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vendredi 4 septembre 2009

Le syndrome de Stockholm ??? ou quand la victime devient amoureuse de son Prédateur sexuel

Voici le Prédateur Sexuel, a castrer LOL !





Le couple californien soupçonné d'avoir kidnappé Jaycee Lee Dugard en la séquestrant pendant 18 ans a plaidé non coupable vendredi des chefs d'accusation d'enlèvement, viol et séquestration, parmi 29 autres faits qui lui sont reprochés.
Les deux accusés ont été placés en détention.


Outre cette affaire sordide, Phillip Garrido, inscrit au fichier des délinquants sexuels, est maintenant soupçonné d'être impliqué dans les meurtres non élucidés de plusieurs prostituées dans les années 90.
La police a ainsi mené vendredi une perquisition au domicile de Garrido, à la recherche de preuves sur ces meurtres.


Certaines des prostituées tuées avaient été abandonnées à l'époque dans une décharge à proximité d'un parc industriel où Garrido travaillait dans les années 1990.
Phillip Garrido et sa femme Nancy ont été formellement accusés d'avoir séquestré pendant 18 ans Jaycee Lee Dugard, enlevée le 10 juin 1991 alors qu'elle était âgée de 11 ans.
Pendant ces 18 années, Jaycee Lee Dugard a vécu recluse dans le jardin de la maison de ses deux ravisseurs, dont le mari, criminel sexuel déjà condamné, l'a utilisée comme esclave sexuelle. Elle a eu deux enfants de lui, aujourd'hui âgés de 11 et 15 ans.



NOTE:
Le syndrome de Stockholm désigne la propension des otages partageant longtemps la vie de leurs geôliers à développer une empathie, voire une sympathie, ou une contagion émotionnelle avec ces derniers.
Ce comportement paradoxal des victimes de prise d'otage, fut décrit pour la première fois en 1978 par le psychiatre américain F. Ochberg qui lui donna ce nom de syndrome de Stockholm, en relation avec un fait divers, qui eut lieu en cette même ville.
Inversement le syndrome peut s'appliquer aux ravisseurs, qui peuvent être influencés par le point de vue de l'otage. On parle dans ce cas du syndrôme de Lima.

REF.:

jeudi 3 septembre 2009

Les nouveaux maux, de la nouvelle Bouffe: Vive le naturel !



Il est révolu, le temps où la conservation des aliments reposait sur un peu de sucre ou de sel. La science s'est mise au service de l'industrie alimentaire pour nous donner des produits plus croustillants, de meilleure apparence, au goût plus constant, à la date de péremption élastique. Et aux listes d'ingrédients aussi faciles à décoder qu'un manuel de physique quantique! Mais ces agents de conservation ajoutés aux aliments pour les rendre plus « vendeurs » ne sont pas tous sans conséquences pour la santé.





REF.: Journal de Mtl

Sport: Test de Féminité


Il y a quelques semaines, personne n'avait entendu parler de Caster Semenya. La coureuse sud-africaine qui a remporté l'or aux 800 mètres des Jeux de Berlin a attiré l'attention des médias pas tant pour ces prouesses sportives, que pour le doute qui plane sur sa sexualité. Ses muscles surdimensionnés, sa voix basse et son léger duvet ont poussé la Fédération internationale d'athlétisme à demander un test de féminité. Et il ne s'agit pas simplement pour l'athlète de baisser ses pantalons. Dans certains cas, déterminer le genre d'une personne s'avère beaucoup plus complexe. C'est pourquoi ces tests sont controversés.
REF.: Journal de Mtl

Chirurgie sans Bistouri en 5 Minutes (Le CyberKnife)


Le Centre hospitalier de l'Université de Montréal vient de se doté d'un
CyberKnife, un système robotisé
permettant de traiter les tumeurs sans chirurgie. En plus d'être indolore cette Technique permet de retirer des tumeurs normalement inopérables ou difficiles d'accès. Le service de radio-oncologique du CHUM est le premier endroit au Canada à offrir cette technologie.

BRAVO !!!








REF.: Journal de Mtl.

Que veulent les Québécois? Un État omni-présent qui souffre de boulimie fiscale?

La vrai question !

Il y a eu la commission d’enquête sur le viaduc de la Concorde, la Commission de consultation sur les pratiques d’accommodements raisonnables, la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire, et celle sur les conditions de vie des aînés. À ces commissions s’ajoutent les groupes de travail qui ont produit les rapports Castonguay, Montmarquette et Gagné.

Maintenant, Jean Charest nous annonce son intention de tenir une «vaste consultation» sur les mesures à adopter pour revenir à l’équilibre budgétaire. Il ne nous a pas consultés lorsqu’un de ses FIER (Fonds d’intervention économique régional) a versé une généreuse subvention pour la construction d’un hôtel de luxe pour chiens. Il n’a pas cherché notre approbation avant d’accorder à Alcoa des tarifs d’électricité ridiculement bas, ni avant d’engager plus de 50 millions $ dans l’édification d’un nouveau Colisée à Québec. Quand il s’agit de dépenser notre argent, Québec s’estime capable de décider.

Mais maintenant que les finances publiques se détériorent dangereusement, notre Premier ministre cherche conseil auprès de la population. En apparence, il veut que l’on fasse le travail qui incombe au ministère des Finances et qu’on lui souffle ce qu’un gouvernement responsable devrait faire. Mais en vérité, il espère par-dessus tout pouvoir éviter l’odieux des mesures impopulaires qu’il concocte en les attribuant aux travaux de la prochaine commission.

Entre autres mesures, il a déjà annoncé que des hausses de tarifs sont à prévoir. En soi, l’idée est défendable, car le principe de l’utilisateur-payeur permet de freiner la surconsommation et de réduire le gaspillage. Mais pour qu’une nouvelle tarification soit justifiable et équitable, elle doit s’accompagner d’une réduction équivalente des impôts. Après tout, l’État s’approprie chaque année une partie du fruit de notre travail pour financer divers programmes dont il s’enorgueillit. Une hausse de tarif sans allégement fiscal reviendrait à nous faire payer deux fois pour le même service. Certes, ce serait une bénédiction pour les finances publiques, mais pour les Québécois, ce serait tout simplement du vol manifeste!

Il a également affirmé souhaiter un retour à l’équilibre budgétaire. Quelle arrogance que de parler d’un «retour» à l’équilibre, alors que le déficit zéro n’a jamais existé, si ce n’est grâce à de douteuses contorsions comptables! Jean Charest ignore-t-il que nous ne sommes pas dupes, et que nous savons pertinemment que seule l’existence d’un déficit budgétaire récurrent permet d’expliquer l’augmentation constante de la dette du Québec?

Ne sait-il pas que nous sommes également conscients qu’un État interventionniste qui taxe et subventionne est condamné à enregistrer des déficits? C’est une conséquence normale, car plus on taxe un comportement, plus les gens tentent de l’éviter, ce qui réduit l’assiette fiscale.

Parallèlement, plus on subventionne un comportement, plus les gens sont nombreux à l’adopter, ce qui accroît les dépenses. Un déficit n’est donc que la manifestation visible de l’intervention de l’État dans une société.

Dans un tel contexte, une réflexion sur les finances publiques est inutile, car s’attaquer au symptôme ne règle rien.

Il faut remonter à la source du problème et amorcer un débat sérieux sur le rôle de l’État dans la société québécoise.

Que veulent les Québécois? Un État omni-présent qui souffre de boulimie fiscale? Ou un État moins interventionniste qui fait la promotion de la responsabilité individuelle et qui encourage le travail et l’entrepreneurship? Seules ces questions méritent une «vaste consultation». Mais Québec ne s’aventurera jamais sur ce terrain. On ne pose pas les questions pour lesquelles on ne veut pas entendre la réponse!

REF.: