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jeudi 10 septembre 2020

Piratée, l’Agence du revenu suspend ses services en ligne

 

Piratée, l’Agence du revenu suspend ses services en ligne


L’Agence du revenu du Canada (ARC) a dû suspendre dimanche ses services en ligne après avoir été la cible de deux cyberattaques au cours desquelles des pirates ont utilisé des milliers d’identités et de mots de passe pour obtenir de façon frauduleuse des prestations et avoir accès à des renseignements personnels de Canadiens.

Environ 5500 comptes de l’ARC ont aussi été la cible d’une cyberattaque de type « bourrage de justificatifs ». Ce type de cyberattaque utilise les noms et mots de passe des utilisateurs recueillis lors de précédents piratages de comptes, profitant du fait que beaucoup d’internautes utilisent les mêmes mots de passe pour plusieurs de leurs comptes.

L’accès à tous les comptes touchés a été suspendu pour protéger les renseignements des contribuables canadiens. Le service en ligne « Mon dossier » de l’Agence du revenu du Canada n’était pas accessible dimanche matin.

Cette décision survient à un moment où plusieurs entreprises et citoyens canadiens passent par le site Internet de l’agence pour s’inscrire aux divers programmes financiers mis sur pied pour leur venir en aide pendant la pandémie de COVID-19.

Le gouvernement espère rétablir le service en ligne pour les entreprises d’ici lundi, selon un haut fonctionnaire fédéral. C’est à compter de cette date que celles-ci pouvaient s’inscrire aux plus récentes prestations d’aide qui leur sont destinées. On ignore si la suspension des services aura d’autres répercussions pour les programmes fédéraux comme l’Allocation canadienne pour enfants et la Prestation canadienne d’urgence.

L’ARC demeure vague sur ce que devront faire les victimes de ces cyberattaques pour rétablir leur compte. Elle se contente de dire qu’une lettre leur sera envoyée.

Au moins une victime dit qu’elle attend toujours des nouvelles dugouvernement après que quelqu’un eut piraté plus tôt son compte à l’ARC pour réussir à s’inscrire à la Prestation canadienne d’urgence mensuelle de 2000 $.

Leah Baverstock, de Kitchener, en Ontario, dit s’être aperçue que son compte avait été piraté lorsqu’elle a reçu le 7 août plusieurs courriels de l’ARC l’informant que sa demande pour le PCU avait été acceptée. Or, elle n’a pas perdu son emploi pendant la pandémie et n’a jamais fait une telle demande. Elle a aussi téléphoné à l’agence.

« La dame avec qui j’ai parlé a trouvé cela étrange, raconte-t-elle. Elle m’a alors dit qu’un de ses supérieurs allait me téléphoner dans les 24 heures parce que mon compte était inaccessible. Et je n’en ai plus entendu parler. »

Mme Baverstock a exprimé de la frustration à cause de ce manque de suivi. Elle dit encore ignorer comment les pirates ont pu avoir accès à son compte. Elle a contacté sa banque et d’autres institutions financières pour leur demander d’empêcher les pirates d’utiliser ses renseignements personnels pour commettre d’autres fraudes. « Je suis très inquiète. Quelqu’un peut se servir de mon nom. Qui sait ? »

Les services en ligne du gouvernement fédéral qui utilisent CléGC pour y accéder ont été la cible de cyberattaques touchant 14 541 comptes, a annoncé le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada dans un communiqué samedi.

Utilisée par près de 30 ministères fédéraux, la CléGC permet aux Canadiens d’accéder à des services comme Mon dossier ou à leur compte d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Les mots de passe et les noms d’usager de 9041 Canadiens ont été acquis de manière frauduleuse et utilisés pour tenter d’accéder à des services gouvernementaux.

« Tous les comptes CléGC touchés ont été annulés dès que la menace a été découverte », selon le gouvernement fédéral qui assure que les ministères concernés vont communiquer avec les Canadiens touchés par cette cyberattaque.

La Gendarmerie royale du Canada (GRC) et le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada ont été informés de ces cyberattaques visant les renseignements personnels des Canadiens.

 

REF.:

jeudi 13 août 2020

Les forfaits cellulaire a 41 $ par mois c'est fini :

 

Les forfaits cellulaire a 41 $ par mois c'est fini :

 

 

Maintenant c'est un forfait 2 ans,avec un cell 0 dollard qui vaut 250$, et qui sera financé sur 2 ans ,ce qui vous donnera une facture de 5$ par mois(pour le cell , vos appels) et avec un internet 5Go de data pour 50$ par mois!!!(sauf ,si vous insister, ça existe encore,alors tirez donc leur donc, les verres du nez )

 

C'est rendu a 55$ par mois plus taxes,le deal monte tranquilement !$!

 

 

REF.: T30

mardi 11 août 2020

Shadertoy – Faire une animation 3D directement dans votre navigateur

 

 

 

Shadertoy – Faire une animation 3D directement dans votre navigateur

Développé par la société BeautyPi, ShaderToy permet à chacun de créer des animations 3D de manière algorithmique via un éditeur full web (WebGL), ou une application native (sous Android / iOS par exemple) avec OpenGL 2/3/4.

Une fois votre compte ShaderToy créé et votre clé API récupérée, vous pourrez commencer à coder votre animation et la musique qui va avec. Voici quelques réalisations pour vous montrer ce qu’il est possible de faire avec cet outil :


 
https://www.shadertoy.com/view/Ms2SD1

Mais également des choses comme :

Il est possible sur certaines animations d’avoir une vue VR (Réalité Virtuelle) pour en profiter dans casque type Oculus Rift et si vous vous lancez dans la conception sur Shadertoy, vous pouvez également installer cette extension « compagnon » pour Chrome qui vous fera gagner un peu de temps.

Et si vous ne voulez pas coder mais simplement profiter visuellement des animations, il est possible de vous en faire des fonds d’écran avec Shadertoy Embedder.

Merci à Lorenper pour la découverte !

 

REF.:

mercredi 5 août 2020

Avec l'app mobile Google Translate : Comment avoir la traduction de certaine langues avec le micro ?



Avec l'app mobile Google Translate : Comment avoir la traduction de certaine langues avec le micro ?

Si votre cell n'inclus pas toujours le microphone de certains langues de Google translate ,comme le créole ... , utilisez plutôt le site web google translate et le microphone de votre clavier de cellulaire , ça marche bien ! En attendant que Google donne accès au microphone de conversation, pour le créole et autres langues !!!



Ici l'app de google translate est indisponible(il n'y a pas de bleu en surbrillance) !!!


Ici on a accès au micro !!!

Sinon ,pour une meilleur enregistrement audio moi,j'utilise Voicer lite(capte les sons faibles et éloignés) ou l'app a 2,49$ débarré sur app store , l'application Voicer de Jan Kmenta !!! Enregistrement illimité ,sans coupure ni annonce et partage avec iTunes,ou airdrop,email,imessage etc...




ensuite vous le faîtes écouter au microphone du site translate.google.com ,les discussions Haitiennes et Africaines seront lu facilement !!!
Sinon,la pire des traductions est la LATIN et le CRÉOLE ! ;-)
Si jamais c'est deux personnes là, se rencontre ça va être la Babylone,un côté Haïtien difficile à traduire toutes ses expressions et de l'autre même le Pape serait déçu,car beaucoup de ses fidèles ne le parle plus ! ;-) La Papesse Sonia Première,?! en perdrait son latin !(je crois c'est dans le secteur de la santé Ciusss ?)
 

 
 
 Sinon pour iPhone,un transcripteur: efficace, rapide, audio en texte a 7 cents/minutes = https://voxrec.net/#pricing


Note:Déja Facebook traduit les discussions de l'Haitien au Français lol ;-) Google et Apple sont en
 retard !!!



REF.: T30

jeudi 30 juillet 2020

Google collecterait les données des applications concurrentes aux siennes sur le Play Store


Google collecterait les données des applications concurrentes aux siennes sur le Play Store

Spécialiste smartphone & gaming




Dans la grande guerre de l’attention qui l’oppose à TikTok ou d’autres applications très populaires, Google a choisi les armes du fourbe. D’après une enquête de The Information, la firme de Mountain View s’accapare les données d’utilisation des applications concurrentes afin de développer ses propres produits.

Un programme interne, baptisé Android Lockbox, permettrait aux développeurs de Google d’avoir accès à des données personnelles très sensibles sur l’utilisation par les usagers d’Android des applications identifiées comme « concurrentes ».

TikTok, Instagram et Facebook particulièrement visés

À quel moment de la journée les utilisateurs de TikTok, Instagram et Facebook ouvrent-ils l’application ? Combien de temps y restent-ils ? Combien de fois par jour reviennent-ils dessus ? Voilà le genre de données — anonymisées, précise The Information — que récupère Google sur les services concurrents.

TikTok, sans doute l’application la plus populaire au monde actuellement, concentre d’ailleurs toute l’attention du géant du Web. La raison ? Shorts, le « clone » de TikTok que Google prévoit de lancer via sa filiale YouTube.

Dans une réponse adressée à The Information, Google ne nie pas et confirme même avoir accès à des données d'usage de la part d’applications concurrentes. Mais ces données ne permettent pas à Google d’identifier la manière dont les utilisateurs se comportent sur ces applications, promet le porte-parole.

L’utilisateur aurait le contrôle sur ces données

Dans une réponse adressée au site The Verge, Google arrondit les angles en expliquant que cette collecte de données n’est pas née de la dernière pluie. « Depuis 2014, l’API Android App Usage Date a été utilisée par Google et les développeurs Android qui ont été autorisés par les OEMs ou les utilisateurs à accéder à des données basiques sur l’usage des applications — comme le nombre de fois où ces apps sont ouvertes — afin d’analyser et d’améliorer les services ». 

Effectivement, d’après The Information, la collecte de données au sein des applications concurrentes est au plus haut lorsque, lors du paramétrage initial du téléphone, l’utilisateur choisit de partager les données d’utilisation à Google afin d’améliorer ses services. Pour les désactiver, il vous suffit de vous rendre dans les paramètres du téléphone, onglet Confidentialité, et de rechercher les termes « Utilisation », « Analyse » ou « Diagnostics » (les termes peuvent changer selon la version d’Android et la surcouche qui est installée).

Dans sa réponse à The Verge, le porte-parole de l’entreprise enfonce encore que ces données sont récupérées par Google « uniquement via cette API » et qu’elles peuvent servir à optimiser la batterie du téléphone et apporter plus de pertinence à la fonctionnalité de bien-être numérique intégrée à Android l’an dernier.

Une accusation qui tombe mal pour Google

Que Google collecte énormément de données sur ses utilisateurs n’est pas une révélation. On sait de longue date que les appareils Android récupèrent environ 10 fois plus de données sur leurs usagers par rapport à iOS. Seulement, Google est actuellement empêtrée dans une série de procès pour concurrence déloyale aux États-Unis, et l’enquête de The Information ne fait rien pour arranger ses affaires.

Si les différents procès faits à Google concernent essentiellement son monopole publicitaire ainsi que sa position dominante sur la recherche Internet, ce n’est pas la première fois que la firme est épinglée par les organismes antitrust pour son système d’exploitation mobile.

On se souvient notamment de l’amende record de 50 millions d’euros infligés par la CNIL à Google pour ses manquements au RGPD en 2019. Une décision que le géant du Web a d’ailleurs récemment tenté de rendre caduque — sans succès.