour quiconque de travailler avec les mêmes outils qu'il utilise pour construire son entreprise et sa marque dans ce qu'elle est aujourd'hui. C'est exactement ce que Michael offre à tous les nouveaux abonnés à la liste de diffusion.  

Niche Hacks 
Niche Hacks est un excellent site qui fournit une tonne d'études de cas et de la valeur pour ceux qui cherchent à prendre leurs efforts de marketing de niche à un tout autre niveau. Niche Hacks  

OptinMonster 
OptinMonster est un plugin de thème WordPress premium pour générer des listes déroulantes de listes de diffusion - alimentant la plupart des popups de votre liste de diffusion - vous pouvez vous abonner maintenant à 1781 marchés de niche inexploités! J'ai vu en vedette sur cette page. En visitant leur site, il serait tout à fait logique pour eux de montrer un exemple de leur propre. Sachant que tout le monde qui visite leur site veut obtenir plus d'inscriptions à la liste de diffusion, OptinMonster a l'appel à l'action parfait en donnant à leurs visiteurs un rapport gratuit pour améliorer le trafic de leur site et de leur revenu.OptinMonster  

PPC Hero  
comme l'un des principaux blogs de paiement par clic, Il est important d'attirer l'attention de votre public et de construire votre marque dans le processus. PPC Hero gère également sa propre conférence appelée Hero Conf, dont ils font la promotion en offrant une inscription gratuite à un abonné de liste de diffusion aléatoire.  

QuickSprout 
Neil Patel de QuickSprout est le roi de la génération de trafic et l'augmentation des conversions. Cela se manifeste non seulement par son expérience de travail massive et ses témoignages, mais aussi par sa fenêtre contextuelle. Alors que d'autres sites demandent un nom et un courriel immédiatement, Neil commence par une simple question OUI ou NON. Je parie que celui-ci fonctionne bien pour lui. 

RazorSocial  
Ian est clairement avec RazorSocial  un expert de premier plan dans les outils de médias sociaux et comment convertir votre public en fidèles fans et clients. Tout de suite, vous remarquerez que le texte publicitaire noir et blanc utilisé sur la page de Ian apparaît vraiment sur la page! C'est un excellent moyen d'attirer l'attention et d'augmenter les conversions. 

ShoeMoney 
Un des entrepreneurs les plus connus, les blogueurs et les commerçants d'affiliation est très certainement Jeremy Schoemaker de Shoemoney.com. Initialement connu pour son chèque de 100 000 $ Google Adsense, le blog de Jeremy a aidé beaucoup de gens à commencer à gagner de l'argent en ligne. Grâce au formulaire popup de Jeremy, vous pouvez voir qu'il offre ses "Big 3" conseils pour gagner de l'argent et augmenter les conversions en ligne. 

ShoutMeLoud 
ShoutMeLoud a été créé par Harsh Agrawal, qui vit en Inde et a créé un site WordPress très populaire et très populaire. par tout le monde autour du monde. Tout sur le site est axé sur WordPress, blogging et faire de l'argent en ligne. Pour inciter les inscriptions à sa liste de diffusion, il fournit à chaque nouvel abonné son "Guide Pro WordPress pour les débutants". 

Sitepoint Learnable 
LearnableSitePoint  offre une tonne de contenu et des guides aux utilisateurs de leur site, mais ils sont également un service payant. Pour augmenter les chances d'avoir quelqu'un à rejoindre leur site et vous inscrire à un essai gratuit, ils ont mis en place un abonnement contextuel de droite sur leur site. Aucun formulaire, juste un simple appel à l'action et un bouton.  

Social Media Examiner 
Social Media Examiner est l'un des sites de médias sociaux les plus populaires sur Internet. Cependant, quand il s'agit de leur utilisation de la publicité et des regards, je me sens comme le leur détourne le plus. Il semble juste qu'il y ait trop de texte et vous n'avez que quelques secondes pour faire une première impression ... bien que je puisse me tromper  

Timothy Sykes 
Personne ne veut être pauvre et il n'y a rien Tim aime plus que gagner de l'argent avec son public. Tim est un trader boursier bien connu qui a aussi son propre programme d'adhésion lorsqu'il envoie des alertes boursières à tous ses membres. Être dans votre visage, odieux et drôle avec ses publicités et mises à jour sociales est quelque chose qu'il est également connu pour - sa fenêtre contextuelle ne fait pas exception et je suis sûr qu'il voit des numéros d'inscription de tueur dans le processus.Timothy Sykes  

Social Triggers 
Derek Halpern est l'homme Derrière Social Triggers, un blog dédié à vous aider à sortir des sentiers battus et à créer une meilleure activité en ligne. Tout comme les couleurs simplistes et le thème de son site, sa fenêtre contextuelle suit le même chemin. Un thème commun parmi les sites utilisant BounceExchange est le YES / NO questions que vous obtenez habituellement avant que le formulaire réel apparaît - peut-être vaut la peine d'essayer!  

WPBeginner 
WPBeginner est l'un des meilleurs sites de ressources WordPress et a également été créé par Syed Balkhi, qui est le co -creator d'OptinMonster, l'une des principales formes d'abonné popup lightbox. Tous ceux qui visitent ou se retrouvent sur le site WPBeginner sont très probablement à la recherche de conseils ou d'une formation sur WordPress, ce qui est exactement ce que Syed s'adresse également à son appel à l'action popup.

 A quoi votre liste de diffusion ressemble ?  
La liste impressionnante des meilleurs blogueurs et les autorités que nous avons présentés dans ce post. Si vous n'avez pas encore configuré un formulaire de liste de diffusion popup lightbox sur votre site, je vous recommande vivement d'essayer OptinMonster. Il vient même avec une double garantie de 100% sans risque de 14 jours pour tous les sceptiques là-bas ... mais en soulignant mes mots, vous n'en aurez pas besoin!



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