Si vous êtes fâché avec Facebook, voici un outil qui devrait vous intéresser. DeleteFB est un script Selenium qui va supprimer un par un tous les trucs que vous avez postés sur votre mur Facebook.
De quoi faire un bon ménage. Pour fonctionner, DeleteFB a besoin de la dernière version de Chrome et du driver pour Selenium.
Installez ensuite le script comme ceci :
pip3 install --user delete-facebook-posts
Puis lancez le script comme ceci en indiquant vos identifiants Facebook :
Le script va alors se connecter à votre compte Facebook au travers de
Chrome, comme si c’était vous et supprimera vos messages un à un. Cela
peut prendre un bon moment si vous avez été productif sur le réseau
social, mais pas de panique, vous pouvez réduire la fenêtre Chrome et
continuer vos activités pendant que ça mouline.
Bon ménage à tous ! source.:
Dans la série « Les DRM sont l’une des pires inventions de l’Humanité« , je vais vous conter la dernière blagounette qui est arrivée dans le secteur du jeu vidéo.
Si vous êtes gamer, vous connaissez sans doute le jeu Tron: Evolution sorti en février 2011. Peut-être, même l’avez-vous acheté ?
Et j’imagine que depuis 9 ans, vous l’avez délaissé et êtes passé à
autre chose. Mais pourquoi ne pas y rejouer pour retrouver un peu de
nostalgie ?
Et bien vous ne pourrez pas ! Cheh !
C’est qu’ont découvert des joueurs qui en voulant réinstaller ce jeu,
ont eu la désagréable surprise de tomber sur une popup leur annonçant
que leur numéro de série avait expiré.
Et peu importe que la version du jeu soit une version Steam ou une version vendue en boite, le message est sans équivoque.
Après prise de renseignements, l’explication est pourtant toute simple.
L’éditeur du jeu qui n’est autre que Disney n’a pas prolongé son abonnement au système d’activation proposé par la société SecuROM.
Ces derniers ont donc coupé le service d’activation qu’ils louaient à
Disney sous la forme d’un abonnement. Hé oui, toi pas payer, toi pas de
service.
Sauf qu’évidemment, ça retombe sur tous les acheteurs du jeu.
La balle est donc dans le camp de Disney. Que vont-ils faire ?
Reprolonger leur abonnement SecuROM ? Sortir le jeu sans DRM ? Ignorer
les joueurs ?
Bon, apparemment, ils bossent sur un patch mais on ne sait rien de plus.
On verra bien, mais en tout cas c’est un bon rappel sur ce qu’est
vraiment un DRM. Un DRM c’est tout simplement un « kill switch » que
l’éditeur d’un contenu place sur une oeuvre que vous payez. Et grâce à
ce kill switch, il peut vous en retirer l’accès à tout moment, mais
aussi, pourquoi pas, vous faire repasser à la caisse s’il en a envie.
Même si on l’oublie, on ne sait jamais quand ce kill switch sera
activé. Toutefois il est bien là et un jour, comme dans le cas de Tron: Evolution, il se déclenchera au grand détriment des acheteurs.
En ce qui me concerne, j’essaye toujours de prendre des choses sans
DRM, mais quand je ne peux pas, je fais sauter le verrou numérique.
Parce qu’on ne sait jamais d’abord et ensuite parce que j’ai un fort
esprit de liberté ;-).
À vous de voir maintenant, mais si vous aimez jouer
intellectuellement, demandez-vous toujours comment retirer un DRM
lorsque vous en voyez passer un ! (Et passez-moi l’info, je ferai des
tutos ;-)))
À l'occasion du Black Friday, le FBI a publié sur son site, le 26 novembre, des recommandations à suivre au sujet des Smart TV.
Les téléviseurs étant aujourd'hui connectés à Internet, le célèbre
bureau fédéral d'investigation estime qu'ils présentent des
vulnérabilités. Ces défauts de sécurité pourraient notamment permettre à
des pirates d'espionner leurs propriétaires.
Dans son communiqué, l'organisme déclare que « Les
Smart TV sont appelées ainsi parce qu'elles se connectent à Internet.
Elles vous permettent d'utiliser des services de streaming et des
applications populaires. Beaucoup ont aussi des microphones, pour ceux
d'entre nous qui sommes trop paresseux pour prendre la télécommande [
... ]. Un certain nombre de téléviseurs récents ont également des
appareils photo intégrés. Dans certains cas, les caméras sont utilisées
pour la reconnaissance faciale afin que le téléviseur sache qui regarde
et puisse suggérer un programme approprié. Il existe également des
appareils sur le marché qui vous permettent de communiquer avec votre
grand-mère dans en 42 pouces ».
Et de poursuivre : « Outre le risque que votre fabricant de
télévision et vos développeurs d'applications vous écoutent et vous
regardent, la télévision peut également être une passerelle pour que les
pirates pénètrent dans votre maison. Un cyberacteur malveillant peut ne
pas être en mesure d'accéder directement à votre ordinateur, mais il
est possible qu'un téléviseur non sécurisé lui permette d'emprunter plus
facilement la porte dérobée de votre routeur ».
Selon le
FBI, les Smart TV peuvent ainsi permettre aux pirates de suivre
l'activité des propriétaires, d'activer la caméra ou le microphone de
l'appareil et même d'en prendre le contrôle pour diffuser leurs propres
vidéos.
Le bureau fédéral donne ainsi des conseils pour éviter que ce type de
scénario ne se produise. Avant l'achat, il invite à se renseigner sur
les fonctionnalités de la télévision (caméra, microphone...). Le FBI
recommande de chercher sur le Net des informations concernant la
confidentialité des équipements de la marque.
Il suggère aussi de modifier les mots de passe de la Smart TV,
d'apprendre comment désactiver les différents équipements et empêcher la
collecte d'informations personnelles. Le communiqué précise : « Si
vous ne pouvez pas les désactiver, demandez-vous si vous êtes prêt à
prendre le risque d'acheter ce modèle ou d'utiliser ce service ». Et d'ajouter : « un simple morceau de ruban noir sur l'œil de la caméra est une option ».
Le communiqué recommande finalement de se renseigner sur les mises à
jour de sécurité incluses à l'appareil et à ses services de streaming.
Disposer
d’informations sensibles et privées sur un disque dur non chiffré est
un risque à ne plus prendre. C’est du moins ce que doit penser le
propriétaire de disques durs volés contenant les informations
personnelles et privées de 29 000 employés Facebook.
Facebook a perdu une copie
des données personnelles appartenant à 29 000 de ses employés après que
des disques durs contenant des informations de paie non chiffrées ont
été volées dans la voiture d’un employé.
Le réseau social a déclaré être en train d’informer les salariés impactés par ce vol. « Nous n’avons vu aucune preuve d’utilisation de ces informations,indique le service communication de Facebook. Nous pensons qu’il s’agit d’un vol de matériel plutôt que d’une tentative de vol d’informations sur les employés« .
Les informations concernent les employés américains.
La disparition des disques durs a été détectée le 20 novembre 2019.
L’employé les avait pris avec lui, alors que cela semble être interdit,
trois jours auparavant. Le 29 novembre, une enquête était lancée.
Facebook a commencé à alerter les employés concernés le vendredi 13
décembre.
Le voleur a en sa possession les noms
des employés, les numéros de compte bancaire et les numéros « partiels »
de sécurité sociale. Les disques durs comprenaient également des
informations sur la rémunération, notamment les salaires et les primes.
Facebook a offert une assurance aux salariés afin d’agir en cas d’utilisation frauduleuse de leurs données.
Le fautif, un employé du service de paie. Il a été sanctionné. Faut-il comprendre « viré » ?
La question est de savoir pourquoi cette personne se baladait avec des supports de sauvegarde qui ne lui appartenaient pas !!?
Damien
Bancal - Fondateur de ZATAZ.COM / DataSecurityBreach.fr - Journaliste -
Travaille sur les sujets High-tech/Cybercriminalité/Cybersécurité
depuis 1989. En savoir plus : https://www.damienbancal.fr
Enseignante à la retraite, Céline Leblanc-Barsalo vient de publier Ne me parlez pas des lapins, son troisième roman jeunesse. Destiné aux enfants de 8 à 11 ans, le livre de 177 pages traite notamment d’intimidation.
Ayant deux dents avant proéminentes, le personnage principal de
Coralie, une élève de 5e année, est malmenée par certains camarades de
classe qui l’appellent «lapin» ou «dents de lapin».
«Comme j’ai été enseignante, il y a toujours du vécu qui se mélange à
la fiction dans mes romans. Ce sont un peu des choses que j’ai vues et
entendues», indique la résidente de Kirkland.
Coralie vit des hauts et des bas alors qu’elle tente de trouver des
moyens pour que son année se passe bien. Elle reçoit l’aide de sa
meilleure amie et d’un garçon qu’elle trouve beau, d’une technicienne en
éducation spécialisée, mais aussi de sa mère et sa grand-mère.
«C’est une histoire touchante. Elle va utiliser des mantras positifs
pour essayer de passer à travers et elle va arriver à s’impliquer de
plus en plus à l’école», souligne Mme Leblanc-Barsalo.
Malgré tous ses efforts, l’intimidation aura laissé des traces.
«Les paroles que les enfants, ou n’importe qui, profèrent, ça attaque
les personnes et font des cicatrices, explique l’auteure. C’est un peu
le message du livre.» Témoignages
Avec la promotion de son livre, notamment dans les marchés de Noël, Mme
Leblanc-Barsalo est surprise par le nombre important de gens qui lui
confient avoir vécu de l’intimidation ou du harcèlement.
«Souvent, on me raconte que ce sont des enfants très jeunes qui sont
affectés. On parle de jeunes en deuxième année qui sont parfois obligés
de changer d’école», dit-elle.
C’est à la suite de la naissance de son petit-fils que Mme
Leblanc-Barsalo a eu la piqûre de l’écriture. Il était d’ailleurs le
héros de ses premières histoires.
«À un moment donné, on m’a demandé pourquoi je n’écrirais pas un
livre. Quand tu travailles comme enseignante, tu n’as pas beaucoup de
temps pour écrire. Mais j’ai commencé quand même tranquillement»,
précise-t-elle.
Son premier livre a été publié en 2015.