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mercredi 22 juin 2011

Child of Eden l'un des jeux Kinect les mieux reçus par la critique, avec un score Metacritic de 85


 Child of Eden | Xbox - Un jeu Ubisoft Kinect porté aux nues par la critique

©Ubisoft / Q Entertainment

Child of Eden | Xbox

Un jeu Ubisoft Kinect porté aux nues par la critique


Sorti tout récemment, Child of Eden, d'Ubisoft, n'est pas seulement la suite d'un shoot 'em up culte mais aussi l'un des jeux Kinect les mieux reçus par la critique, avec un score Metacritic de 85, dépassant de trois points celui de Dance Central.
Comme son prédécesseur Rez (2002), Child of Eden est un jeu de tir dans un environnement évolutif dont la musique et la géométrie changent à mesure que l'on progresse. Machinima résume ainsi l'argument narratif du jeu: «Vous parcourez le web du futur pour sauver la version numérique de la première fille née dans l'espace».
«Chaque arme dispose d'un effet sonore contextuel particulier», explique Jose Otero de 1UP. «La traceuse, par exemple, ajoute une couche de caisses claires à la musique et le verrouillage des cibles introduit une plus grande variété d'échantillons sonores.» Le résultat est un «jeu de tir audio-visuel à la première personne remarquable», doté «des décors les plus splendides, chatoyants et fascinants jamais vus dans un jeu».
Qu'il soit possible d'y jouer à l'aide d'une manette n'a pas empêché Griffin McElroy de Joystiq d'y voir «la réalisation la plus complète du potentiel du [capteur de mouvement] Kinect». Une faiblesse cependant: c'est un jeu très court. La plupart des critiques déplorent qu'il dure entre 60 et 90 minutes seulement.
Mais comme LIMBO et Portal avant lui, autres coqueluches de la critique, et comme Rez, impossible de prendre la mesure de Child of Eden en une seule partie. Ce serait rater, selon Griffin McElroy, un jeu «absolument essentiel».
Simon Parkin, de Eurogamer, voit Eden comme un «voyage audio-visuel dans tous les sens du terme», «un périple hors du corps et à travers l'histoire de l'humanité», «une expérience transcendante, de celles qu'on peut avoir à 2h du matin, seul en boîte, ou au sommet d'une montagne, au lever du soleil, casque sur les oreilles».
Child of Eden a beau avoir remplacé le point de vue objectif de Rez par une vue à la première personne plus propice à l'immersion, il demeure très différent des jeux de tir classiques: Simon Parkin s'est surpris à tirer «non pas pour détruire mais pour construire» grâce à des balles fonctionnant comme des «catalyseurs qui déclenchent la floraison de bourgeons ou l'évolution de créatures des grands fonds».
Il existe un mode compétitif, où il s'agit de battre les scores de ses amis et d'optimiser chaque tir en éliminant les ennemis par groupes de huit au rythme de la bande-son.

Lawrence Sonntag de Machinima précise tout de même: «Je conseillerais ce jeu sans la moindre réserve au joueur adéquat, mais à votre place je m'assurerais [avant de l'acheter] que c'est bien mon truc».
Comment savoir si Child of Eden serait votre «truc»? En regardant ces vidéos publiées par Ubisoft, pour commencer.
Autre méthode, suggérée par Jon Blyth de Xbox 360 The Official Xbox Magazine: «Téléchargez Rez HD pour le prix atrocement raisonnable de 800MP et essayez le jeu vieux de dix ans qui a inspiré celui-ci». Une demo jouable de Rez HD est téléchargeable gratuitement sur Xbox Live.


La Cote a TÉ0: Un 10,5/10

REF.:
http://child-of-eden.uk.ubi.com/

http://www.youtube.com/user/ubisoft#p/c/E620A7ECB6F6E5AB/0/8YhYcIZrMCI

Anonymous et LulzSec menace les gouvernements du monde entier


Piratage informatique

Une vidéo menace les gouvernements du monde entier

Piratage informatique - Une vidéo menace les gouvernements du monde entier
 
©YouTube.com


Une vidéo publiée sur YouTube par les groupes de pirates Anonymous et LulzSec menace les gouvernements du monde entier.
Les hackers, qui sont auteurs d’attaques ciblées contre les gouvernements brésilien, italien, turc, et contre le FBI, entre autres, affirment dans cette vidéo que l’«information censurée par les gouvernements ne leur appartient pas» et qu’elle devenait une cible directe pour les pirates. Ils ajoutent qu’ils veulent exposer les crimes commis par les élus.
L’opération #AntiSec se veut, selon les membres d’Anonymous, une attaque en règle contre la corruption des gouvernements dans le monde.
Depuis quelques semaines, les opérations anti-sécurité de LulzSec et Anonymous font les manchettes. Les autorités ont affirmé avoir arrêté quelques-uns de leurs membres.
Ils ont déjà volé des informations gardées secrètes sur les serveurs de Sony, Nintendo, la CIA (Central Intelligence Agency) et la SOCA (Serious Organized Crime Agency) anglais, entre autres.
À l'opposée, des groupes de hackers se sont concentrés à détruire LulzSec, tels WebNinjas et TeamPoison.
Les deux groupes offrent des logiciels-maison pour lancer des attaques à partir de son ordinateur personnel ainsi que des guides d’utilisation.
Voyez la vidéo en cliquant ici.
Autres nouvelles :
20 juin : LulzSec s'en prennent à la police britannique
21 juin : Arrestation d'un jeune de 19 ans, membre présumé de LulzSec
22 juin : Brésil: Les pirates de LulzSec revendiquent une attaque



Facebook espionné par Agatha


Voici encore une fois une autre preuve pour signifier à tous les utilisateurs de
Facebook
Facebook
Facebook de faire très attention à ce qu’ils publient sur le réseau social. En effet, un jeune chercheur en informatique, âgé de 22 ans, a mis en place un système d’espionnage dédié au portail communautaire, Facebook. Son but serait concrètement d’espionner les utilisateurs du réseau en accédant à l’intégralité des informations d’un membre Facebook préalablement piégé. Par contre, il n’aura pas besoin pour ce faire, de voler les identifiants de connexion du-dit membre.ZATAZ.COM a pu constater que la collecte d'informations est pléthorique : messages sur le mur, le statut, les vidéos, les photos, les informations personnelles, les messages reçus et envoyés, l'email, etc. Agatha [nom tiré de l'une des voyantes, précog, du film Minority Report, NDR] permet de monitorer les personnes infiltrées. "Pas besoin de sniffer les mots de passe comme ont pu le faire les opérateurs Internet pour aider les anciens gouvernements Tunisien et Égyptien." Agatha bypass la sécurité https, tout simplement ! Reda Cherqaoui, car c’est ainsi que s’appelle ce jeune étudiant, explique que son principe est simplement celui de bypasser la sécurité du HTTPS. Un système d’espionnage qui lui permet d’accéder à de nombreuses informations sur Facebook comme messages sur le mur, le statut, les vidéos, les photos, les informations personnelles, les messages reçus et envoyés, l’email, etc.Après Agatha, Reda commence à travailler sur un autre système de monitoring. Cette fois, le chercheur s'interesse aux téléphones portables. "Ici aussi, s'amuse-t-il,l'exploitation se fera en remote. Pas besoin d'avoir un accès physique au téléphone portable."

dimanche 19 juin 2011

L'enzyme collagénase a la rescousse des pontages


Toronto - Nouveau traitement pour désobstruer les artères
 
© AFP


TORONTO – Des chercheurs du Centre Sunnybrook des sciences de la santé, à Toronto, ont mis au point un nouveau traitement qui permet de désobstruer les artères, un peu à la façon dont le Drano débouche une conduite bloquée.
Le Dr Bradley Strauss et son équipe ont mené un essai clinique sur une quinzaine de personnes. Il s’agissait d’un groupe de patients du Centre Sunnybrook sur lesquels l’angioplastie avait échoué à au moins une reprise.
L’angioplastie est une technique médicale qui vise à dilater des artères rétrécies, à l’aide d’un petit ballonnet gonflable placé au bout d’une sonde.
Les artères des participants étaient complètement bloquées par des plaques. Celles-ci sont des dépôts de graisse qui s’accumulent dans les artères, réduisant ainsi la circulation sanguine vers le cœur.
L’essai clinique consistait à injecter dans l’obstruction de l’artère une enzyme nommée collagénase. Cette enzyme permet de ramollir la plaque qui bloque l’artère, et ce, en l’espace d’une nuit seulement.
«Cette enzyme ramollit le collagène à l’intérieur de la plaque. Par la suite, celle-ci est plus facile à traverser avec nos instruments lors de l’angioplastie», explique le Dr Strauss.
Durant les tests, une angioplastie a pu être réalisée le jour suivant chez 12 des 15 patients qui avaient reçu l’enzyme. Le Dr Strauss estime qu’en désobstruant ainsi l’artère, certains patients pourraient même ne pas avoir à subir de pontage. Un plus vaste essai clinique de l’enzyme sera mené sous peu au Canada et aux États-Unis.
Environ 11 000 pontages sont effectués chaque année au Canada.

Intervention en Irak: Quand l'administration Bush demandait à la CIA de discréditer un détracteur

WASHINGTON - L'administration Bush a demandé à la CIA de lui fournir des éléments compromettants sur un historien qui critiquait l'intervention en Irak, selon les aveux au New York Times d'un ancien de la centrale de renseignements américaine.
Cet ancien agent, Glenn Carle, raconte dans le détail au journal deux épisodes au cours desquels la CIA a été priée de fournir directement à la Maison Blanche tout renseignement scabreux qu'elle dégotterait sur Juan Cole.
Les positions de ce professeur d'histoire de l'université du Michigan, spécialiste du Moyen-Orient, «contredisaient la propagande de l'administration qui cherchait à présenter l'opération en Irak comme une réussite lumineuse», a expliqué M. Cole jeudi sur son blog.
En 2005, raconte M. Carle, au retour d'une réunion à la Maison Blanche, son supérieur lui a demandé ce qu'il pourrait «trouver sur (M. Cole) pour le discréditer». «La Maison Blanche veut sa peau», aurait ajouté ce supérieur, David Low. Interrogé par le New York Times, celui-ci a affirmé «n'avoir aucun souvenir» de l'épisode.
M. Carle se souvient en revanche de l'échange avec son supérieur et assure avoir refusé. Depuis les excès de l'ère Nixon, la Centrale a interdiction totale d'espionner et de mener des enquêtes sur des citoyens si la sécurité nationale n'est pas en jeu.
L'agent a rapporté l'incident au responsable de son unité, le Conseil national du renseignement.
Mais le lendemain, il se souvient avoir intercepté un dossier comportant «des notes désobligeantes sur le style de vie» de Juan Cole qui allait partir vers la Maison Blanche.
Quelques mois plus tard, un collègue se montre déconcerté par un courriel qu'il vient de recevoir du bureau de l'adjoint au renseignement de la CIA, John Kringen. Ce courriel le somme de «réunir des informations» sur Juan Cole, qui critique l'administration lors de ses conférences et sur son blog.
M. Carle va donc à la rencontre de l'assistant de M. Kringen qui a rédigé le courriel. «Vous avez lu son blog ?», lui aurait répondu celui-ci. «Il est vraiment très hostile à l'administration», aurait-il ajouté.
Ce deuxième épisode a été confirmé au New York Times par des responsables du renseignement parlant sous couvert d'anonymat.
M. Carle a menacé de prévenir le bureau de l'inspecteur général de la CIA. Le second incident était clos.
«J'espère que le Sénat et la Chambre vont immédiatement ouvrir une enquête sur cette infraction manifeste à la loi de la part de l'administration Bush et des responsables de la CIA concernés», a écrit Juan Cole sur son blog.
Interrogée par l'AFP jeudi, la CIA a refusé de réagir.
Affaire Valerie Plame
La sensibilité de l'administration Bush à l'égard de ses détracteurs, au point de sortir de la légalité, s'était déjà illustrée en 2003 dans l'affaire Valerie Plame.
Le mari de cette agente de la CIA travaillant sous couverture avait publiquement dénoncé les affirmations de l'administration sur la présence d'armes de destruction massive en Irak. Un jour, elle a découvert que son nom avait été révélé à la presse.
L'enquête a montré que l'ordre de divulguer son identité provenait des plus hautes sphères de l'administration.
Le New York Times avait également appris aux Américains en 2005 l'existence d'un vaste programme d'écoutes téléphoniques mené par l'administration sans aucun mandat de la justice.
L'article du New York Times est signé jeudi par James Risen, prix Pulitzer, que l'administration Obama a convoqué fin mai au procès d'un ancien de la CIA pour révéler sa source. James Risen a annoncé qu'il ne répondrait pas à cette convocation.