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mardi 6 novembre 2012

Paypal est pas SAFE ;-(


Une escroquerie aux faux comptes PayPal démantelée sur Leboncoin.fr

Sécurité - Plusieurs dizaines de personnes qui avaient mis en vente des produits sur le site de petites annonces ont été victimes d’une arnaque montée à partir de faux reçus de paiement via PayPal.
Les policiers de Brest ont découvert une escroquerie montée sur le site français leboncoin.fr dirigée depuis le Ghana et qui s’appuyait sur de faux comptes PayPal pour leurrer les victimes.
Tout a commencé avec la plainte d’une internaute de Saint Raphael dans le Var qui a expliqué n’avoir jamais été payée de la tablette numérique qu’elle avait mise en vente et expédiée à une adresse sur Brest. Elle avait pourtant bien obtenu un reçu de paiement PayPal, mais qui n’était relié à aucun compte bancaire.
Un préjudice de 20.000 euros
Des dizaines d’autres victimes ont rapporté un scénario identique avec la même adresse d’expédition à Brest, où la police est tombée sur une jeune femme affirmant travailler pour une entreprise britannique qui l’avait chargé d’expédier les marchandises vers le Ghana. Il s’avère qu’elle était elle-même victime de l’arnaque, embauchée avec un contrat de travail bidon.
Le préjudice est évalué à 20 000 euros. Une partie des biens dérobés a pu être restitué à leurs propriétaires. (Eureka Presse)


Bravo au Québécois Antoine Leblond de Microsoft

Présent sur 90% des ordinateurs personnels de la planète, le système Windows est un incontournable du monde informatique, mais sa domination s'effrite. Avec un Windows 8 grandement chamboulé, Microsoft joue son avenir, et c'est sur le Québécois Antoine Leblond que repose une grande partie de ce pari.
Pour en savoir plus
Google | iSuppli | Microsoft | Android | Logiciels | Systèmes d'exploitation | Windows
Après 20 ans à travailler sur la suite Office, Leblond a passé les trois dernières années à superviser l'intégration des services web de la huitième génération de Windows.
Ça inclut les applications en nuage SkyDrive et Office 365 de Microsoft. La boutique d'applications Windows Store, de même que l'option de partage omniprésente partout dans le logiciel relèvent également de lui.
Le Windows Store est probablement la plus grosse nouveauté du lot. Il s'inspire directement de l'App Store d'Apple.
Celui-ci devrait permettre à la société de Cupertino d'empocher 4,9 milliards US cette année, 70% de plus qu'en 2011 (2,9 milliards US), ce qui représente 65% du marché total des applications payantes, selon un rapport d'IHS iSuppli paru en septembre.
La stratégie de Microsoft
Avec un peu de chance, Antoine Leblond espère générer des revenus de cet ordre, perçus à même le prix de vente d'applications par d'autres entreprises.
Microsoft a une stratégie en deux temps pour y arriver. D'abord, attirer les concepteurs en leur offrant des conditions avantageuses: Apple perçoit 30% du prix de vente des applications. Chez Microsoft, après des ventes de 25 000$, cette part descend à 20%.
Ensuite, faire valoir la taille de marché potentielle. Il suffit qu'une fraction des 630 millions de propriétaires d'un PC avec Windows 7 allongent les 40$ d'une mise à niveau pour faire de Windows 8 une plateforme d'applications plus imposante que celles d'Apple et Google.
L'intérêt des développeurs demeure toutefois mitigé. L'offre est plutôt mince sur le Windows Store (Facebook, pour un, en est absent).
Ça semble embêter Antoine Leblond, même s'il reste calme. «Nous ne faisons pas une obsession du nombre total d'applications présentes. Nous voulons évidemment que les meilleures y soient. Cela dit, nous en comptons davantage que toute autre plateforme au moment d'être mise en marché...»
Renouer avec la croissance
Microsoft doit satisfaire des fabricants de PC désireux de concevoir des PC nouveau genre, rivalisant avec l'iMac et les MacBook, d'Apple.
«Les jours où le PC avait la forme d'une grosse tour beige sont derrière nous. Nous n'avons jamais autant travaillé. Windows s'adapte à l'évolution du matériel informatique: tablettes, portables à écran tactile ou PC tout-en-un», assure le bachelier de McGill.
Encore là, la réception des consommateurs demeure incertaine. Malgré les quatre millions de ventes du logiciel lors du premier week-end, les analystes ne sont pas rassurés.
«L'enthousiasme autour des portables Ultrabooks s'est rapidement refroidi quand on a vu leur prix trop élevé. Globalement, les fabricants ne voient pas d'engouement avant l'automne prochain, ce qui annonce une année 2013 encore à la baisse», notait la firme Topeka Capital, il y a deux semaines.
Il reste les tablettes. Gartner prédit 21 millions de ventes de tablettes Windows 8, comme la nouvelle Surface, en 2013. C'est bien, mais c'est peu, comparé à l'iPad et aux tablettes Android, qui devraient respectivement se vendre à 73 et 68 millions d'exemplaires.
On ne saura donc pas avant longtemps si Microsoft a gagné le pari lancé avec Windows 8. Si c'est le cas, on sait au moins qu'une bonne partie du mérite reviendra à un Québécois de 45 ans exilé à Seattle depuis près d'un quart de siècle.


Malware Jackpot




 

Un paquet nouveaux logiciels malveillants basée sur Java a été trouvé qui a le potentiel d'affecter plusieurs plates-formes.





Dans le dernier mois, un nouveau malware multiplateforme package appelé Jacksbot a été découvert, et alors qu'il était initialement considéré comme une menace minime, il ne pourrait pas rester comme ça pendant un certain Mac , Windows et Linux.
Jacksbot est en partie un cheval de Troie Java d'accès à distance (RAT)remote access Trojan (RAT), qui semble être construit par un groupe piratage dans le but de provoquer des tout-trop-commune des activités malveillantes, y compris le vol de mots de passe, ce qui oblige les URL à charger (probablement pour la fraude au clic) , supprimer et modifier des fichiers, des captures d'écran, enregistrement des frappes, et par ailleurs obtenir des renseignements personnels.
Java est une plate-forme attractive pour les criminels à utiliser, car étant multi-plateforme implique un effort de codage unique par les développeurs de logiciels malveillants peuvent se traduire par un paquet attaque beaucoup plus distribuable qui affectera non seulement les systèmes d'exploitation différents (Windows, OS X, Linux, etc) mais aussi de travailler dans divers navigateurs Web sur ces plateformes. La société de sécurité TrendMicro suggère que l'utilisation de Java par les développeurs Jacksbot signifie qu'ils sont dedans "pour le long terme», de sorte que les résultats actuels peuvent être que la pointe de quelque chose de grand.
Lorsque le cheval de Troie a été découvert et décrit par Intego plus tôt en Octobre, il a d'abord été considéré comme un nonthreat raison de son caractère brut et de programmation apparemment incomplète. À l'époque, le cheval de Troie que partiellement travaillé dans OS X et Linux, et il semblait être une composante d'un ensemble plus vaste, comme un téléchargeur ou compte-gouttes. Le cheval de Troie ne semble pas non pour tromper les utilisateurs, et il ne serait pas fonctionner correctement sans les permissions root, ce qui rendait son codage semblent suspectes, sans être vraiment «cheval de Troie» dans la nature.
Le cheval de Troie a été également pas soupçonné d'avoir infecté des ordinateurs, mais, à la suite de ces constatations, Trend Micro a trouvé deux systèmes infectés par le malware jusqu'ici. Alors que les deux systèmes sur des millions de PC dans le monde entier des systèmes est un petit nombre presque inutile de mentionner même, il montre que le malware est dans la nature, à la différence des soupçons antérieurs. Qu'il s'agisse prend son envol et se transforme en quelque chose de plus est encore à voir.
Pour les systèmes Mac et Linux, le logiciel malveillant est connu d'ajouter une commande d'exécution Java pour / du système etc / rc.local et / etc / rc.common fichiers de le faire tourner comme un processus planifié automatiquement au démarrage. Ce qui rend détectable en vérifiant le contenu des fichiers de configuration différents RC sur le système pour tous les cas de commandes d'exécution Java. Vous pouvez le faire en ouvrant le terminal et exécutez la commande suivante:
cat / etc / rc * |. grep java
Comme le mot «java» ne devrait pas être inclus dans l'un des fichiers de configuration "RC" par défaut, si cette commande affiche quoi que ce soit avant qu'il ne vous retombe à la ligne de commande, regarder de plus près à ce que l'exécutable est.
Pour les systèmes Windows, vous pouvez vérifier le Registre de la présence de la clé suivante:
HKEY_CURRENT_USER \ Microsoft \ Windows \ CurrentVersion \ Run Microsoft ® Windows ® Operating System = "{} Répertoire racine Java \ bin \ javaw.exe-jar" {chemin et le nom du fichier Malware} ""
Encore une fois, il faut souligner que, jusqu'à présent, ce malware n'a été vu dans les deux systèmes, et son codage suggère l'accent sur l'exécution avec succès sous Windows plutôt que d'autres systèmes d'exploitation (bien que cela puisse changer facilement). Enfin, il s'agit d'un exécutable Java, ce qui nécessite Java pour fonctionner, puisque Java n'est pas un élément inclus de Mac OS X ou d'autres systèmes d'exploitation, les utilisateurs disposant d'installations OS fraîches n'auront pas l'infrastructure disponible pour l'exécuter.
En conséquence, Jacksbot n'est pas connu pour être une grande menace, mais il est encore tôt dans sa détection, il ya toujours une chance que de nouvelles variantes peuvent surgir.



samedi 3 novembre 2012

installez le menu démarrer dans win-8

ViStart comprend maintenant un nouveau menu Démarrer marque Windows 7 peau + plus de skins comme le Windows 8 Metro peau menu Démarrer dans la galerie en ligne. Les temps changent et ViStart évolue avec eux! Lorsque la reprogrammation ViStart j'ai pris une décision cruciale, au lieu de simplement faire une nouvelle mise en page comme Windows 7 pour ViStart j'ai décidé de faire ce que même personnalisable par themers trop. Themers maintenant un contrôle total sur le menu de démarrage de leur donner la possibilité de personnaliser tous les éléments à l'intérieur ViStart, ce qui signifie qu'il devrait y avoir encore plus diverses peaux menu de démarrage deveing ​​développés dans la communauté!

OK , aller installer cette appplication et utiliser ensuite le menu Démarrer de windows qui n'apparaît pas dans windows 8 !



REF.:

Les jeux gratuits ont le vent dans les voiles

Croissance - Les jeux gratuits ont le vent dans les voiles
 
Photo Elenathewise - Fotolia.com

PARIS - En progression depuis plusieurs années, le segment du jeu vidéo gratuit attire désormais aussi les éditeurs historiques, grâce à un système de micro-transactions permettant de générer des revenus croissants au moment où le marché traditionnel est à la peine.

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Ce modèle, appelé «free-to-play», repose sur un accès gratuit au jeu et sur l'achat d'objets facultatifs, dont le prix peut varier de quelques sous à plusieurs dizaines de dollars et qui permettent de progresser plus vite. Preuve de sa popularité, plusieurs de ses représentants sont présents cette semaine à la Paris Games Week, principal salon du jeu vidéo en France.
«Le grand attrait pour le joueur, c'est qu'il peut désormais essayer le produit avant de décider s'il a envie de payer pour ce qu'on lui propose. Ça représente une forme de sécurité pour lui», résume Cyril Zimmerman, PDG du groupe Hi-Media, qui fournit des services de micro-paiement.
Dix ans après ses débuts, ce modèle économique arrive à maturité et parvient à générer des revenus globaux en hausse année après année, malgré un panier moyen inférieur à une douzaine de dollars par client.
Pour cela, il repose sur la participation massive des joueurs - même si un nombre limité d'entre eux, 5% à 10% selon les titres, va à un moment débourser de l'argent - et sur des coûts de développement limités.
Ainsi, si un jeu à succès, comme un épisode de la série Call of Duty de l'éditeur américain Activision, coûte plusieurs dizaines de millions de dollars à produire, le montant pour une production «free-to-play» dépasse rarement le million.
«Le risque est évidemment moins important pour les studios puisque l'investissement de départ est plus faible. Et ils peuvent aussi ensuite se concentrer davantage sur ce qui fonctionne auprès du public», relève M. Zimmerman.

Les consoles aussi

Dans un marché morose, qui voit ses ventes ralentir avant l'arrivée de la prochaine génération de consoles, le «free-to-play» séduit à présent les mastodontes du secteur, jusqu'alors habitués à facturer leur jeu à l'achat.
L'éditeur français Ubisoft, déjà très présent sur le jeu dématérialisé, a lui aussi pris ce virage, en déclinant plusieurs de ses licences au format «free-to-play» comme sa simulation militaire Ghost Recon.
«Un quart de nos équipes est dédié au secteur en ligne, dont le «free-to-play» représente une partie. Nous attendons 120% d'augmentation pour les revenus de nos jeux gratuits pour cette année fiscale en comparaison avec l'année précédente», a déclaré Stéphanie Perotti, directrice du département du jeu en ligne chez Ubisoft.
Et de souligner que les éditeurs traditionnels ont un avantage sur ce segment avec des marques déjà connues du public, quand les nouveaux acteurs doivent créer des licences avant de réussir à les imposer.
Jusqu'ici cantonné au monde de l'ordinateur, «première plate-forme de jeu grâce au «free-to-play» selon David Neichel, directeur général d'Activision en France, ce modèle économique commence à faire son apparition sur les consoles.
Le groupe japonais Sony vient ainsi de rendre gratuit son jeu de karaoké Singstar sur Playstation 3, mais les joueurs doivent ensuite acquérir à l'unité les chansons sur lesquelles ils souhaitent s'époumonner.
Son rival Nintendo a lui aussi annoncé que sa future machine WiiU, lancée mi-novembre aux États-Unis et fin novembre en Europe, sera capable d'accueillir des productions «free-to-play».


REF.: