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mercredi 2 mars 2011

Le premier anti-laser construit par des physiciens !

Le premier anti-laser construit par des physiciens !

Aujourd'hui, on accorde une place non négligeable à la recherche et ce, dans de nombreux domaines. Que ce soit l'apparition des premiers ordinateurs dans les années 50, ou encore les membres robotisés qui suppriment le handicap de certaines personnes, la recherche ne cesse de faire des progrès et de changer notre quotidien. 50 ans après le premier laser, des physiciens de l'université de Yale (aux États-unis) ont mis au point un anti-laser capable d'absorber un rayon laser qui pourrait ouvrir la porte à de nouvelles perspectives.

Le laser produit de la lumière…


Le rayon laser, un rayon lumineux


Derrière le mot laser, se trouve le mot lumière et c'est normal, car un rayon laser, c'est avant tout un rayon lumineux. Ici nous nous intéressons au caractère ondulatoire de la lumière (même si elle est représentée de deux manières différentes). Elle se compose de l'ensemble des ondes électromagnétiques visibles par l'œil humain. Ces ondes sont caractérisées par leur longueur d'onde : le domaine visible s'étend de 380 nm à 720 nm, au dessus ce sont des rayons infrarouges, en dessous des rayons ultraviolets. À chaque longueur d'onde correspond une couleur de rayon lumineux, par exemple le bleu a une longueur d'onde d'environ 470 nm, le vert d'environ 550. Le spectre d'un rayon lumineux, est en fait sa décomposition; celui de la lumière blanche forme les couleurs de l'arc-en-ciel. On peut généralement décomposer le rayon lumineux via un prisme.

Un rayon laser est donc en fait un faisceau lumineux, mais qui a la particularité de ne posséder qu'une seule longueur d'onde. Cela veut dire que si on essaye de décomposer un rayon laser (via un prisme par exemple), cela ne fonctionnera pas. On parle alors de lumière monochromatique. Ce rayon a donc les mêmes propriétés qu'un rayon lumineux classique, tout ce qui a été dit avant est encore vrai. Pour étudier ces phénomènes, on utilise alors des machines que l'on appelle originalement laser.

Le laser, principe de fonctionnement


Le laser est généralement composé d'un milieu dit actif, où des atomes sous l'effet de leur excitation, vont produire de la lumière. Ce qu'on appelle alors la source de pompage se charge d'exciter les particules en envoyant de l'énergie (électricité, autre source lumineuse etc.). Par exemple, un atome peut absorber un photon (particule qui compose la lumière) et devenir excité. Il peut ensuite éjecter ce photon, ce qui produira de la lumière.

Et grâce à l'émission stimulée, il est tout à fait possible d'amplifier un rayon lumineux pour qu'il devienne plus important, c'est en effet le principe même d'un laser. Avec des miroirs, on crée une cavité, les atomes se retrouvent donc coincés. Les atomes excités amplifient la lumière, les autres l'absorbent. Si on veut amplifier cette lumière, il faut qu'il y ait plus d'atomes excités que d'atomes se trouvant dans leur état fondamental. On utilise donc des atomes qui mettent longtemps à se désexciter. C'est le principe de l'inversion de la population.

… L'anti-laser l'absorbe


On peut dire sans trop se tromper que l'anti-laser est l'opposé du laser. En effet, ce dernier produit de la lumière alors que l'anti-laser est conçu pour l'absorber. Et, c'est en s'appuyant sur les travaux du physicien Douglas Stone (il y a deux ans), qu'un groupe de chercheur mené par le professeur Hui Cao conçoit et teste l'appareil. La machine est pour le moment capable d'absorber 99.4 % des rayons émis, ce qui est très prometteur.

Image utilisateur
Comme dit précédemment, l'anti-laser et le laser sont radicalement opposés, dans leur utilité mais aussi dans leur fonctionnement. En effet, le laser est doté d'une cavité pour amplifier les rayons, l'anti-laser lui, a une cavité qui sert à absorber les fameux rayons. C'est le milieu absorbant. Concrètement, deux rayons arrivent dans des extrémités opposées, et si l'appareil est réglé sur la bonne fréquence, les rayons sont alors absorbés. Notez d'ailleurs que la longueur d'onde d'un rayon lumineux, et la fréquence de ce même rayon sont liées.

De nouveaux horizons ?


Cette avancée déjà qualifiée d'extraordinaire, ouvre la porte à d'autres projets qui avancent lentement, comme l'ordinateur optique. L'anti-laser jouerait alors le rôle d'un commutateur optique dans ces ordinateurs. Au lieu d'utiliser le transfert d'électrons, on utiliserait donc des rayons lumineux. Ces machines traiteraient donc l'information autrement que nos ordinateurs actuels. On s'orienterait donc vers des moyens de communication sans fil, grâce au laser. En effet, en envoyant par exemple un faisceau en direction d'un anti-laser, ce dernier absorberait le rayon incident et le convertirait en un signal électrique.

D'autres domaines s'ouvrent aussi grâce à cette nouvelle technologie. On note par exemple les applications médicales, notamment en imagerie. Il est en effet impossible de reconstituer une image d'une tumeur dans le tissu humain, car elle est opaque. On parle aussi d'applications pour détecter les polluants dans l'atmosphère. Enfin, vous l'aurez compris, c'est encore un pas de plus dans la grande course au progrès.

REF.:

Créer une tounne instrumentale,en retirant la voix d'une chanson,avec le logiciel Audacity

Que cela soit pour un karaoké ou pour vous entrainer à chanter sur votre chanson préférée, le logiciel gratuit Audacity vous permet de retirer la partie vocale d'une chanson afin de ne conserver que les instruments. Le résultat est saisissant.

Téléchargez Audacity dans la logithèque PC Astuces et installez-le.
Lancez le logiciel en double cliquant sur son raccourci sur le Bureau ou dans le menu Démarrer.
Cliquez sur le menu Fichier puis sur Ouvrir.

Sélectionnez le fichier audio de votre chanson originale (au format MP3 par exemple) et cliquez sur Ouvrir.
Cliquez sur le menu Edition, sur Sélectionner puis sur Tout. La totalité de la chanson est sélectionnée. Si vous préférez travailler sur un morceau précis de la chanson, sélectionnez-le.
Cliquez sur le menu Effets puis sur Vocal remover.

Laissez les réglages par défaut et cliquez sur OK.
Votre fichier audio est alors traité. Cliquez sur le bouton Lecture pour écouter le résultat. Si vous n'êtes pas satisfait, annulez l'opération (Edition, Annuler) et recommencez avec une plage de fréquence différente.

Cliquez alors sur le menu Fichier puis sur Exporter.
Sélectionnez le type Fichiers MP3, choisissez un dossier et donnez un nom à votre fichier instrumental et cliquez sur Enregistrer.

REF.:

mardi 1 mars 2011

Au Canada les fraudes par cartes de débit se chiffrent à 95 millions de dollars

Vol d’identité

Un véritable fléau au Canada


Vol d’identité - Un véritable fléau au Canada


MONTRÉAL – L’usurpation d’identité, l’hameçonnage sur internet, le vol de cartes de crédit et autres fraudes en tout genre sont devenus un véritable fléau qui coûte des milliards de dollars aux Canadiens chaque année. À l’occasion du Mois de la prévention de la fraude, plusieurs acteurs du monde économique et les forces de l’ordre s’unissent pour lutter contre les criminels.

«D’après nos plus récentes études, 97% des Québécois sont conscients des risques liés au vol d’identité et 80% d’entre eux sont inquiets du rôle considérable d’internet. Malgré tout, ils doivent s’informer davantage puisque le pays vit un problème sérieux», a affirmé Sylvain Patry, expert en vol d'identité et premier vice-président de ProtegeMonIdentite.ca.

Il s’agirait d’un phénomène global de grande ampleur en constante augmentation. C’est d’ailleurs le crime en plus forte croissance au pays. Une personne sur six serait touchée.

«Trop souvent, les Canadiens participent à leur insu aux manœuvres frauduleuses qui les dépouillent de sommes importantes […] Le vol d’identité est probablement le pire de tous ces problèmes, car il est pernicieux. Souvent, les gens ne s’en doutent pas et les dommages peuvent être multiples», a dit M. Patry.

La fraude englobe une panoplie d'activités criminelles: la fraude hypothécaire, les arnaques par courriel, les fausses offres d'emploi ou encore les médicaments sur ordonnance illicites.

Cette année, plus de 500 millions de dollars de pertes proviennent de la fraude au crédit dans la Belle Province, selon Sylvain Patry.

En 2006, près de 6000 dossiers de fraude par cartes ou guichets ont été signalés, selon des données de la Sûreté du Québec. Les statistiques du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) font état de plus de 40 millions de dollars retirés frauduleusement des guichets automatiques chaque année, dans la grande région métropolitaine.

Dans l’ensemble du Canada, il y aurait plus de 55 millions de cartes de crédit en circulation et les pertes suite à une fraude par cartes de débit se chiffrent à 95 millions de dollars selon les Travaux publics et Services gouvernementaux du Canada.

Pour lutter contre cette gangrène économique, le Bureau de la concurrence Canada s'associe à la Banque du Canada, à la Gendarmerie royale du Canada, à la Sûreté du Québec et au SPVM pour mener une campagne visant à sensibiliser la population aux risques des fraudes et aux moyens de les éviter.

Cette année les Bibliothèques publiques du Québec et le Réseau Biblio du Québec, qui regroupent plus de 900 bibliothèques municipales, participeront à cette campagne de prévention.

Plusieurs conférences sur le sujet seront également proposées durant tout le mois de mars.

Pour obtenir plus d’information, on peut consulter le site www.protegemonidentite.ca



Killzone 3

PlayStation 3 - Killzone 3 : intense, mais beaucoup trop court!
La richesse graphique de ce titre est indéniable et en fait l’un de plus beaux sur PS3.
© Courtoisie



MONTRÉAL - L’un des jeux les plus attendus de cette année sur la PS3 est enfin sorti. Il est techniquement incroyable, il bénéficie d’un mode en ligne abouti et d’un mode solo intense, mais beaucoup trop court.

L’histoire prend place juste après la fin du deuxième opus. Sur la planète Helghan, les humains sont pris sous le feu des armées Helghast. Leur victoire a été de courte durée, et les voilà désormais pourchassés sans pitié sur la planète de leurs ennemis, revigorés par un nouveau gouvernement encore plus belliqueux que le précédent, et prêt à tout pour anéantir les terriens.

De belles qualités

Comme le précédent opus, la réalisation confirme Killzone 3 comme une des séries les plus abouties sur PlayStation 3. Graphismes superbes, textures incroyables, détails à foison, la richesse graphique de ce titre est indéniable et en fait l’un de plus beaux sur PS3.

Le mode solo se révèle extrêmement intense, avec une histoire qui avance vite, et de nombreuses phases dans divers véhicules futuristes. On peut néanmoins reprocher à ce mode solo d’être plus facile que celui de Killzone 2 et surtout, l’absence de places difficiles à prendre comme l’assaut final du précédent opus.

Killzone 3 s’enrichit aussi d’un mode coopération, mais seulement en écran séparé pour le jouer à deux sur la même console.

Le multijoueur n’est pas oublié avec un mode en ligne toujours aussi solide. La nouvelle configuration des touches offre au jeu une réactivité et un gameplay proches de la perfection. On est obligé de se déplacer en permanence, impossible de camper pour tirer les ennemis, il faut être mobile et faire attention à tout au risque de mourir rapidement.

Des défauts importants

Malgré toutes ses qualités, Killzone 3 est desservi par un mal assez frustrant : le peu de contenu. Le mode solo est trop court avec sa durée de vie d’un peu plus de 6 heures pour l’histoire principale.

Le multijoueur souffre quant à lui d’un manque évident de cartes, et on en fait vite le tour. Les jeux sont déjà relativement dispendieux, donnez aux joueurs du plaisir plutôt que de les frustrer Messieurs de Sony! On a un premier pack de cartes supplémentaires pour 5 $ à télécharger et il y en aura d’autres sûrement à 10 $ qui vont être disponibles dans les prochains mois.

Difficile à avaler, surtout que son principal concurrent, Gears of War 3 sur Xbox 360, ne risque pas de se priver lui (si l’on se réfère aux deux premiers épisodes) d’offrir un contenu riche en ligne.

La cote du Grand Téodulle : Un 10,5/10 ;)

REF.:

dimanche 27 février 2011

Bientôt la 5G ? Nonnnnnnnnnn...........

L’arrivée de la 2G et le succès surprise du GSM, dont le premier réseau fut inauguré en Finlande en 1991, nous fit découvrir le vrai potentiel de ce nouveau moyen de communication individuel. Le premier contenu mobile commercialisé en 1998 – une sonnerie – et l’introduction de l’e-mail mobile en 1999 par Blackberry échauffèrent les esprits. La 3G fut ainsi annoncée à grand renfort de lancements commerciaux et d’anticipations boursières. Les cours s’enflammaient à la perspective d’une multitude de nouveaux services que laissait alors entrevoir le croissement du mobile et de l’Internet. Et ce, au moment même où la barre symbolique du premier milliard d’abonnés venait d’être franchie. Dix ans exactement après la 2G, la 3G était lancée au Japon en 2001, donnant la possibilité à des téléphones de nouvelles générations de dévoiler leurs talents. Lancé dès 1996 avec un certain succès, le Nokia Communicator a été le premier téléphone à proposer des applications de bureautique comme la messagerie ou l'agenda. Mais il a fallu attendre l’iPhone en 2007 pour ouvrir le marché de masse aux smartphones.

L’histoire de la 4G a été fort différente, même si une fois encore le cycle décennal s’est vérifié, avec les premiers déploiements commerciaux dès 2009 de TeliaSonera en Suède, puis de MetroPCS Communications au Texas. Ces périodes pionnières sont toujours l’occasion pour les continents de relancer une course incertaine devant leur permettre de garder ou de reprendre la main. L’Europe du GSM et de ses champions industriels a été rattrapée par l’Asie de la 3G, alors que les Etats-Unis revenaient dans la course à l’occasion de la 4G. L’Internet pouvait enfin coloniser les vastes territoires du mobile. En permettant un transfert de données de 50 mégabits par seconde minimum, soit une multiplication par deux des capacités offertes par la 3G, le LTE était la seule solution pour que ne se reproduise pas un scénario d’écroulement de réseaux comme ce fût le cas pour celui d’AT&T à New York en ce Noël 2009. De lourds investissements ont ainsi été mis sur la table pour faciliter, dès 2015, l’accès à l’Internet mobile à près de 3 milliards de personnes sur près de 6 milliards d’abonnés mobile dans le monde – dont déjà près de 400 millions d’abonnés au LTE.

L’économie du mobile s’est à cette occasion encore complexifiée. Le réseau ultra-haut débit est en réalité constitué d’une architecture hétérogène visant à optimiser, pour l’opérateur sa gestion et ses coûts d’investissements, et pour l’abonné la qualité et les tarifs. Il y a du LTE en majorité, bien sûr, autant que possible combiné aux déploiements de la fibre pour permettre d’écouler le trafic, mais également du Wi-Max pour intégrer des zones moins denses. Sans oublier la 3G qui reste encore le réseau le plus répandu. Les terminaux intègrent également de nouvelles facilités de connexion autorisant les abonnés à utiliser cette vaste infrastructure locale que constitue les « hot spots » Wi-Fi et les Femtocells, mais également les terminaux mobiles eux-mêmes transformés en autant de « hot spots nomades ».

Même si aujourd’hui la 4G est encore en plein phase de déploiement relayée par la 4G Advanced, les spécialistes ont récemment accéléré les discussions devant permettre le lancement de la 5G, attendue avec impatience pour dépasser les limites du LTE et donner corps au véritable World Wide Wireless Web.