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vendredi 16 août 2019

FaceApp : comment supprimer votre compte et vos photos ?



FaceApp : comment supprimer votre compte et vos photos ?

Vous craignez la récupération de vos données personnelles via FaceApp ? Voici comment vous débarrasser de l’application définitivement.


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FaceApp vous prévient lorsque vous lancez l’application pour la première fois : les images que vous souhaitez vieillir ou rajeunir passent par les serveurs de la société. Ladite société étant basée en Russie malgré l’adresse indiquée au Etats Unis sur les magasins d’applications. Si après coup, vous n’êtes plus en phase avec votre choix, voici comment procéder pour faire supprimer vos photos.
La société ne propose aucune option directe depuis FaceApp, ni depuis son site web. Pour désactiver votre compte et les photos associées, il faudra donc leur écrire depuis l’application. Une fois ouverte, sélectionnez les Options en haut à gauche puis Assistance.
ecrire service client faceapp desinscrire
Dans Assistance, sélectionnez Plainte puis expliquez votre demande.
plainte faceapp securite photos
Pour voir votre requête aboutir plus rapidement, nous vous suggérons de leur écrire directement en anglais. Ci-dessous un message-type pour leur demander de supprimer votre compte et les données associées.
Hello, for privacy purposes, I would like to have my account deleted as well as all data collected from my phone. Regards. 
Validez ensuite l’envoi du message, la société ne fournit aucune information sur le délai de traitement, il ne vous reste plus qu’à attendre.

REF.:

jeudi 15 août 2019

De nouvelles failles d’exécution spéculative découvertes dans les processeurs Intel




De nouvelles failles d’exécution spéculative découvertes dans les processeurs Intel

Sécurité : Des chercheurs ont découvert de nouvelles failles liées aux mécanismes d’exécution spéculative dans les processeurs Intel. Cette nouvelle faille contourne les mesures de protection mises en place suite à la découverte de Meltdown et Spectre.

Les chercheurs à l’origine de Meltdown et Spectre l’avaient expliqué : plus que de simples failles, c’était toute une nouvelle catégorie de vulnérabilité qu’ils avaient découverte. Pas étonnant donc que depuis, les failles reposant sur l’exécution spéculative se multiplient.
Aujourd’hui, c’est au tour des chercheurs de Bitdefender de présenter leurs vulnérabilités à l’occasion d’une conférence donnée à la Black Hat, qui se déroule cette semaine à Las Vegas. La faille a reçu l’identifiant CVE-2019-1125, la vulnérabilité est également baptisée SWAPGSAttack par certains chercheurs du fait de son fonctionnement.
La faille vise en effet SWAPGS, un jeu d’instruction à destination des processeurs x86/x64 et permet à des attaquants d’accéder à des espaces mémoire réservés au kernel, ce qui ouvre la possibilité de fuites de données sensibles telles que des identifiants et clef de chiffrement normalement inaccessible à un simple utilisateur. La faille est décrite comme une variante de Spectre : le rapport publié par Red Hat au sujet de la vulnérabilité offre une description plus précise de son fonctionnement et de la façon dont elle exploite SWAPGS. L’attaque n’est pas exploitable à distance et demande l’accès physique à la machine visée pour être fonctionnelle.

L'exécution spéculative, péché originel d'Intel

Les chercheurs de Bitdefender ont présenté cette vulnérabilité à l’occasion de la Defcon, mais travaillent avec Intel depuis plus d’un an afin de corriger celle-ci. Intel a d’ailleurs communiqué au sujet de cette vulnérabilité, mais précise dans son message que les correctifs pour cette faille interviendront plutôt au niveau logiciel, principalement du côté des concepteurs de systèmes d’exploitation.
Microsoft a publié des correctifs pour cette vulnérabilité le 9 juillet 2019 et les autres concepteurs d’OS sont en train d’emboîter le pas : Google planche sur un correctif pour ChromeOS, et les différentes distributions Linux préparent ou publient des correctifs, bien que la faille de sécurité soit « plus difficile à exploiter » sur Linux selon les chercheurs de BitDefender. AMD a de son côté publié un communiqué indiquant que ses processeurs n’étaient pas affectés par cette faille de sécurité.
Les failles d’exécutions spéculatives affectent durement Intel, qui a largement utilisé cette technologie afin d’améliorer la vitesse de ses processeurs. Ces vulnérabilités restent difficiles à corriger et demandent les efforts conjoints de plusieurs acteurs afin de déterminer les meilleurs correctifs à appliquer. L’application de ces correctifs peut également avoir un impact sur les performances des processeurs, un sujet qui avait fait couler beaucoup d’encre à l’époque de Spectre et Meltdown.
Les chercheurs de BitDefender précisent néanmoins que cette fois-ci, l’application du correctif devrait avoir un impact négligeable sur les performances. Dans son avis, Red Hat précise néanmoins que certaines applications spécifiques, qui ont besoin d’accéder rapidement et fréquemment aux espaces mémoire utilisés par le kernel, pourraient voir leurs performances affectées par ce correcti



Les cyberattaques contres les infrastructures d’état auraient triplé


Les cyberattaques contres les infrastructures d’état auraient triplé



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Vous l’avez sans doute constaté : les actualités concernant les cyberattaques sont toujours plus nombreuses. Qu’il s’agisse d’écoles américaines victimes de ransomwares ou d’installations électriques infiltrées par des groupes de pirates financés par des états hostiles, tout le monde est concerné. L’IRIS (Incident Response and Intelligence Services), une entité d’IBM, a publié un rapport qui confirme ce sentiment.

Les compagnies internationales sont de plus en plus visées…

Selon l’IRIS, les cyberattaques destructives sont effectivement toujours plus nombreuses. Leur nombre aurait augmenté de pas moins de 200 % au cours du premier semestre 2019 (par rapport au premier semestre 2018). Ce chiffre est tiré de l’analyse des cyberattaques reportées à la compagnie. La plupart d’entre elles « se produisent en Europe, aux États-Unis et au Moyen-Orient dans l’industrie manufacturière […] et les secteurs du pétrole, du gaz et de l’éducation ».
À en croire IBM, cette tendance ne risque pas de s’amenuiser. Alors que les attaques constatées sur les neuf dernières années étaient financées par des États-nations qui souhaitent nuire à leurs adversaires, le profile des cybercriminels actuels est moins bien défini, les motivations de ces derniers étant financières plus que politiques. Ils s’intéressent aussi bien à des entreprises qu’à des institutions dont l’intérêt géostratégique n’est pas évident au premier abord.

Mais tout le monde est une victime potentielle

Tout le monde est désormais potentiellement une cible potentielle de ces attaques. La X-Force IRIS donne des chiffres pour appuyer son constat. Les multinationales sont bien évidemment les premières victimes des cyberattaques. En moyenne, chacune des entreprises visées aurait perdu l’équivalent de 239 millions $ (214 millions €). Selon les experts d’IBM, remettre les systèmes attaqués prendrait en moyenne 512 heures de travail. De plus, une seule cyberattaque mettrait hors-service 12 000 machines par compagnie. Autant d’appareils qu’il faudra certainement renouveler.
En tout état de cause, il est plus que jamais important de mettre une politique de sécurité en place. Authentification multifactorielle, backup sur disque dur externe (et pas uniquement dans le Cloud), et pourquoi pas utilisation d’une clé USB de sécurité, tout est bon pour sécuriser votre environnement informatique. En tout cas, il ne fait aucun doute que ce rapport permettra à IBM de remporter encore plus de contrats de sécurité.

Dragonblood: de nouvelles vulnérabilités trouvées dans le standard WiFi WPA3



Dragonblood: de nouvelles vulnérabilités trouvées dans le standard WiFi WPA3


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Sécurité : Deux nouveaux bugs Dragonblood permettent aux attaquants de récupérer les mots de passe des réseaux WiFi WPA3

Plus tôt cette année au mois d’avril, deux chercheurs en sécurité ont dévoilé des informations détaillées sur cinq vulnérabilités (baptisées Dragonblood) dans la norme d'authentification et de sécurité WPA3 WiFi récemment mis en place par la WiFi Alliance.
Hier, ces mêmes chercheurs en sécurité ont révélé deux nouveaux bugs affectant la même norme.
Les deux chercheurs - Mathy Vanhoef et Eyal Ronen - ont découvert ces deux nouveaux bugs dans les recommandations de sécurité que l'Alliance WiFi a publiés pour les fournisseurs d'équipements afin d'atténuer les attaques initiales de Dragonblood.
Tout comme les vulnérabilités Dragonblood d’avril, ces deux nouvelles vulnérabilités permettent aux attaquants de faire fuiter des informations à partir d’opérations cryptographiques WPA3 et de réaliser une attaque par force brute sur le mot de passe d’un réseau WiFi.

Les deux bugs expliqués

Le premier bug est CVE-2019-13377 et affecte le « handshake » Dragonfly du WPA3 lorsque celui-ci utilise les courbes Brainpool.
Dragonfly est le mécanisme d’échange de clés par lequel les utilisateurs s’authentifient sur un routeur ou un point d’accès WPA3. En avril, Vanhoef et Ronen ont découvert que les échanges de clés Dragonfly reposant sur les courbes elliptiques P-521 pouvaient être rétrogradés pour utiliser le P-256 plus faible. En conséquence, la WiFi Alliance a recommandé aux fournisseurs d’utiliser les courbes Brainpool, plus robustes, dans le cadre des algorithmes Dragonfly.
"Cependant, nous avons constaté que l'utilisation des courbes Brainpool introduit une deuxième classe de fuites de canal auxiliaire dans l’étape de handshake Dragonfly de WPA3", ont expliqué les deux chercheurs. "Nous avons confirmé l’effectivité de cette faille sur la dernière version de Hostapd et nous avons été en mesure de mener avec succès une attaque de force brute sur le mot de passe en utilisant les informations divulguées."
Le deuxième bug, CVE-2019-13456, affecte l'implémentation d'EAP-pwd dans le framework FreeRADIUS, utilisé par de nombreux fournisseurs pour prendre en charge la connectivité WiFi.
EAP-pwd (protocole d'authentification extensible) est un système d'authentification pris en charge dans les normes d'authentification WPA et WPA2 WiFi précédentes, qui est également pris en charge à des fins de rétrocompatibilité dans WPA3.
Tout comme le bug précédent, il existe une fuite d'informations dans le processus d'authentification EAP-pwd sur certains périphériques pris en charge par FreeRADIUS, ce qui permet aux attaquants de récupérer des mots de passe.

Les normes fermées de la WiFi Alliance

Les chercheurs ont déclaré avoir signalé ces deux nouveaux bugs à la WiFi Alliance.
"[La] norme WiFi est maintenant mise à jour avec des défenses adéquates, ce qui pourrait conduire à WPA3.1", a déclaré Vanhoef.
"Bien que cette mise à jour ne soit pas rétrocompatible avec les déploiements actuels de WPA3, elle empêche la plupart des attaques que nous avons découvertes", ont déclaré les chercheurs.
Mais en plus de dévoiler les deux nouvelles vulnérabilités Dragonblood, les deux chercheurs ont également profité de l'occasion pour critiquer à nouveau la WiFi Alliance pour son processus de développement de normes fermées qui ne permet pas à la communauté open source de contribuer et de repérer en amont les failles au sein du standard.
"Cela démontre que la mise en œuvre de Dragonfly et de WPA3 sans fuites de canal auxiliaire est étonnamment difficile", ont déclaré les chercheurs. "Cela montre également, une fois de plus, que la création privée de recommandations et de normes de sécurité est au mieux irresponsable et au pire inepte."
Bien que ce type de retour puisse être ignoré lorsqu'il provient d'autres chercheurs, la critique pèse son poids davantage lorsqu'elle provient de Vanhoef. Le chercheur belge est l’un de ceux ayant découvert l'attaque KRACK, qui a rendu le standard d'authentification WiFi WPA2 obsolète et a contraint la WiFi Alliance à développer le standard WPA3, lancé en juin 2018.
Des informations détaillées sur les deux nouvelles vulnérabilités Dragonblood sont disponibles dans une version mise à jour du livre blanc Dragonblood.
Source : New Dragonblood vulnerabilities found in WiFi WPA3 standard

Voici comment supprimer définitivement votre compte Facebook

Voici comment supprimer définitivement votre compte Facebook

Si vous souhaitez supprimer votre compte Facebook à tout jamais, voici les étapes à suivre.



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Alors que Facebook essuie les conséquences de multiples scandales depuis la révélation de l’affaire Cambridge Analytica, certains utilisateurs pourraient être tentés de supprimer leur compte sur le réseau social. Pour rappel, c’est un total de plus de 87 millions d’utilisateurs qui ont vu leurs données personnelles fuiter lors de ce scandale qui a mis en lumière plusieurs pratiques de la plateforme, entraînant un intérêt indéniable pour ce que le réseau social aurait pu vouloir cacher.
Cela a également eu pour conséquence de faire naître le hashtag #DeleteFacebook, un appel au boycott relayé par plusieurs utilisateurs populaires, dont l’un des cofondateurs de WhatsApp ou certains acteurs. Si cela ne semble pas avoir eu d’impact conséquent sur le nombre d’utilisateurs du réseau social, cela a tout de même eu des conséquences pour l’image de ce dernier.
En bref, les raisons de la suppression d’un compte Facebook peuvent être liées à la façon dont la plateforme peut traiter les données personnelles de ses utilisateurs, mais aussi à l’envie de s’éloigner des réseaux sociaux ou autre.
Si vous souhaitez supprimer définitivement votre compte Facebook, voici la marche à suivre.

Comment supprimer son compte Facebook (maintenant et pour toujours) ?

Pour supprimer définitivement votre compte Facebook sur desktop, vous devez d’abord être connecté, logiquement, à votre propre profil utilisateur. Cliquez ensuite sur la flèche en haut à droite du menu et sur « Paramètres ».
Supprimer compte facebook accueil
Supprimer compte facebook paramètres
Rendez-vous ensuite dans la catégorie « Vos informations Facebook » située dans le menu en colonne à gauche. Comme le précise le réseau social, « Vous pouvez à tout moment afficher ou télécharger vos informations, et supprimer votre compte ».
Supprimer compte facebook informations
Supprimer compte facebook voir infos
Facebook vous propose alors l’option « Supprimer votre compte et vos informations », si bien que vous devez cliquer sur « Voir ».
Supprimer compte facebook suppression
Attention, une fois à cette étape, Facebook précise bien qu’il est impossible de récupérer votre compte et ses informations « une fois le processus de suppression démarré » (sans toutefois mentionner les 30 jours de délai directement). Dès lors, vous pouvez alors choisir de désactiver votre compte, mais de conserver l’utilisation de l’application de messagerie Messenger, ou de supprimer votre compte.
Pour valider la suppression, vous devez alors cliquer sur « Supprimer le compte » et renseigner votre mot de passe avant de cliquer sur « Continuer » et « Supprimer le compte ».
Supprimer compte facebook mot de passe
Supprimer compte facebook validation
Sur une page web dédiée, Facebook précise qu’il est possible de récupérer son compte et son contenu pendant 30 jours après la surpression. Pour ce faire, il faut se connecter durant ce délai et cliquer sur « Annuler la suppression ».
Vous pouvez également consulter nos autres tutoriels de suppression de comptes ou d’historiques :

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