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jeudi 6 janvier 2022

Avec la 5G, le niveau d’exposition aux ondes est légèrement plus élevé qu’avec la 4G

 

 

Avec la 5G, le niveau d’exposition aux ondes est légèrement plus élevé qu’avec la 4G

L'ANFR a mené une étude pour tenter de comprendre si la 5G émettait plus d'ondes que la 4G. Les résultats viennent de sortir et montrent que l'exposition est équivalente à la 4G pour les bandes de basses fréquences. En ce qui concerne la bande 3,5 GHz, les résultats montrent que l’exposition augmente très légèrement.

À la demande de Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, l'Agence nationale des fréquences (l'ANFR) a mené une étude pour mesurer le niveau d'exposition aux ondes électromagnétiques avec la 5G. Les premiers résultats montrent que le niveau d'exposition augmente légèrement (16%) par rapport à la 4G, uniquement avec la bande de fréquences 3,5 GHz.

Une légère augmentation de l'exposition aux ondes

Les résultats de l'étude montrent une augmentation moyenne de 16% de l’exposition. À terme, l'ANFR estime que l'augmentation de l'exposition aux ondes électromagnétiques pourrait atteindre 20% dans les zones où la bande 3,5 GHz sera déployée. Cette campagne a été menée sur plus de 3000 mesures d’exposition du public aux ondes, entre 2020 et 2021.


Des mesures ont été prises à proximité de sites identifiés pour accueillir des antennes 5G, avant leur mise en service. Tandis que d'autres ont été prises au même endroit, après la mise en service de la 5G. Un moyen efficace de comparer le niveau d'exposition aux ondes électromagnétiques. Les experts de l'ANFR précisent que l'ensemble des bandes de fréquences utilisées actuellement en 5G ont été étudiées.

Alors que la consolidation du réseau 5G se poursuit en France, le secrétaire d’État chargé de la Transition numérique espère rassurer les français avec cette étude sur le niveau d'exposition aux ondes. Les bandes de fréquences 700 MHz, 2100 MHz et 3,5 GHz ont été testées. Les deux premières, considérées comme des bandes de basses fréquences, sont déjà utilisées par la la 3G et la 4G depuis plusieurs années. En revanche, la nouvelle bande de fréquences 3,5 GHz est au centre de l'attention. Elle n'est en service que depuis novembre 2020.

La bande 3,5 GHz est responsable de cette augmentation

À propos des bandes basses fréquences (700 MHz et 2100 MHz), l'étude montre que l'exposition du public aux ondes électromagnétiques reste parfaitement stable, malgré leur adaptation à la 5G. L'arrivée de cette nouvelle technologie n'a pas conduit à un changement majeur dans le niveau d'exposition.

En revanche, avec la bande de fréquences 3,5 GHz déployée exclusivement pour la 5G, l'ANFR affirme que l’exposition augmente très légèrement. L'Agence nationale des fréquences estime que la « contribution supplémentaire de cette nouvelle bande peut être évaluée à 0,11 V/m ». C'est très faible par rapport à la limite réglementaire, fixée à 61 V/m pour cette bande.

Toujours selon l'ANFR, cette bande de fréquences a une particularité qui pourrait expliquer cette légère différence d'exposition aux ondes. Elle est « équipée de nouvelles antennes à faisceaux orientables ». Ces faisceaux permettent de diriger les ondes vers les utilisateurs équipés de terminaux compatibles avec la 5G. Comme dans l'état actuel des choses, peu d'utilisateurs sont équipés, l'ANFR continuera de prendre des mesures pour s'assurer que l'exposition aux ondes n'augmente pas avec le développement du trafic.

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/5g-ondes-4g-exposition/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

6 erreurs à éviter en matière de publicités Facebook

 

 

6 erreurs à éviter en matière de publicités Facebook

Pour booster vos conversions sans faire exploser votre budget, découvrez 6 erreurs à éviter lors de vos campagnes publicitaires sur Facebook.

Avec ses milliards d’utilisateurs, Facebook est devenu une plateforme publicitaire incontournable. Grâce à Facebook Ads, le puissant outil de ciblage et d’analyse du réseau social, une entreprise peut désormais créer une publicité en quelques clics et à moindre coût. Que ce soit pour promouvoir plus amplement sa marque auprès de sa cible, gagner en visibilité ou booster ses conversions, les publicités sur Facebook sont des alliées de taille.

Les intégrer à sa stratégie de social média marketing ne suffit pas pour autant. Pour exploiter un maximum leur potentiel, il convient de maîtriser parfaitement leur utilisation. Découvrez ainsi six erreurs à éviter lors de la création de vos campagnes publicitaires sur Facebook.


Publicités sur Facebook : 6 erreurs à ne pas commettre

Que vous lanciez votre activité ou qu’elle soit déjà bien établie, les social media ads de Facebook sont un moyen efficace de booster votre business. Pour ne pas se lancer les yeux fermés et réaliser quelques maladresses, il faut manier les rouages de cet outil désormais indispensable.

Ne pas définir des objectifs précis

Au moment de vous lancer dans les Facebook Ads, le premier facteur à déterminer est l’objectif de votre campagne. Il correspond à l’action que vous souhaitez voir les utilisateurs entreprendre lorsqu’ils voient votre publicité en ligne. La plateforme en propose une dizaine, divisées en trois catégories :

  • les objectifs de notoriété, qui visent à susciter de l’intérêt pour vos produits ou vos services ;
  • les objectifs de considération, incitant les internautes à s’intéresser à votre marque et à rechercher des informations dessus ;
  • les objectifs de conversion, encourageant les prospects à passer à l’achat.

Les résultats et la rentabilité de votre campagne dépendent de la précision à laquelle vous aurez choisi vos objectifs. Ces derniers évoluant au fil du développement de votre entreprise, il faudra continuellement les réadapter et les redéfinir.

Cibler une audience trop large ou trop restreint

Les Facebook Ads se distinguent par la puissance de leur ciblage. L’outil prend en compte plusieurs éléments, dont le positionnement géographique, la catégorie socioprofessionnelle, l’âge, le sexe, la langue parlée, les centres d’intérêt… Et de nombreux autres paramètres. Bien que ces derniers soient essentiels pour cibler correctement, il convient de les utiliser judicieusement. Visez une audience trop large ou restreinte vous fera passer à côté de celle-ci.

Une campagne faite pour toucher trop de monde n’intéressera que peu de personnes, car elle ne sera pas assez personnalisée. À l’inverse, viser un groupe limité risque de couper votre publicité à de nombreux prospects qui pourraient, pourtant, s’intéresser à votre marque.

Un mauvais ciblage signifie également des taux de conversion bas et un mauvais retour sur investissement de votre dépense publicitaire (ROAS), car le coût des Facebook Ads est aussi établi en fonction de la pertinence de vos campagnes.

Mal configurer son pixel Facebook

Trop souvent ignoré par les professionnels, le pixel Facebook est néanmoins l’élément clé de l’optimisation des publicités. Concrètement, c’est un bout de code JavaScript qui est placé sur chaque page de votre site web. Il permet non seulement de mesurer l’efficacité de vos publicités mises en place sur Facebook, mais également de savoir ce que font vos visiteurs sur votre site une fois qu’ils ont cliqué sur votre annonce. Il offre la possibilité de les traquer une fois qu’ils l'ont quitté votre site pour, dans le futur, faire du retargeting.

Une fois installé, le pixel Facebook se déclenche à chaque fois qu’une action est effectuée sur votre site internet, comme un achat. Le pixel reçoit alors ces actions, aussi appelés « événements », consultables dans le Gestionnaire d’évènements de la page de votre pixel Facebook. Pour en tirer profit, il convient de bien configurer ces événements avec l’outil dédié sur la plateforme. Dans le cas contraire, votre ciblage sera impacté et pourra difficilement être amélioré.

Ne pas respecter les règles imposées pour les Facebook Ads

Pour voir votre campagne validée et diffusée sur Facebook, vous devez respecter les règles imposées pour la régie publicitaire de la plateforme. Elles sont nombreuses et portent sur les contenus interdits, les contenus restreints, les publicités vidéo, mais pas seulement. Afin d’être approuvée, votre annonce doit aussi respecter le cadre réglementaire lié au texte, aux images, au positionnement, aux images choisies et au contenu de la page de destination associée à l’annonce. Si votre publicité ne respecte pas ces éléments, elle sera désapprouvée. Il faudra alors effectuer des améliorations et des corrections puis la soumettre à nouveau.

Oublier d'optimiser ses pages de destination

Lors de l’élaboration de vos Facebook Ads, un détail ne doit pas être négligé : l’optimisation de vos pages de destination. Dans le cas contraire, le visiteur intéressé se contentera de cliquer sur la publicité qui apparaît dans son feed et n’ira pas au bout de l’objectif souhaité.

En ce sens, il est primordial d’optimiser le parcours du prospect en proposant une page de destination qui concorde avec la publicité qui l’a attiré et qui correspond exactement à l’annonce mise en avant. Si la page vers laquelle vous le redirigez est inadaptée, l’internaute risque d’être frustré et votre réputation pourrait être entachée. Cet élément faisant partie du cadre imposé pour les Facebook Ads, il est essentiel de respecter cette règle si vous ne voulez pas voir votre publicité rejetée.

Ne pas analyser ses résultats

Enfin, comme pour toutes campagnes publicitaires, vous devez constamment analyser leur impact et leurs retombées. L’outil de Facebook met à votre disposition plusieurs métriques qui vous permettront d’optimiser vos annonces en temps réel. Il donne accès à de nombreux rapports concernant la configuration de votre publicité, sa diffusion, son engagement, ses performances ou encore son taux de conversion. Autant d’éléments qui vous seront utiles pour mettre en place correctement vos prochaines campagnes.

Facebook Ads est un outil redoutable qui sera utile autant pour accroître votre visibilité, que pour attirer de nouveaux prospects et les convertir. En connaissant les erreurs les plus fréquemment commises, vous éviterez de tomber dans certains pièges et vous pourrez utiliser efficacement les leviers de la plateforme, qui seront utiles à votre stratégie social media marketing.

Si vous souhaitez en savoir plus sur nos pôles de compétence au sein de l’agence de Siècle Digital, n’hésitez pas à nous contacter à travers le formulaire de notre site shinemedia.fr

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/6-erreurs-a-eviter-publicites-facebook/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

Apple supprime son outil controversé pour repérer les contenus pédopornographiques

 

 

Apple supprime son outil controversé pour repérer les contenus pédopornographiques

Pointé du doigt par les ONG et les militants pour la vie privée, Apple semble avoir retiré de son site web toutes les mentions sur les deux fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques. Les défenseurs de la vie privée craignaient une extension de l’utilisation de ces fonctionnalités.
 

Dans le courant de l'été, Apple a dévoilé deux nouvelles fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques. Rapidement, plusieurs ONG se sont inquiétées des dérives potentielles de ces outils. Depuis quelques jours, MacRumors a constaté qu'Apple avait discrètement supprimé toutes les informations faisant référence à ce projet.

Un outil pour détecter les contenus pédopornographiques sur les appareils Apple ?

C'était un projet très controversé. Les militants pour la vie privée ont rapidement fait connaître leurs inquiétudes à ce sujet. Ces derniers craignaient logiquement une extension des usages de ces nouveaux outils. Si Apple peut détecter les contenus pédopornographiques, Apple peut tout détecter dans nos messages... Les ONG s'inquiétaient notamment de l'extension de l’utilisation de ces fonctionnalités, pour repérer des dissidents politiques ou pour réprimer l’expression sexuelle.



Le principe de cette fonctionnalité était de faire un scan des photos des utilisateurs Apple, afin de repérer d'éventuels contenus pédopornographiques. Cette problématique revient à se poser cette fameuse question : « la fin justifie-t-elle les moyens ? ». En effet, si la mission est évidemment louable, les moyens mis à disposition sont particulièrement controversés. De quoi pousser la marque à la pomme à retirer toutes les mentions sur ce projet de son site web.

La firme de Cupertino fait marche arrière

Avec des fonctionnalités basées sur le machine learning, ces deux outils auraient pu être en mesure de réaliser n'importe quelle analyse depuis les terminaux Apple. Cet été, l’Electronic Frontier Foundation déclarait que : « tout ce qu'il faudrait pour élargir la fine porte dérobée qu'Apple est en train de construire, c'est une expansion des paramètres de machine learning pour rechercher d'autres types de contenu, ou une modification des paramètres de configuration pour analyser, non seulement les comptes des enfants, mais aussi ceux de n'importe qui ».

À la suite de ces nombreuses critiques, Apple a tenté de justifier le retard sur le déploiement des deux fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques, par « l'apport de nouvelles améliorations ». Finalement, la firme de Cupertino semble avoir fait marche arrière. Apple reviendra certainement avec une proposition similaire dans les prochains mois, mais cette fois-ci il faudra des garanties plus solides pour rassurer les militants pour la vie privée et les ONG.

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/apple-supprime-son-outil-controverse-pour-reperer-les-contenus-pedopornographiques/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

mardi 4 janvier 2022

iOS 15.2 : Comment vérifier quelles applications vous surveillent ?

 

 

iOS 15.2 : Comment vérifier quelles applications vous surveillent ?

Pratique : Vous vous êtes déjà demandé à quelle fréquence certaines applications vérifient votre localisation ou accèdent à votre micro ? Avec la nouvelle version d'iOS, il est désormais possible de le savoir.

Apple a publié cette semaine iOS 15.2 et iPadOS 15.2. Ces mises apportent notamment la possibilité de désigner un "contact légataire" qui héritera de votre compte iCloud après votre décès, ainsi qu'une nouvelle offre, Apple Music Voice, conçue pour être utilisée avec Siri.

Parmi les nouveautés, il y a aussi la nouvelle fonction "Rapport de confidentialité des apps". Une fois activée, elle vous permet de voir quelle application accès à vos données privées, et à quelle fréquence. Nous vous en parlions déjà au lancement d'iOS 15, en septembre dernier.

Voici donc le mode d'emploi pour activer la nouvelle fonctionnalité de confidentialité de votre iPhone ou votre iPad, et comment exploiter les informations qu'elle fournit.

Activer le rapport sur la confidentialité des apps

Avant tout, il faut mettre à jour votre appareil vers iOS 15.2 ou iPadOS 15.2. Pour rappel, il est toujours bon de sauvegarder vos données avant de mettre à jour votre appareil. Pour installer la nouvelle version, allez dans Réglages > Général > Mise à jour logicielle et cliquez sur Télécharger et installer.

Une fois votre appareil mis à jour, retournez dans l'application Réglages, puis allez dans Confidentialité > Rapport de confidentialité des apps. Si vous avez déjà activé cette option, vous n'avez rien à faire. Sinon, vous pourrez lire une brève présentation de la fonctionnalité.

Si la fonction n'est pas encore activée, cliquez sur Activer le rapport de confidentialité des apps. Il vous faudra ensuite patienter. En effet, les applications devront accéder à vos données avant que ce rapport puisse vous fournir des informations.

Afficher et comprendre le rapport de confidentialité des apps

Pour accéder au rapport, retournez dans Réglages > Confidentialité > Rapport de confidentialité des apps.

Si vous avez activé cette fonctionnalité et utilisé votre appareil pendant un certain temps, alors vous verrez que des applications ont certainement accédé à vos données, et le rapport s'est rempli d'informations.

L'écran consacré au rapport de confidentialité des apps se divise en quatre catégories : "Accès aux données et aux capteurs", "Activité réseau des apps", "Activité réseau des sites web", et "Domaines les plus contactés".

Accès aux données et aux capteurs



Sélectionnez une application ou appuyez sur Tout afficher sous la section Accès aux données et aux capteurs. Chaque application qui a accédé à vos données privées au cours de la semaine dernière s'affiche ici. Cliquez sur le nom d'une application pour afficher plus d'informations sur le(s) type(s) de données qu'elle utilise, puis tapez sur la catégorie pour afficher une chronologie complète de la fréquence d'utilisation.

Par exemple, l'application Localiser (Find My), sur mon iPhone, a accédé à ma localisation et à mes contacts au cours de la semaine dernière. Un usage attendu. Ce qui m'a surpris, c'est que l'application n'a vérifié ma localisation que quelques fois au cours de la semaine, elle ne la surveille pas en permanence. Je suppose que l'application a accédé à ma position uniquement lorsqu'une personne de mon réseau (Famille ou Amis) a ouvert l'application sur son téléphone. Ainsi, les serveurs d'Apple ont été contactés afin d'afficher ma position sur leur application.

En haut de l'écran, vous pouvez modifier l'organisation de la liste. Par défaut, vous voyez les applications qui ont utilisé vos données le plus récemment. Mais il est possible de classer la liste par ordre alphabétique.

A ma grande surprise, l'application Mail accède fréquemment aux informations de mes contacts. Je suppose que cela se produit chaque fois que j'ouvre l'application et/ou qu'un e-mail arrive, afin que l'application puisse afficher le nom du contact et les informations appropriés. Mais, quand même, c'est révélateur.

Activité réseau des apps



Dans la section Activité réseau des apps, vous trouverez une liste d'applications et les domaines et l'activité réseau similaires de chaque application au cours de la semaine dernière. L'application Facebook a eu la plus grande activité réseau sur mon téléphone au cours de la semaine dernière. Son premier domaine contacté est inappcheck.itunes.apple.com. Une rapide recherche sur Google me donne l'impression que ce domaine pourrait être utilisé par Apple pour vérifier les achats in-app, ou être comme une forme de vérification pour les développeurs d'applications.

Difficile à dire, et j'aimerais qu'Apple fournisse des informations sur les domaines couramment utilisés, en particulier ceux qu'elle possède. Je sais que ce domaine est couramment utilisé, car si vous tapez dessus, une liste d'autres applications qui ont également contacté ce domaine s'affiche. La liste sur mon iPhone contient la plupart des applications que j'utilise régulièrement.

Activité réseau des sites web

Chaque fois que vous visitez un site web, celui-ci contacte d'autres domaines pour diffuser des publicités ou télécharger des images et des vidéos dont il a besoin pour afficher une page web. Apple suit désormais les domaines qu'un site web contacte chaque fois que vous le visitez et en fournit une liste.

Le domaine numéro un que les sites web ont contacté au cours de mon utilisation normale est mask.iCloud.com, qui est encore une fois un domaine qui semble lié à Apple. Une autre recherche sur Google me fait penser que cela a quelque chose à voir avec la fonction Relais privé (VPN) d'Apple, actuellement disponible en version bêta. Cependant, j'ai désactivé cette fonction sur tous mes appareils et seuls The New York Times, Reddit et Safari sont répertoriés comme ayant contacté le même domaine. Je pense que chaque application ou site web utiliserait cette URL si elle était active.

Domaines les plus contactés

Enfin, la section Domaines les plus contactés est une liste des domaines auxquels votre téléphone ou votre tablette a accédé au cours de la semaine dernière. Appuyez sur un domaine pour voir une liste d'applications et la dernière fois qu'elles ont contacté cette URL.

Une fois encore, certaines des URL répertoriées sur mon iPhone semblent être liées à Apple, tandis que d'autres semblent être liées à la diffusion de publicités de Google ou, à tout le moins, à la collecte de données sur les utilisateurs.

Il serait bénéfique pour l'utilisateur final qu'Apple ajoute un contexte supplémentaire sur les domaines connus.

La section du rapport sur la confidentialité des applications que j'utiliserai le plus sera de loin celle sur les données et les capteurs. Il sera facile de voir si Facebook écoute vraiment les conversations pour mieux diffuser des publicités (comme le prétendent les rumeurs, mais sans pouvoir le prouver, depuis des années).

Source : ZDNet.com

Comment une attaque XSS est-elle exécutée ?

 

 Comment une attaque XSS est-elle exécutée ?

 Voici un scénario, disons que vous êtes un utilisateur sur un site Web de médias sociaux populaire. Sur ce site Web, sous « mon compte ».. il y a un formulaire Web qui peut changer votre adresse e-mail et votre mot de passe. 

Si vous êtes toujours connecté à ce site Web (comme la plupart des gens le sont sur SM), et que ce site Web n'a aucune protection CSRF, vous êtes vulnérable.

 En tant qu'attaquant, je pourrais dupliquer ce formulaire (je suis également un utilisateur du site, j'y ai donc accès). Je copie ce formulaire sur mon propre site Web et remplis automatiquement un e-mail et un mot de passe à envoyer.

 Je vous envoie ensuite un lien vers lequel, lorsque vous cliquez pour accéder à mon «faux» site Web, ce site Web enverra automatiquement le formulaire que j'ai copié et vous renverra « retour » au site Web de réseau social d'origine

Votre e-mail et le mot de passe est maintenant remplacé par ce que je l'ai défini.

 Il y a beaucoup plus derrière cela, mais c'est la façon simple de l'expliquer. 

 Une autre façon est, pour moi, de vous demander de saisir du JavaScript dans votre console, qui fera également ce que je viens de décrire ci-dessus (remplissage automatique des formulaires).

 

Alors l'extention de fureteur NoScript est pratique contre cela. D'autres rajouteront Browser guard malwarebyte,cookies auto-delete,et même adBlocker ultimate pour armer votre navigateur ferait l'affaire.

 

REF.: Quora.com