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samedi 20 mai 2023

Achat Amazon c' est pas toujours .....;-)

 

 

Achat Amazon c' est pas toujours .....;-)

 

 

Merci de nous avoir envoyé vos commentaires client.

Merci d’avoir soumis votre avis sur Amazon. Après l’avoir étudié attentivement, nous avons déterminé que votre avis ne peut être publié sur le site. Nous vous remercions pour votre temps et vos commentaires, mais les avis doivent respecter les lignes directrices suivantes :
Règles de la communauté Amazon

Collier en obsidienne noire avec cristal de guérison pour homme - Collier réglable en forme de donut - Collier en pierre spirituelle, ajustable, Métal, Autres 1-*
de Marc le 18 mai 2023

grafigner
vraiment déçu d un remboursement datant de 29 avril 2023 et pas encore rembourser du vendeur ou d amazon en date de mai 2023,du vendeur roe dolh Jewelry ,acheter pas la cibole (normalement c'est 5 jours)

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Quelques problèmes fréquents à garder en tête :
  • Vos commentaires doivent porter sur des fonctionnalités précises du produit et sur votre expérience relative à ce dernier. Les commentaires relatifs au vendeur ou à l’expédition sont à soumettre sur le site https://www.amazon.ca/hz/feedback.
  • Nous n’autorisons pas la publication de contenu injurieux ou obscène. Cette règle s’applique également aux produits pour adultes.
  • Les publicités, les documents promotionnels ou les publications répétées qui véhiculent toujours le même message sont considérés comme du courriel indésirable.
  • Veuillez ne pas inclure d’adresse URL externe dans Amazon ni de contenu à caractère personnel identifiable dans vos commentaires.
  • Toute tentative de manipulation du contenu ou des fonctionnalités destinés aux membres de la Communauté, incluant la publication de contenu erroné, trompeur ou inauthentique est strictement interdite.

NOTA: Si jamais vous accepter un produit de qualité presque neuf, usager ou un peu magané, faîtes attention car le robot Amazon(les algorithmes) ils vous en refileront d'autres aussi mauvais, et que même si c'est un marchand associer a Amazon(genre la bibliothèque de Kamouraska au Québec qui a vendu ou donné ses livres dans un autre exemple vrai, ses livres a un vendeur associer Amazon, nommé BookExellence, vous le vendent sans même les réparer convenablement,sinon quelques fois, on arrive a une entente du vendeur BookExcellence qui dédommagé pour 20$ le prix de votre achat,car il en reste seulement une copie genre lol  ), vous devrez le déclarer a Amazon comme ci-dessus,sinon dans un site de plainte tierce ou un Blog Cibole,......................ici je peut le dire Shibollle de colaille de punaises d'Hotel ;-) 

Ensuite vous aller voir le prix du livre neuf ,il se vend 163,71$ d'occasion et si vous le voulez neuf sur un site de librairie il se vend neuf: $ 5,95$ mais en format pdf ,faut vraiment se faire voler solide par le vendeur d'Amazon en version papier lol !

Voici le livre:(introuvable en version papier )


 


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Amazon.ca


Référence R3FGM8IVBOJITP. © 2023 Amazon.com, Inc. ou ses sociétés affiliées. Amazon.com, 410 Terry  Avenue N., Seattle, WA 98109-5210.


REF.: Amazon.ca

ChatGPT, Bloom, LLaMA… L'IA débarque dans les services publics

 

 ChatGPT, Bloom, LLaMA… L'IA débarque dans les services publics


 

L'intelligence artificielle fait son entrée dans la fonction publique ! 200 agents de maisons France Service vont expérimenter l'utilisation d'IA génératives afin d'apporter de meilleures réponses aux usagers. Le service public de l'avenir ?

La sortie de ChatGPT a créé un raz-de-marée sur Internet, mais aussi au sein des entreprises de la tech. Chacune a commencé à intégrer des IA génératives à ses services et à ses produits, se lançant dans une véritable course pour montrer qui a la plus grosse. Mais après avoir envahi le secteur privé, la voici qui débarque aussi dans le secteur public. En effet, le Gouvernement a annoncé – bien discrètement à la vingtième page du document conclusif du septième comité intergouvernemental de la transformation publique paru le 9 mai – que l'utilisation d'IA génératives serait testée dans les services publics, comme l'a remarqué BFMTV. Il autorise ainsi le "lancement d'une expérimentation d'outils d'intelligence artificielle pour produire des réponses aux usagers plus complètes tout en pesant moins sur les agents sur la plateforme 'Services Publics +' et dans plusieurs France services" afin d'assurer la "qualité de service" et la "satisfaction des usagers", tout en pesant moins sur les agents de la fonction publique.

Cette expérimentation débutera en septembre auprès d'un échantillon de 200 agents de maisons France services – des guichets de proximités implantés dans tout le pays qui rassemblent différents services de l'État, comme Pôle emploi, La Poste et les impôts – et durera six mois – il ne s'agit donc pas d'une mise en place définitive. Ils pourront utiliser ChatGPT, mais aussi Bloom, un modèle international open source développé par trois Français, et LLaMA, le modèle d'IA développé par Meta.

IA : une plus grande qualité de service et des agents soulagés

Concrètement, si l'on désire obtenir des informations – sur la marche à suivre pour toucher son indemnité chômage par exemple –, l'agent soumettra notre question à l'IA afin d'obtenir rapidement une réponse plus claire ou plus complète que celle qu'il aurait donné en temps normal. Il devra ensuite évaluer la pertinence de cette réponse pour mieux la corriger derrière, et ainsi nous apporter la réponse la plus adaptée possible. Pour éviter toute collecte de données de la part des entreprises et toute fuite éventuelle, les agents ne devront poser que des questions générales sans jamais renseigner d'informations personnelles ou confidentielles. Tout sera supervisé par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) et la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL).

 

Le Gouvernement se veut rassurant, promettant que l'IA ne va pas remplacer les agents, qui devront toujours vérifier et adapter les réponses fournies. Une crainte légitime étant donné que le développement stupéfiant de cette technologie s'annonce comme une véritable révolution pour le monde du travail et risque de rendre certains métiers obsolètes, en particulier dans le tertiaire (voir notre article). Le Japon entame d'ailleurs une démarche similaire puisque le pays, pour pallier la pénurie de main d'œuvre dans ses administrations, expérimente elle aussi l'IA générative à la mairie de Yokosuka, au sud de Tokyo, pendant une durée de quatre semaines. L'objectif est de déterminer si cela permet aux agents de gagner du temps en résumant des réunions ou en corrigeant des communications, et ainsi leur permettre de se consacrer à d'autres tâches.

Cette nouvelle intervient alors que les gouvernements, y compris en France, affichent une certaine défiance envers l'IA, notamment dans la collecte des données, qui pourrait entrainer de l'ingérence de la part de pays étrangers. La mairie et la métropole de Montpellier ont par exemple reçu l'ordre, en mars dernier, de ne plus utiliser ChatGPT "par précaution" et "à titre conservatoire" , comme le rapportait le Midi Libre. Dans la même optique, les services de streaming et les jeux mobiles ont été officiellement interdits sur les smartphones professionnels des fonctionnaires français (voir notre article). La CNIL a d'ailleurs mis en place fin janvier un service de l'intelligence artificielle (SIA) destiné à encadrer l'utilisation de cette technologie et à répondre aux problèmes qu'elle soulève.

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Alexa nouvelle génération : Amazon prépare son IA à la ChatGPT

 Alexa nouvelle génération : Amazon prépare son IA à la ChatGPT

Par:  

Tandis que Google et Microsoft se livrent une guerre féroce pour régner sur le secteur de l'intelligence artificielle, Amazon travaille à améliorer Alexa, son assistant intelligent, à l'aide de ses propres modèles de langage.

La sortie de l'intelligence artificielle conversationnelle ChatGPT en novembre 2022 a créé l'effervescence sur Internet, mais aussi au sein des secteurs du numérique et de la technologie. La guerre sans merci engagée entre Microsoft et Google s'est déjà étendue à d'autres entreprises, Opera et Baidu – le "Google chinois" – ayant déjà entamé les hostilités – sans compter les services comme Adobe et Canva. Même Elon Musk, après avoir clamé haut et fort son inquiétude à propos de cette technologie, a fini par s'y mettre (voir notre article) ! Par conséquent, certains craignaient qu'Amazon ne prenne du retard dans ce domaine. Depuis, le géant du e-commerce a commencé à déployer de façon progressive Bedrock, un ensemble d'IA génératives censé permettre aux entreprises et aux professionnels de développer des services et des outils à moindre coût (voir notre article). Mais il ne compte pas s'arrêter là et attend miser sur Alexa pour rivaliser avec les autres intelligences artificielles génératives, comme le révèle Business Insider. De quoi rebooster la popularité de l'assistant vocal, alors que 100 millions de ses enceintes connectées ont adopté les protocoles Matter et Thread, deux nouveaux standards en domotique.

Amazon : une Alexa bientôt dopée à l'IA générative

Dans une interview accordée au Financial Times en février 2023, Andy Jassy, le PDG d'Amazon, assurait ne pas être inquiet à ce sujet et se montrait même plutôt confiant. "Je pense que c'est excitant, ce qui est possible avec l'IA générative", déclare-t-il avant d'ajouter que "la plupart des grandes entreprises profondément techniques, comme la nôtre, travaillent depuis longtemps sur ces très grands modèles d'IA générative", sans toutefois donner plus de détails. L'entreprise envisage de travailler davantage avec d'autres entreprises, plus petites, dans le domaine de l'intelligence artificielle, comme c'est déjà le cas avec Stability AI, un concurrent d'Open AI.

Il faut dire qu'Amazon dispose déjà depuis plusieurs années de technologies d'intelligence artificielle et d'apprentissage automatique, comme son assistant vocal Alexa et CodeWhisperer, un assistant en code basé sur l'IA. Alexa est présente dans de nombreux foyers à travers des appareils qui intègrent ses fonctions comme les enceintes Echo. Certains utilisateurs y ont recours pour des tâches pratiques, telles que lancer de la musique, régler l'éclairage et les alarmes ou encore gérer sa consommation énergétique, mais d'autres aiment utiliser l'assistant à des fins plus divertissantes, comme en lui demandant de partager des blagues ou de raconter des histoires.

 

Mais aussi merveilleuse soit-elle, Alexa ne peut pas composer elle-même de poèmes ou écrire des codes, contrairement à ChatGPT – même si le résultat n'est pas toujours au rendez-vous. Elle a donc du retard sur ce point-là. Amazon travaille actuellement à la rendre plus "conversationnelle", étant donné qu'elle ne fait que répondre aux questions de l'utilisateur. "Nous sommes engagés comme jamais dans Echo et Alexa et nous continuerons à investir fortement en eux", expliquait en novembre 2022 David Limp, le vice-président d'Amazon, à Business Insider. L'assistant vocal possède toutefois un gros avantage sur ChatGPT : sa capacité à offrir des services personnalisés.

Amazon Alexa : une IA plus personnalisée ?

En effet, il se souvient de choses comme la musique préférée de l'utilisateur, son type de livre favori ou encore les nouvelles susceptibles de l'intéresser le plus. Il peut également se souvenir des échéances importantes et est parfaitement à l'aise avec les informations en temps réel. Des atouts qui, couplés à une IA générative, pourraient produire des résultats des plus intéressants. Selon les documents internes consultés par Business Insider, Amazon travaillerait sur ses propres modèles de langage depuis plusieurs années. Parmi eux, LLM (Large Language Model) Alexa Teacher Model, déjà en partie exploité, mais aussi "de nouveaux modèles beaucoup plus vastes, plus généralisés et plus performants" visant à rendre Alexa "plus proactive et conversationnelle", selon un porte-parole.

Pour le moment, Amazon se concentre sur les Alexa LLM Entertainment Use Cases, c'est-à-dire les fonctions liées au divertissement. Parmi les différentes utilisations possibles, l'entreprise mentionne qu'Alexa serait capable d'inventer une histoire pour la raconter à un enfant. Grâce à la caméra intégrée dans certaines enceintes Echo, comme l'Echo Show, l'assistant vocal adapterait le récit en fonction de l'environnement, pour inclure la peluche que le jeune utilisateur tient dans les mains par exemple. Il pourrait également, via son écran, projeter des illustrations que l'IA aura générées spécialement pour le récit. Alexa pourrait également identifier une série à partir d'informations parcellaires fournies par l'interlocuteur, ou tout du moins effectuer des recommandations pertinentes, et proposer à l'utilisateur de s'abonner à la plateforme de streaming diffusant le programme. D'ailleurs, Amazon prévoit déjà des partenariats stratégiques avec certaines entreprises comme Disney, Lego et HBO, ce qui contribuerait à augmenter les revenus générés par Alexa.

L'assistant vocal serait également capable de faciliter la recherche et la lecture d'actualités, en présentant un résumé personnalisé des faits importants et en aidant les utilisateurs à approfondir des sujets en récupérant des nouvelles et des informations connexes. Dans sa note interne, Amazon estime que l'utilisateur doit avoir l'impression "qu'Alexa pense plutôt qu'elle ne récupère des informations dans une base de données".

Espérons toutefois que l'entreprise ne précipitera pas les choses, car ce genre d'intelligence artificielle est aussi révolutionnaire que destructeur. En effet, les IA ont tendance à "halluciner", c'est-à-dire inventer et affirmer avec aplomb de fausses informations. Bard, celle de Google, avait d'ailleurs fait une erreur pendant sa première présentation, ce qui avait fait a fait perdre pas moins de 100 milliards de dollars en bourse à l'entreprise (voir notre article). Cela peut avoir des conséquences désastreuses, en particulier avec les actions quotidiennes qu'effectuent les assistants vocaux.

vendredi 19 mai 2023

Activons HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement

 Activons HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement

Let’s Encrypt est une autorité de certification (AC ou CA pour Certificate Authority en anglais) gratuite, automatisée et ouverte, exploitée pour le bénéfice du public. C’est un service fourni par Internet Security Research Group (ISRG).

Nous donnons aux gens les certificats numériques dont ils ont besoin pour activer HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement, de la manière la plus intuitive possible. Nous faisons cela parce que nous voulons créer un Web plus sûr et respectueux de la vie privée.

Pour en savoir plus sur notre dernière année en revue, téléchargez notre rapport annuel.

Les principes clés de Let’s Encrypt sont les suivants :

  • Gratuit: Toute personne possédant un nom de domaine peut utiliser Let’s Encrypt pour obtenir un certificat reconnu, à coût nul.
  • Automatique: Un logiciel fonctionnant sur un serveur web peut interagir avec Let’s Encrypt pour obtenir sans peine un certificat, le configurer en toute sécurité pour son utilisation et s’occuper automatiquement de son renouvellement.
  • Securisé: Let’s Encrypt servira de plate-forme pour faire progresser les meilleures pratiques de la sécurité TLS, tant du côté de l’autorité de certification que pour aider les responsables de site Web à sécuriser correctement leurs serveurs.
  • Transparent: Tous les certificats délivrés ou révoqués seront enregistrés publiquement et disponibles pour inspection par quiconque.
  • Ouvert: Le protocole de délivrance et de renouvellement automatique est publié comme une norme ouverte que d’autres pourront adopter.
  • Coopératif: Tout comme les protocoles Internet sous-jacents eux-mêmes, Let’s Encrypt est un effort conjoint au profit de la communauté, qui échappe au contrôle d’une seule organisation.

Nous avons une page avec des informations plus détaillées sur comment fonctionne l’AC Let’s Encrypt.

Soutenez un Web plus sûr et plus respectueux de la vie privée.

 

REF.:  https://letsencrypt.org/fr/

Mon Carnet - Et si ChatGPT changeait notre point de vue à notre insu

 

Mon Carnet - Et si ChatGPT changeait notre point de vue à notre insu

Dans sa chronique de samedi dernier, le chroniqueur technologie du Wall Street Journal, Christopher Mims, avait un texte fort intéressant qui portait sur la capacité des intelligences artificielles comme ChatGPT ou Bard, de faire changer notre point de vue sans que nous nous en rendions compte. Je vous explique.

 

 

Les assistants d'intelligence artificielle (IA) comme ChatGPT d’Open AI, Chat Bing de Microsoft ou Bard de Google peuvent changer notre façon de penser sans que nous nous en rendions compte. Des études ont montré que lorsqu'un individu utilise une IA pour écrire un essai, l'algorithme peut l'inciter à prendre parti pour ou contre une opinion donnée en fonction de son biais. Cette expérience peut influencer les opinions des sujets sur le sujet traité. Ce phénomène appelé "persuasion latente" est préoccupant, car l'IA aurait ainsi la possibilité d’altérer subtilement et imprévisiblement nos opinions à mesure que nous en devenons plus dépendants.

Pour écouter Radio Mon Carnet : www.RadioMonCarnet.com
Pour écouter Radio Mon Carnet : www.RadioMonCarnet.com

Les chercheurs de l’Université Cornell aux États-Unis qui ont découvert ce phénomène estiment que la meilleure défense contre cette nouvelle forme d'influence psychologique est de sensibiliser davantage les gens. À long terme, d'autres défenses, telles que la transparence imposée par les régulateurs sur le fonctionnement des algorithmes d'IA et les biais humains qu'ils imitent, pourraient être utiles.

En fait, ça pourrait même conduire à un avenir où les gens choisissent les IA qu'ils utilisent - au travail, à la maison, au bureau et dans l'éducation de leurs enfants - en fonction des valeurs humaines exprimées dans les réponses fournies par l'IA. Certaines IA pourraient également avoir différentes "personnalités", y compris des convictions politiques.

Déjà, des outils permettent aux utilisateurs d'interagir avec l'IA pour rédiger des courriers électroniques, du matériel marketing, de la publicité, des présentations, des feuilles de calcul, etc. Et les Microsoft, Google et de dizaines d’autres entreprises travaillent fort dans le domaine. Encore la semaine dernière, Google a annoncé que son dernier grand modèle de langage, PaLM 2, sera utilisé dans 25 produits de l'entreprise.

Cependant, l'utilisation de l'IA pour influencer les opinions soulève des inquiétudes quant aux possibles utilisations négatives de cette technologie, notamment dans les gouvernements autocratiques, les entreprises manipulatrices, les groupes de lobbys ou les cybercriminels.

Les entreprises technologiques, telles que Microsoft, Google et OpenAI, ont promis de travailler sur une IA responsable, qui examine les dommages potentiels de l'IA et les aborde. OpenAI a publié une partie de ses directives sur la manière dont ses systèmes doivent traiter les sujets politiques et culturels. Chez Google, l’incubateur Jigsaw, une unité qui conseille et construit des outils pour les grands modèles de langage, est également impliqué dans l'étude des effets de l'interaction avec l'IA sur les individus.

Chose certaine, l'IA est un outil puissant qui peut aider l'humanité à résoudre de nombreux problèmes, mais elle doit être utilisée de manière responsable pour éviter toute influence indue sur les opinions des individus. Les entreprises technologiques travaillent pour produire une IA responsable, examinant les dommages potentiels et publiant des directives pour le traitement des sujets politiques et culturels. Il est important de comprendre que les IA ne sont pas des clones algorithmiques des opinions et des valeurs de leurs créateurs, mais qu'elles reflètent les opinions intégrées lors de leur entraînement.

Il est difficile de supprimer complètement les opinions et la subjectivité des IA sans compromettre leur utilité. Les modèles de langage utilisés par les IA sont entraînés sur des données provenant de diverses sources, ce qui entraîne inévitablement l'incorporation des opinions et des biais contenus dans ces textes.

L'évaluation des opinions des IA sera une tâche continue à mesure que les modèles seront mis à jour et de nouveau seront développés. Les utilisateurs pourraient choisir les IA en fonction de leurs propres valeurs et ainsi éviter toute influence indésirable.

En les utilisant, en sachant que d’autres les utilisent, gardons en tête que les agents conversationnels peuvent influencer subtilement nos opinions sans que nous en soyons conscients. Il est essentiel de sensibiliser davantage les utilisateurs à cette influence et de favoriser la transparence dans le fonctionnement des algorithmes d'IA.

Pour consulter la chronique de Christopher Mims, dans le Wall Street Journal, c’est par ici.

Et pour la recherche sur le sujet, c’est par ici pour une version PDF.

REF.: https://moncarnet.kessel.media/posts/pst_1775ac1d7a744de7904c061775650445/mon-carnet-et-si-chatgpt-changeait-notre-point-de-vue-a-notre-insu