Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

mercredi 15 juin 2011

Couches lavables Après les bébés, les aînés?


Santé | Couches lavables - Après les bébés, les aînés?
L’éducatrice Linda Comeau est une fervente adepte des couches lavables qui, affirme-t-elle, lui permettent de donner « un petit coup de pouce » à l’environnement. 
© Sarah-Maude Lefebvre/Agence QMI

Après avoir réussi à instaurer un système de couches lavables dans une dizaine de services de garde de Montréal, un organisme communautaire veut maintenant implanter le même procédé dans les CHSLD. Un projet controversé qui est loin de faire l’unanimité.
EN VIDÉO:
VOTRE OPINION :
En septembre prochain, douze centres de la petite enfance (CPE) et garderies auront un système permanent de couches lavables, gracieuseté de la SODER, l’éco-quartier de l’arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie.
Sur papier, le projet fait rêver. Fini le temps où les parents devaient fournir à la garderie les couches-culottes de leur enfant. Maintenant, à un coût minime (1 $ par jour), le service de garde fournit la couche, qui est ensuite nettoyée et réutilisée.
Au CPE Coeurs de l’île, dans Rosemont, on ne tarit pas d’éloges à l’endroit de cette pratique.
« J’adore ça, confie l’éducatrice Linda Comeau. Ça ne change rien pour nous et on sauvegarde l’environnement. Maintenant, on va même plus loin en compostant les matières fécales recueillies dans les couches. Mais une chance qu’on a l’appui de la SODER. Sans eux, rien de cela ne serait arrivé. »
Des couches pour les aînés
Fort de son succès, la SODER veut maintenant implanter le même système dans les centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). Un projet-pilote, de concert avec le CSSS Lucille-Teasdale, pourrait débuter dès cet automne.
« On vise une implantation dans plusieurs CHSLD d’ici le printemps 2012 », confie le directeur général de l’organisme, Frédéric Bourrely.
Ce dernier s’avoue toutefois inquiet de l’impact que pourraient avoir sur son projet les nombreuses restrictions budgétaires imposées aux CSSS.
« Il faut être prêt à investir une certaine somme au départ, car une couche lavable coûte environ 15 $ l’unité. Mais ça a une durée de vie de deux à trois ans », fait valoir M. Bourrely.
« Ce projet en vaut la peine, poursuit-il. Les couches occupent la troisième place des ordures dans les sites d’enfouissement, après le papier et le plastique. De plus, selon nos estimations, les aînés consomment davantage de couches que les bébés sur l’île de Montréal. »
Plus écolo ?
Malgré le fait que l’utilisation des couches lavables implique une certaine consommation d’énergie, notamment pour la manutention et le lavage, Frédéric Bourrely assure que cette option est plus « écolo » au bout du compte.
« Il n’y a rien de pire que le site d’enfouissement, point à la ligne. »
Quant à la propreté de ces couches réutilisables, ce dernier tient à se faire rassurant.
« Nous avons recours à un processus industriel sophistiqué qui comprend 16 étapes de lavage. Rassurez-vous. C’est propre, propre, propre. »
«Laissez-les plutôt aller à la toilette»
« Commençons donc par s’occuper correctement de nos aînés et les laisser aller à la toilette, avant de penser aux couches lavables », s’insurge Luc Vallerand, directeur de l’Association québécoise des retraités des secteurs publics et parapublics (AQRP).
Comme bien d’autres de ses collègues qui oeuvrent pour la défense des droits des aînés, ce dernier questionne la pertinence du projet de la SODER, alors que des « questions urgentes » ne sont toujours pas réglées dans les résidences pour personnes âgées.
« Il n’y a même pas assez de personnel dans les CHSLD pour changer les couches jetables des personnes âgées, plaide-t-il. On manque de ressources et les besoins essentiels des aînés ne sont pas comblés. »
« Disons que les préoccupations environnementales ne font pas partie de nos priorités », ironise-t-il.
Dignité
La question de la « dignité des aînés » pose également problème, fait aussi remarquer Danis Prud’homme, directeur général de la Fédération de l’âge d’or du Québec (FADOQ).
« On n’encourage pas le port de la couche, point. Il faudrait d’abord que l’on amène les gens à la toilette, plutôt que de passer par la solution facile de la couche, comme c’est le cas dans beaucoup d’endroits », affirme-t-il.
D’un côté comme de l’autre, les différentes associations de défense des aînés en appellent à la « prudence ».
« Avant de dire oui à tout cela, il faudrait d’abord effectuer une étude sérieuse pour savoir si ça vaut la peine au point de vue environnemental. Il faut aussi que les risques d’insalubrité soient pris en compte, avant de se lancer là-dedans tête première », soutient Paul Brunet, du Conseil pour la protection des malades.
Plus de 3,3 millions de Canadiens souffrent d’incontinence. 

Hymne au « Kébèk » de Raoul


Société Saint-Jean-Baptiste - Hymne au « Kébèk »
Le Québec a dorénavant son hymne.
© Sébastien St-Jean/24H Montréal/ AGENCE QMI


MONTRÉAL — Créer un hymne national québécois, c’est le mandat qu’avait confié la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJB ) à l’auteur et interprète Raôul Duguay, une œuvre qui a finalement été dévoilée lundi.
C’est en présence de M. Duguay et du compositeur Alain Sauvageau que la première écoute publique du « Ô Kébèk » a eu lieu. Deux versions ont été créées, soit la version longue et une écourtée à deux minutes, plus accessible.
« Quand le gouvernement fédéral nous a reconnus comme une nation, l’idée est venue d’avoir notre propre hymne », a expliqué Charles Campbell, militant de la SSJB et initiateur de la démarche.
Contacté par la SSJB, Raôul Duguay s’est immédiatement senti interpellé. Le chanteur de « La bitte à Tibi », devenue hymne régional avec les années, s’est alors associé au compositeur Alain Sauvageau pour mener à bien le projet.
Un texte inclusif
Selon l’auteur, il est question de ceux qui sont venus enrichir le Québec dans le texte qui compose l’hymne, ainsi que de cette volonté d’intégrer plus facilement les personnes immigrantes.
« Un hymne n’est pas une chanson, c’est beaucoup plus que ça. Celui-ci propose une philosophie collective, l’idée d’unicité dans la diversité », a dit M. Duguay, avant d’expliquer que « la première chose que doit conquérir un peuple, c’est sa langue. Et un hymne porte la langue d’un peuple ».
C’est d’ailleurs pourquoi M. Duguay a choisi d’écrire le mot « Québec » dans une orthographe qui date de notre passé historique, soit « Kébèk ».
Pour Gérald Larose, président du Conseil de la souveraineté du Québec, cette œuvre n’est pas la première proposition d’hymne québécois, « mais elle sort du lot ». « Maintenant, ce sera au peuple de se l’approprier », a-t-il dit.
La pièce est disponible gratuitement sur le site www.hymnenationalokebek.com.
À l’heure actuelle, aucune démarche n’est prévue pour faire officialiser le « Ô Kébèk » comme étant l’hymne national québécois.

lundi 13 juin 2011

Un très beau film: Gerry


Canoe.ca
Chronique de Pierre Harel - Un très beau film

CHRONIQUE DE PIERRE HAREL

Un très beau film

Canoe.ca
13-06-2011 | 07h57
Un ami et voisin, qui se plaît à me taquiner, m'a fait lire aujourd'hui dimanche le 12 juin 2011, un extrait du journal La Presse me concernant.
Le producteur du film Gerry, Christian Larouche, y allègue que 95% des spectateurs à l'avant-première de Saint-Jean aimaient le film mais que le 5% résiduel, composé exclusivement de moi-même, ne l'aimait pas.
Chers amis, c'est faux! Je crois que M. Larouche cherche à me faire porter le bonnet pointu du trouble-fête! Je vais donc affirmer publiquement pour la quatrième ou cinquième fois, que je considère le filmGerry comme un très bon film, et que j'encourage tous les Québécois à se rendre dans un cinéma près de chez-eux pour le visionner et l'entendre, car la trame musicale y est magnifique.
Deux fois plutôt qu'une. Cependant, le fait que je considère ce film de fiction comme un film à voir absolument ne change en rien mon opinion concernant la véracité de certaines scènes relatant la période de 1971 à 1974 et surtout, concernant l'attitude et le comportement de Gérald Boulet alors membre ordinaire du groupe Offenbach.
Voyez-vous, jusqu'à ce que je quitte Offenbach définitivement en octobre 1974, alors que j'étais retourné à Paris pour me rendre compte de l'état «psycho-social» de mes quatre amis, Gerry et moi en étions à peu près à chanter moitié-moitié de ce que nous avions comme répertoire. Constatant que l'atmosphère était plutôt malsaine à Garches-les-Gonesses, j'avais alors accepté l'invitation de Serge Reggiani d'aller enregistrer quelques-unes de ses chansons au Studio Saravah.

QUELQUES INCONGUITÉS

L'aventure fut sans lendemain car au bout de trois jours je m'enfuis à l'aéroport vers mon Québec adoré, complètement paniqué à l'idée que je pourrais devenir célèbre en France. Quoi qu'il en soit et toujours est-il, je vous assure que je ne tomberai pas dans le piège de vous faire partager avec précisions et témoins occulaires, la liste des incongruités remarquables à partir de mon arrivée à l'écran jusqu'à l'exil en France.
En passant, au chapitre des incongruités, c'est moi qui ai amené les Offenbach à Paris. C'est Lucien Ménard et moi-même qui sommes allés en reconnaissance chez Mme Evelyne Vidal productrice du film Tabarnac afin de vérifier si les promesses du cinéaste Claude Faraldo étaient crédibles. Nous sommes revenus à Montréal au bout de quatre jours avec de bonnes nouvelles. Claude n'était pas un menteur ni un mythomane!
Une semaine plus tard, nous étions tous à Paris. Pourtant dans le film Gerry, la scénariste Nathalie Petrowski a omis de m'y faire paraître, tornicotant l'affaire pour faire dire à l'excellent Éric Bruneau, acteur de mon personnage, que je ne voulais pas aller en à Paris parce que je «n'aimais pas les Français». C'est fou n'est-ce pas? Non mais ça se peut-tu? J'étais à Garches! J'étais à Malesherbes!

DEUX ACTEURS: UN GRAND, L'AUTRE ORDINAIRE

Je logeais dans la chambre du prince, sous l'immense verrière des combles, avec des peaux d'ours et de loups tout autour de mon grand lit à colonnes, des candélabres, des fleurs et des chandeliers partout! Demandez à la belle Michèle Mercure qui est venue m'y voir quelques jours, la superbe amoureuse à l'origine de mon écriture de Câline de doux blues à Saint-Sauveur-des-Monts en 1972. Demandez à Willie, à Johnny, à Wézo! J'étais en France! Bon! OK là! Trève de souvenirs!
Pour la suite de ce beau film du cinéaste Alain Desrochers, je suis un spectateur ordinaire n'ayant pas été présent à partir de 1975 sauf après le retour d'Offenbach à Montréal, pour l'écriture de nombreuses chansons des albums Traversion et Never too tender. Enfin, j'ai l'honneur de souligner le travail extraordinaire de Mario Saint-Amant qui, comme il le dit et je le crois, s'est entièrement donné à personnifier Gérald Boulet jusqu'à ce que Gérald devienne «Gerry» au fil des ans.
Mario s'est tellement abandonné à jouer le rôle de «Gerry» qu'il serait devenu vide de lui-même, épuisé, presque psychotique comme Gérald. C'est le risque que prennent tous les grands acteurs depuis toujours, de mettre en jeu leur vie. Mario Saint-Amant est un grand acteur et Johnny, Willie, Wézo et Harel sont toujours vivants! Dieu merci...

Un internet «fantôme» pour déjouer la censure


Washington - Un internet «fantôme» pour déjouer la censure
 
©Shutterstock

WASHINGTON - L'administration Obama travaille sur un projet mondial visant à déployer un internet «fantôme» ainsi que des systèmes de téléphonie mobile permettant aux dissidents de déjouer la censure des régimes dictatoriaux, rapporte dimanche le New York Times.
Ces efforts ont été révélés lors de nombreuses interviews menées par le quotidien new-yorkais ainsi que dans des documents et des câbles diplomatiques secrets obtenus par ce dernier.
Les États-Unis mènent ainsi des projets discrets pour créer des réseaux de téléphones portables indépendants à l'intérieur de certains pays et conduisent aussi une opération digne du plus pur roman d'espionnage pour mettre en place un internet furtif.
Dans cette perspective, de jeunes entrepreneurs de Washington cherchent à mettre au point des équipements électroniques n'attirant pas l'attention et suffisamment compacts pour être transportés dans une valise de voyage ordinaire.
Financée par une allocation de deux millions de dollars du département d'État, cette valise pourra passer les frontières d'un pays donné et les équipements y être rapidement assemblés pour permettre des communications sans fil sur une vaste zone avec un accès à internet.
Certains de ces projets portent sur de nouvelles technologies en développement aux États-Unis tandis que d'autres s'appuient sur des techniques et outils déjà créés par des pirates informatiques.
Les réseaux de communications furtifs permettront aux activistes de pays comme l'Iran, la Syrie et la Libye de communiquer avec l'extérieur sans que le gouvernement puissent même les détecter, selon des participants à ce projet cités par la NYT.
Initiative de l'administration américaine
Dans un des projets les plus ambitieux, le département d'État et le Pentagone ont consacré au moins 50 millions de dollars pour créer un réseau indépendant de téléphone mobile en Afghanistan utilisant des tours sur des bases militaires protégées comme relais à l'intérieur du pays.
Ces efforts technologiques des États-Unis ont redoublé à partir du moment où, en Égypte, l'ancien président Hosni Mubarak, confronté à une vague de contestation massive, a décidé de couper internet peu avant d'avoir à quitter le pouvoir.
Dernièrement, le gouvernement syrien a temporairement interrompu internet dans la plupart du pays pour empêcher la mobilisation des manifestants.
L'initiative de l'administration Obama est dans un sens un nouveau front dans les efforts diplomatiques américains menés de longue date pour défendre la liberté d'expression et encourager la démocratie.
Durant des décennies, les États-Unis ont produit des émissions de radio diffusées dans les pays autocratiques par le biais notamment de Voice of America.
Plus récemment, Washington a apporté son soutien au développement de logiciels qui préservent l'anonymat des utilisateurs dans des pays comme la Chine et pour former des citoyens de ces pays afin de faire passer des informations via le réseau internet contrôlé par le gouvernement sans être détecté.

REF.:

Livre de Geek pour l"été:


Net Force 4 : Point de rupture



ISBN: 978-2253113003
Synopsis:
2011. Des fichiers de recherche ultra-secrets ont été piratés. Ils portent sur une arme hautement sophistiquée qui utilise des ondes basse fréquence et est capable d’atteindre les fonctions cérébrales des individus pour les transformer en véritables machines à tuer.
Les unités de la Net Force doivent intervenir au plus vite. Déjà, au fin fond de la campagne chinoise, des paysans, pris de folie, s’entretuent. Aux commandes de ce massacre : la Chine et… des milices américaines d’extrême droite. L’objectif : maîtriser la planète. Au-delà de la sécurité du renseignement et de la défense, c’est l’équilibre du monde qui est en jeu.

Commentaire:

Après Net Force 1, 2, 3, voici la suite de la série culte signée Tom Clancy. Entre réalité virtuelle et géopolitique, espionnage et technologie de pointe,Net Force explore le web du futur.


Rainbow Six T2

Mardi 3 mai 2011

ISBN:

Synopsis:

Alors que le monde se prépare à suivre les jeux Olympiques, des attentats terroristes endeuillent l'Autriche, la Suisse, l'Espagne. A la tête de l'unité spéciale Rainbow Six, qui comprend des agents de divers payx, John Clark, le héros de Dangers immédiat et de La somme de toutes les peurs, a pour mission d'y mettre un terme.
Bien vite, il va se trouver face à un foisonnement d'énigmes. Quelle relation y a-t-il entre ces attentats et les disparitions de jeunes femmes sur lesquelles enquête le FBI? Quelles recherches mène donc le trust pharmaceutique de Dr Brightling, nécessitant l'installation d'un laboratoire au fin fond du Kansas?
Le péril que Rainbow Six va devoir affronter dépasse l'imagination. L'enjeu n'en rien moins que l'anéantissement de l'espèce humaine.

Commentaires:

Jamais l'auteur d'Octobre Rouge n'était allé aussi loin. Et de façon plus terriblement vraisemblable…

Cyber spy

15 mai 2011 à 6:00
ISBN:  978-2253171935
Synopsis:
Les secrets les mieux gardés des grandes industries du monde entier se retrouvent soudain affichés sur le Net et livrés à la connaissance du grand public, avec, bien sûr, des conséquences dramatiques. Pour le capitaine Winters, l'officier de liaison de la Net Force, ces fuites ne peuvent venir que d'un jeune pirate, un génie de l'informatique trop arrogant qui veut prouver son intelligence au monde entier. Tous les soupçons se portent sur l'invention révolutionnaire de Luddie MacPherson: l'ordinateur "Prêt à porter". Jeune Explorateur de la Net Force et génie de l'informatique lui aussi, David, qui vient d'être embauché par cette société, comprend vite d'où vient la faille: cet ordinateur diabolique est capable de lire les pensées de celui qui le porte… Mais cette faculté en fait une arme redoutable… et convoitée par des espions sans scrupules qui voudraient s'en emparer et l'exploiter à leurs fins. Alors qu'il est sur le point de démasquer le coupable, David doit penser à protéger ses amis et sa famille des menaces ennemies.


REF.:
http://www.pouchin.com/thriller/tag/rainbow-six/
http://www.pouchin.com/thriller/tomclancy/cyber-spy/