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jeudi 6 janvier 2022

Des appareils ne gérant que le HDMI 2.0 rebadgé en HDMI 2.1, c'est autorisé : attention à ne pas vous faire piéger

 

 

Des appareils ne gérant que le HDMI 2.0 rebadgé en HDMI 2.1, c'est autorisé : attention à ne pas vous faire piéger

18 décembre 2021 à 10h30

 

Sans que l'on ne comprenne pourquoi, l'administration des licences HDMI accepte que les constructeurs mentent sur la norme HDMI 2.1 .

Affichés HDMI 2.1, les moniteurs peuvent tout à fait ne proposer qu'une compatibilité HDMI 2.0 et donc… tromper les acheteurs.

N'est pas 2.1 qui veut

Annoncée en novembre 2017, la norme HDMI 2.1 n'est finalement arrivée aux yeux du très grand public qu'avec la sortie des consoles de salon nouvelle génération, les PlayStation 5 et Xbox Series X . Capables de bien des choses comparées à leurs grandes soeurs, ces deux machines sont arrivées en demandant une compatibilité HDMI 2.1 pour certaines fonctionnalités.

C'est par exemple le cas des jeux pouvant fonctionner en 4K à 120 images par seconde. Un tel flux n'est pas gérable par l'ancienne norme HDMI 2.0, qui ne pourra supporter que du 1080p à 120 images par seconde, ou de la 4K à 60 images par seconde. Quelque chose de tout à fait acceptable, mais de différent. De même, le VRR (taux de rafraîchissement variable) ne peut pas être supporté par un téléviseur ne disposant que de ports HDMI 2.0.

Une réglementation difficile à comprendre

C'est donc là tout le problème : si un téléviseur HDMI 2.0 est vendu en tant que HDMI 2.1, l'acheteuse ou l'acheteur ne pourra pas profiter de certaines fonctionnalités sans nul doute désirées lors de l'achat. Par rapport à cela, l'administration des licences HDMI explique de façon assez floue que les fonctionnalités propres au 2.1 sont « totalement facultatives » et qu'il appartient aux constructeurs de préciser la liste de celles prises en charge par l'écran. Il incombera ensuite aux consommateurs de consulter ladite liste afin de vérifier si elle correspond dans son intégralité à ce qu'on attend de la norme 2.1.

Il peut être compréhensible pour l'administration de vouloir homogénéiser les normes HDMI pour ne pas se retrouver avec des hésitations quant à, par exemple, le simple achat d'un câble. En outre, un câble HDMI 2.1 peut se connecter à un téléviseur 2.0 et inversement, il ne sera simplement pas possible de profiter de toutes les fonctionnalités selon la compatibilité.

Mais l'autorisation donnée pour l'affichage d'une norme HDMI 2.1 fantôme risque de porter à confusion bien des personnes, qui penseront pouvoir profiter au maximum de leur nouveau téléviseur et de leur nouvelle console, sans que ce ne soit finalement le cas.

Source : Wcctech

 

REF.:   https://www.clubic.com/television-tv/televiseur/actualite-399498-des-appareils-ne-gerant-que-le-hdmi-2-0-rebadge-en-hdmi-2-1-c-est-autorise-attention-a-ne-pas-vous-faire-pieger.html

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

 

 

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

Laurent Mancini
17 décembre 2021 à 16h03

Le système d’exploitation macOS dispose d’une application native nommée Terminal. Celle-ci permet de piloter l’ordinateur, au travers d’une interface textuelle, grâce à des lignes de commandes. Elle est héritée de l’environnement Unix originel, sur lequel sont basés de nombreux OS.

Quiconque s’intéresse un tant soit peu à l’informatique a déjà entendu le terme de « Terminal  ». On le retrouve d’ailleurs, sous la même dénomination, dans les OS Windows ou Linux . Le Terminal confère un gain de temps important. Il est ainsi possible de l’utiliser quotidiennement, avec des commandes basiques. Les utilisateurs avancés peuvent également faire appel à lui pour des tâches plus évoluées. Une fois découvert et pris en main, il devient rapidement indispensable. Le terminal offre un niveau de contrôle absolu sur votre machine. Il est donc essentiel de bien débuter avec cette application.

Comment ouvrir Terminal avec un Mac ?

Terminal est un utilitaire, il est accessible de plusieurs manières. Vous pouvez ainsi passer par le Finder (command+F), l’onglet Applications (shift+command+A), Utilitaires (shift+command+U) ou via le moteur de recherche Spotlight (command+espace). Si vous préférez passer par l’interface graphique, il suffit alors d’utiliser Launchpad (F4). Cet outil permet d’afficher, d’ouvrir et d’organiser les différentes applications installées sur l’ordinateur.

 

Une fois l’application Terminal lancée, il est possible de la conserver sur votre bureau, en faisant un clic droit, puis « Options » et enfin « Garder dans le dock ».

Ne soyez pas surpris par l’aspect rébarbatif de l’interface textuelle

Point de fioritures ici… Le Terminal de commande s’adresse aux pros et vise l’efficacité. Il n’est pas vraiment question d’ergonomie. Cette application ne cherche pas à favoriser « l’expérience utilisateur  ». 

Lors de l’ouverture de l’application, une fenêtre quasiment vide apparaît. Selon l’OS utilisé, un message peut vous mettre en alerte :

The default interactive shell is now zsh.

To update your account to use zsh, please run `chsh -s /bin/zsh`.

En effet, depuis macOS Catlina , zsh est le shell par défaut, au lieu de bash sur les OS antérieurs.

Mais qu’est-ce qu’un shell ?

Ce n’est rien d’autre que le terme anglais pour désigner l’interface système. Le shell représente la partie primaire de votre système d’exploitation. C’est de cette couche logicielle essentielle que découle le reste. Ainsi, on parle de commandes en ligne ou CLI (Commande Line Interface) pour le terminal et de commandes graphiques ou GUI (Graphical User Interface). 

Les utilisateurs novices, se contenteront de connaître ces différents termes. Pour une première prise en main du Terminal, il n’est pas forcément utile d’approfondir cet aspect technique. Les commandes basiques que nous évoquerons par la suite peuvent être utilisées sans crainte, quel que soit votre OS. Celles et ceux qui souhaitent en savoir plus sur le sujet, pourront se référer à cet article du support Apple .

L’usage du Terminal est-il risqué ?

Oui ! Il est impératif d’en avoir conscience. Comme nous l’avons indiqué plus haut, les lignes de commande agissent directement sur la couche primaire du système d’exploitation. Si elles permettent de gagner un temps considérable sur certaines tâches, elles peuvent aussi causer d’importants dégâts. Il est ainsi possible de générer des requêtes en boucle, appelées « bombes à fourche » qui satureront rapidement l’ordinateur. 

Des fichiers systèmes essentiels peuvent également être déplacés ou effacés par mégarde. Il s’agit donc d’être particulièrement attentif lors de manipulations sur le Terminal. Des utilisateurs confirmés peuvent aussi être piégés par malveillance. En effet, les commandes avancées étant parfois très longues, il est tentant de les copier/coller directement dans la console administrateur, sans toujours prendre soin de les relire attentivement.

Heureusement, les commandes administrateurs ne sont pas aisément accessibles. Celles-ci doivent être saisies en mode admin (aussi appelé utilisateur root ou super-utilisateur). Les fans des M. Robot ou Person of Interest seront sans doute familiarisés avec ces termes techniques.

Prise en main du Terminal sur macOS

Le Terminal utilise le thème par défaut de l’ordinateur. Si vous êtes gêné(e) par le fond blanc de la fenêtre du Terminal, il est possible d’en changer. Pour cela, il suffit d’utiliser le menu Shell de l’application, puis de choisir d’ouvrir un nouvel onglet. Vous pourrez alors choisir le thème qui vous conviendra le mieux. D’autres options ou fonctions avancées sont également disponibles et accessibles dans les préférences (command+,). La fenêtre peut être déplacée, agrandie ou réduite, à l’instar des autres applications.

 

Lorsque la fenêtre de travail s’ouvre, un curseur clignotant indique l’attente de commande. Une ligne de commande Terminal se comporte de différentes parties. Elle est exclusivement rédigée en anglais. Les commandes sont instantanément exécutées, dès que vous appuyez sur la touche Entrée. Il convient donc de les relire attentivement avant tout geste inconsidéré.

Les commandes basiques

De nombreuses commandes doivent être complétées par une indication précise. Celle-ci représente le fichier ou le dossier ciblé. Les commandes sont systématiquement séparées par un espace ou un tiret.

Par exemple, pour visualiser le contenu d’un dossier, on écrira :

ls [nom du dossier]

Si on souhaite déplacer un fichier vers un dossier, il faudra procéder de la même façon :

mv [nom du fichier origine] /home/Utilisateur/Bureau/[nom du dossier cible]

Une petite astuce mérite d’être signalée ici : pour éviter de taper l’intégralité du chemin souhaité, il est possible de glisser le fichier directement vers la fenêtre du Terminal. On peut aussi copier (command+C) le dossier ou le fichier voulu, puis le coller (command+V). En lançant le Terminal, on démarre la session en étant sur le répertoire de travail /[utilisateurs]/[nom de l’utilisateur].

Les chemins d'accès

Les chemins d’accès sont de forme absolue ou relative.

  • Un chemin absolu débute à la racine de notre disque dur. Il ne dépend pas du répertoire courant.
  • À l’inverse, un chemin relatif est défini par l’endroit à partir duquel nous naviguons. Il est symbolisé par « ./. »

Une application peut être ouverte à l’aide de la commande :

Open -a [nom de l’application]

La navigation entre les lignes se fait à l’aide des touches fléchées. Comme indiqué précédemment, un appui sur la touche Entrée déclenche l’ordre.

Naviguer dans les dossiers

Pour se déplacer au sein des différents dossiers et répertoires il faut utiliser la fonction cd. Ainsi, cd.. vous fait remonter d’un niveau, tandis que cd / vous fait remonter à la racine de l’arborescence. Attention, car les différentes lignes de commande agissent sur le répertoire courant… Vous êtes perdu(e) ? Pas de panique : la commande pwd vous indique où vous vous situez dans l’arborescence.

Ceci peut paraître un peu compliqué, mais une fois le principe saisi, vous gagnerez un temps considérable. En cas d’erreur les messages à caractère informatif « command not found », « no such file or directory exist » apparaîtront. Ils sont sans conséquence sur l’intégrité de votre système. Il vous suffira de ré-écrire votre ligne de commande, en veillant au respect des espaces, de la casse des caractères et des tirets. Il faudra aussi vérifier la conformité des ordres lancés et des chemins renseignés.

Certaines commandes déclencheront l’apparition d’un processus. Plusieurs lignes apparaîtront alors, avec parfois un pourcentage indiquant l’avancée de l’ordre donné. D’autres, au contraire, ne paraîtront avoir aucun impact. Une nouvelle ligne surgira, avec un curseur clignotant, indiquant l’attente d’une action de votre part. Pourtant, la commande aura bien été exécutée.

Les différents ordres disponibles correspondent en majorité à des abréviations anglaises. Vous trouvez ainsi par exemple les commandes mkdir pour Make Directory ou cd pour Change Directory.

Si vous souhaitez aller plus loin

Le Terminal donne directement accès aux entrailles de votre ordinateur. Il s’agit donc d’utiliser cet outil puissant avec précaution. Une fois aguerri(e) avec les commandes basiques, vous pourrez envisager d’exploiter tout son potentiel.

Vous pourrez intervenir sur votre réseau domestique ou écrire vos propres scripts pour automatiser certaines tâches. Il est aussi possible d’utiliser plus finement le Terminal.

Si vous utilisez la commande ls pour visualiser le contenu d’un dossier par exemple, il est possible de lui adjoindre des attributs complémentaires.

L’option -i permettra de visualiser les détails des fichiers, leurs tailles, protections éventuelles et de nombreuses autres informations.

L’option -a rendra visible les fichiers cachés.

Vous pourrez aussi créer de nouveaux répertoires en utilisant la commande

mkdir [nom du répertoire].


Plus de 1400 commandes sont aujourd’hui répertoriées. Il est d’ailleurs possible de les afficher sur un Terminal actif, en appuyant deux fois sur la touche escape (esc).

Les usages du Terminal n’ont quasiment aucune limite. On peut télécharger des fichiers depuis une url, modifier les paramètres et préférences systèmes ou supprimer des dossiers. 

C’est un outil puissant, qui se maîtrise petit à petit…

 

REF.:   https://www.clubic.com/pro/entreprises/apple/dossier-397719-comment-bien-debuter-avec-le-terminal-de-macos.html

Avec la 5G, le niveau d’exposition aux ondes est légèrement plus élevé qu’avec la 4G

 

 

Avec la 5G, le niveau d’exposition aux ondes est légèrement plus élevé qu’avec la 4G

L'ANFR a mené une étude pour tenter de comprendre si la 5G émettait plus d'ondes que la 4G. Les résultats viennent de sortir et montrent que l'exposition est équivalente à la 4G pour les bandes de basses fréquences. En ce qui concerne la bande 3,5 GHz, les résultats montrent que l’exposition augmente très légèrement.

À la demande de Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, l'Agence nationale des fréquences (l'ANFR) a mené une étude pour mesurer le niveau d'exposition aux ondes électromagnétiques avec la 5G. Les premiers résultats montrent que le niveau d'exposition augmente légèrement (16%) par rapport à la 4G, uniquement avec la bande de fréquences 3,5 GHz.

Une légère augmentation de l'exposition aux ondes

Les résultats de l'étude montrent une augmentation moyenne de 16% de l’exposition. À terme, l'ANFR estime que l'augmentation de l'exposition aux ondes électromagnétiques pourrait atteindre 20% dans les zones où la bande 3,5 GHz sera déployée. Cette campagne a été menée sur plus de 3000 mesures d’exposition du public aux ondes, entre 2020 et 2021.


Des mesures ont été prises à proximité de sites identifiés pour accueillir des antennes 5G, avant leur mise en service. Tandis que d'autres ont été prises au même endroit, après la mise en service de la 5G. Un moyen efficace de comparer le niveau d'exposition aux ondes électromagnétiques. Les experts de l'ANFR précisent que l'ensemble des bandes de fréquences utilisées actuellement en 5G ont été étudiées.

Alors que la consolidation du réseau 5G se poursuit en France, le secrétaire d’État chargé de la Transition numérique espère rassurer les français avec cette étude sur le niveau d'exposition aux ondes. Les bandes de fréquences 700 MHz, 2100 MHz et 3,5 GHz ont été testées. Les deux premières, considérées comme des bandes de basses fréquences, sont déjà utilisées par la la 3G et la 4G depuis plusieurs années. En revanche, la nouvelle bande de fréquences 3,5 GHz est au centre de l'attention. Elle n'est en service que depuis novembre 2020.

La bande 3,5 GHz est responsable de cette augmentation

À propos des bandes basses fréquences (700 MHz et 2100 MHz), l'étude montre que l'exposition du public aux ondes électromagnétiques reste parfaitement stable, malgré leur adaptation à la 5G. L'arrivée de cette nouvelle technologie n'a pas conduit à un changement majeur dans le niveau d'exposition.

En revanche, avec la bande de fréquences 3,5 GHz déployée exclusivement pour la 5G, l'ANFR affirme que l’exposition augmente très légèrement. L'Agence nationale des fréquences estime que la « contribution supplémentaire de cette nouvelle bande peut être évaluée à 0,11 V/m ». C'est très faible par rapport à la limite réglementaire, fixée à 61 V/m pour cette bande.

Toujours selon l'ANFR, cette bande de fréquences a une particularité qui pourrait expliquer cette légère différence d'exposition aux ondes. Elle est « équipée de nouvelles antennes à faisceaux orientables ». Ces faisceaux permettent de diriger les ondes vers les utilisateurs équipés de terminaux compatibles avec la 5G. Comme dans l'état actuel des choses, peu d'utilisateurs sont équipés, l'ANFR continuera de prendre des mesures pour s'assurer que l'exposition aux ondes n'augmente pas avec le développement du trafic.

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/5g-ondes-4g-exposition/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

6 erreurs à éviter en matière de publicités Facebook

 

 

6 erreurs à éviter en matière de publicités Facebook

Pour booster vos conversions sans faire exploser votre budget, découvrez 6 erreurs à éviter lors de vos campagnes publicitaires sur Facebook.

Avec ses milliards d’utilisateurs, Facebook est devenu une plateforme publicitaire incontournable. Grâce à Facebook Ads, le puissant outil de ciblage et d’analyse du réseau social, une entreprise peut désormais créer une publicité en quelques clics et à moindre coût. Que ce soit pour promouvoir plus amplement sa marque auprès de sa cible, gagner en visibilité ou booster ses conversions, les publicités sur Facebook sont des alliées de taille.

Les intégrer à sa stratégie de social média marketing ne suffit pas pour autant. Pour exploiter un maximum leur potentiel, il convient de maîtriser parfaitement leur utilisation. Découvrez ainsi six erreurs à éviter lors de la création de vos campagnes publicitaires sur Facebook.


Publicités sur Facebook : 6 erreurs à ne pas commettre

Que vous lanciez votre activité ou qu’elle soit déjà bien établie, les social media ads de Facebook sont un moyen efficace de booster votre business. Pour ne pas se lancer les yeux fermés et réaliser quelques maladresses, il faut manier les rouages de cet outil désormais indispensable.

Ne pas définir des objectifs précis

Au moment de vous lancer dans les Facebook Ads, le premier facteur à déterminer est l’objectif de votre campagne. Il correspond à l’action que vous souhaitez voir les utilisateurs entreprendre lorsqu’ils voient votre publicité en ligne. La plateforme en propose une dizaine, divisées en trois catégories :

  • les objectifs de notoriété, qui visent à susciter de l’intérêt pour vos produits ou vos services ;
  • les objectifs de considération, incitant les internautes à s’intéresser à votre marque et à rechercher des informations dessus ;
  • les objectifs de conversion, encourageant les prospects à passer à l’achat.

Les résultats et la rentabilité de votre campagne dépendent de la précision à laquelle vous aurez choisi vos objectifs. Ces derniers évoluant au fil du développement de votre entreprise, il faudra continuellement les réadapter et les redéfinir.

Cibler une audience trop large ou trop restreint

Les Facebook Ads se distinguent par la puissance de leur ciblage. L’outil prend en compte plusieurs éléments, dont le positionnement géographique, la catégorie socioprofessionnelle, l’âge, le sexe, la langue parlée, les centres d’intérêt… Et de nombreux autres paramètres. Bien que ces derniers soient essentiels pour cibler correctement, il convient de les utiliser judicieusement. Visez une audience trop large ou restreinte vous fera passer à côté de celle-ci.

Une campagne faite pour toucher trop de monde n’intéressera que peu de personnes, car elle ne sera pas assez personnalisée. À l’inverse, viser un groupe limité risque de couper votre publicité à de nombreux prospects qui pourraient, pourtant, s’intéresser à votre marque.

Un mauvais ciblage signifie également des taux de conversion bas et un mauvais retour sur investissement de votre dépense publicitaire (ROAS), car le coût des Facebook Ads est aussi établi en fonction de la pertinence de vos campagnes.

Mal configurer son pixel Facebook

Trop souvent ignoré par les professionnels, le pixel Facebook est néanmoins l’élément clé de l’optimisation des publicités. Concrètement, c’est un bout de code JavaScript qui est placé sur chaque page de votre site web. Il permet non seulement de mesurer l’efficacité de vos publicités mises en place sur Facebook, mais également de savoir ce que font vos visiteurs sur votre site une fois qu’ils ont cliqué sur votre annonce. Il offre la possibilité de les traquer une fois qu’ils l'ont quitté votre site pour, dans le futur, faire du retargeting.

Une fois installé, le pixel Facebook se déclenche à chaque fois qu’une action est effectuée sur votre site internet, comme un achat. Le pixel reçoit alors ces actions, aussi appelés « événements », consultables dans le Gestionnaire d’évènements de la page de votre pixel Facebook. Pour en tirer profit, il convient de bien configurer ces événements avec l’outil dédié sur la plateforme. Dans le cas contraire, votre ciblage sera impacté et pourra difficilement être amélioré.

Ne pas respecter les règles imposées pour les Facebook Ads

Pour voir votre campagne validée et diffusée sur Facebook, vous devez respecter les règles imposées pour la régie publicitaire de la plateforme. Elles sont nombreuses et portent sur les contenus interdits, les contenus restreints, les publicités vidéo, mais pas seulement. Afin d’être approuvée, votre annonce doit aussi respecter le cadre réglementaire lié au texte, aux images, au positionnement, aux images choisies et au contenu de la page de destination associée à l’annonce. Si votre publicité ne respecte pas ces éléments, elle sera désapprouvée. Il faudra alors effectuer des améliorations et des corrections puis la soumettre à nouveau.

Oublier d'optimiser ses pages de destination

Lors de l’élaboration de vos Facebook Ads, un détail ne doit pas être négligé : l’optimisation de vos pages de destination. Dans le cas contraire, le visiteur intéressé se contentera de cliquer sur la publicité qui apparaît dans son feed et n’ira pas au bout de l’objectif souhaité.

En ce sens, il est primordial d’optimiser le parcours du prospect en proposant une page de destination qui concorde avec la publicité qui l’a attiré et qui correspond exactement à l’annonce mise en avant. Si la page vers laquelle vous le redirigez est inadaptée, l’internaute risque d’être frustré et votre réputation pourrait être entachée. Cet élément faisant partie du cadre imposé pour les Facebook Ads, il est essentiel de respecter cette règle si vous ne voulez pas voir votre publicité rejetée.

Ne pas analyser ses résultats

Enfin, comme pour toutes campagnes publicitaires, vous devez constamment analyser leur impact et leurs retombées. L’outil de Facebook met à votre disposition plusieurs métriques qui vous permettront d’optimiser vos annonces en temps réel. Il donne accès à de nombreux rapports concernant la configuration de votre publicité, sa diffusion, son engagement, ses performances ou encore son taux de conversion. Autant d’éléments qui vous seront utiles pour mettre en place correctement vos prochaines campagnes.

Facebook Ads est un outil redoutable qui sera utile autant pour accroître votre visibilité, que pour attirer de nouveaux prospects et les convertir. En connaissant les erreurs les plus fréquemment commises, vous éviterez de tomber dans certains pièges et vous pourrez utiliser efficacement les leviers de la plateforme, qui seront utiles à votre stratégie social media marketing.

Si vous souhaitez en savoir plus sur nos pôles de compétence au sein de l’agence de Siècle Digital, n’hésitez pas à nous contacter à travers le formulaire de notre site shinemedia.fr

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/6-erreurs-a-eviter-publicites-facebook/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874

Apple supprime son outil controversé pour repérer les contenus pédopornographiques

 

 

Apple supprime son outil controversé pour repérer les contenus pédopornographiques

Pointé du doigt par les ONG et les militants pour la vie privée, Apple semble avoir retiré de son site web toutes les mentions sur les deux fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques. Les défenseurs de la vie privée craignaient une extension de l’utilisation de ces fonctionnalités.
 

Dans le courant de l'été, Apple a dévoilé deux nouvelles fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques. Rapidement, plusieurs ONG se sont inquiétées des dérives potentielles de ces outils. Depuis quelques jours, MacRumors a constaté qu'Apple avait discrètement supprimé toutes les informations faisant référence à ce projet.

Un outil pour détecter les contenus pédopornographiques sur les appareils Apple ?

C'était un projet très controversé. Les militants pour la vie privée ont rapidement fait connaître leurs inquiétudes à ce sujet. Ces derniers craignaient logiquement une extension des usages de ces nouveaux outils. Si Apple peut détecter les contenus pédopornographiques, Apple peut tout détecter dans nos messages... Les ONG s'inquiétaient notamment de l'extension de l’utilisation de ces fonctionnalités, pour repérer des dissidents politiques ou pour réprimer l’expression sexuelle.



Le principe de cette fonctionnalité était de faire un scan des photos des utilisateurs Apple, afin de repérer d'éventuels contenus pédopornographiques. Cette problématique revient à se poser cette fameuse question : « la fin justifie-t-elle les moyens ? ». En effet, si la mission est évidemment louable, les moyens mis à disposition sont particulièrement controversés. De quoi pousser la marque à la pomme à retirer toutes les mentions sur ce projet de son site web.

La firme de Cupertino fait marche arrière

Avec des fonctionnalités basées sur le machine learning, ces deux outils auraient pu être en mesure de réaliser n'importe quelle analyse depuis les terminaux Apple. Cet été, l’Electronic Frontier Foundation déclarait que : « tout ce qu'il faudrait pour élargir la fine porte dérobée qu'Apple est en train de construire, c'est une expansion des paramètres de machine learning pour rechercher d'autres types de contenu, ou une modification des paramètres de configuration pour analyser, non seulement les comptes des enfants, mais aussi ceux de n'importe qui ».

À la suite de ces nombreuses critiques, Apple a tenté de justifier le retard sur le déploiement des deux fonctionnalités pour protéger les enfants des contenus pornographiques et pour repérer les contenus pédopornographiques, par « l'apport de nouvelles améliorations ». Finalement, la firme de Cupertino semble avoir fait marche arrière. Apple reviendra certainement avec une proposition similaire dans les prochains mois, mais cette fois-ci il faudra des garanties plus solides pour rassurer les militants pour la vie privée et les ONG.

 

REF.:   https://siecledigital.fr/2021/12/16/apple-supprime-son-outil-controverse-pour-reperer-les-contenus-pedopornographiques/?utm_source=Newsletter+Siecle+Digital&utm_campaign=cb1df7633b-newsletter_quotidienne&utm_medium=email&utm_term=0_3b73bad11a-cb1df7633b-259741874