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jeudi 12 septembre 2013

Pinel, les patients souffrant de troubles mentaux

Un FILM SUR L’INSTITUT PHILIPPE-PINEL
AUX GRANDS REPORTAGES, SUR RDI, LE 5 SEPTEMBRE.
 
Le film sur l’Institut Philippe-Pinel de Montréal, simplement intitulé « Pinel », une production d’Hélène Magny et de Pierre Mignault (réalisée en 2012) sera diffusé sur les ondes de RDI, le jeudi 5 septembre 2013, à 20 h, dans le cadre de l’émissionLes Grands Reportages
 
Il y a les mad et les bad; ceux qui se disent fou ou qui jousent le rôle d'un mauvais,pour cacher leur maladie mentale.
Il faut que malgré qu'ils souffrent et qu'ils s'invente un monde imaginaire pour fuire la réalité ,ils arrivent a pouvoir développer leur autonomie en faisant des choix pour reprendre confiance en eux !

 Tel qu’on le présente dans le film, pour être admis à Pinelles patients souffrant de troublesmentaux, doivent présenter ou avoir présenté de la violence (contre eux-mêmes ou contre autrui), judiciarisée ou non. Pour être libérés de l’hôpital, ils doivent passer à travers un long processus de rétablissement. Le traitement, souvent complexe, amènera le patient vers la compréhension de son agir violent, et l’acceptation de sa maladie. Il sera ainsi en bonne voie de réinsertion sociale. Chaque être humain chemine à son propre rythme, ce qui mène à l’élaboration d’un plan de soins individualisé. 
 
Le film « Pinel » présente la vie à l’Institut à travers le quotidien de patients, de psychiatres et d’autres membres des équipes spécialisées. Il a déjà été présenté dans différents colloques et concours, et le sera bientôt au grand public, sur RDI. Une occasion de mieux comprendre la réalité d’un hôpital à mission unique, offrant des soins adaptés à une clientèle spécifique.
 
 
À propos de l’Institut Philippe-Pinel de Montréal
 
Créé en 1970, l’Institut Philippe-Pinel de Montréal est un hôpital universitaire affilié à l’Université de Montréal offrant des services de 3e ligne en psychiatrie légale. Sa mission, en quatre volets, est de traiter et d’évaluer des patients présentant un risque élevé de comportements violents, d’enseigner, de faire de la recherche fondamentale et clinique et de travailler à prévenir la violence, et ce, dans un souci constant de rigueur et d’amélioration, où la sécurité de tous constitue une priorité.

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