Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

vendredi 16 janvier 2009

«J'ai le Y tatoué sur le coeur...»

C'est un gros tabou, ça: une mascotte sans sa tête. Youppi, en plus, notre Youppi national. Peut-être que Martin Métivier a choisi de raconter sa vie dans Youppi parce qu'avec le départ des Expos, il estime que Youppi a perdu son âme...
- Aujourd'hui, dit-il, je n'ai plus de gêne à dire que j'ai été Youppi pendant les six dernières années des Expos à Montréal. Je le fais à reculons...
- Mais Youppi revit avec le Canadien depuis l'automne dernier, Martin...
- Je sais. J'étais dans Youppi avec un autre ancien des Expos. J'ai été congédié, mais je ne peux pas en parler...



Martin Métivier a 32 ans, il a travaillé 15 ans, à temps partiel, pour Nos Z'Amours, au Stade. Dans les casse-croûte, dans l'entrepôt de la boutique de souvenirs. Puis, en 1998, il a pris la peau orange de l'immortelle mascotte pour la première fois. Martin était remplaçant, au début. Entre 1998 et 2004, il a incarné silencieusement Youppi plus de 600 fois.
«À partir de 2002, je faisais beaucoup plus de matches des Expos. À la fin, je faisais la moitié des matches...»
Une famille, les Expos
Martin Métivier sait bien que Montréal a regardé filer ses Expos à Washington dans l'indifférence. Mais pour lui, les Expos, c'était un trip, c'était des amis, c'était sa deuxième famille.
«Les deux dernières années, quand les Expos étaient gérés par la ligue, on avait zéro budget. Youppi était là pour les matches, point. Pas de tournée dans les écoles, pas d'événements promotionnels. C'est moi qui suis allé chercher des commandites pour faire une sorte de tournée d'adieu de Youppi, dans les écoles, dans les camps de jour, dans les tournois de balle...»
Être Youppi, pour Métivier, ce n'était pas une blague, ce n'était pas un job. C'était une mission, c'était une vocation...
«Le but de Youppi, c'était de taquiner les gens, de les faire rire. Il n'y a rien de mieux que ça. Nous, les gars qui faisions Youppi, on ne faisait pas ça pour l'argent.»
Martin Métivier adorait représenter les Expos auprès des enfants, que ce soit au Stade ou dans les hôpitaux. «Je me souviens en particulier d'un petit trisomique, Olivier, qui était à tous les matches des Expos, les dernières saisons. On avait une belle relation avec Olivier, je me demande ce qu'il est devenu...»
Avec les joueurs aussi. Une sorte d'amitié s'est développée entre Métivier et Michael Barrett; une complicité inusitée s'est tissée entre Youppi et Vladimir Guerrero, pourtant assez distant avec le reste de l'humanité. «Mais un des gars parlait espagnol, alors Vladimir a toujours aimé Youppi...»
La dernière nuit
Martin Métivier habite un appart chaleureux de l'est de l'île, avec sa blonde Peggy et leurs deux enfants, Olivier, 7 ans, et Frédérique, 10 ans. Dans la cuisine, je le trouve bien triste. Les Expos sont partis, oui, bon, c'est moche mais Youppi est encore vivant, réincarné en mascotte du Canadien de Montréal, c'est pas rien...
«Je veux pas parler du Canadien, Pat. Je peux pas. Mais Youppi n'a plus d'âme...»
Ok, ok, je n'insiste pas...
Métivier me parle du dernier match des Expos à Montréal. C'était le 29 septembre 2004. Après les «funérailles», Métivier a passé la nuit dans le Stade vide, une dernière fois, avec des employés du club.
«On a passé la nuit sur le terrain. On a joué au baseball, on a fait des folies avec le VTT de Youppi. On allait s'étendre à tour de rôle dans le champ, pour se recueillir...»
Ils ont quitté le Stade à 7 h 30, le lendemain matin, les yeux rouges...
«Ce printemps-ci, c'est moins dur, dit le graphiste. Mais le printemps passé! Ouch! On s'était réunis pour regarder le premier match des Nationals à la TV. Et c'est Bush qui a lancé la première balle. C'était le dernier clou, ça, Bush !...»
- Je m'ennuie de la Peluche, dit-il.
- La Peluche, Martin?
- Ouais, on l'appelait la Peluche, le Toutou, le Bonhomme...
Les Expos sont devenus les Nationals de Washington, leur mascotte est un aigle, Screech the Eagle. Martin Métivier n'est plus, et ne sera plus jamais, Youppi.
Pas grave. Ça sent encore le baseball chez les Métivier...
«Mon p'tit gars, dit l'ex-Peluche, a eu sa première pratique la semaine passée. Je pense qu'il aime ça, le baseball...»


REF.: Merçi,Patrick Lagacé,télé-Québec.

jeudi 15 janvier 2009

La Maison Microsoft

Tout peut servir d’écran dans la maison du futur : un mur, un miroir, le comptoir de la cuisine, un cadre, un babillard ou même un bibelot.
Quelque part à l’intérieur de l’édifice 33 du siège social de Microsoft, en banlieue de Seattle, se cache une vision du futur, la «Maison Microsoft». http://www.microsoft.com/france/chezvous/mamaisonnumerique/default.mspx
La plus grande compagnie de technologie du monde y expose des technologies qui, selon elle, seront disponibles à un prix abordable d’ici un maximum de six ans.
Ce qui frappe le plus à l’intérieur de cette maison, c’est la multiplication des écrans, ou plutôt des surfaces en apparence anodines sur lesquelles on réussit à projeter discrètement de l’information.
Immédiatement après que le propriétaire a déverrouillé la porte d’entrée en plaçant la paume de sa main sur un écran, un interrupteur d’apparence plutôt simple l’attend. Il prend l’apparence d’un gros bouton, semblable au contrôle du volume sur plusieurs chaînes stéréo.
En appuyant sur ce bouton, un écran spécial dissimulé derrière la peinture du mur s’active. Que ce soit par la voix ou en manipulant le bouton, le propriétaire peut savoir quels membres de la famille sont dans la maison, les activités prochaines, la météo, etc.
Il peut ensuite activer en un seul coup une multitude de réglages correspondant à une situation bien précise. S’il souhaite écouter la télévision, par exemple, il lui suffit d’activer cette configuration pour que l’éclairage diminue, que les rideaux soient fermés, que le téléviseur s’allume, etc.
De l’aide pour le souper ?À l’heure du souper, la technologie suit les occupants de la maison jusque dans la cuisine. Un plateau de verre lavable au lave-vaisselle sert à projeter, là encore, une multitude d’informations susceptibles d’interpeller les occupants de la maison.
Quoi faire pour souper ? Il suffit de déposer sur le comptoir quelques outils et ingrédients munis de puces électroniques RFID (voir autre texte) pour qu’une voix demande au cuisinier s’il veut de l’aide. Un projecteur s’active et le comptoir sert maintenant d’écran où sont affichés des suggestions de recettes réalisables à partir des éléments qui y ont été déposés, sans oublier les manuels d’instructions des appareils.
Avant de sortir pour la soirée, ou le lendemain matin, une visite devant le miroir de la chambre permet à l’occupant d’avoir un aperçu de la météo et de l’horaire du jour.
S’il préfère passer la soirée devant le téléviseur, dans la salle de cinéma maison, il pourra bénéficier d’une expérience accrue, puisque la couleur et l’intensité de l’éclairage peuvent s’adapter automatiquement et en temps réel, selon ce qui est projeté.
Une technologie ne peut être démontrée dans la «Maison Microsoft» que s’il est estimé qu’elle coûtera un maximum de 10 à 20 % plus cher que l’équivalent actuel d’ici six ans ou moins.
La maison est repensée tous les deux ans.

Halo 3 ODST ; Ninja Blade

Halo 3 : Recon devient Halo 3 : ODST .
l'extension stand-alone de Halo 3, jusqu'à aujourd'hui nommée "Halo 3 : Recon", change subitement de nom pour devenir Halo 3 : ODST, qui signifie Orbital Drop Shock Trooper. Rien de bien grave donc, puisque le contenu du jeu reste inchangé.Pour rappel, le jeu contiendra une nouvelle campagne solo un peu plus courte que l'originale et une nouvelle partie multiplayer. Vous incarnerez pas le Masterchief mais un Marine du TCAO (ODST en anglais, ce qui explique le changement de nom). Mode multijoueur et nouvelles opportunités de gameplay seront aussi en rendez-vous.

Ninja Blade dévoilé sur Xbox 360,pour peut être 2009 ?
A l'occasion d'une conférence organisée à Tokyo, Microsoft a dévoilé un nouveau titre d'action baptisé Ninja Blade, développé exclusivement sur Xbox 360 par From Software. Prévu pour le début de l'année prochaine, le jeu se déroulera à Tokyo, le teaser diffusé et visible sur le site officiel faisant fortement penser à Ninja Gaiden. Peu d'informations sont disponibles pour le moment, mais on sait déjà que Keiji Nakoka, le designer de Lost Planet, ainsi que Norihiko Hibino, un des compositeurs des séries Metal Gear Solid, Boktai ou Zone of the Enders, font partie de l'équipe de développement. On devrait en découvrir un peu plus dans les semaines à venir, le soft étant annoncé jouable au prochain Tokyo Game Show.

La version bêta de Windows 7

Rendez-vous avec la version bêta de Windows 7LAS VEGAS - Il semble que les amateurs de Windows soient au rendez-vous aujourd'hui pour aller cueillir leur version du bêta de Windows 7. Le site de téléchargement du logiciel a connu des difficultés ce matin et était encore lent à répondre pendant le reste de la journée. Je vous rappelle que vous pouvez télécharger la version bêta de Windows 7 dès aujourd'hui et que seulement 2,5 millions de versions seront libérées dans la nature.Pour utiliser ce logiciel, il faut un ordinateur compatible soit équipé d'un processeur qui tourne à 1 Ghz, 1 Go de RAM, 16 Go d'espace libre sur son disque dur, une mémoire vidéo de 128 Mo compatible avec les graphiques DX9 et finalement, un graveur DVD car l'installation exige la création d'une copie. Et n'oubliez pas, cette version expire le 1er août 2009. Psst... vous pourriez également essayer par ici, on ne sait jamais.
Merci, Bruno

cartes graphiques haut de gamme fin 2008

Ce retour sur le haut de gamme ne change pas réellement la donne générale. Il confirme plutôt la bonne tenue des Radeon HD 4870 qui restent très efficaces et de la Radeon HD 4870 X2 qui n’a toujours aucune compétition de la part de Nvidia. Par contre deux petites évolutions sont à noter. La baisse de l’euro a entraîné une petite augmentation des prix du côté des Radeon qui se vendent très bien et qui voient donc leurs stocks régulièrement renouvelés. Rien de très grave à l’heure actuelle mais la variante 1 Go de la Radeon HD 4870 affiche un prix un petit peu trop élevé avec 280 € voire plus. Il serait bon qu’AMD fasse un petit effort sur ce modèle de manière à le rendre plus intéressant

La seconde évolution notable sur le segment supérieur est le positionnement enfin intéressant de la GeForce GTX 260 qui d’une part profite d’une petite évolution de ses spécifications avec la version « + » et d’autre part a vu son prix récemment ajusté. Ces 2 éléments la propulsent à un niveau de performances prix similaire à celui des Radeon HD 4870. Proposée à 250 €, elle se positionne, tant en terme de prix qu’en terme de performance, entre les Radeon HD 4870 512 Mo et 1 Go. Reste que malheureusement, une fois de plus, Nvidia refuse de jouer la clarté dans sa gamme en ne différenciant pas par son nom l’évolution de cette GeForce GTX 260. Il faudra donc être attentif à la mention « + » ou « Core 216 » pour ne pas la confondre avec la version originale qui reste très répandue.

En dehors des performances pures, dans le camp AMD, nous retrouvons en bonus le support de DirectX 10.1 qui commence à être exploité par les jeux et l’arrivée dans quelques jours d’un transcodeur vidéo accéléré par le GPU directement utilisable puisqu’intégré dans les pilotes. Du côté Nvidia le bonus se nomme PhysX, avec une prise en charge possible par le GPU dont l’implémentation à été peaufinée avec les pilotes 180. Une technologie aussi prometteuse que liée au bon vouloir des développeurs dont nous attendons encore de savoir ce qu’ils vont en faire.A l’heure actuelle nos conseils porteront donc sur la Radeon HD 4870 X2 si vous recherchez le top en termes de performances. A un niveau tarifaire moins élevé, nous vous conseillerons de choisir entre la Radeon HD 4870 512 Mo et la GeForce GTX 260+ suivant l’intérêt que vous décidez d’accorder aux bonus précédemment cités. Si votre décision penche pour une Radeon HD 4870 et que vous visez le long terme, préférez-en la version 1 Go, à condition que votre budget le permette.