Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

samedi 22 janvier 2011

Les voleurs ont pris le virage technologique RFID

Nul besoin pour les voleurs de mettre la main dans votre poche pour saisir votre portefeuille et frauder vos cartes bancaires, ils ont pris un dangereux virage technologique. Plus de 140 millions de personnes pourraient être à risque, estiment les experts en sécurité informatique.

Une nouvelle technologie intégrée dans les cartes de crédit et de débit, qui consiste en un système de radio-identification (RFID), facilite au plus haut point le vol de données, l'usurpation d'identité et la fraude bancaire.

Les voleurs n'ont qu'à se promener dans une foule pour rapidement mettre la main sur les informations de dizaines, voire des centaines de cartes de crédit sans jamais prendre le risque d'être attrapé.

Grâce à une radioétiquette intégrée à la nouvelle génération de cartes de crédit sans contact, les usagers n'ont normalement qu'à passer leur carte à proximité d'un dispositif de lecture approprié pour payer leurs achats dans un commerce. Cette étiquette comporte toutes les informations de la carte: le type de carte, son numéro complet, sa date d'expiration, etc.

Or, les voleurs peuvent dorénavant acheter un tel dispositif de lecture sur Internet, moyennant quelques centaines de dollars. Il suffit de le dissimuler dans un étui discret et de le passer près des sacs à main ou des poches des victimes pour obtenir, le plus simplement du monde et en toute sécurité, les informations sur ces cartes. Armé de ces données, la fraude devient un jeu d'enfant.

Plus grave encore, ce type de piratage n'implique pas uniquement les cartes bancaires, comme le précise Walt Augustinowicz, le fondateur deIdentity Stronghold, sur News Channel 3. Les passeports américains, émis depuis 2006, sont aussi dotés du système de radio-identification. Ils dévoilent le nom, la date de naissance et la photo de ses propriétaires, susceptibles de faciliter la création de fausses cartes d'identité.

L'entreprise de M. Augustinowicz conçoit des étuis de protection empêchant des personnes malintentionnées de balayer les documents dotés d'une puce RFID.


par Aude Boivin Filion

Transformer des téléphones intelligents en dispositif d'écoute

Les appareils animés par iOS et Android pourront devenir de véritables outils d'espions, grâce à la nouvelle méthode de hacking découverte par le chercheur en sécurité Ralf-Philipp Weinmann de l'University du Luxembourg.

Ce type de hacking est beaucoup trop complexe pour être accompli par un amateur, l'expert souligne qu'il faut détenir de solides compétences en informatique. L'astuce de la méthode repose sur le piratage le processeur de la bande de base (baseband) d'un téléphone et sur la simulation des signaux qu'il émet ou reçoit sur le réseau sans fil.

De cette façon, le pirate pourra cibler un téléphone en particulier et lui transmettre du code malicieux activant la fonction de réponse automatique du téléphone visé. Le danger est bien présent, puisque non seulement les discussions téléphoniques sont vulnérables, mais aussi toutes celles effectuées à proximité, prétend l'expert.

(InfoWorld)


par Aude Boivin Filion


78 satellites Canadien, pour décongestionner le WEB

L'entreprise canadienne MSCI (Microsat Systems Canada Inc.) planifie de mettre en orbite des micro-satellites afin de faciliter les communications et désengorger les réseaux.

Ce projet, nommé CommStellation, consiste en 78 satellites qui survoleront la planète en basse orbite - à peine 1000 kilomètres du sol, facilitant de ce fait les lancements et réduisant substantiellement les coûts d'opération. À cette altitude, les appareils n'auront pas à souffrir des températures extrêmes et des radiations retrouvées dans l'espace.

Chaque satellite peut transférer jusqu'à 12Go de données par seconde et possède une durée de vie de 10 ans.

CommStellation fera compétition au projet O3b auquel est associé Google, qui vise à faciliter l'accès à l'Internet aux 3 milliards de personnes qui vivent en dehors des grands centres. L'avantage de MSCI, selon la compagnie, repose sur le fait qu'elle base sa stratégie sur des technologies simples, ce qui lui permet de se lancer aisément dans le marché des communications via satellite.

En raison de leur petite taille, ce sont 14 satellites qui peuvent être déployés par lancement. Chaque satellite couvrira une région circulaire de 11 millions de kilomètres carrés.

MSCI prévoit que CommStellation sera complètement opérationnel en 2015.

Source: CNET

Pour savoir si l'on parle de vous sur Twitter ?

Il s'avère parfois difficile sur Twitter de suivre les conversations qui nous concernent.
À cet effet, un lecteur me demande mon avis sur BackTweets.

Certaines applications permettent effectivement d'améliorer le processus de veille sur Twitter. Ces petits espions promettent l'envoi d'un courriel de notification dès que le compte d'usager concerné est mentionné sur Twitter.

BackTweets veille au grain, différemment.

L'outil agit comme le fait un moteur de recherche. L'utilisateur peut donc rechercher son nom d'usager sur Twitter, et l'engin affiche les résultats qui contiennent les données demandées. Ça m'apparaît fort utile pour les blogueurs qui souhaitent connaître la fréquence d'apparition de leur portail dans le fil d'actualités de Twitter. Pour se faire, l'usager n'à qu'à entrer l'adresse de son blogue dans le champ de recherche.

Le hic: la version Pro coûte 100$ par mois, avec un essai gratuit de 7 jours. La version gratuite est très limitée et ne permet qu'une recherche par URL.

Par conséquent, je vous propose ces alternatives:

1) Twitstra

L'application Twitstra requiert l'autorisation d'accéder au compte et une fois connectée, invite l'utilisateur à indiquer l'adresse électronique de notification souhaitée. Ce dernier n'a qu'à confirmer sa volonté d'adhérer en cliquant sur le lien inséré dans le courriel de confirmation. Le processus est désormais enclenché: Twitstra fera parvenir un courriel à chaque fois que le nom d'usager est mentionné dans un gazouillis. L'objet du courriel d'alerte indique le nom de la personne ayant fait mention du compte Twitter en question, et le corps du texte reproduit intégralement le tweet complet. Les internautes sont unanimes: utile et d'une grande simplicité.

2) UgoTwitt

Disponible aussi en français, cette solution se compare avantageusement à la première présentée. Une fois l'enregistrement et la vérification du courriel complétés, le programme débute l'envoi d'alertes. Ces dernières offrent un lien «Send a reply», qui permet d'ouvrir la page Twitter de l'usager et de débuter la rédaction du gazouillis.

3) Pu.ly

L'application offre davantage de possibilités. Le service propose aussi une alerte lorsque le nom d'usager est ajouté à une liste, et lors de la réception d'un message privé. L'objet du courriel d'alerte indique le nom de la personne ayant fait mention du compte Twitter en question, et le corps du texte reproduit intégralement le tweet complet. Le plus grand avantage de ce service réside dans la possibilité de répondre par courriel au dit gazouillis sans avoir à se connecter à Twitter.

EN CONCLUSION

Désormais, donc, aucune raison de manquer une réponse, un commentaire ou autre mention qui vous seraient destinés. Le tout, gratuitement!


par Dominique Lamy

vendredi 21 janvier 2011

Comment photographier un électron ,ou comment enfin le voir !

Une réalité ,voir la video !

Ce flash photographique sera pas de l'orde du Microseconde,.........ou nano,....pico,.....femto,....mais attoseconde !

Unité de mesure de temps du Système international, valant 10−18 seconde, et dont le symbole est as.
Les scientifiques vont bientôt pouvoir produire des impulsions de lumière laser de 100 attosecondes. La technologie nécessaire pour le faire requiert des impulsions de lumière de plus grande intensité que celles requises pour tenir une molécule. Elles doivent être assez puissantes pour que la force du laser sur les électrons domine la force qui maintient un électron dans un atome ou une molécule.


Si un électron fait le tour du noyau en 150 attosecondes. Plus rapides encore, les impulsions laser de l'ordre de l'attoseconde permettent de photographier pour la première fois un électron en mouvement!

Dès qu’un électron est libéré, il est soufflé par la vague lumineuse. Pour bien visualiser ce qui se passe ensuite, prenons l’exemple d’un bateau de secours lancé par un navire dans une mer déchaînée. Alors qu’il est détaché du navire, il est balloté par les vagues. L'équipage du navire doit bien veiller à ce que le bateau de secours ne heurte pas le navire. De la même manière, l’électron peut heurter l’ion dont il vient de se séparer. Il s’ensuit alors une collision violente et l’électron émet de la lumière — de la même manière qu’un bateau de secours se brise.

Il est possible de contrôler de façon si précise la collision entre l’électron et l’ion que celle-ci peut être limitée à une durée de 100 attosecondes. Cela signifie que les scientifiques sont sur le point de réaliser le but de produire des impulsions lumineuses de 100 attosecondes. Dès que cela sera accompli un nouveau monde de possibilités s’ouvrira.Au Québec on est rendu a 70 attoseconde,on espère que rendu a du 10 attoseconde(en temps ,autrement dit la vitesse du temps) le cliché de l,électron sera enfin plus clair.

Chaque lycéen qui étudie les sciences sait que dans toute réaction chimique les atomes d’une molécule se réorganisent de façon autonome. Ce phénomène bien connu n’est pas visible à l’oeil nu. Imaginez quelles seraient les possibilités s'il était possible de photographier cette réaction chimique. Comment faire?

Dans des laboratoires du monde entier on y travaille depuis un bon moment. Les scientifiques ont relevé depuis une quinzaine d’années le défi d'observer les réactions chimiques en temps réel et ont réalisé des progrès considérables. Le prix Nobel 1999 de chimie, décerné au Dr Ahmed Zewail, récompense sa contribution considérable à ce domaine de recherche.

Tout comme les scientifiques des années 1960 ont développé la technologie qui a permis d'intégrer sur une puce de silicone beaucoup de systèmes électroniques, la technologie d’aujourd’hui, qui permet d’écrire à l’intérieur d’un matériau transparent, sera l’un des outils les plus importants pour l’intégration photonique. Pour la première fois, il sera possible d’écrire des circuits optiques en 3-D.
À mon avis, l’expérimentation rattrape aujourd'hui son retard. Les microscopes à effet tunnel nous ont permis de voir les atomes individuels. Les lasers à femtoseconde nous ont fourni un outil capable de maîtriser des forces aussi puissantes que celles qui maintiennent la matière dans son intégrité. Nous pouvons maintenant non seulement contrôler ces forces avec une précision incroyable, mais ces outils nous fournissent des « pinces de lumière » nous permettant d'entrer dans le micro-monde pour manipuler les atomes et les molécules à notre guise, ouvrant la voie à des découvertes majeures dans de nombreux domaines. Avec de telles découvertes à portée de main, je pense que notre époque est aussi exaltante et importante pour l’expérimentation que ne l’étaient les années 1920 pour la théorie.

Et pour le domaine médicale: L'électron est partout dans une molécule, c'est pour cette raison que les réactions chimiques sont imparfaites et que les maladies apparaissent.» Selon André Bandrauk, c'est une révolution. Il croit que la découverte de l'ADN est la plus grande des 50 dernières années. «Les erreurs existent justement dans l'ADN à cause des électrons qui sautent d'un côté ou de l'autre de l'hélice. La transmission d'informations se fait par transfert d'électrons. Imaginez si nous pouvons maintenant les voir et les contrôler!»

En France, le scientifique Gérard Moreau aspire à enfanter le laser le plus puissant du monde, rapporte André Bandrauk. «Si on donne une impulsion laser dans le vide, on croit que le vide se sépare en matière et antimatière. On peut créer un nouveau monde, c'est alléchant, il y a quelque chose dans le vide!»