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mercredi 2 février 2011

Fini les forfaits Internet illimités? Les internautes réagissent!



Fini les forfaits Internet illimités? Les internautes réagissent!

Le CRTC à annoncé il y a quelques jours la fin de l'Internet illimité. Dès le 1er mars, si rien ne change, certaines personnes se verront facturer pour les consommations de 60 Go par mois.

Qui cela touche-t-il? Environ 10% des gens qui sont abonnés chez des fournisseurs internet revendeurs offrant des forfaits illimités. C'est que dès le 1er mars, le CRTC autorise les grands fournisseurs (Bell, Telus, Rogers, Shaw, Videotron...) à mesurer la consommation de ces clients revendeurs. Ceux-ci devraient donc normalement refiler la facture à leurs clients.

Le Web s'est enflammé et les internautes se sont organisés. Une pétition sur le site Open Media est rapidement passée de quelques milliers à plus de 265 000 (mercredi 2 février, 6 h du matin) signatures.

Les libéraux et le NDP sont contre. Face à la réaction, le premier ministre Stephen Harper a dit à ses 2 343 abonnés Twitter (!) (en français) (contre 83 522 en anglais) : « Nous sommes très préoccupés par la décision du CRTC sur la facturation selon l'usage. J'ai demandé qu'on examine cette décision. ».

Un vent de changement?

Le fait que le gouvernement se met le nez dans ce dossier annonce-t-il un vent de changement? Assurément, ce dossier est chaud, car il en va de la compétitivité du Canada. Avoir un accès de qualité et en quantité au réseau Internet est essentiel.

On sait que même si nous avons de bonnes infrastructures au pays, on paie cher pour nos télécommunications par rapport à ailleurs au monde. (web, cellulaire...)

Avec toutes les offres de contenu qui explosent, une famille normale de 2 adultes et 2 enfants peut rapidement consommer 60 Go par mois. Il n'y a pas si longtemps, les seuls qui dépassaient cette limite étaient ceux qui pirataient du contenu. Mais là, ce sont de plus en plus de gens honnêtes qui deviennent de grands consommateurs.

2 ou 3 ordis dans une maison c'est de plus en plus monnaie courante. Ajouter à cela un iPad, une tablette ou un iPhone sur wi-fi pour économiser le 3G...

Pensez à YouTube et ses clips HD, à tous ces streamings de télé comme TVA, les Tou.tv, Netflix, etc. Pensez aussi à ces joueurs qui carburent au contenu de plus en plus lourd en jouant en ligne avec leur XBOX, PlayStation, PC et Cie...

Ce sera un dossier intéressant à suivre et qui risque d'évoluer rapidement. Et comme dans tous les dossiers politiques, l'opinion publique aura un grand poids dans la balance.

Twitter de Stephan Harper
Site de la pétition conte la facturation internet

La mobilisation s'organise

Voici l'intégral d'un courriel reçu à francoischarron.com. Voyez comment la mobilisation s'organise et les arguments des gens contre.

Un rassemblement contre la récente décision du CRTC de permettre Bell Canada de forcer les fournisseurs alternative à utiliser la facturation établie en fonction de l'utilisation aura lieu le 5 Février 2010 au Square Dorchester.

Vous pouvez suivre l'organisation de l'évènement à partir de la page Facebook suivante.

Nous invitons les propriétaires d'entreprise touchée par ce changement, les spécialistes en TI ainsi que les partis politiques à se joindre à nous et à faire valoir leurs opinions sur ce sujet.

Le CRTC a récemment autorisé Bell Canada à forcer les fournisseurs de services Internet louant leur réseau DSL « dernier mile » à adopter la facturation à l'usage. Ceci a eu comme effet d'augmenter de façon excessive la facture Internet de milliers de Canadiens.

La facturation à l'usage est un terme employé par l'industrie pour décrire une méthode de facturation où votre usage mensuelle détermine le montant dû à la fin de votre cycle de facturation.

Bell et le CRTC imposent maintenant cette méthode de facturation sur des milliers de Canadiens présentement clients de ces fournisseurs alternatifs. Plusieurs de ces clients ont choisi leurs fournisseurs dans le bût d'éviter ce genre de facturation. Cette décision par le CRTC élimine toute alternative pour les consommateurs voulant une connexion Internet illimitée puisque Bell maintenant décide combien les clients de ces fournisseurs alternatifs ont le droit de télécharger par mois.

La décision du CRTC détruit complètement toute compétition dans le secteur Internet. Un consommateur ne peux plus changer pour un petit fournisseur DSL avec téléchargement illimité lorsque piégé par une limite déraisonnable et des pénalités hallucinantes sur sa ligne DSL.

Depuis que les demandes de Bell ont été approuvées par le CRTC, tous les clients de ces fournisseurs alternatifs doivent en payer la note et voient leur forfait illimitée se faire détruire par Bell.

Maintenant, leur service est limité à 60 Go par mois. Ça semble beaucoup, mais, sur une ligne DSL typique de 5 Mbps, cette limite peut être dépassée en 28 heures (un peu moins qu'une heure de téléchargement par jour). Pour justifier sa décision au CRTC, Bell a stipulé que les limites et les pénalités sont des dissuasifs économiques aux utilisateurs excessifs.

Pensez-vous que d'utiliser votre Internet pour télécharger pendant 28 heures dans un mois (un peu moins qu'une heure par jour) fait de vos un utilisateur excessif? Nous croyons que non. Au lieu de cela, les pénalités ont pour effet de
rentre le contenu Internet trop cher. Vous pouvez oublier Last.fm, Netflix, Skype et même YouTube. Fini les conversations Skype avec vos proches situé à l'autre bout du monde. Utilisez le service
téléphonique Bell à la place! Fini les soirées à regarder votre film préféré sur Netflix. Utilisez la TV Fibe (qui est transmise sur le même réseau que Bell qualifie de « congestionné ») à la place! Cette décision par le CRTC augmente le prix d'accès à l'information à travers le Canada. Avez-vous un travail qui dépend de votre Internet?

Étudiez-vous présentement dans un champ qui vous requiert de télécharger des grandes bandes de données? Si vous avez répondu oui à une de ses questions, préparez-vous à payer plus pour votre Internet. Les pénalités chargées pour avoir dépassé son quota de téléchargement sont de 2$ par Go au Québec. Très cher, lorsque l'on considère que le
CEO de Netflix, Reed Hasting, estime que le coût de transfert pour 1 Go de donné se situe dans les alentours de 0.02$ par Go. Maintenant que les consommateurs Canadiens se font voler par leurs fournisseurs et que les coûts associés à la consommation de matériel en ligne sont trop élevés, Bell n'as plus besoin de s'inquiéter face à leurs compétiteurs dans le domaine Internet et dans le domaine de la multimédia maison.

Venez et partager votre opinion sur un Internet ouvert et illimité au Canada.

REF.:

Le danger des cracks !

Ce résumé n'est pas disponible. Veuillez cliquer ici pour afficher le message.

Le nouveau visage des Malwares

malwaresPeut-être avez-vous déjà entendu parler, ou avez déjà été confronté, à ce genre de logiciel. Peut-être même en avez-vous installé un sans le savoir… Car désormais les virus, trojans et autres malwares, opèrent à découvert, sous la forme de fausses applications de sécurité (antispyware, voire antivirus), de défragmentation ou d’ « optimisation » de votre PC : ce sont lesrogues

La compétition entre les délinquants du web et les entreprises de sécurité informatique n’a de cesse d’évoluer, et prend maintenant un nouveau tournant avec l’apparition de fausses applications. Distribuées gratuitement, celles-ci proposent généralement des services alléchants, comme un scan complet de votre ordinateur à la recherche de la moindre faille, une défragmentation hyper-rapide ou encore un pack d’outils visant à sécuriser votre open shell.

Sous ces apparences trompeuses se cache en réalité le plus souvent un cheval de Troie, qui ouvrira l’accès de votre poste au pirate voulant par exemple effectuer un DDOS. On notera que des malwares plus pervers simuleront des atteintes à la sécurité de votre système, ou encore ouvriront très régulièrement des fenêtres popups pour des mises à jour, des intrusions ou autres, le but étant de vous faire croire que le programme installé est sérieux, et ainsi vous pousser à acheter la version commerciale proposée par l’éditeur du rogue, transmettant ainsi vos coordonnées bancaires au pirate…

Voici une petite liste des rogues les plus récents (détectés durant les trois derniers mois) :

Windows Security&Control
• Memory Optimizer
• Windows Optimization&Security
• Disk Optimizer
• Windows System Optimizator
• Good Memory
• Fast Disk
• Disk OK
• My Disk
• Memory Fixer
• Palladium Pro
• HDD Fix
• HDD Low
• Personal Internet Security 2011
• Windows Optimization Center
• Scanner
• Win Defragmenter
• Internet Security 2011
• HDDDoctor
• Defragmenter
• HDD Tools
• Smart HDD
• HDD Rescue
• Internet Antivirus 2011
• HDD Plus
• Security Shield
• Privacy Corrector
• HDD Diagnostic
• Hard Drive Diagnostic
• HDD Scan
• Spyware Protection
• Windows Scan
• Windows Utility Tool
• Privacy Guard 2010
• Win Defrag
• Win HDD
• Check Disk
• Multi Rogue
• Ultra Defragger
• Quick Defragmenter
• System Tool
• Trojan.Ransom
• Security Inspector 2010
• Security essentials 2011
• Antivirus Scan
• Personal Security Sentinel
• Disk Repair
• HDD Defragmenter

Cela peut sembler beaucoup pour 3 mois, mais, depuis le début de ce nouveau mode de transmission des virus, début 2008, on compte un peu plus de 350 fausses applications en circulation.

La plupart de ces logiciels sont désinstallables grâce à des programmes gratuits tels que Malwarebytes’ Anti-Malware ou Vipre. Certains peuvent aussi être nettoyés en rentrant une licence spécifique. Le site Siri-urzdécline le mode opératoire de désinstallation spécifique à chaque rogue/scareware. Quant à ce tutoriel, il explique l’utilisation des logiciels de suppression des rogues les plus courants.

Voilà pour la suppression. Sinon, sachez que plusieurs blogs et sites tiennent des listes des rogues régulièrement mises à jour, par exemple SpywareWarrior.com ou Tomax7.com.

De plus, si vous avez installé par erreur un rogue sur votre système, ne cliquez pas sur les bannières publicitaires, celles-ci conduisant automatiquement vers d’autres rogues (adwares).

Ces nouveaux scarewares deviennent de plus en plus difficiles à cerner, et une seconde d’inattention peut vous conduire à l’infection totale… On ne le dira jamais assez : ne téléchargez pas ce dont vous n’êtes pas sûr ! Et attention où vous cliquez, car même si vous n’autorisez pas un téléchargement, certains se passent de permission… En bref, pour avoir un PC en bonne santé, de bons outils de sécurité et un peu de jugeote sont indispensables.

Sources : S!ri.urz, Forum.malekal.com

mardi 1 février 2011

Dangereuse accentuation de la pénurie de médicaments


Depuis deux ans - Dangereuse accentuation de la pénurie de médicaments


MONTRÉAL – Le Québec est aux prises avec une grave pénurie de médicaments qui s’accentue depuis deux ans. En moyenne, une dizaine de médicaments parmi les plus utilisés, comme la pénicilline et la tétracycline, sont absents des tablettes toutes les semaines.

Selon Benoit Morin, un pharmacien de 20 ans d’expérience, la situation est pire que jamais. «Nous avons déjà connu des périodes de pénurie, mais jamais aussi graves que celles que nous vivons depuis deux ans», a-t-il expliqué.

Une des causes avancées pour expliquer ce problème est la concentration des produits servant à la fabrication des médicaments.

«Les matières premières sont toutes concentrées aux mêmes endroits, soit en Inde ou en Chine. Automatiquement, il va y avoir de la pénurie pour les pays de l’Amérique du Nord», a précisé M. Morin.

La présidente de l’Ordre des pharmaciens du Québec, Diane Lamarre, croit que si la situation perdure, «il faudra réfléchir à une stratégie nationale pour définir une liste de médicaments essentiels».

Entre temps, en guise de solution, les pharmaciens arrivent généralement à trouver des alternatives. Ils peuvent par exemple donner deux médicaments séparément au lieu de comprimés réunissant les deux ingrédients pour arriver au même résultat. Ils peuvent aussi référer les patients à d’autres pharmacies qui détiennent le médicament dont le patient a besoin. Inévitablement, la tâche des pharmaciens et des médecins s’en trouve alourdie et les patients s’inquiètent.

«Ça devient plus compliqué pour nous. Il faut constamment expliquer et trouver des alternatives puisque notre but est que le patient soit bien soigné», a dit un autre pharmacien oeuvrant pour la bannière Jean Coutu.

En début de semaine, un sondage révélait que plus de 90 % des pharmaciens canadiens constatent une aggravation de la pénurie.


REF.:

samedi 29 janvier 2011

La «cloud music» (littérallement «musique dans un nuage») permet de stocker et écouter en streaming votre musique

Bibliothèque musicale - «Cloud music»: une tendance aux retombées économiques incertaines
La «cloud music» (littérallement «musique dans un nuage») permet de stocker la musique sur un serveur internet et de l'écouter en streaming quel que soit le support.
© AFP

Permettre à l'auditeur d'écouter sa musique quand et où il le souhaite quel que soit le support est le nouvel eldorado de la filière musicale, qui multiplie les partenariats à cet effet avec l'industrie des télécoms, sans être encore sûre des retombées économiques.

Entre chaînes-hifi, ordinateurs, autoradios, baladeurs numériques, téléphones intelligents, consoles de jeu, lecteurs DVD, tablettes numériques... les moyens d'écouter de la musique se sont multipliés au cours des dernières décennies.

À LIRE ÉGALEMENT:

Pandora, la radio internet sur mesure

Selon les chiffres de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI), 79% des gens écoutent de la musique dans leur salon, 76% dans leur voiture, 46% sur leur ordinateur, 39% sur leur baladeur et 20% sur leur téléphone portable.

Problème: les moyens de faire le lien entre ses différents supports sont encore peu nombreux. S'il veut pouvoir écouter sa musique ailleurs que sur son ordinateur, l'amateur des Beatles ou de Lady Gaga doit encore transférer manuellement les morceaux sur sa chaîne-hifi ou son baladeur numérique.

Cloud music

La «cloud music» (littérallement «musique dans un nuage») permet de stocker la musique sur un serveur internet et de l'écouter en streaming quel que soit le support. L'utilisation est double.

Certaines sociétés proposent aux particuliers d'y stocker leur bibliothèque musicale. Des acteurs de l'industrie musicale s'allient à des opérateurs télécoms ou des équipementiers pour proposer l'accès à de très larges catalogues via des abonnements.

Au Midem, la grand-messe annuelle de l'industrie musicale qui se tient jusqu'à mercredi à Cannes dans le sud-est de la France, le géant japonais Sony a annoncé le lancement d'un service de ce type en France, Allemagne, Espagne et Italie. Déjà disponible au Royaume-Uni et aux États-Unis, il permet d'avoir accès à des radios personnalisables sur toute une gamme de produits Sony, grâce à un abonnement.

En France, le service de streaming Deezer s'est associé avec Orange. Principal intérêt: l'abonné peut accéder au site et aux listes de lecture qu'il y a créés depuis son téléphone portable et hors connexion internet.

Alors que jusque là l'offre payante de Deezer avait eu du mal à décoller, le service a séduit 500 000 clients en moins de six mois, bien au delà de l'objectif de 200 000 initialement fixé.

Aux États-Unis, le site de streaming Pandora s'est, lui, allié avec les constructeurs automobiles Mercedes-Benz et Ford pour que son service soit intégré dans leurs nouveaux modèles.

Pour le secteur, la question est de savoir si ces services vont générer de nouveaux revenus, alors que les modèles économiques de l'ère numérique sont encore vacillants.

Certains observateurs y voient même un nouveau danger pour l'industrie du disque, la cloud music permettant aussi bien de stocker du matériel légal qu'illégal.

À Cannes, l'Américain mSpot, qui propose aux particuliers ce type de stockage, a ainsi reconnu n'essayer que depuis très récemment de passer des accords avec les majors du disque.


REF.: