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samedi 12 novembre 2011

Cell Quadi-coeur déja prévus pour le premier trimestre et le début du deuxième trimestre 2012


Ce smartphone Android qui n’a pas encore été officialisé serait équipé d’un écran 4,7 pouces et d’un processeur Tegra 3 quadri cœurs.
HTC a dans ses cartons un smartphone Android qui devrait mettre la barre encore un peu plus haut en termes de performances. Selon des fuites et les premières images glanées par Pocketnow.com, le HTC Edge sera équipé d’un processeur Tegra 3 intégrant quatre cœurs de 1,5 GHz chacun.
HTC Edge 
Il devrait s’agir d’un des tout premiers smartphones quadricœurs du marché. Apparemment, le Edge serait le successeur du tout nouveau Rezound annoncé la semaine dernière avec une configuration assez proche : écran 4,7 pouces, 1 Go de mémoire vive, capteur photo 8 mégapixels (vidéo HD 720p), 32 Go de stockage interne, Bluetooth 4.0.
Sa sortie est prévue entre la fin du premier trimestre et le début du deuxième trimestre 2012. (EP)

Donc le iPhone 5 et le iPad-3 pourrait ne pas rivaliser avec ces nouveau venu !

Nvidia présente son SoC Tegra 3 quadri cœurs


 Le SoC repose sur 4 processeurs 1,3 GHz et une puce graphique GeForce 12 cœurs(ayoye les cartes vidéo du future) qui supporte notamment la 3D stéréoscopique.
Nvidia a officiellement dévoilé on system on a chip (SoC) Tegra 3 connu sous le nom de code Kal-El. Cette plateforme que l’on retrouvera dans les smartphones et tablettes entre la fin de l’année et début 2012, repose sur la première architecture quadri cœurs ARM Cortex A9.
Chaque cœur est cadencé à 1,3 GHz ou 1,4 GHz si un seul cœur est sollicité. En plus de ces 4 cœurs principaux, le Tegra 3 possède un 5ème « cœur compagnon » basse consommation qui est employé pour des tâches peu gourmandes en énergie comme écouter de la musique, lire une vidéo ou faire une mise à jour.
Asus a tiré le premier

Côté graphismes, le Soc embarque un processeur GeForce 12 cœurs qui, selon Nvidia, délivre des performances 3 fois supérieures à celle du Tegra 2 pour une consommation inférieure de 61%. D’après le fondeur, on pourrait lire jusqu’à 12 heures de vidéo HD.
Au final, le Tegra 3 promet d’améliorer les usages comme la navigation web en étant plus performant sur HTML5, WebGL, Flash et JavaScript, la photo et la vidéo (qualité Blu-ray en lecture, encodage en 1080p) ainsi que le multitâche. Nvidia indique que le Tegra 3 est en production et que le kit développeurs dédié est disponible. 

L’un des premiers modèles de smartphone équipé de ce SoC pourrait être le HTC Edge dont les premières images et détails techniques viennent de fuiter. Côté tablettes, c’est Asus qui a tiré le plus vite avec son EeePad Transformer Prime de 10,1 pouces qui devrait arriver courant janvier. (Eureka Presse)
 



jeudi 10 novembre 2011

DSQ dans le cul: Pas de commentaires.........ou 100 commentaires ?

Canoe – Infos – National: Pas de commentaires

Dossier Santé - Pas de commentaires
Yves Bolduc
© Agence QMI / Archives


Tant le ministre de la Santé, Yves Bolduc, que le docteur André Simard, architecte de la première heure du Dossier santé Québec, refusent d'expliquer un tel recours massif aux consultants privés malgré l'importance des effectifs au ministère. Questionné sur les raisons qui ont motivé ce choix, le docteur Simard a plaidé le caractère confidentiel des ententes qui l'on lié au gouvernement.
«Écoutez, j'étais à contrat et le ministère était mon client, alors ça fait partie de mon éthique professionnel, je ne formulerai pas de commentaires», a-t-il répondu posément lorsque sollicité par le Journal.
Il a aussi refusé d'expliquer les circonstances de son départ à l'automne 2009, que certains observateurs attribuaient à une volonté du ministre ayant succédé à Philippe Couillard, Yves Bolduc, de redonner le contrôle du projet au ministère. Invité par le Journal à expliquer les choix organisationnels et l'attribution d'une pléiade de contrats de services-conseils pour informatiser le réseau, le ministre Bolduc a préféré passer son tour.
«Le projet de DSQ fait l'objet d'une vigie du Vérificateur général du Québec, alors le ministre n'a rien à ajouter», a fait savoir son attachée de presse, Natacha Joncas-Boudreau. La nouvelle sous-ministre responsable, Lise Verreault, a pour sa part accepté de présenter sa vision pour la suite des choses, qui sera présentée dans le Journal demain.
* * *

Sans appel d'offres

Depuis les débuts du DSQ, le ministère de la Santé a accordé 14 contrats de plus de 25 000 $ sans appel d'offres, pour une valeur totale de plus de 1 million $.
«Exceptionnellement, des contrats se situant entre 25 000 $ et 100 000 $ peuvent être octroyés sans appel d'offres et sont alors autorisés par le dirigeant de l'organisme en raison d'une spécialité ou d'une expertise particulière», a fourni comme explication le service des communications du ministère.
Ainsi, l'ancien directeur des projets du DSQ à la Régie de l'assurance maladie, Clément Sirois, s'est vu accorder un contrat de 96 000 $ pour cinq mois de travail de services-conseils au cours de l'été 2009.
Un retraité du réseau, Jean Dontigny, a reçu trois contrats totalisant près de 300 000 $ pour des services conseils fournis entre avril 2008 et mars dernier.
Des entreprises comme Microsoft, CGI, Techsolcom, Solutions Innovatrice Sinapse et la firme Thibault avocats ont reçu des mandats dont la valeur varie de 67 000 $ à 99 200 $ pour des contrats de services professionnels.

Dossier DSQ : Doit-t'on poursuivre Marie-Josée Beaulieu et Robert Quesnel ?


Qui ??????

Marie-Josée Beaulieu,.......a t'elle réellement contrôlé les coûts du projet ?............a O.K. !

Travailleur indépendant du secteur Technologies et services de l'information
Région de Montréal, Canada 

J'ai le goût de vomir ;-)
Elle est,..................................une ex-employée de la firme DMR a obtenu en Octobre 2007 un important contratde 494,000$ a titre de services-conseils "en contrôle de coûts de projet". Or,l'entreprise qu'elle venait de quitter,et pour laquelle elle a travaillé pendant 17 ans,fournit actuellement un élément clé du DSQ,soit "l'infrastructure pour le partage des données cliniques" ,au coût de 21 millions $.





Poste actuel
  • Coordonnatrice de livraison - Projet pilote et montée en charge DSQ chez Dossier de Santé du Québec (MSSS)
Postes précédents
  • PCO et adjointe exécutive chez Dossier de Santé du Québec
  • PCO chez Caisse de dépôt et placement du Québec
  • PCO chez Groupe DMR Conseil Inc.
Formation
  • Collège Régina Assumpta
Relations
93 relations

Profil public








Photo de Bob Quesnel,.............souriez !
Robert  Quesnel




Robert Quesnel


Directeur de projet TI, Architecte d'entreprise
Montreal, Canada Area 
Hospital & Health Care
Current
  • at Robert Quesnel Services conseils
Past
  • Président at Solutions Réseau-Conseil
  • VP Bureau de Montréal at SoluConseil (acquise par CGI en 2003)
  • Directeur conseil at CGI
Education
  • Université Laval







Robert Quesnel,ex-directeur conseil pendant 8 ans chez CGI ,il a obtenu des contrats de 313,000$ avec son entreprise Solution réseau-conseil,puis un autre de 209,000$ avec une cie a numéro (sa sent pas bon !$$$$$$! )pendant que son ex-employeur raflait des contrats de 35 millions $ avec le DSQ .


D'autres exemples,...........................
d'ex-gros cadres devenu semi-retraités,ou travailleurs autonomes ,c'est plus payant être un travailleur autonome que rentier !
Des noms,...................Clément Sirois ex-directeur des projets liés au DSQ A EUT UN CONTRAT SANS APPEL D'OFFRES DE 96,000$,Suzanne Coulombe,ex-coordonnatrice des projets d'information du CHUS qui elle a reçu des contrats de 532,000$. J'arrête,la plaque me chauffe !!!!$$$$!!!!!! c'est la que l'argent des autres va !







Malgré qu'il dispose d'une équipe de 80 employés affectés à l'informatisation du réseau, le ministère de la Santé a accordé près de 100 millions $ en contrat de services-conseils à des consultants privés depuis le déploiement du coûteux dossier santé du Québec (DSQ).
La liste des fournisseurs du ministère de la Santé ayant travaillé sur le fameux DSQ, dont le Journal a obtenu copie, montre à quel point les experts du secteur privé se sont régalés du grand chantier d'informatisation du réseau.
Avant même que le projet de DSQ ne soit officiellement lancé, c'est le docteur André Simard qui a obtenu le mandat de planifier le déploiement, à titre d'abord de "conseiller en gestion clinique et en système d'informatisation".
Il est par la suite devenu "directeur des projets du DSQ", puis "directeur général", raflant des contrats totalisant 1,2 million $ sur une période de cinq ans, pour une moyenne de rémunération annuelle de 245 000 $.
À la direction des communications du ministère de la Santé, on souligne que cette rémunération "peut paraître élevée", mais qu'elle correspond à celle d'un médecin au Québec.
Entourage imposant
Autour de lui se sont greffés pas moins de 117 consultants privés, dont plusieurs anciens employés du réseau public et d'ex-employés de firmes spécialisées devenus travailleurs autonomes.
Par exemple, deux pionniers de l'imagerie médicale à la retraite, Adalbert Racine et Léon Laplante, ont récolté des contrats respectivement de 362 000 $ et 410 000 $.
Le premier était chef du service d'imagerie au CHUQ lorsqu'il s'est retiré en janvier 2003, alors que M. Laplante était responsable de l'informatique à l'hôpital d'Amqui avant de prendre sa retraite et se convertir en travailleur autonome à l'été 2004.
D'autres postes importants de coordination ont été comblés par des pigistes, notamment Ginette Lessard, qui a récolté des contrats de près de 500 000 $ sur une période de quatre ans (2007-2011).
Un ex-directeur des études médicales du Collège des médecins, Pierre Blanchard, a pour sa part obtenu 560 000 $ pour des contrats de médecin conseil sur une période de quatre ans.
Dépassement de coûts
En 2006, c'est le ministre de la Santé de l'époque, Philippe Couillard, qui a lancé avec Jean Charest "le plan d'informatisation du réseau", qui devait coûter 547 millions $ et être complété en 2011.
Cinq ans plus tard, le Vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, a dressé un constat d'échec du projet et a levé le voile sur de pharamineux dépassements de coûts, en avril dernier.
Au même moment, après cinq changements de patron, c'est à Lise Verreault que la difficile tâche de mettre l'informatisation du réseau sur le droit chemin a été confiée.
Le ministère de la Santé, soutient maintenant que les composantes du DSQ seront livrées d'ici 2016, que l'informatisation du réseau sera complétée en 2021 et que la facture totale sera de 1,6 milliards $.
REF.: journal de Mouriale,

Steve savait tout comme les Geeks que le HTML5 tuerait le Flash


C'est la fin pour Flash sur les appareils mobiles. Adobe, le créateur de ce format, ne l'adaptera plus aux fureteurs des appareils portables en raison de la montée du format HTML 5.
Dans un communiqué obtenu par le site technologique ZDNet et publié plus tard sur son site internet, Adobe confirme qu'il entend désormais se concentrer sur Air et HTML 5.
Les versions existantes du plugiciel pour les plateformes Android et BlackBerry seront maintenues et des correctifs y seront toujours apportés, mais il n'y aura pas de nouvelles versions.
«Dans le futur, notre travail avec Flash sur les appareils mobiles sera destiné à permettre aux développeurs de faire des applications natives avec Adobe AIR pour la plupart des magasins d'applications», écrit Adobe.
«HTML5 est maintenant supporté de manière universelle sur les appareils mobiles, dans certains cas de façon exclusive. Cela fait de HTML5 la meilleure solution pour créer et déployer des contenus dans les fureteurs sur les plateformes mobiles», poursuit l'entreprise.
La victoire posthume de Steve Jobs
Avec cette dernière déclaration, Adobe concède en quelque sorte la victoire du multimédia sur le web à Steve Jobs.
Plusieurs appareils équipés du système d'exploitation Android sont dotés d'un plugiciel Flash. Il en va tout autrement des appareils équipés d'iOS, le système d'exploitation mobile d'Apple. Tant l'iPhone que l'iPad ont été lancés sans la possibilité de lire ce format, ce qui leur a valu maintes critiques.
Steve Jobs, avait en horreur le lecteur Flash et affirmait qu'il était trop énergivore pour les appareils d'Apple.
Dans une longue lettre ouverte publiée en mai 2010, il affirmait que Flash était «dépassé» et faisait la promotion du standard HTML 5 pour l'industrie, une «technologie moderne». Pour lui, Flash avait été créé «pendant l'ère du PC - pour les PC et les souris».
Adobe avait répliqué quelques semaines plus tard en achetant des publicités dans les médias américains. «Nous aimons Apple», pouvait-on y lire. Mais l'amour était féroce: du même coup, Adobe accusait Apple d'être une entreprise fermée.
«Ce que nous n'aimons pas, c'est que quiconque prennent votre liberté de choisir ce que vous créez, comment vous le créez et ce que vous vivez sur le web.»
De plus en plus de développeurs web laissent d'ailleurs tomber le format Flash au profit du HTML 5. Une étude menée en mars démontrait que 63% des vidéos sur internet sont compatibles avec cette norme, soit plus du double qu'il y a un an.

mardi 8 novembre 2011

Une faille de sécurité dans l'iPhone et l'iPad

Apple - Une faille de sécurité dans l'iPhone et l'iPad
 
© REUTERS / Robert Galbraith

Une faille de sécurité affectant les iPhone et les iPad pourrait permettre à des pirates de proposer des applications qui dérobent des informations, envoient des SMS ou détruisent des données, avertit un expert spécialisé sur les produits Apple.
Selon Charlie Miller, chercheur au cabinet de sécurité Accuvant Labs, un prototype d'un programme malveillant, proposé sur l'App Store, le magasin en ligne d'Apple, a permis de confirmer cette vulnérabilité.
Le logiciel malveillant a passé le barrage du service de validation des applications soumises à Apple pour iOS, le système d'exploitation des iPhone, iPad et iPod, explique-t-il.
Pour l'instant, il n'y a pas de preuves que cette vulnérabilité a été exploitée par des pirates, relève toutefois Charlie Miller. Mais la démonstration prouve qu'une telle attaque est possible, ajoute-t-il.
«Jusqu'ici vous pouviez télécharger n'importe quoi sur l'App Store sans craindre un logiciel malveillant. A présent, vous ne savez plus de quoi est capable est une application», souligne Charlie Miller.
Le logiciel test de Charlie s'appelle InstaStock. Une fois lancé, ce programme de suivi des cours de Bourse se connecte sur un serveur et peut exécuter des commandes ou rapatrier des informations à l'insu de l'utilisateur.
Une vidéo de démonstration est consultable sur YouTube.
Apple n'a pas souhaité commenter dans l'immédiat la découverte, alors que le chercheur dit avoir contacté le groupe californien au sujet de cette vulnérabilité.
Charlie Miller avait déjà identifié en 2009 un bogue affectant l'application de SMS de l'iPhone qui aurait pu permettre à des pirates de prendre le contrôle à distance des appareils des utilisateurs d'Apple.

REF.: