Garmin dévoile au CES de Las Vegas 2013,son prototype K2, un système de navigation intégré faisant appel à plusieurs écrans et à ingénieux dispositif de commande tactile.
Garmin dévoile au CES de Las Vegas son prototype K2, un système de navigation intégré faisant appel à plusieurs écrans et à ingénieux dispositif de commande tactile.
Comme son concurrent TomTom, Garmin cherche à compenser la chute des ventes de GPS portables en proposant des systèmes de navigation totalement intégrés. Aujourd'hui, le spécialiste américain du guidage propose plusieurs niveaux d’intégration de ses produits. Ils vont de la simple vente de GPS mobile en accessoire, à l’intégration complète comme chez Suzuki, en passant par le navigateur déporté (Volkswagen Up) et la réalisation de logiciel de guidage (Mercedes).
Pour démontrer son savoir faire dans l’intégration totale, Garmin a conçu ce concept K2, « un cockpit numérique » regroupant ses plusieurs de ses innovations. Cette notion de cockpit est d'ailleurs une manière de rappeler l’expérience de l’équipementier dans le domaine de l’aviation. Garmin est par exemple le fournisseur première monte de Cessna sur son Citation Jet, un petit avion d’affaires.
Sur ce K2, la proximité avec l’aviation se limite, d'un point de vue fonctionnel, à l’existence de deux écrans. De manière assez classique, l’écran principal (10 pouces) est situé sur la console centrale et le second (12 pouces) prend place sur le tableau de bord. Ce dernier reprend les informations principales de divertissement mais affiche aussi les informations de conduite.
Pour démontrer son savoir faire dans l’intégration totale, Garmin a conçu ce concept K2, « un cockpit numérique » regroupant ses plusieurs de ses innovations. Cette notion de cockpit est d'ailleurs une manière de rappeler l’expérience de l’équipementier dans le domaine de l’aviation. Garmin est par exemple le fournisseur première monte de Cessna sur son Citation Jet, un petit avion d’affaires.
Sur ce K2, la proximité avec l’aviation se limite, d'un point de vue fonctionnel, à l’existence de deux écrans. De manière assez classique, l’écran principal (10 pouces) est situé sur la console centrale et le second (12 pouces) prend place sur le tableau de bord. Ce dernier reprend les informations principales de divertissement mais affiche aussi les informations de conduite.
Boutons virtuels
L’écran de la console centrale est tactile mais le système peut aussi fonctionner avec une dalle classique grâce à la molette située plus bas. Celle-ci fait appel à un capteur infrarouge pour détecter les doigts du conducteur, à quelques centimètres de distance. Ainsi, l’écran peut afficher la localisation des doigts par rapport à des boutons virtuels et l’utilisateur pourra alors presser avec précision l’une de ces touches, sans regarder sa main. La technologie peut intéresser les constructeurs premium qui ne veulent pas faire appel à un écran tactile.
Applications déportées
Garmin a aussi ajouté sa technologie Smartphone Links ofrrant des services connectés via des applications installées sur un Smartphone. Le mobile se charge ainsi de télécharger des données (information trafic, météo, prix des carburants, emails, agenda…) et les envoient par Bluetooth au système de navigation.
Autre point remarquable, l’interface utilise le HTML5 et permet des possibilités de personnalisation étendues, pour le conducteur mais aussi pour les constructeurs automobiles qui pourront l’adapter suivant leur cahier des charges. Le concept embarque également des fonctionnalités avancées telles qu’une cartographie en 3D et une reconnaissance vocale avancée.
Reste maintenant à voir quel sera l’accueil des constructeurs automobiles mais de toute évidence, le concept peut voir le jour dans un futur pas si lointain car les technologies employées, même dans le cas de la commande tactile par détection infrarouge, sont déjà connue et éprouvées.
L’écran de la console centrale est tactile mais le système peut aussi fonctionner avec une dalle classique grâce à la molette située plus bas. Celle-ci fait appel à un capteur infrarouge pour détecter les doigts du conducteur, à quelques centimètres de distance. Ainsi, l’écran peut afficher la localisation des doigts par rapport à des boutons virtuels et l’utilisateur pourra alors presser avec précision l’une de ces touches, sans regarder sa main. La technologie peut intéresser les constructeurs premium qui ne veulent pas faire appel à un écran tactile.
Applications déportées
Garmin a aussi ajouté sa technologie Smartphone Links ofrrant des services connectés via des applications installées sur un Smartphone. Le mobile se charge ainsi de télécharger des données (information trafic, météo, prix des carburants, emails, agenda…) et les envoient par Bluetooth au système de navigation.
Autre point remarquable, l’interface utilise le HTML5 et permet des possibilités de personnalisation étendues, pour le conducteur mais aussi pour les constructeurs automobiles qui pourront l’adapter suivant leur cahier des charges. Le concept embarque également des fonctionnalités avancées telles qu’une cartographie en 3D et une reconnaissance vocale avancée.
Reste maintenant à voir quel sera l’accueil des constructeurs automobiles mais de toute évidence, le concept peut voir le jour dans un futur pas si lointain car les technologies employées, même dans le cas de la commande tactile par détection infrarouge, sont déjà connue et éprouvées.