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vendredi 30 juillet 2021

Au revoir Hadopi, bienvenue l’Arcom

 

 

Au revoir Hadopi, bienvenue l’Arcom

Lucie Dorothé / Publié le 28 juin 2021 à 11h57

Le projet de loi de la réforme de l’audiovisuel prévoit la fusion du CSA et de l’Hadopi au sein d’une même entité : l’Arcom.



Le 23 juin, l’Assemblée nationale a adopté le projet de loi relatif à la régulation et à la protection de l’accès aux œuvres culturelles à l’ère numérique. Il s’agit d’une série de mesures pour la mise en place d’une reforme de l’audiovisuel. Une des dispositions phares du texte de loi concerne la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) qui va fusionner avec le CSA. Le regroupement de ces deux organismes donnera naissance à l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, dite Arcom.

« La mise en place d’un nouveau régulateur est nécessaire pour accommoder la convergence progressive de l’audiovisuel et du numérique » , a expliqué la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot lors du début de la lecture du texte à l’Assemblée nationale.

Que dit le projet de loi relatif à la régulation et à la protection de l’accès aux œuvres culturelles à l’ère numérique ?

Le texte de loi contient 5 mesures importantes :

  1. La création d’une liste noire des sites dont le modèle économique repose sur l’exploitation massive de contenus contrefaits et portant atteinte aux droits d’auteur.
  2. La lutte contre les sites miroirs, qui reprennent les contenus d’un site jugé illicite.
  3. La mise en place d’un dispositif spécifique au piratage dans le sport pour lutter contre les retransmissions en direct et hors cadre légal des manifestations sportives.
  4. La fusion de Hadopi et CSA pour créer l’Arcom. L’organisme aura pour mission de lutter contre le piratage, contre la désinformation et la haine en ligne et d’agir pour la protection des mineurs en ligne.
  5. La création d’un dispositif pour protéger l’accès du public aux œuvres cinématographiques et audiovisuelles françaises dont les droits ont été cédés à des entreprises étrangères.


L’adoption du texte de loi a bénéficié d’une procédure accélérée. En effet, la réforme de l’audiovisuelle était prévue il y a un an déjà, mais a été retardée en raison du Covid. Elle devrait entrer en vigueur à la fin de l’été.

Hadopi, le bilan après 12 ans

Mise en place en 2009, Hadopi avait pour objectif de lutter contre le pirate en ligne et notamment le téléchargement en P2P (peer to peer) qui était à l’époque très répandu. La haute autorité avait mis en place le principe de la riposte graduée : les internautes qui étaient surpris à télécharger une œuvre illégalement recevaient d’abord un email d’avertissement. En cas de récidive dans les 6 mois, un 2e avertissement leur était adressé par courrier. Enfin, en cas de 3e récidive dans les 12 mois, le cas était examiné par la commission de protection des droits qui pouvait amener le dossier devant un tribunal. L’internaute encourrait alors une amende de 1 500 €.

Dans un rapport d’activité publié en 2019, Hadopi se félicitait : « Ce sont près de 13 millions d’avertissements qui ont été envoyés à des internautes ayant méconnu le droit d’auteur et, dans 70 % des cas, aucune réitération des faits n’est constatée après un premier avertissement ». Mais, en 2020, soit 11 ans après le lancement de Hadopi, NextImpact avait révélé le bilan financier de la haute autorité : 87 000 € d’amendes perçues pour 82 millions d’euros de subventions publiques perçues.

L’agence de régulation coûte donc cher en argent public. De plus, elle a perdu de son intérêt du fait de l’évolution des pratiques digitales. En effet, à présent le téléchargement en peer-to-peer ne représente plus qu’un quart des téléchargements illégaux. Le streaming et le téléchargement en direct étant devenus des pratiques beaucoup plus répandues, et contre lesquelles Hadopi ne peut pas agir. C’est pourquoi l’Arcom a été créée : l’organisme sera doté de pouvoirs plus grands et d’outils pour lutter contre les nouvelles formes de piratage en ligne.

 

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Quels types d’oublis sont les plus liés à la maladie d’Alzheimer ?

 

Quels types d’oublis sont les plus liés à la maladie d’Alzheimer ?

 

La maladie d’Alzheimer, cette démence neurodégénérative qui affecte la mémoire est malheureusement bien connue du grand public. Au Canada, plus d’un demi-million de personnes vivent avec cette démence, et on prévoit que ce nombre doublera d’ici les dix prochaines années, notamment en raison du vieillissement de la population.

La maladie d’Alzheimer est redoutée : on l’accuse – parfois à la blague – lorsqu’on oublie d’acheter un article à l’épicerie, on s’en inquiète lorsqu’on ne trouve plus le nom de l’acteur d’un film, on la reconnaît en voyant une personne âgée désorientée. Cependant, est-ce que l’on connaît vraiment les comportements qui permettent de diagnostiquer la maladie d’Alzheimer ?

Je termine ma deuxième année de doctorat en neuropsychologie clinique à l’Université de Montréal, au Laboratoire de Neuropsychologie du vieillissement du Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal (CRIUGM). J'étudie cette question et la réponse n’est pas si simple.

On sait évidemment que la maladie d’Alzheimer affecte la mémoire. Sauf que, à tort, on imagine souvent la mémoire comme un grand tout, la considérant comme un même panier où s’entassent tous nos souvenirs. Il est donc d’abord important de comprendre qu’il y a différents types de mémoire, et jusqu’à quel point ils sont affectés dans la maladie d’Alzheimer.

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La mémoire épisodique

Il y a plusieurs types de souvenirs. La première catégorie comprend les souvenirs personnels des évènements que nous avons vécus depuis le début de notre vie.

Un peu comme un album de photos, la mémoire épisodique regroupe les souvenirs de notre enfance, de notre premier déménagement, de notre plus beau voyage, mais aussi de notre week-end dernier et de ce que l’on a mangé pour déjeuner ce matin.

Ce sont les souvenirs qui, pour être rappelés à la surface, nécessitent que l’on fasse une sorte de « voyage mental » dans le temps pour se replacer dans le contexte de l’évènement vécu (c’était quand ? où étions-nous ? avec qui ?).

La mémoire sémantique

Au contraire de la mémoire épisodique, la mémoire sémantique regroupe les souvenirs qui n’ont pas besoin d’être réactivés en se replaçant dans le contexte. On parle ici des connaissances générales sur le monde extérieur, qui ne sont pas liées à un endroit ou à un moment précis.

Par exemple, si nous nous demandons quel animal possède une carapace, ou encore qui était le mari de Céline Dion, nous n’avons pas besoin de réfléchir à un moment précis de notre vie pour trouver la réponse. Nous ne nous rappelons pas spécifiquement du contexte dans lequel nous avons appris cela, mais ces connaissances générales sont ancrées dans notre mémoire.

Des régions distinctes du cerveau

Évidemment, ces deux types de mémoire sont étroitement liés dans notre quotidien. Nous utilisons constamment nos souvenirs épisodiques et sémantiques pour fonctionner, et, en même temps, nous encodons continuellement de nouveaux souvenirs épisodiques et sémantiques.

Malgré le fait qu’ils soient liés, ces deux types de mémoire sont néanmoins sous-tendus par des régions partiellement distinctes dans le cerveau. La fabrication des souvenirs d’évènements vécus (liés à la mémoire épisodique) implique les hippocampes, des structures du lobe temporal interne, situé au milieu du cerveau, ainsi que le lobe frontal qui sert mettre mettre tout cela en contexte.

Les souvenirs de connaissances générales (liés à la mémoire sémantique), quant à eux, impliquent davantage le fonctionnement des régions parahippocampiques, c’est-à-dire les structures situées juste autour des hippocampes et la partie antérieure des lobes temporaux (pôles temporaux).

L’hippocampe sous-tend la mémoire épisodique, alors que les régions parahippocampiques, comme le cortex périrhinal (ici en vert), sous-tendent la mémoire sémantique. democritique.org/Cerveau/Cortex_perirhinal.svg.xhtml

Et dans la maladie d’Alzheimer ?

Et alors, entre oublier le film regardé la veille ou mélanger les noms de chanteurs, qu’est-ce qui est le plus inquiétant ?

Typiquement, la maladie d’Alzheimer est associée à un déclin de la mémoire épisodique. Les patients vont se plaindre de ne plus se rappeler des évènements qu’ils ont vécus, des conversations qu’ils ont eues, des choses qu’ils ont faites. C’est ce type de mémoire qui est le plus souvent testé en neuropsychologie lors de l’évaluation de la démence, et c’est aussi ce type de mémoire qui est étudié dans la grande majorité des recherches portant sur la maladie d’Alzheimer.

Cependant, un nouveau paradigme est en train d’émerger en recherche clinique, particulièrement au laboratoire où nous menons nos recherches.

Les récentes études démontrent qu’en fait, ce serait la mémoire sémantique qui serait atteinte en premier dans l’évolution de la maladie d’Alzheimer. On constate qu’avant même d’oublier leurs souvenirs d’évènements vécus, les patients montrent un déclin graduel de leurs connaissances générales.

Par exemple, ils ont plus de difficultés que les personnes âgées en santé à nommer des célébrités, comme Albert Einstein, ou des logos très connus comme celui de Pepsi ou de Desjardins. Ils ont aussi du mal à répondre à des questions sur la biographie de ces célébrités (par exemple, si Maurice Richard était, oui ou non, un chanteur), à répondre à des questions précises sur des objets ou des animaux (est-ce que l’autruche court, vole ou nage ?) ou à reconnaître des objets comme un harmonica, un hélicoptère ou un igloo d’après un dessin.

Des symptômes 12 ans avant

Selon une étude ayant évalué plusieurs centaines de personnes âgées sur différentes fonctions cognitives, les individus qui vont développer une maladie d’Alzheimer commenceraient à avoir des déficits en mémoire sémantique jusqu’à 12 ans avant de recevoir le diagnostic de démence. Les difficultés de mémoire sémantique surviennent donc avant l’oubli des évènements vécus, la désorientation spatio-temporelle, la perte d’effets personnels ou les difficultés de la parole.

 

Ces déficits sont toutefois rarement rapportés par les patients lorsqu’ils se plaignent de leur mémoire, car ils trouvent généralement le moyen de compenser ces difficultés dans leur vie quotidienne. Ils vont utiliser des mots-valises, comme « chose » ou « truc » pour décrire des concepts qu’ils ne peuvent plus nommer. Cela explique notamment pourquoi la mémoire sémantique a été peu étudiée en lien avec la maladie d’Alzheimer.

Surtout, ne pas s’alarmer

Il est fréquent qu’en vieillissant, on s’inquiète de sa mémoire et on redoute la maladie d’Alzheimer. C’est tout à fait normal. En neuropsychologie clinique, on constate même que beaucoup de personnes âgées se plaignent de leur mémoire, même celles qui n’ont finalement aucune difficulté ! Il ne faut donc pas s’alarmer au moindre oubli, car les plaintes subjectives ne sont pas nécessairement liées à de réels déficits. Ces plaintes peuvent par exemple être associées à la présence de symptômes anxieux ou dépressifs ou à un sentiment de solitude.

Malgré tout, connaître les premiers signes de la maladie d’Alzheimer nous permet d’être à l’affût des premières manifestations chez nous-mêmes et nos proches. Lorsqu’on constate qu’on a de plus en plus souvent les mots « sur le bout de la langue », qu’on ne peut plus raconter des histoires aussi précisément qu’avant ou que l’on a de la difficulté à nommer ou à utiliser certains objets du quotidien – et que cela nous inquiète ou inquiète nos proches – il peut être pertinent de planifier une visite chez le médecin ou le neuropsychologue.

Heureusement, certaines actions peuvent être prises pour favoriser notre santé cognitive. D’abord, la stimulation intellectuelle est importante : lire des livres, faire des sudokus, des mots croisés ou des casse-tête, jouer à des jeux de société et faire des activités sociales sont des exemples d’activités qui peuvent améliorer notre résistance à développer des troubles cognitifs. Aussi, l’hygiène de vie compte pour beaucoup. Faire de l’activité physique régulièrement, avoir une bonne alimentation et maintenir de bonnes habitudes de sommeil est aussi bénéfique pour la santé physique que cognitive.

 

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jeudi 29 juillet 2021

Intel Xe : benchmarks, prix, date de sortie, ce que l’on sait des tueuses de Radeon et GeForce

 

 

Intel Xe : benchmarks, prix, date de sortie, ce que l’on sait des tueuses de Radeon et GeForce

Intel prépare son arrivée sur le marché des cartes graphiques orientées gaming. Avec son architecture Xe-HPG, le fabricant peut-il se faire une place entre Nvidia et AMD ?

Il y a des secteurs dans lesquels quelques concurrents historiques paraissent indétrônables. Intel et AMD qui se disputent les processeurs, Android (Google) et iOS (Apple) qui n’ont que peu tremblé devant Windows Mobile (Microsoft) en sont de parfaits exemples. Mais il existe des cas où l’arrivée d’un nouveau concurrent a chamboulé le marché comme Free qui s’est fait une place au détriment du trio Orange, SFR, Bouygues.


Les cartes bleues d’Intel pourront-elles conquérir des parts de marché aux vertes de chez Nvidia ou aux rouges de chez AMD ? Voici ce que l’on sait.

Des cartes graphiques Intel discrètes, mais performantes

Intel avait annoncé début 2018 sa volonté de revenir sur le marché du GPU. Après des tentatives mises à mal en 1988 et 2008, Intel propose donc une nouvelle architecture censée concurrencer les GPU Gaming actuels, l’Intel Xe-HPG.

Répondant pour le moment à la référence DG2, il se décline en plusieurs versions possédant 128, 196, 256, 384, 488 ou 512 unités d’exécution (EU). Ce GPU est associé à 4 à 16 Go de RAM GDDR6. Selon les premiers benchmarks révélés sur la toile, une carte avec un DG2-128 serait un peu plus performante qu’une GTX 1650. Du côté du haut de gamme, avec un DG2-488 elle serait un peu en-dessous des RX 6700 XT (testée ici) et RTX 3070 (testée là). Enfin, une Xe-HPG équipée d’un DG2-512 s’approcherait d’une RTX 3080 (testée ici).

Le fabricant a aussi annoncé que ses cartes seront capables de gérer le ray tracing de façon matérielle. Pour ce qui est de la partie logicielle, Intel a déjà révélé son Intel Graphics Command Center lors de la Game Developers Conference (GDC) de 2019.

Enfin, Intel a également présenté ses cartes comme des modèles discrets. Un minimum de LED au programme, des refroidissements pratiques avant d’être esthétiques. Il n’est cependant pas exclu qu’Intel s’adapte à l’avenir pour répondre à la demande de joueurs aimant personnaliser leur machine.

Ce que l’on sait de la date de sortie et du prix

Initialement prévues pour 2020, les cartes Intel n’ont pas échappé à la pénurie qui frappe le secteur des composants. Dans l’état actuel des choses, aucune commercialisation n’est espérée avant la toute fin 2021 et il est plus probable qu’elles soient présentées au CES 2022.

En ce qui concerne le prix, le vice-président chargé de l’architecture graphique avait mentionné en interview qu’Intel souhaitait viser le grand public dont le marché démarrait (à l’époque de l’interview) autour des 200 euros. Intel a cependant clarifié rapidement la situation en expliquant qu’il s’agit certes du prix de départ du marché grand public, mais pas nécessairement celui de ses premiers modèles.

Une chose est sûre, une fois connu le positionnement tarifaire d’Intel donnera une bonne idée de la cible du fabricant. Sachant qu’il s’agit de la première génération, il est impossible de se baser sur des références passées pour anticiper un prix de lancement.

Source. : techradar

Vol d’iPhone : supprimez vos données à distance va être plus simple

 

 

Vol d’iPhone : supprimez vos données à distance va être plus simple

Quand un iPhone est volé, son propriétaire peut effacer les données avec le service Localiser. Néanmoins, la procédure à suivre n’est peut-être pas évidente pour tous les utilisateurs. Apple cherche donc à faciliter la suppression des données d’un iPhone volé.

Avec la recrudescence des vols d’iPhone au Brésil, Apple se voit contraint à prendre des mesures nécessaires pour améliorer la sécurité de ses utilisateurs. En effet, les criminels dans la ville de São Paulo au Brésil ne volent pas les iPhone pour les revendre comme c’est habituellement le cas dans le monde. Ils se servent des iPhone pour accéder aux comptes bancaires des victimes et les vider. Il leur suffit généralement de quelques heures pour y avoir accès.


Les propriétaires d’iPhone ont déjà un outil à disposition afin d’effacer à distance les données de leur smartphone volé. Il leur suffit de se rendre dans l’application Localiser mon iPhone sur iCloud. Néanmoins, il ne faut pas oublier qu’un iPhone effacé ne pourra plus être suivi. Les chances de le récupérer seront donc très faibles. D’ailleurs, le service Localiser d’Apple a récemment eu une faille qui permettait d’envoyer des messages à n’importe quel iPhone à proximité.

Apple et Google veulent rendre la suppression des données plus facile à faire pour les victimes de vols

Bien qu’une procédure soit déjà en place pour supprimer son iPhone à distance, elle n’est pas toujours évidente à suivre pour tout le monde et elle n’est surtout pas très rapide. Cela est la raison pour laquelle Apple veut faciliter la suppression des données d’un iPhone volé. Google compte également s’y mettre pour tous les smartphones Android.

Comme l’a rapporté le journal brésilien Folha de S.Paulo, « Apple et Google ont également promis de faciliter l’accès à leurs services pour effacer un smartphone volé avec d’autres appareils. Bien que moins connus, ces services existent déjà et seront rendus plus accessibles ». Cela signifie donc qu’Apple ne va pas lancer un nouvel outil pour aider les victimes d’iPhone volés, mais qu’il va faire en sorte de rendre le service actuel plus rapide et plus facile à utiliser.

En effet, l’objectif est de pouvoir supprimer les données de son iPhone dans les cinq premières minutes après le vol. L’appareil n’aura alors plus aucune valeur pour le criminel qui voulait accéder au compte bancaire de sa victime. Enfin, nous ne savons pas exactement comment Apple a prévu de s’y prendre et si le service amélioré sera uniquement disponible au Brésil dans un premier temps. En attendant, Apple présentera bientôt l’iPhone 13 pour lequel de récentes images ont d’ores et déjà dévoilé son nouveau design.

Source. : Ubergizmo

Comment obtenir de l'aide sur Google Play et plusieurs autres services !

 

Comment obtenir de l'aide sur Google Play et plusieurs autres services !

 

Aller la:  https://support.google.com/googleplay/gethelp

c'est le formulaire a compléter en ligne.

 

et aussi la :  https://support.google.com/googleplay/#topic=3364261

 

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