Non le mode incognito ne permet pas de cacher votre adresse IP.
Le
mode incognito permet de naviguer sur Internet sans propager les
cookies implantés selon votre historique de navigation sur Internet. Les
systèmes de tracking publicitaire ne vous reconnaissent pas et ne
peuvent vous envoyer de publicité ciblée. En outre, les cookies que vous
recevez en navigant en mode incognito, sont effacés en fin de session
et ne peuvent servir à vous suivre après la session en mode incognito.
De plus, votre historique de navigation et les fichiers temporaires sont détruits en fin de session.
Pour cacher votre adresse IP, vous devez utiliser un VPN, un proxy qui masque votre IP ou un utilitaire comme TOR.
Le
but dans un service de VPN, c'est de ne pas simplement encrypter la
donnée pour ne pas être capter part des tiers, mais comme vous le savez
utiliser une serveur ou machine qui est dans un autre pays ou simplement
pas votre machine. Mais surtout des trucs comme NordVPN, Bear machin
truc, enfin surtout ces services, le principe c'est de se fondre dans la
masse. Si vous avez la meme adresse IP que 10000 autre utilisateurs du
service, certains service ne pourront pas reconnaître votre ordinateur
sauf si vous connecter un compte Facebook, google et autre (n'utilisez
pas un VPN pour sa, la navigation privée largement 😞).
Donc
quand on voit 10000 utilisateurs connecte en meme temps avec la meme
adresse IP différentes, surtout qu'on voit des variantes comme le
navigateur utilise, les cookies et je vous invite a regarder ce que
c'est l'empreinte numérique.
On peut meme détecter les mec qui sont sur le reseau Tor pour vous dire.
iMessage arrive sur Android et Windows grâce à l’application Beeper
par
William Zimmer, le
Beeper est une nouvelle application de chat universelle qui tente
d’unifier 15 plateformes de chat différentes en une seule interface.
Elle permet entre autres d’apporter iMessage, la messagerie d’Apple, sur
Android et Windows.
Bien que Beeper intègre les services de messagerie les plus
populaires au monde comme WhatsApp, Signal, Telegram, Slack, Twitter,
Discord, Instagram et Facebook Messenger, c’est le support d’iMessage
d’Apple qui est peut-être le plus intéressant.
Le fondateur de Beeper, Eric Migicovsky n’est autre que le fondateur du fabricant de montres connectées Pebble, qui ne sont aujourd’hui plus commercialisées. Nous avions par exemple pu tester à l’époque la Pebble 2 + HR.
Migicovsky a déclaré que l’application permet à iMessage de fonctionner
sur les appareils Android, Windows et Linux « en utilisant quelques
astuces ». Il est important de noter que Beeper est un service par abonnement qui coûte 10 dollars par mois.
Le principe de l’application est simple, une seule interface pour toutes les façons de « chatter ». Cela signifie que toutes vos conversations sont rassemblées à un même endroit, que ce soit vos SMS, vos conversations Facebook Messenger ou WhatsApp. Vous pourrez même coder des bots comme sur Discord ou Slack.
Alors comment Beeper peut-il apporter iMessage sur Windows ou Android ? C’est là où ça devient plus compliqué. « Beeper
permet aux utilisateurs d’Android, de Windows et de Linux d’utiliser
iMessage de deux façons : nous envoyons à chaque utilisateur un iPhone
Jailbreaké avec l’application Beeper installée qui fait le pont avec
iMessage, ou s’ils ont un Mac qui est toujours connecté à Internet, ils
peuvent installer l’application Beeper Mac qui fait le pont. Ce n’est
pas une blague, ça marche vraiment. » peut-on voir sur le site Web.
Pour les utilisateurs qui n’ont pas de Mac, Migicovsky a déclaré sur
Twitter que le plan est de fournir des anciens iPhone Jailbreakés pour
les envoyer à tous les clients payants. Pour l’instant, le fondateur ne semble pas disposer d’assez de téléphones pour satisfaire tout le monde.
En effet, il ne possèderait que 50 téléphones. Il serait en mesure de
fournir ces smartphones grâce à l’abonnement payant de 10 dollars.
Vous ne le savez peut-être pas, mais si vous êtes un internaute moyen, vous avez déjà forcément été confronté au dropshipping.
Non ? Mais si ! Lorsque vous avez vu une pub Facebook pour cette montre
sympa à un prix incroyable ou encore cette trottinette électrique avec
une belle promo… Vous n’avez pas cliqué ? Vous avez bien fait ! Mais
comment reconnaître le dropshipping et éviter les risques qu’il vous
fait courir ? En quoi s’agit-il souvent d’une arnaque « double face » ?
Signal Arnaques vous dévoile les techniques à l’oeuvre pour mieux les
déjouer…
Côté pile, vous avez des acheteurs qui
pensent faire une bonne affaire en achetant un produit à un prix
attractif. Côté face, vous avez des apprentis-marchands qui tentent de
faire fortune sur internet en appliquant plus ou moins bien les recettes
dépassées de quelques gourous douteux. Au final, vous n’avez presque
que des perdants… si ce n’est quelques intermédiaires qui, eux, gagnent à
tous les coups ! Mais alors comment ça marche ? C’est ce que nous
allons voir.
Le Dropshipping expliqué à ma mère
Pour faire simple, le dropshipping
consiste à vendre un produit que vous n’avez pas tout en vous faisant
passer pour un vendeur parfaitement normal. Vous créez votre petite
boutique en ligne avec quelques produits bien choisis chez quelques
fabricants (9 fois sur 10 asiatiques) et lorsque vos clients passent
commande, ce sont ces fameux fabricants qui leur livrent directement la marchandise chez eux.
Pour le client, le dropshipping est donc
déjà quelque part en soi une arnaque puisqu’il y a tromperie sur la
nature de la boutique en ligne : celle-ci n’est en fait qu’un paravent entre lui et le fabricant… ce qui, comme nous allons le voir, n’est pas sans conséquence !
Pourquoi absolument éviter d’acheter chez un dropshipper
Certains pourraient me dire : « où est
le problème ? la plupart des boutiques ne fabriquent pas elles-mêmes ce
qu’elles vendent ! » Certes, un commerçant « normal » ne fabrique pas
les produits qu’il vend… mais il les achète, les stocke, contrôle leur
qualité et assure le service après-vente en cas de problème. Cela veut
donc dire qu’avec un dropshipper :
Vous n’avez aucune garantie sur la qualité : les
produits sont en général à très bas coût, ne respectent pas forcément
les normes européennes et s’avèrent dans bien des cas être des
contrefaçons d’autres produits. Les photos mises en avant par la
boutique sont souvent trompeuses et embellissent beaucoup les produits
par rapport à ce que vous recevrez. Le dropshipper ne gérant aucune
logistique, réussir à retourner le produit au bon endroit et à obtenir
un remboursement tient du miracle.
Vous devez vous attendre à des délais importants !
Les produits viennent directement de l’autre bout de la Terre puisque le
commerçant européen qui vous vend le produit n’en a aucun en stock.
Le produit pourra ne jamais arriver : les
dropshippers sont de petites sociétés qui n’ont qu’un faible contrôle
sur des fabricants qui sont loin d’eux. Outre, les escroqueries et les
incidents logistiques, les problèmes de réglementation ou une mauvaise
gestion des taxes de leur part peuvent parfois aboutir à la disparition
des produits avant qu’ils n’arrivent chez vous.
Vous pouvez faire une croix sur le SAV : pour toutes les raisons évoquées au dessus, il n’y en aura pour ainsi dire pas
Vous n’avez aucun recours en cas de problème : les
dropshippers sont en général des toutes petites structures récentes qui
n’ont pas d’image de marque à défendre. Même si elles veulent faire
quelque chose, elles s’avèrent complètement désarmées face à un problème
important d’un de leur fabricant et sont incapables d’indemniser qui
que ce soit. Situées à l’étranger ou insolvables, elles sont d’une
manière ou d’une autre à l’abri d’une éventuelle décision judiciaire
défavorable.
Comment reconnaître le dropshipping à presque tous les coups
Les dropshippers ont quelques caractéristiques assez faciles à identifier :
Ils ont une politique publicitaire très ciblée sur Facebook
: de jolies photos, un prix attractif, des commentaires élogieux, et
surtout la petite mention « publication sponsorisée »… vous avez là un
bon candidat de lien sur lequel ne surtout pas cliquer !
Leur site a une durée de vie en général limitée : étant donné qu’ils rencontrent souvent rapidement des problèmes, les sites de dropshipping encore actifs sont récents.
La société qui est derrière le site est la plupart du temps petite,
très jeune et n’a aucun élément qui puisse assurer sa pérennité (les auto-entreprises y sont extrêmement fréquentes). Dans certains cas, elle est carrément basée à l’étranger (au Royaume Uni, aux USA ou dans un paradis fiscal).
Le pire avec les dropshippers, c’est que
la plupart d’entre eux sont aujourd’hui perdants : beaucoup ont été
attirés vers ce modèle par quelques vendeurs de rêves qui leur ont
promis qu’ils pourraient facilement faire fortune. Et oui ! D’après eux,
en trouvant quelques fournisseurs sur Aliexpress, en montant une boutique avec Shopify, en calibrant quelques pubs Facebook et en automatisant le tout avec Zapier, on peut générer un petit pactole en travaillant peu comme dans la « semaine de 4 heures » de Tim Ferris.
Au final, ces nouveaux entrepreneurs
s’aperçoivent rapidement que pour s’en sortir dans le dropshipping, il
faut énormément d’effort pour un résultat au moins aussi aléatoire que
dans n’importe quel nouveau business. La publicité Facebook se révèle
être un gouffre, la gestion des fournisseurs un cauchemar et les marges
une peau de chagrin. Entendons-nous bien : le dropshipping a pu fonctionner pour certains il y a quelques années quand la concurrence était moins féroce, le coût de la publicité moins élevé et l’internaute moyen plus naïf. Mais ce temps-là est fini… et si beaucoup de monde continue à vanter les mérites du dropshipping, ce n’est pas complètement innocent.
Les vrais gagnants de l’histoire…
Si vous faites une petite recherche
personnelle sur le dropshipping, vous allez trouver une foule de sites
vous expliquant que, oui, oui, c’est formidable et que vous aussi, vous
pouvez-y mettre en cliquant ici. Soyons clairs : 99% d’entre eux ont
quelque chose à y gagner. Vous y trouverez donc :
Des gourous vous vendant des formations pour devenir riche.
Honnêtement, ceux-là sont la pire espèce et ils auront un article rien
que pour eux dans ces colonnes prochainement (avis à la population :
nous cherchons des témoins sur le sujet).
Des intermédiaires (plateformes d’e-commerce,
places de marché, prestataires de paiement, prestataires web) qui
toucheront quelque chose que votre business de dropshipping marche ou
pas… et qu’il soit une arnaque ou pas !
Des sites qui pratiquent l’affiliation et qui touchent des commissions pour vous faire cliquer sur des liens vers une des deux catégories citées au-dessus.
Vous n’êtes pas d’accord ? Vous avez un
témoignage ou une question ? Laissez nous un commentaire et faites
suivre l’article s’il vous a plu !
Dans un précédent article, nous avions évoqué le problème des faux avis sur internet. Dans celui-ci, nous allons nous intéresser à un phénomène grandissant et probablement plus dévastateur : la fausse popularité. Cette pratique consiste à acheter des likes ou des followers
dans le but d’accroitre la popularité d’un compte et donc de lui
apporter plus de crédibilité. Si, au premier abord, cela peut paraître
intéressant, ceux qui s’y laissent tenter tombent en réalité dans un
piège aux multiples facettes. Et dans les faits, les seuls vrais
gagnants sont les vendeurs de rêve de popularité à bas prix !
L’objectif de cet article est donc
double : aider les consommateurs de réseaux sociaux à identifier la
fausse popularité et démontrer que acheteurs qu’ils ont beaucoup à
perdre dans l’histoire. C’est d’autant plus important que l’ère des fake
news semble à son apogée .
L’importance des likes
Avant d’aller plus loin dans cet article, il convient de répondre à cette question essentielle : pourquoi les likes sont si importants ? Cela nous aidera à comprendre comment un tel système a pu se mettre en place.
Une partie de la réponse se trouve au milieu de notre cerveau à travers ce qu’on appelle le biais cognitif de popularité. Parfaitement expliqué dans cette vidéo du journaliste canadien Louis T,
le biais de popularité est un raccourci automatique que prend notre
cerveau pour estimer naturellement et rapidement la crédibilité ou
qualité d’un contenu ou d’une personne. Notre chère masse grise associe
donc automatiquement popularité et qualité en s’appuyant sur une preuve sociale.
Dans le cadre de nos exemples, les preuves sociales peuvent être de toutes sortes :
Nombre de vues d’une vidéo Youtube
Quantité d’abonnés sur Facebook, Instagram
Nombre de Followers sur Twitter
Des avis sur des plateformes spécifiques telles qu’Amazon, Trustpilot ou Tripadvisor
Bref, avec l’avènement d’internet et
notamment des réseaux sociaux, les likes sont devenus des preuves
sociales disposant d’une influence capitale sur le comportement des
foules. Cette remarque concerne aussi bien les internautes humains à la recherche d’informations que les algorithmes qui s’en servent en permanence.
La popularité est donc indubitablement un moyen d’existence pour un internaute ou une société…
Image générée via ranzey.com
L’achat de likes : de l’influence à la manipulation
Comme nous venons de le voir, la
popularité influence plus ou moins consciemment la manière dont nous
appréhendons la qualité d’une information ou d’une personne. Et même si
l’on peut se dire que ça n’a pas forcément de lien, c’est plus fort que
nous…
Fort de ce constat, des sites internet se sont spécialisés dans le juteux business de la vente de fausse popularité.
Comment ça marche ? Qui sont les fameux fans apportés ?
Quand un internaute, un influenceur ou
une société se rapproche des vendeurs de likes, il lui est proposé
d’obtenir des likes ou autre « preuve sociale » en échange d’argent.
(Genre 100 abonnés sur Instagram pour 4 €, 1000 vues de vidéos pour 10
€…).
Pour exécuter cette « prouesse », plusieurs techniques sont utilisées dont la majorité :
Des bots : Il s’agit de programmes informatiques
spécialement conçus pour réaliser des actions. Sur les réseaux sociaux,
de nombreux comptes sont créés par des robots chargés par la suite de
visionner des vidéos, cliquer sur des likes, ou aimer le contenu généré
par les clients.
Des comptes zombies : Les comptes zombies sont des comptes qui ne vivent pas… Ils ne publient pas, sont peu suivis et ne font que de s’abonner à d’autres comptes.
Ils sont commandés par le vendeurs de like. Bien qu’ils puissent être
gérés par des bots, ce n’est pas systématiquement le cas.
Des comptes de communautés : Dans ce cas, il s’agit
d’humains qui sont invités à interagir sur les comptes des autres
membres de la communauté. Chacun bénéficie donc des actions des autres
membres de ladite communauté : une sorte de partage de likes !
Pour faire simple, dans la plupart des cas, les « fans » apportés par
les plateformes payantes trouvent leur origine dans ce que l’on nomme des fermes à clics.
Des milliers d’appareils sont reliés à de multiples réseaux pour
simuler l’existence d’humains. Ces clics sont revendus aux plateformes
qui les revendent eux-mêmes aux internautes désireux d’acquérir de la
popularité.
Où est l’arnaque ?
Avec un regard naïf, on pourrait se demander où est le problème ? Est-ce qu’il y a une arnaque quelque part ?
Tout cela rappelle le fonctionnement de la publicité et je ne vois pas où est le mal…
Effectivement, si ces entreprises de
contentaient de promouvoir le compte ou le contenu de leur clients
auprès d’humains pour générer de l’interaction ciblée, il n’y aurait pas
de problème. Or dans une grande majorité des situations, c’est loin d’être le cas ! C’est le principal reproche qui puisse leur être fait : tromper leurs clients en vantant des interactions humaines et ciblées qui sont totalement fakes. Par ailleurs, une partie d’entre elles affirme même qu’il n’y a aucun risque pour le client ce qui n’est pas tout à fait vrai comme nous allons le voir plus loin.
La quasi-totalité des plateformes du genre vantent l’origine humaine de leurs avis.
Où acheter des likes ?
Il existe de multiples plateformes sur internet qui
se sont spécialisées dans cette activité. Sans en faire la promotion ou
affirmer qu’elles font partie de celles qui trompent leurs client, il
est possible d’en citer quelques-unes :
Instant-fans.com : Cette plateforme anglophone est très connue notamment pour son procès contre Facebook.
Followerspascher.com : Ce site français bénéficie d’une grande notoriété et prône la faiblesse de ses tarifs.
Fastlikes.fr : Ce site qui vend massivement de la
popularité balaie très largement l’ensemble des médias sociaux (de
Facebook à Tiktok en passant par Twitter).
Signal-arnaques ne conseille pas l’utilisation de ce type de plateformes. Pourquoi ?
Pourquoi acheter de la fausse popularité est une mauvaise idée ?
La popularité sur internet est vitale, nous en avons clairement
expliqué la raison plus haut… Par contre, pour la fausse popularité,
c’est nettement plus discutable !
Diminution de la visibilité auprès de vrais fans
Pour savoir à qui diffuser les contenus en ligne, les réseaux sociaux utilisent un indicateur que l’on nomme le taux d’engagement.
Il correspond au nombre d’interactions (commentaires, likes et
partages) réalisées par votre communauté sur le nombre d’abonnés. Il est
évident qu’en ayant une forte proportion d’abonnés qui n’interagissent
pas avec votre contenu (car ce sont des bots ou des humains non ciblés),
votre taux d’engagement est fortement dilué.
Du coup, en utilisant ce type de
stratagème pour gagner de la popularité, vous vous tirez une balle dans
le pied sans même le savoir. L’achat de likes est donc une opération qui
ne peut pas être viable sur le moyen et long terme.
Disparition régulière des comptes factices
A la lecture des lignes précédentes, vous aurez compris que l’achat d’abonnés est réalisé essentiellement par le biais de comptes factices.
Les réseaux sociaux luttent activement contre cette pratique et
régulièrement, des millions de comptes sont ainsi automatiquement
supprimés. Par exemple, en 2019, Facebook en a supprimé près de 3,2 milliards !!!
Ce type de grand nettoyage est réalisé régulièrement par les réseaux
sociaux pour éviter de perdre l’adhésion de leurs communautés.
Vu que les likes et vues sont
directement liés aux comptes, il est inutile de dire que leur
suppression fait disparaitre implicitement les abonnements et actions
précédemment acquises. Du coup, vous risquez fort de perdre le fruit de
vos investissements sur ces plateformes. Inutile de vous dire qu’elles
ne répondront pas à vos réclamations.
Risque de bannissement des réseaux sociaux
L’achat de likes est un pratique
interdite par les conditions d’utilisations de la majorité des réseaux
sociaux. Si l’un d’entre eux suspecte fortement que vous avez utilisé de
type d’outil, un bannissement de votre compte pourrait être réalisé.
Vous irez alors pleurer vers Marc Zuckerberg en disant que le bannissement était abusif !!! lol
Perte de confiance et de visibilité globale
Certains membres de votre communauté
peuvent être vigilants et s’intéresser à l’évolution du nombre de vos
abonnés. Si lors d’un grand ménage de printemps votre nombre d’abonné
chute brusquement, il y a fort à parier que certains vont s’en rendre
compte. Vous serez alors trainé et pendu sur la place publique pour
haute trahison envers votre communauté.
Attention donc au Bad Buzz et au retour
de flamme d’e-réputation… On remonte difficilement après une telle
épreuve et même les vrais abonnés s’enfuient !
Actuellement, aucune jurisprudence ne
semble avoir tranché sur ces pratiques. Il n’en reste pas moins qu’un
jour ou l’autre, le fait de booster sa popularité dans le but de
manipuler les foules pourraient être qualifié de pratique commerciale trompeuse.
Si l’expérience vous tente, priez juste pour ne pas vous retrouver au cœur de l’affaire !
Pour aller plus loin
L’excellent Youtubeur Defakator a réalisé un tuto sur le sujet. On
apprend notamment comment détecter les faux comptes et quel genre de
personnalité s’adonne à l’achat de likes. Un vrai régal ! Voici sa vidéo
sur le sujet :
Facebook : les données personnelles de plus de 500 millions d’utilisateurs accessibles en ligne
par
Lauriane Gagnard, le
Facebook est victime d’une nouvelle fuite de données personnelles. Un
chercheur a découvert les informations de plus de 500 millions
d’utilisateurs sur un forum accessible gratuitement.
Le chercheur en cybersécurité Alon Gal a découvert qu’une base de données contenant les informations personnelles de 533 millions d’utilisateurs Facebook avait refait surface sur le web. Il s’agit en effet de données qui avaient déjà fuité en 2019. À l’époque, Facebook avait affirmé avoir résolu le problème.Mais le scandale profile engine date de 2012 :
-vol de donné sensible,sur tout ce qui est blog,réseau social,Facebook,Google,moteur de recherche … depuis 2012 et plus ! Libellés vol d’identité, vol de donné, Google, facebook, rssing, RSS, Blogger, Blog, feedburner est mort, moteur de recherche, ;-)
Mais il faut peu de temps aux hackers pour récupérer ces données,
qu’ils espèrent pouvoir ensuite échanger contre de l’argent. La base de
données n’a donc jamais été complètement éliminée du web. Alon Gal l’a
retrouvé sur un forum de piratage, auquel la plupart des amateurs d’informatique peuvent accéder gratuitement et sans trop d’efforts.
Numéros de téléphone, noms et adresses de 20 millions de Français
Elle contient des informations personnelles d’un total de 533
millions d’utilisateurs, dont environ 20 millions de Français. Ces
données incluent les identifiants Facebook, mais aussi des
numéros de téléphone, des adresses postales et électroniques, des dates
de naissance, des biographies et des noms complets. Avec de telles informations clés, des pirates pourraient tenter d’accéder aux comptes Facebook de ces utilisateurs.
Facebook n’a pour l’instant pas réagi officiellement à cette
découverte. Une des porte-parole du réseau social a cependant tweeté le
message suivant : « Il s’agit d’anciennes données précédemment rapportées en 2019. Nous avons trouvé et résolu ce problème en août 2019. ».
Une réponse un peu légère face la sensibilité des informations
concernées. Les données datent certes de 2019, et certains utilisateurs
pourraient avoir changé d’adresse ou de partenaire depuis. Mais il
semble peu probable qu’ils aient changé leur nom ou leur date de
naissance.
En décembre 2019, les informations de 267 millions de comptes avaient également fuité en ligne.
Elles concernaient majoritairement des utilisateurs américains. Il
semblerait que cette base de données datant de la même année soit donc
différente. Une fois qu’une telle fuite a eu lieu, les informations
peuvent refaire surface à tout moment, même des années plus tard,
explique Alon Gal. Le chercheur admet en outre qu’il est désormais trop tard pour protéger les données de ces 533 millions d’utilisateurs. Si
vous avez un compte Facebook créé avant 2019, il est donc primordial
d’être vigilant face aux potentielles menaces de fraude et de piratage.