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lundi 31 août 2009
20 000, astéroïdes et comètes du système solaire seraient potentiellement dangereux pour la Terre
La NASA est censée traquer tous les astéroïdes potentiellement dangereux pour la planète mais n'a pas le budget pour accomplir cette mission, selon un rapport de l'Académie américaine des Sciences (NAS) rendu public mercredi.
Dans ce rapport, l'Académie des Sciences rappelle qu'il y a quatre ans, le Congrès avait confié à l'agence spatiale américaine la mission d'arriver d'ici 2020 à surveiller 90% des corps célestes «tueurs» mais sans lui donner l'enveloppe budgétaire pour construire les télescopes nécessaires.
Aujourd'hui, la NASA souligne que même sans budget, elle est parvenue à achever un tiers de son travail avec son système actuel de couverture télescopique.
L'agence spatiale estime à quelque 20 000, le nombre d'astéroïdes et de comètes dans le système solaire de plus de 140 mètres de diamètre et potentiellement dangereux pour la Terre. Ce diamètre représente une surface d'environ six hectares, soit l'équivalent de la place de la Concorde à Paris.
Jusqu'à présent, les scientifiques ont réussi à dresser la carte de quelque 6000 objets.
Des rochers mesurant de 140 m à un kilomètre de diamètre peuvent dévaster une région entière mais pas la planète, souligne Lindley Johnson, le directeur à la NASA du programme de surveillance des objets à proximité de la Terre. A l'évidence, des objets plus imposants sont d'autant plus dangereux.
Le mois dernier, les astronomes ont été surpris quand un objet dont la taille et l'origine sont inconnues a percuté Jupiter en laissant sur sa surface un impact de la taille de la Terre et qui continue de croître. Jupiter est plus souvent touchée que la Terre en raison de ses énormes taille et gravité et de sa place dans le système solaire.
Dans son rapport, l'Académie des Sciences reproche au gouvernement américain de ne pas faire grand-chose pour calmer les esprits effrayés par les films catastrophe tels que «Armageddon» mais aussi les passages très rapprochés constatés ces dernières années. Mais l'Académie souligne également que le gouvernement américain est pratiquement le seul à essayer de faire quelque chose pour s'attaquer au problème.
Selon Lindley Johnson, la NASA a calculé que pour localiser les astéroïdes comme le lui demande la loi, il faudrait environ 800 millions de dollars (566 millions d'euros) d'ici 2020 qui seraient consacrés soit à la construction d'un téléscope terrestre soit au lancement d'un système d'observation spatial. Si la NASA ne recevait que 300 millions, elle pourrait débusquer la plupart des astéroïdes de plus 300 mètres de diamètre, insiste Johnson.
Mais jusqu'à présent, la NASA n'a rien eu. Et pourrait peut-être ne jamais avoir quoi que ce soit, avertit John Logsdon, professeur de politique spatiale à l'université George Washington. «Ce programme est un peu le canard boiteux de la recherche spatiale», note Logsdon avant de souligner que le sujet n'est pas assez défendu.
Pour l'heure, la NASA a identifié cinq objets proches de la Terre qui présentent un risque sur un million de collision avec la Planète bleue et suffisamment gros pour provoquer d'importants dégâts, a souligné Johnson.
Mais les astronomes chargés de leur surveillance ont tous le regard tourné vers un rocher de 131 m de diamètre qui a une chance sur 3000 de heurter la Terre en 2048 ainsi que sur l'astéroïde «Apophis» qui a deux fois cette taille et qui a une chance sur 43 000 d'entrer en collision avec la Terre en 2036, 2037 ou 2069.
REF.:
Dans ce rapport, l'Académie des Sciences rappelle qu'il y a quatre ans, le Congrès avait confié à l'agence spatiale américaine la mission d'arriver d'ici 2020 à surveiller 90% des corps célestes «tueurs» mais sans lui donner l'enveloppe budgétaire pour construire les télescopes nécessaires.
Aujourd'hui, la NASA souligne que même sans budget, elle est parvenue à achever un tiers de son travail avec son système actuel de couverture télescopique.
L'agence spatiale estime à quelque 20 000, le nombre d'astéroïdes et de comètes dans le système solaire de plus de 140 mètres de diamètre et potentiellement dangereux pour la Terre. Ce diamètre représente une surface d'environ six hectares, soit l'équivalent de la place de la Concorde à Paris.
Jusqu'à présent, les scientifiques ont réussi à dresser la carte de quelque 6000 objets.
Des rochers mesurant de 140 m à un kilomètre de diamètre peuvent dévaster une région entière mais pas la planète, souligne Lindley Johnson, le directeur à la NASA du programme de surveillance des objets à proximité de la Terre. A l'évidence, des objets plus imposants sont d'autant plus dangereux.
Le mois dernier, les astronomes ont été surpris quand un objet dont la taille et l'origine sont inconnues a percuté Jupiter en laissant sur sa surface un impact de la taille de la Terre et qui continue de croître. Jupiter est plus souvent touchée que la Terre en raison de ses énormes taille et gravité et de sa place dans le système solaire.
Dans son rapport, l'Académie des Sciences reproche au gouvernement américain de ne pas faire grand-chose pour calmer les esprits effrayés par les films catastrophe tels que «Armageddon» mais aussi les passages très rapprochés constatés ces dernières années. Mais l'Académie souligne également que le gouvernement américain est pratiquement le seul à essayer de faire quelque chose pour s'attaquer au problème.
Selon Lindley Johnson, la NASA a calculé que pour localiser les astéroïdes comme le lui demande la loi, il faudrait environ 800 millions de dollars (566 millions d'euros) d'ici 2020 qui seraient consacrés soit à la construction d'un téléscope terrestre soit au lancement d'un système d'observation spatial. Si la NASA ne recevait que 300 millions, elle pourrait débusquer la plupart des astéroïdes de plus 300 mètres de diamètre, insiste Johnson.
Mais jusqu'à présent, la NASA n'a rien eu. Et pourrait peut-être ne jamais avoir quoi que ce soit, avertit John Logsdon, professeur de politique spatiale à l'université George Washington. «Ce programme est un peu le canard boiteux de la recherche spatiale», note Logsdon avant de souligner que le sujet n'est pas assez défendu.
Pour l'heure, la NASA a identifié cinq objets proches de la Terre qui présentent un risque sur un million de collision avec la Planète bleue et suffisamment gros pour provoquer d'importants dégâts, a souligné Johnson.
Mais les astronomes chargés de leur surveillance ont tous le regard tourné vers un rocher de 131 m de diamètre qui a une chance sur 3000 de heurter la Terre en 2048 ainsi que sur l'astéroïde «Apophis» qui a deux fois cette taille et qui a une chance sur 43 000 d'entrer en collision avec la Terre en 2036, 2037 ou 2069.
REF.:
Votre cuisinière peut mettre le feu a votre maison
Pas elle,.....:O), celle qui est électrique :O)
Le division Frigidaire d'Electrolux Canada, a annoncé, mercredi, le rappel volontaire d'environ 43 000 cuisinières électriques qui ont été vendues à travers le Canada et aux Etats-Unis au cours d'une période de sept ans.
L'avertissement touche les détenteurs de cuisinières électriques autoportantes de marques Frigidaire et Kenmore Elite, et précise que les modèles à surface lisse, dotés de boutons de commandes rotatifs et à affichage numérique, pouvaient représenter des risques d'accident.Frigidaire rapporte que les éléments chauffants peuvent se mettre spontanément sous tension et ce, sans être allumés, demeurer sous tension même après que l'utilisateur les ait éteints, ou chauffer à des températures différentes de celles sélectionnées au moyen du bouton de commande.
Le rappel concerne 42 955 unités, soit 22 125 cuisinières Kenmore et 20 830 cusinières de la marque Frigidaire.
Selon l'entreprise, les modèles vendus au Canada n'ont pas été liés à des blessures sévères ou à des dommages matériels. Elle a toutefois précisé que six incidents mineurs ont été rapportés au sud de la frontière.
Les cuisinières visées ont été vendues au Canada entre juin 2001 et septembre 2008 par plusieurs détaillants.
Sears Canada, qui a vendu les cuisinières défectueuses dans ses grands magasins, en ligne sur son site ou par catalogue, a laissé savoir qu'elle offrait des réparations gratuites à tous les consommateurs touchés.
Frigidaire, qui offre le même service, demande aux consommateurs de cesser immédiatement l'utilisation de leur cuisinière jusqu'à temps que les réparations soient complétées.
Voici la liste des modèles visés par le rappel et qui a été fournie par Frigidaire. Pour trouver le numéro de modèle, il faut ouvrir le tiroir au bas de la cuisinière. La plaque signalétique se trouve sur le côté droit du cadre.
Kenmore Elite
C970-68802 VF122xxxxx à VF831xxxxx
C970-68803
C970-68804 ou
C970-68808
C970-68809 NF122xxxxx à NF806xxxxx
C970-68830
C970-68832
C970-68833
C970-69803
C970-69804
C970-69808
C970-69809
Frigidaire
CGLEFM97DB VF122xxxxx à VF831xxxxx
CGLEFM97DS
CPLEF398AC ou
CPLEF398DC
CPLEFM99EC NF122xxxxx à NF806xxxxx
CPLEFZ98GC
PGLEF388CS
PGLEF388ES
G2904.DF-ANM302-mcl
REF.:
Le cirque des $$$ des Banques ou la grande Valse de la Bourse ???
Avez-vous entendu la bonne nouvelle?
La récession est terminée !
C'est du moins ce qu'affirment Newsweek, Ben Bernanke et l'administration Obama.
Je suis de nature optimiste et j'estime que toutes lés bonnes nouvelles méritent d'être célébrées... à condition d'être fondées! Avant de sabler le Champagne, il faut donc répondre à une question , fondamentale: les éléments déclencheurs de la crise ont-ils été maîtrisés ?
Il y a 18 mois, les consommateurs américains et Washington étaient surendettés. L'épargne était inexistante. Les politiques de la Fed encourageaient la consommation excessive et l'emprunt irresponsable, ce qui a alimenté la bulle immobilière. Mais les bulles, qui sont des périodes de croissance artificielle, sont insoutenables et éclatent fatalement, entraînant dans leur sillage d'autres pans de l'économie.
En réaction aux troubles économiques, l'Oncle Sam a adopté plusieurs mesures : plans de relance; plans de sauvetage; nationalisation de constructeurs automobiles et de banques; hausse des dépenses de Washington; taux d'intérêt de la Fed pratiquement nul et injection de monnaie dans des proportions historiques; programmes d'incitation à la consommation; etc.
Résultat ?
Le gouvernement américain s'est tellement endetté qu'on peut
raisonnablement décréter qu'il est en faillite.
La dette actuelle s'élève à 11,6$ billions $ (soit 11 600 milliards $) ! Si l'on tient compte de la dette du Medicare et de la sécurité sociale uniquement(les biens-êtres), on atteint rapidement 118 billions $.
Ce chiffre n'inclut pas les budgets alloués à la défense et à une quantité d'autres programmes, mais, déjà là, quelques calculs élémentaires jettent un éclairage assassin sur les finances de l'État américain. Washington enregistre chaque année des recettes de l'ordre 2,5 billions $ ce qui indique un ratio dette/revenus égal à 47 ! C'est comme,si un travailleur qui touche un revenu annuel de 50,000$ avait une dette de 2,3 millions $. Inutile d'être comptable ou banquier pour comprendre qu'il est impossible d'honorer un tel engagement.
DU SUICIDE
De plus, les diverses interventions de la Fed se sont traduites par une augmentation spectaculaire et suicidaire de quantité de monnaie en circulation. En avril dernier, j'avais écrit qu'une telle politique risque d'occasionner une résurgence de l'inflation, et de transformer les États-Unis en une république de bananes. À l'instar d'un nombre grandissant d'analystes, le célèbre financier Warren Buffet exprimait les mêmes inquiétudes dans un texte publié dans le New York Times du 18 août dernier.
Ainsi, pour résoudre un problème causé par un endettement extrême et une injection de monnaie excessive, les États-Unis ont choisi d'augmenter davantage leur dette et d'injecter encore plus de monaie. C'est aussi absurde que de prétendre regler un problème d'obésité en mangeant davantage. Et si dévorer un gâteau à la crème procure incontestablement une satisfaction immédiate, il n'en aggrave pas moins la situation.
Il est donc fort peu probable que le cauchemar américain soit terminé. Bien au contraire! D'ailleurs, si l'économie américaine s'améliorait, comment expliquer la faiblesse du dollar US?
Quant à l'augmentation des cours boursiers, beaucoup y voient la preuve que la récession achève. C'est une erreur!Fin 2007, à l'aube de la récession, le Dow Jones atteignait des sommets historiques. Si la bourse n'a pas vu venir la crise actuelle, pourquoi serait-elle en mesure d'en annoncer la fin?
Les conditions à l'origine de la crise sont toujours présentes. Le rebond américain est artificiel et temporaire, car les fondements de l'économie sont inchangés. Et comme la performance du Canada est affectée par la conjoncture américaine, ne nous réjouissons pas trop vite ! Empressons-nous plutôt de développer de nouveaux marchés et de réduire notre dépendance économique envers les États-Unis.
Pas sûr ???
Ça Valse pas fort , a la Bourse :
Car,le nombre de courtiers qui quittent Wall Street est en hausse du fait de la dégringolade des marchés financiers et de la baisse, par ricochet, des frais de courtage.
Plus de 2800 courtiers ont quitté leur emploi au premier semestre, selon l’organisme de réglementation de l’industrie financière américaine, la Financial Industry Regulatory Authority. Globalement, ce seraient plus de 11 600 courtiers qui auraient quitté ce secteur depuis le début de l’année, un nouveau record par rapport aux 11 500 départs de 2002.
Et au rythme où vont les choses, près de 35 000 courtiers pourraient plier bagage d’ici à la fin de l’année. En l’occurrence, il n’en restera plus qu’environ 630 000 aux États-Unis.
Les frais de courtage représente de 30 a 40 % des placements !
REF.: Nat Elgrably-Levy Journal de Montreal,
La récession est terminée !
C'est du moins ce qu'affirment Newsweek, Ben Bernanke et l'administration Obama.
Je suis de nature optimiste et j'estime que toutes lés bonnes nouvelles méritent d'être célébrées... à condition d'être fondées! Avant de sabler le Champagne, il faut donc répondre à une question , fondamentale: les éléments déclencheurs de la crise ont-ils été maîtrisés ?
Il y a 18 mois, les consommateurs américains et Washington étaient surendettés. L'épargne était inexistante. Les politiques de la Fed encourageaient la consommation excessive et l'emprunt irresponsable, ce qui a alimenté la bulle immobilière. Mais les bulles, qui sont des périodes de croissance artificielle, sont insoutenables et éclatent fatalement, entraînant dans leur sillage d'autres pans de l'économie.
En réaction aux troubles économiques, l'Oncle Sam a adopté plusieurs mesures : plans de relance; plans de sauvetage; nationalisation de constructeurs automobiles et de banques; hausse des dépenses de Washington; taux d'intérêt de la Fed pratiquement nul et injection de monnaie dans des proportions historiques; programmes d'incitation à la consommation; etc.
Résultat ?
Le gouvernement américain s'est tellement endetté qu'on peut
raisonnablement décréter qu'il est en faillite.
La dette actuelle s'élève à 11,6$ billions $ (soit 11 600 milliards $) ! Si l'on tient compte de la dette du Medicare et de la sécurité sociale uniquement(les biens-êtres), on atteint rapidement 118 billions $.
Ce chiffre n'inclut pas les budgets alloués à la défense et à une quantité d'autres programmes, mais, déjà là, quelques calculs élémentaires jettent un éclairage assassin sur les finances de l'État américain. Washington enregistre chaque année des recettes de l'ordre 2,5 billions $ ce qui indique un ratio dette/revenus égal à 47 ! C'est comme,si un travailleur qui touche un revenu annuel de 50,000$ avait une dette de 2,3 millions $. Inutile d'être comptable ou banquier pour comprendre qu'il est impossible d'honorer un tel engagement.
DU SUICIDE
De plus, les diverses interventions de la Fed se sont traduites par une augmentation spectaculaire et suicidaire de quantité de monnaie en circulation. En avril dernier, j'avais écrit qu'une telle politique risque d'occasionner une résurgence de l'inflation, et de transformer les États-Unis en une république de bananes. À l'instar d'un nombre grandissant d'analystes, le célèbre financier Warren Buffet exprimait les mêmes inquiétudes dans un texte publié dans le New York Times du 18 août dernier.
Ainsi, pour résoudre un problème causé par un endettement extrême et une injection de monnaie excessive, les États-Unis ont choisi d'augmenter davantage leur dette et d'injecter encore plus de monaie. C'est aussi absurde que de prétendre regler un problème d'obésité en mangeant davantage. Et si dévorer un gâteau à la crème procure incontestablement une satisfaction immédiate, il n'en aggrave pas moins la situation.
Il est donc fort peu probable que le cauchemar américain soit terminé. Bien au contraire! D'ailleurs, si l'économie américaine s'améliorait, comment expliquer la faiblesse du dollar US?
Quant à l'augmentation des cours boursiers, beaucoup y voient la preuve que la récession achève. C'est une erreur!Fin 2007, à l'aube de la récession, le Dow Jones atteignait des sommets historiques. Si la bourse n'a pas vu venir la crise actuelle, pourquoi serait-elle en mesure d'en annoncer la fin?
Les conditions à l'origine de la crise sont toujours présentes. Le rebond américain est artificiel et temporaire, car les fondements de l'économie sont inchangés. Et comme la performance du Canada est affectée par la conjoncture américaine, ne nous réjouissons pas trop vite ! Empressons-nous plutôt de développer de nouveaux marchés et de réduire notre dépendance économique envers les États-Unis.
Pas sûr ???
Ça Valse pas fort , a la Bourse :
Car,le nombre de courtiers qui quittent Wall Street est en hausse du fait de la dégringolade des marchés financiers et de la baisse, par ricochet, des frais de courtage.
Plus de 2800 courtiers ont quitté leur emploi au premier semestre, selon l’organisme de réglementation de l’industrie financière américaine, la Financial Industry Regulatory Authority. Globalement, ce seraient plus de 11 600 courtiers qui auraient quitté ce secteur depuis le début de l’année, un nouveau record par rapport aux 11 500 départs de 2002.
Et au rythme où vont les choses, près de 35 000 courtiers pourraient plier bagage d’ici à la fin de l’année. En l’occurrence, il n’en restera plus qu’environ 630 000 aux États-Unis.
Les frais de courtage représente de 30 a 40 % des placements !
REF.: Nat Elgrably-Levy Journal de Montreal,
dimanche 30 août 2009
eMail qui s'efface en 8 hrs,comme par magie
•Disparition de créer des messages en texte clair. Au lieu d'entrer directement les données sensibles dans un email ou un message Facebook, vous pouvez le coller dans la zone de texte ci-dessous et cliquez ensuite sur « Nouveau message Disparition. » Notre système va envelopper vos données dans un message Vanish pour vous, ce qui a automatiquement s'auto-détruit dans 8 - 9 heures. Vous devrez ensuite copier l'intégralité du contenu de la zone de texte et collez le dans votre e-mail ou sur Facebook message.
•Lire le contenu en texte clair d'une autodestruction message. Lorsque vous recevez un message Vanish, par exemple, dans un e-mail ou sur Facebook, vous allez copier le message en entier (y compris l'en-tête et pied de marqueurs) Et collez-le dans la zone de texte ci-dessous. Vous devrez ensuite cliquer sur « Lire le message de Vanish » et d'attendre que notre système de décoder le texte clair de l'objet Disparition.
REF.:
•Lire le contenu en texte clair d'une autodestruction message. Lorsque vous recevez un message Vanish, par exemple, dans un e-mail ou sur Facebook, vous allez copier le message en entier (y compris l'en-tête et pied de marqueurs) Et collez-le dans la zone de texte ci-dessous. Vous devrez ensuite cliquer sur « Lire le message de Vanish » et d'attendre que notre système de décoder le texte clair de l'objet Disparition.
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