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samedi 31 août 2019

Instagram : comment savoir qui vous bloque ?

Instagram : comment savoir qui vous bloque ?

Vous ne parvenez plus à suivre certains de vos comptes Instagram préférés ? Et si vous étiez bloqué(e) ?
C’est bizarre : sur Instagram depuis quelques temps,vous n’avez plus de nouvelles de DarkAngel64. C’est à se demander s’il ne vous aurait pas bloqué ! Oui mais comment savoir qui refuse que vous accédiez à ses contenus sur Instagram ? La méthode est on ne peut plus simple.
Ouvrez l’application Instagram et cherchez le nom de votre contact dans le moteur de recherche. Même si le profil de cette personne est réglé sur privé, il apparaîtra toujours dans le moteur de recherche. Toutefois, si son profil ne ressort pas, le blocage peut en être la cause.
Pour le savoir, rendez-vous sur la page d’une de vos connaissances communes. Si possible, choisissez le profil d’une personne que vous connaissez bien tous les deux. Regardez les publications de votre ami commun puis essayez de trouver un like ou un commentaire de la personne que vous suspectez de vous avoir bloqué. Une fois trouvée, cliquez sur son nom. Si le profil ne s’affiche pas alors que les informations telles que le nombre de posts apparaissent en haut de la page, c’est que vous avez été bloqué. Désolé !
Il existe une autre méthode si vous connaissez le pseudo exact de votre ami. Vous pouvez également passer par un moteur de recherche et taper : « Instagram » + le pseudo de votre ami, son nom apparaîtra peut-être dans la liste des résultats. Cliquez sur le lien et effectuez la même vérification que dans le paragraphe ci-dessus.
>> Forum : comment sublimer ses photos pour les publier sur Instagram ? Les conseils de la communauté.

vendredi 30 août 2019

Plus de 300 000 mots de passe corrompus en un mois selon Google


Plus de 300 000 mots de passe corrompus en un mois selon Google

Et ce ne serait que le sommet visible de l’iceberg. La firme de Palo Alto se montre très alarmiste…


Avez-vous installé l’extension Password Checkup sur votre navigateur Google Chrome ? Si oui, vous faites partie des 650 000 utilisateurs qui ont permis au département sécurité de Google de faire une découverte terrifiante. Sur près de 21 millions d’identifiants scannés pendant un mois, 316 000 au moins auraient été compromis.
Password Checkup a été lancé par Google au début de l’année. Cette extension identifie les noms d’utilisateur et les mots de passe qui ont pu subir une violation de données. Si vous êtes victime d’un piratage, elle vous alerte et vous invite à modifier les identifiants concernés. Parallèlement, cela permet à Google de comptabiliser le volume de données utilisateur sensibles. L’extension est régulièrement mise à jour.

Des milliards de comptes touchés ?

Les chercheurs de Google référenceraient actuellement quatre milliards de noms et de mots de passe dangereux. Un chiffre affolant estimé selon l’échantillon représentatif des utilisateurs de Password Checkup. Afin d’obtenir des données plus concrètes et de sécuriser davantage les internautes, Google devrait intégrer automatiquement l’extension dans Chrome 78. Mise à jour prévue en octobre.
Vous êtes plutôt pro-Firefox ? Aucun souci : le navigateur de Mozilla possède depuis l’an dernier son propre détecteur de fuite de données. Il vous suffit de vous rendre sur le site Firefox Monitor et de saisir votre ou vos adresses électroniques utilisées pour vérifier leur intégrité. Le cas contraire, vous serez notifié par mail.


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Piratées, les enceintes connectées pourraient être une menace pour leurs utilisateurs


Piratées, les enceintes connectées pourraient être une menace pour leurs utilisateurs

Elles se démocratisent, et cela donne aux hackers potentiels un pouvoir d'autant plus important. Aujourd'hui, les enceintes connectées se placent dans presque toutes les pièces de la maison. Mais que se passerait-il si une personne bien équipée, mais mal intentionnée, en prenait le contrôle ?
 


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Dans ce cas, la personne pourrait mener une attaque, au sens littéral du terme : le 11 août 2019, la conférence Defcon a notamment expliqué que « un attaquant pourrait développer un malware visant à émettre des sons très élevés, causant des effets plus ou moins graves sur les propriétaires de ces enceintes ».


Des dommages humains et matériels


C'est un chercheur spécialiste en cybersécurité, Matt Wixey, qui alerte sur le danger que peuvent représenter les appareils électroniques pour leurs propriétaires dans le cas d'un piratage. Selon lui, l'attaque la plus évidente consisterait en un son très élevé, endommageant l'ouïe de la personne. Mais il va aussi plus loin, affirmant que l'utilisation de fréquences en dehors de l'audible pourraient provoquer des acouphènes, et même induire des changements psychologiques chez la personne ciblée.

Il souligne que « les émanations acoustiques ont prouvé leurs effets sur l'humain, autant d'un point de vue physiologique et psychologique ». Durant la guerre en Irak, lors d'interrogatoires, des militaires américains avaient même utilisé... Du heavy metal (du Metallica, pour être précis). La CIA elle-même a été accusée d'avoir infligé de la torture auditive. Le bruit en tant qu'arme est donc bien connu.

Une minorité d'appareils concernés


L'équipe de Matt Wixey a aussi mesuré la température que pouvaient atteindre ces enceintes. Résultat : quatre ou cinq minutes après le début du piratage, l'appareil avait émis suffisamment de chaleur pour que ses composants internes aient commencé à fondre. Cela pose ainsi des questions de sécurité concernant d'éventuels courts-circuits.

Ces données sont d'autant plus inquiétantes que Matt Wixey qualifie l'écriture d'un logiciel malveillant d'« étonnamment simple ».

Son étude ne s'est cependant pas cantonnée aux enceintes connectées. Son équipe a aussi testé d'autres appareils numériques du quotidien : un ordinateur portable, un smartphone, une enceinte Bluetooth ainsi qu'un casque audio de type circum-auriculaire. Matt Wixey admet qu'une minorité de ces appareils pourrait effectivement être reconvertie en « arme acoustique ». A priori, les enceintes connectées font partie des rares objets à pouvoir subir cette reconversion. Concernant justement ces dernières, l'étendue exacte de leur capacité de nuisance reste globalement floue. Mais les recherches de Matt Wixey constituent une incitation pour les constructeurs à revoir leurs normes de sécurité à la hausse.

Source : TechRadar

Un système de sécurité laisse fuiter plus d'un million d'empreintes digitales

Un système de sécurité laisse fuiter plus d'un million d'empreintes digitales



Un grand nombre de sociétés se reposent sur une base de données biométrique pour permettre aux employés d'entrer dans des locaux protégés. Mais comme parfois en sécurité informatique, des failles sont présentes et permettent d'accéder à ces données sensibles.







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Et c'est une affaire du genre qui a touché le système de sécurité BioStar 2 de la société Suprema. Une faille de sécurité majeure détectée, par une équipe de recherche en cybersécurité appelée vpnMentor. Cette découverte a été relayée par Noam Rotem, l'un des chercheurs de l'équipe. Suprema a depuis expliqué que la faille a été comblée suite à ces révélations.


Un million d'empreintes digitales exposés


C'est une faille de taille que présentait le système de sécurité BioStar 2, développé par Suprema. Un système utilisé par des instances importantes, comme la police britannique ou encore des banques. Dans le fichier se trouvait notamment un million d'empreintes digitales permettant aux personnes autorisées d'accéder à certains bâtiments.

À travers cette faille, le chercheur Noam Rotem de vpnMentor, à l'origine de la découverte, explique qu'il était possible d'ajouter son empreinte digitale dans la base de données ou de remplacer celle de quelqu'un déjà enregistré.

L'affaire est d'autant plus grave qu'en plus du million d'empreintes digitales, des mots de passe et données liées à la reconnaissance faciale n'étaient pas cryptés. N'importe qui aurait pu les utiliser à des fins malveillantes.


Une faille depuis résolue... après la révélation


Comme l'explique Suprema, c'est depuis mercredi dernier que la faille de sécurité a été corrigée. Il aura fallu que l'affaire soit révélée pour que les dispositions soient prises.

Et pour cause : Noam Rotem explique avoir tenté d'alerter Suprema quant à cette faille majeure, mais que la firme n'a jamais répondu. Face à ce silence, le chercheur de vpnMentor a donc décidé de dévoiler à la presse, comme l'important The Guardian, la présence de cette faille exposant plus d'un million d'empreintes digitales, mots de passe et autres données sensibles.


Pour Noam Rotem, l'un des points les plus graves vient notamment du fait que, contrairement à un mot de passe, modifier une empreinte digitale ou un visage (pour la reconnaissance faciale) est impossible à détecter en cas d'ingérence.

Source : The Guardian

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Ne modifiez pas votre mot de passe fréquemment (c’est Microsoft qui le dit !)



Ne modifiez pas votre mot de passe fréquemment (c’est Microsoft qui le dit !)

D’après Microsoft, changer trop souvent de mot de passe vous rendrait vulnérable. On vous explique pourquoi et que faire.


Depuis toujours, on nous conseille de fréquemment changer de mot de passe. Cependant, Microsoft a récemment tenu le discours opposé. Mettre à jour trop souvent ses identifiants pourrait compromettre la sécurité de vos données.

Pourquoi changer de mot de passe ?

Originellement, le conseil de les modifier provient des brèches dans les bases de données. Lorsqu’une brèche concerne un site où vous êtes inscrit, n’importe qui peut récupérer vos identifiants pour ce site. D’où l’intérêt d’en utiliser des différents pour chaque plateforme.
Certes, changer de mot de passe évitera que quelqu’un d’autre se serve de votre compte. Pour autant le hacker qui aura créé la fuite d’informations de base aura déjà utilisé vos données s’il en a besoin. Il est donc inutile de changer vos mots de passe tant qu’aucune brèche n’a été annoncée.

Trop changer de mot de passe rend vulnérable

En effet, une étude démontre qu’en devant changer trop souvent de mot de passe, afin de les retenir, l’utilisateur moyen a tendance à revenir vers des termes logiques et simples. Par exemple des expressions liées à la plateforme, ainsi qu’un placement de majuscules trop prévisible et peu de caractères spécifiques.
Inversement, certains choisissent des mots de passe tellement complexes qu’ils se doivent de le noter quelque part s’ils n’utilisent pas de logiciel pour les préserver. Certes, un post-it avec votre mot de passe est efficace contre les pirates du NET, mais pas contre les gens autour de vous, y compris les inconnus brièvement rencontrés.

Que faut-il faire alors ?

Un mot de passe idéal contient au moins 12 signes comprenant des minuscules, majuscules, chiffres, et caractères spéciaux. Il doit être simple à retenir, et ne dois pas avoir de lien direct avec le milieu où il est utilisé.
On vous recommande également d’utiliser un mot de passe différent par plateforme afin que le hacker n’ait accès qu’au site directement concerné en cas de fuites. Enfin, si possible, n’hésitez pas à utiliser les services de double authentification, par exemple par SMS ou mail.
A lire aussi – Mot de passe Wifi perdu : que faire ?


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