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samedi 27 janvier 2024

Un rapport met de nouveau en évidence l’espionnage des notifications Push iPhone

 

Un rapport met de nouveau en évidence l’espionnage des notifications Push iPhone

Cela confirme les précédents aveux d’Apple concernant leur manque de sécurité.


Publié le 26 janvier 2024 à 08:00

Par Sami Trabcha

Début décembre 2023, on apprenait que des gouvernements non identifiés imposent à Apple, et sous couvert de la loi américaine, de leur communiquer le contenu des notifications Push d’utilisateurs iPhone.


Le sénateur Ron Wyden adressait d’ailleurs à ce sujet une lettre au département de la justice américaine, où il formulait le besoin urgent d’abroger les lois empêchant la transparence de ce type de demande. Le sujet de l’espionnage des notifications push des smartphones à la pomme revient aujourd’hui sur la table, mais avec des protagonistes différents cette fois-ci.


Espionnage iPhone sécurité notifications push



Meta, Microsoft, et LinkedIn dans le viseur

Dans une vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, le chercheur en cybersécurité Tommy Mysk montre comment certains géants du web violent délibérément les règles imposées par Apple afin d’affiner leur ciblage publicitaire. Cette fois-ci, il ne s’agit pas de gouvernements démocratiques, mais d’entreprises comme TikTok, Facebook, Twitter, Bing ou encore Linkedin. Tommy Mysk explique dans sa vidéo comment ces derniers détournent les notifications push afin de récolter des données utilisateurs.



L’hypocrisie de la confidentialité

Ces derniers temps, de nombreux éléments troublants ont renforcé la méfiance générale à l’égard des grandes plateformes. Parmi eux notamment, l’enquête de Joseph Cox de 404 Media, qui mettait en lumière les offres de certaines agences publicitaires. Ces dernières se vantaient de pouvoir espionner les gens via le micro de leurs smartphones, afin de pouvoir écouter leurs conversations. Cela dans le but de leur proposer des publicités en rapport avec les produits ou services évoqués à l’oral pendant leurs conversations quotidiennes.


Malgré les promesses constantes des géants du web en matière de confidentialité, il semble que l’appât du gain soit bien trop fort pour qu’ils se décident à arrêter définitivement de collecter secrètement le plus de données possibles. Apple reste, pour rappel, la seule entreprise à ne pas être tombée dans ce piège. Cela s’explique facilement par le fait que ses revenus ne proviennent pas des annonces, et nos données ne l’intéressent par conséquent pas autant que les autres GAFAM. Il est cependant bon de noter que Google est celui qui fait le plus d’efforts en la matière, malgré encore de nombreuses lacunes.


REF.: site miroir; https://www.iphon.fr/post/un-rapport-met-de-nouveau-en-evidence-lespionnage-des-notifications-push-iphone?fbclid=IwAR07O0btHX-MDyodDhAurO30Ez3_i843fK-ZcYQGx0tzOJSSS5DtK20oRgU

vendredi 26 janvier 2024

Les mystères de la matière noire et de l'énergie noire

 Les mystères de la matière noire et de l'énergie noire

Amas de galaxies Abell 1689

En juin 2002, le télescope spatial Hubble a scruté le centre de l'amas de galaxies Abell 1689. La gravité des milliers de milliards d'étoiles de l'amas agit comme une lentille gravitationnelle qui déforme et amplifie la lumière des galaxies derrière lui. (Sources : NASA, N. Benitez (JHU), T. Broadhurst (Racah Institute of Physics/The Hebrew University), H. Ford (JHU), M. Clampin (STScI), G. Hartig (STScI), G. Illingworth (UCO/Lick Observatory), the ACS Science Team, ESA.)


Plus on explore l'Univers, plus on est frappés par toutes les découvertes qu'il reste encore à faire. Les scientifiques pensent maintenant que la matière « ordinaire » – celle dont sont constitués les êtres humains, les plantes, les objets de tous les jours, les planètes et même les étoiles – ne représente que 4 % environ de tout ce qui se trouve dans l'Univers. La matière noire et l'énergie noire forment les 96 % restants : elles n'interagissent pas avec la lumière et ne peuvent être détectées qu'en raison de leurs effets. Les propriétés de la matière noire et de l'énergie noire demeurent l'un des plus grands mystères de l'astronomie moderne.


La chasse à la matière noire


Image composite de l'amas de la Balle, résultat de la collision de deux amas de galaxies, à environ 3,4 milliards d'années-lumière de la Terre. Cette image est constituée de trois éléments : la lumière visible (étoiles et galaxies en blanc et orange) collectée par les télescopes Hubble et Magellan; les zones roses où l'observatoire de rayons X Chandra a détecté du gaz chaud, où se trouve la majorité de la matière « ordinaire » de l'amas; les zones bleues où les astronomes ont observé que l'amas était le plus massif. Le fait que les régions roses et bleues ne soient pas alignées semble indiquer que la majeure partie de la masse gravitationnelle ne se trouve pas dans les structures visibles ni dans le gaz chaud. En fait, la masse de cet amas de galaxies est en grande partie attribuable à de la matière noire invisible agglutinée ici et là qui n'interagit pas du tout avec la lumière. (Source : NASA/CXC/M. Markevitch et coll./STScI/Magellan/Université de l'Arizona/D. Clowe et coll./ESO WFI.)


Des astrophysiciens ont émis l'hypothèse que l'Univers contient une sorte de « matière noire », une forme de matière qui n'interagit pas avec le champ électromagnétique et qui n'absorbe, n'émet ou ne reflète aucune forme de lumière. Ils ont constaté que, dans les groupes et amas, les galaxies se déplaçaient beaucoup plus rapidement qu'ils l'avaient prédit. Ils en ont donc déduit que les amas, pour que leur gravité puisse maintenir les galaxies ensemble, devaient contenir plus de matière qu'on pouvait observer.


Dans les années 1960 et 1970, des astronomes comme Vera Rubin ont étudié le mouvement des étoiles et des gaz dans des galaxies spirales. Ils ont évalué la masse totale de ces galaxies. En comparant cette masse à la masse lumineuse (comme celle des étoiles et du gaz) des galaxies, ils ont réalisé que beaucoup de matière manquait! Leur travail a montré que les galaxies contiennent environ six fois plus de cette mystérieuse « matière noire » que de matière « ordinaire ». Les scientifiques pensent maintenant que la matière noire constitue environ le quart de toute la matière et l'énergie de l'Univers.


La galaxie spirale NGC 7331

En mesurant la vitesse des étoiles et des gaz en orbite autour du centre d'une galaxie spirale comme celle-ci, NGC 7331, les scientifiques peuvent déterminer la masse totale de ce qu'elle contient. (Sources : ESA/Hubble, NASA/D. Milisavljevic (Université Purdue).)



En appliquant les lois du mouvement et de la gravitation universelle de Newton au mouvement des étoiles et des gaz dans une galaxie, les astronomes peuvent mesurer la distribution de la masse dans cette galaxie. La masse mesurée dépasse souvent largement celle de la matière visible, ce qui indique la présence de matière noire.


Constituants possibles de la matière noire

L'expérience DEAP sur la matière noire

L'expérience DEAP sur la matière noire par la discrimination de la forme des impulsions dans l'argon se déroule dans le laboratoire SNOLAB près de Sudbury en Ontario, deux kilomètres sous terre. Une équipe internationale de chercheurs participent à l'expérience DEAP pour essayer de détecter des particules massives à faible interaction, constituants probables de la matière noire. (Source : The DEAP-3600 Collaboration.)


Les scientifiques ont avancé plusieurs explications pour la matière noire. Ils ont pensé aux trous noirs, puisque ceux-ci n'émettent pas de lumière, et aussi aux naines brunes et aux planètes géantes, peu brillantes. Selon ce qu'on sait de ces objets, il est improbable qu'il y en ait assez pour rendre compte de toute la matière noire présente dans l'Univers.


La plupart pense maintenant que la matière noire est probablement constituée de quelque chose de très petit. Les scientifiques privilégient une particule hypothétique ayant une masse, mais interagissant peu avec la matière. La force de gravité et la force nucléaire faible auraient un effet sur ces « particules massives à faible interaction », mais pas la force électromagnétique, ce qui signifie qu'elles n'émettraient, n'absorberaient et ne réfléchiraient pas de rayonnements électromagnétiques, ce qui correspond au comportement actuellement observé de la matière noire.


Pour approfondir leurs connaissances sur ces particules invisibles, des scientifiques du monde entier construisent d'immenses détecteurs remplis de matières qui, espèrent-ils, interagiront avec la matière noire. Ils veulent que ces instruments ne détectent que les particules de matière noire, alors ces expériences se déroulent souvent profondément sous terre, là où la croûte terrestre fait écran à toute interférence possible.


L'énergie noire : elle n'a pas son pareil




Quand on parle de matière noire, il est souvent question aussi d'énergie noire. Contrairement à la matière noire, qui semble avoir quelques caractéristiques communes avec la matière « ordinaire », l'énergie noire semble ne pas avoir son pareil dans le cosmos… et elle représente environ 70 % de tout ce qu'il y a dans l'Univers.


L'Univers est en expansion depuis le big bang. Les astronomes peuvent étudier cette expansion en mesurant la vitesse à laquelle les galaxies lointaines s'éloignent de nous. On peut parfois mesurer les distances croissantes entre des galaxies à partir de l'explosion de certaines supernovas. Les chercheurs ont découvert récemment que l'expansion de l'Univers est plus rapide que prévu! C'est peut-être à cause de l'énergie noire : il est possible que cette force inconnue hypothétique repousse les limites de l'Univers, comme si c'était une forme d'antigravité. L'énergie noire demeure un sujet de recherche important étant donné qu'on en sait encore très peu sur ses propriétés.


REF.: site miroir; https://www.asc-csa.gc.ca/fra/astronomie/au-dela-systeme-solaire/matiere-noire-et-energie-noire.asp

Ce nouveau dispositif intelligent surveillera votre vitesse en voiture – et il sera bientôt obligatoire

 Ce nouveau dispositif intelligent surveillera votre vitesse en voiture – et il sera bientôt obligatoire


Tanguy Jaillant

20/01/24 13:44

Dans les prochains mois, un outil intelligent sera obligatoire dans votre véhicule. Celui-ci a pour objectif de vous avertir à chaque fois que vous dépassez la limitation de vitesse.


Depuis de nombreuses années, les voitures sont fournies avec de multiples technologies qui améliorent votre confort et votre sécurité. Entre les boîtes de vitesse automatiques, les GPS intégrés, les caméras de recul, les aides au parking, ou encore les Keyless Entry, qui permettent notamment d'accéder à son véhicule sans insérer la clé, tout est mis en œuvre pour vous faciliter la vie. Quand il s'agit de limitation de vitesse, les constructeurs automobiles sont tout aussi inventifs. En 1945, l'inventeur et ingénieur mécanicien américain Ralph Teetor a créé le régulateur de vitesse, avant qu'il soit intégré pour la première fois en 1958 dans la Chrysler Imperial. Pour rappel, cet outil vous permet d'éviter les excès de vitesse par inadvertance. Cependant, les autorités se sont rendu compte que de nombreux automobilistes pouvaient oublier la limitation de vitesse de la route qu'ils empruntaient. Dans ce cas, le régulateur devient presque inutile puisque vous ne pouvez pas le régler à la bonne vitesse. 


Pour y remédier, un nouvel assistant a été développé pour vous permettre de respecter plus efficacement les limitations de vitesse. Baptisé l'Intelligent Speed Assistance (ISA en anglais, ou AIV en français, système d'adaptation intelligente à la vitesse) et boosté par l'intelligence artificielle, il va devenir obligatoire dans tous les véhicules neufs, en Europe, à partir de juillet 2024. Comme le révèle le site gouvernement.fr, l'ISA a déjà été intégré sur tous les nouveaux modèles de voitures depuis juillet 2022. Pour fonctionner, cet outil se basera sur les données récoltées par une caméra ou votre GPS. Il pourra alors comparer plusieurs données telles que la vitesse de votre véhicule avec celle inscrite sur les panneaux de limitation de vitesse ou les données cartographiques du GPS. "Il est toutefois manifeste que les systèmes combinant un système de caméras, le système mondial de navigation par satellite (GNSS) et des cartes numériques actualisées sont considérés comme les plus performants et les plus fiables en situation réelle", indique le règlement délégué (UE) 2021/1958 de la Commission.


Dans les faits, le fonctionnement est simple. Votre véhicule vous avertira soit par le biais d'un son, soit par un indicateur lumineux sur le tableau de bord, pour vous prévenir que vous êtes en excès de vitesse. Une fonction déjà présente dans de nombreux modèles, qui deviendra donc obligatoire. "Le principe de base devrait être que le conducteur est toujours responsable du respect des règles de circulation applicables et que le système ISA est un système d'aide à la conduite permettant d'alerter le conducteur, chaque fois que cela est possible et approprié", peut-on lire dans le texte de la Charte européenne de la sécurité routière. Si vous ne respectez pas l'avertissement, votre véhicule pourra lui-même réduire la vitesse. C'est notamment le cas sur certains modèles de voitures qui seront équipés d'une résistance sur la pédale d'accélérateur, afin d'aider le conducteur à ralentir son véhicule naturellement. Cependant, cette fonction ne concernera pas toutes les voitures. 


REF.: https://www.commentcamarche.net/securite/protection/30033-ce-nouveau-dispositif-intelligent-surveillera-votre-vitesse-en-voiture-et-il-sera-bientot-obligatoire/?#yprvzzx9ssb

jeudi 11 janvier 2024

Conservez précieusement ce code unique lié à votre téléphone

 Conservez précieusement ce code unique lié à votre téléphone 

- vous en aurez besoin en cas de problème


Fabrice Brochain

10/01/24 13:34

Vous ne pouvez plus téléphoner avec votre smartphone car vous avez oublié le code PIN de votre carte SIM ? Pas de panique ! Un code de secours lié à votre ligne vous permet de le débloquer : il faut juste savoir où le trouver.


Vous déverrouillez probablement votre smartphone de nombreuses fois par jour à l'aide de votre empreinte digitale, la reconnaissance faciale, un schéma ou encore un code PIN que vous connaissez par cœur à force de le taper. Cette petite formalité de sécurité vous permet d'accéder à tout le contenu du mobile. Néanmoins, et de façon plus occasionnelle, vous pouvez aussi être amené à saisir un second code PIN, celui qui est lié à votre ligne téléphonique. La situation se présente par exemple lorsque vous redémarrez l'appareil ou après l'avoir éteint puis rallumé. Et ce code à quatre chiffres n'a rien à voir avec celui que vous avez défini pour sécuriser l'accès au contenu du téléphone : il est associé à la carte SIM ou eSIM fournie par votre opérateur téléphonique et permet de vous connecter à son réseau pour téléphoner.


À la première utilisation de la carte SIM, il faut utiliser le code PIN générique fourni par l'opérateur (souvent 0000, 1111 ou 1234) et le modifier aussitôt pour définir une combinaison plus personnelle. Il est possible de désactiver la saisie de ce code à l'allumage du téléphone, mais ce n'est pas recommandé. Car si le smartphone est perdu ou volé, n'importe qui peut l'utiliser pour téléphoner, consommer tout votre forfait data ou encore appeler des numéros surtaxés en plomber ainsi votre facture. Et comme ce code est rarement utilisé, il est facile de se tromper en le tapant à l'écran ou de l'oublier tout simplement. Or, après trois essais infructueux, le smartphone se bloque. Impossible dès lors de s'en servir pour téléphoner ! C'est là qu'entre en jeu un code spécial de secours : le code PUK.


Le code PUK pour Personal Unblocking/Unlocking Key (clé de déverrouillage de numéro personnel d'identification), n'est autre que votre unique bouée de sauvetage si jamais votre mémoire vous fait défaut lors de la saisie du code PIN sur votre smartphone. Il se compose généralement de huit chiffres (quelquefois moins) et vous a été fourni par votre opérateur en même temps que votre carte SIM ou eSIM. Exclusivement lié à votre carte SIM, il est non modifiable.



Pour le trouver, deux solutions. La première consiste à mettre la main sur votre contrat d'abonnement téléphonique. Le code PUK figure normalement sur ce document mais aussi sur le support plastifié dans lequel était insérée la carte SIM. Il est donc vivement conseillé de conserver ces documents dans un lieu sûr et dont vous vous souviendrez.




Si vous ne parvenez pas à remettre la main sur ces documents, pas de panique. Il vous reste encore un moyen de connaître votre code PUK. Vous pouvez pour cela vous connecter à votre espace client sur le site de l'opérateur (Orange ou Sosh, Free, Bouygues, SFR ou RED) depuis un autre mobile ou un ordinateur relié à Internet. Vous aurez besoin de l'identifiant et du mot de passe associés à votre compte. La rubrique Aide ou Assistance devrait vous permettre de récupérer votre code PUK. Vous pouvez également joindre le service client de votre opérateur ou tenter votre chance dans l'un de ses points de vente (en vous munissant d'une pièce d'identité).


Lorsque vous disposez enfin de votre code PUK il ne reste plus qu'à le saisir dans le champ idoine affiché sur le smartphone après trois saisies de code PIN erronées. Vous devrez ensuite définir un nouveau code PIN (ne l'oubliez pas !). Attention, vous disposez de 10 tentatives pour le code PUK. Passés ces essais, si le code n'est pas valide, la ligne sera définitivement bloquée.


REF.: https://www.commentcamarche.net/mobile/operateurs-forfaits/29947-conservez-precieusement-ce-code-unique-lie-a-votre-telephone-vous-en-aurez-besoin-en-cas-de-probleme/#utm_source=facebook&utm_medium=social

jeudi 4 janvier 2024

 3 choses à savoir sur Ferret, la toute nouvelle IA d’Apple

 3 choses à savoir sur Ferret, la toute nouvelle IA d’Apple

Apple vient de déployer Ferret, sa première IA conversationnelle. Elle est disponible en open source.


Publié le 3 janvier 2024 à 09:40Par Tristan Carballeda


Apple vient de publier Ferret, sa première intelligence artificielle conversationnelle. L’arrivée de ce projet démontre bien que la marque à la pomme travaille en interne au développement d’un modèle d’IA proche de ChatGPT. Selon les dernières rumeurs, Apple aurait plusieurs mois de retard dans la confection de son modèle de langage.


Ferret est donc la première pierre d’une longue route pour Apple. Publié comme un projet open-source par la firme de Cupertino, le projet a été présenté en détail par le chercheur Zhe Gan, spécialiste des questions de l’intelligence artificielle. Selon les informations qu’il a donné sur ce projet, Ferret aurait été développée conjointement par les équipes d’Apple et des chercheurs de l’université de Columbia.


Une IA descriptive

Ferret serait plus précis que GPT-4 dans la description des images. Car c’est là le grand point fort de l’intelligence artificielle d’Apple. Cette dernière doit être capable de transcrire de façon très précise la composition d’une image. Une compétence encore assez rare dans le monde des IA.



Ferret, un programme unique

En plus d’être différent par nature, en se concentrant sur l’IA, Ferret est un vrai projet à part pour Apple. En effet la marque à la pomme a présenté ce nouveau programme selon une licence “open source”. Autrement dit tout le monde peut utiliser, modifier ou améliorer Ferret à sa guise.


L’utilisation de cette licence très permissive contraste avec les pratiques historiques d’Apple, connue pour renfermer tous ses outils dans un écosystème très protégé. Ce n’est cependant pas la première fois qu’Apple présente un projet “open source” dans son histoire. La marque à la pomme avait déjà utilisé cette licence par le passé notamment pour son service Webkit ou encore pour développer un langage de programmation Swift.


REF.: i-nfo.fr - App officielle iPhon.fr

https://www.iphon.fr/post/3-choses-a-savoir-sur-ferret-la-toute-nouvelle-ia-dapple?fbclid=IwAR3groe6n7Y7WGQdiHlQvoyFc5ar2dlwIQONO84_lqVU43ExwKH2ZezYl6Q