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lundi 12 août 2013

Jeux: «Call of Duty: Ghosts» scénarisé comme un film d'art


Activision - «Call of Duty: Ghosts» scénarisé comme un film d'art
«Call of Duty: Ghosts» est attendu sur PC, PlayStation 3, Playstation 4, Xbox 360, Xbox One et Wii U. 
Photo Activision

Mark Rubin, producteur exécutif du très attendu Call of Duty: Ghosts, révèle que le scénariste Stephen Gaghan, (TrafficSyriana) possède un regard peu commun sur la façon d'aborder la contrainte du héros muet, très présente dans le jeu vidéo.
«Je n'ai jamais vu aucun scénariste hollywoodien envisager un projet comme lui le conçoit. Pour lui, l'écriture d'un jeu représente la promesse d'un défi artistique de taille», explique Rubin à GamesIndustry International.
«Cll of Duty:Ghosts», la bande-annonce

Il poursuit: «Un peu à la manière d'un film d'art et d'essai, le personnage principal, la vedette du film, n'est jamais visible et reste muet. Il faut créer une histoire qui s'en accommode».
«Prenons un jeu, notre jeu, et transformons-le en un film dans lequel le personnage ne s'exprime jamais et reste visible: ce serait comme l'un des ces longs-métrages français un peu fous, en noir et blanc. Il adore ce défi et le prend très à coeur».
Le protagoniste muet est un élément bien connu du jeu vidéo, une façon d'assurer au joueur une immersion totale exempte de l'irruption d'une voix étrangère. Les motivations et le comportement du personnage évoluent en fonction des réactions des autres personnages tout en laissant une petite marge de manœuvre au joueur.
La série Half-Life de Gordon Freeman est souvent citée comme exemple phare de ce procédé intelligent. Mais ni ce jeu, ni un Call of Duty n'égalent les aspirations artistiques des récents ProteusThirty Flights of LovingJourney ou Dear Esther


REF.:

dimanche 11 août 2013

PRISM,NON.....Xkeyscore permet à la NSA de surveiller en temps réel tous les ......

Vous avez aimé Prism, vous allez adorer Xkeyscore !


Un programme ultra sophistiqué dénommé Xkeyscore permet à la NSA de surveiller en temps réel tous les e-mails, chat et navigation internet de n’importe qui dans le monde.


Les révélations sur l’espionnage tous azimuts de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA) n’en finissent pas de rebondir. Le 31 juillet, le site de The Guardian révèle un document de formation interne de la NSA datant de 2008 qui fait l’effet d’une bombe.
Document de formation de la NSA sur les possibilités de Xkeyscore
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Dans ce Power Point, les mécanismes du plus vaste programme de cybersurveillance jamais établi sont mis à jour en détails et viennent corroborer les dires d’Edward Snowden sur l’affaire Prism.
Avec Xkeyscore, la NSA peut très facilement accéder à l’historique de navigation et de recherche, aux e-mails et aux chats de n’importe quel individu dans le monde du moment qu’elle dispose d’une adresse IP. Pas moins de 500 serveurs demeurent opérationnels à travers le monde (voir ci-dessous) pour faire fonctionner Xkeyscore.
500 serveurs sont disséminés à travers le monde pour le programme Xkeyscore
500 serveurs sont disséminés à travers le monde pour le programme Xkeyscore

Une précision effarante !

Ce programme secret de surveillance d’Internet offre aux analystes de la NSA des résultats extrêmement pointus. Pour les e-mails par exemple, les champs « destinataire », « copie carbone » (CC) et « copie carbone invisible (CCI) sont directement accessibles à partir d’un simple nom ou pseudo.
La pertinence des résultats de Xkeyscore demeure tout aussi pointue sur les réseaux sociaux. Au sein des nombreuses bases de données, la NSA peut « visionner » les messages échangés sur Facebook ou même faire des regroupements en fonction de la langue utilisée et des régions géographiques où sont postés ces messages. On arrive alors à distinguer les profils « normaux » de ceux qui correspondent dans une langue « anormale » sur des sujets « dangereux », etc. Bref, un fichage en règle de tous les sujets sensibles déterminés selon les critères de défense de la NSA.
Idem pour la navigation sur le Net. Le document révélé par The Guardian explique que toute recherche sur des « thèmes dangereux » est collectée via l’historique de navigation des internautes. Les documents échangés sont aussi systématiquement analysés.
Plus dangereux encore, les capacités de Xkeyscore permettent de localiser tous les VPN (tunnels de connexions sécurisés) dans n’importe quel pays et surtout d’analyser les métadonnées transférées par les VPN. Ceux qui se croyaient à l’abri en sont pour leurs frais !

La réponse de la NSA aux révélations sur Xkeyscore

Il faut savoir que pour accéder à ces gigantesques bases de données, la NSA n’a besoin d’aucune autorisation préalable.
La NSA a publié une déclaration complète en réponse à la fuite de The Guardian. Xkeycore est censé être une interface pour ses employés. Ces derniers ne viseraient que des « cibles légitimes de renseignements étrangers ». La NSA soutient également « qu’aucun analyste ne peut fonctionner librement ». Enfin, et pour rassurer l’opinion publique américaine, l’Agence affirme que « plus de 300 terroristes ont été capturés depuis 2008 grâce à Xkeyscore ».
Après cet impressionnant déballage des possibilités illimitées de Xkeyscore, la NSA précise que les données collectées ne sont stockées que de trois à cinq jours… sauf celles que la NSA juge appropriées.
Même si un grand nombre d’Américains approuvent l’action de la NSA, à ce niveau-là, on ne parle plus d’espionnage généralisé mais du contrôle et du fichage total d’une société !
De nouvelles révélations montrent l’ampleur de l’espionnage des flux financiers par les services secrets américains. Il y a un peu plus d’une semaine, la télévision brésilienne avait révélé que la NSA attaquait le réseau Swift, utilisé pour les transactions bancaires internationales. Le magazine allemand Spiegel apporte maintenant de nouveaux détails. Dans son édition du lundi 16 septembre, il explique que la NSA gère une base d’informations baptisée « Tracfin » qui, en 2011, comptait déjà plus de 180 millions de données de transactions. Celles-ci sont sauvegardées pendant au moins cinq ans et proviennent de sources diverses telles que les réseaux Swift ou les réseaux de cartes bancaires Visa et Mastercard. Selon le magazine, qui s’appuie sur des documents fournis par Edward Snowden, même les transactions Bitcoin sont surveillées.

Nom de code « Dishfire »

Concernant Swift, la NSA disposerait ainsi de plusieurs accès. L’un d’entre eux existe depuis 2006 et permettrait de siphonner « les flux d’impression d’un grand nombre de banques ». La récolte des  transactions de cartes bancaires se fait, elle, sous le nom de code « Dishfire » depuis le printemps 2009. La NSA aurait accès aux données transactionnelles de plus de 70 banques. La plupart d’entre elles sont domiciliées dans des régions dites « de crise ». Mais pas seulement. Les documents mentionnent également des banques italiennes, espagnoles et grecques. L’espionnage s’appuie, en particulier, sur les services SMS de ces établissements bancaires, qui permettent de confirmer aux clients leurs transactions en leur envoyant un petit message. Un service pratique, mais visiblement facile à intercepter.

Plusieurs accès chez Visa

Mais la NSA ne prend pas seulement en ligne de mire les banques, elle s’attaque également directement aux réseaux de cartes bancaires. Selon un document datant de 2010, plusieurs accès ont ainsi été identifiés chez Visa, et utilisés pour « récolter les données transactionnelles, les sauvegarder et les analyser ». La récolte des données se ferait au travers du logiciel d’espionnage XKeyscore. Les régions ciblées sont l’Europe, l’Afrique et le Moyen-Orient. Et ce siphonnage ne concerne pas seulement Visa. Un autre document secret cite également Mastercard comme source d’information.
Mais parfois, les agents secrets tombent aussi sur un os. Dans un des documents analysés par le Spiegel, ils se sont plaints de Western Union. En 2008, ce réseau de transfert d’argent avait mis en place un chiffrement des données tellement puissant que l’accès aux informations était devenu presque impossible... 

REF.:

Facebook multiplie de nouvelles fonctions ? .....................dans le but de rendre plus visible vos publications sur d'autres sites

Des publications Facebook vont pouvoir être insérées sur d'autres sites

Le réseau social multiplie les nouvelles fonctions. La dernière en date permettra d'intégrer du contenu public de Facebook sur un autre site Web et de ramener du trafic.

Insertion de photos dans les commentaires, un service de partage de vidéos dans Instagram, adoption des hashtags, Facebook fait feu de tout bois. Le réseau social poursuit sa stratégie de développement a annoncé le 31 juillet 2013 le lancement d'une nouvelle fonction qui va permettre aux gestionnaires de sites Internet ou de blogs d'y intégrer des contenus publiés sur son réseau.
Cette nouvelle fonction, dite de « publications incorporées » (embedded posts), pourra concerner des photos, des vidéos, des mots-clés et tout autre contenu publié sur Facebook dont l'auteur n'aura pas restreint l'accès. Elle doit « permettre aux gens d'apporter au reste du monde les publications publiques les plus convaincantes sur Facebook », affirme le réseau social en ligne dans un communiqué.
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Les publications permettront aussi de ramener du trafic vers le réseau communautaire, puisque les internautes pourront directement cliquer dessus pour dire qu'ils les aiment ou découvrir d'autres contenus similaires publiés sur Facebook. La fonction pourra être utilisée dans un premier temps par des sites d'information comme CNN, Huffington Post, Bleacher Report, People et Mashable, mais Facebook promet « une disponibilité plus large bientôt ».
Le réseau social poursuit également le développement des contenus dans le domaine du jeu vidéo mobile. Il a ainsi lancé, le 30 juillet, le programme Game Publishing à l'attention des développeurs. Il devrait les aider à supporter les coûts de lancement et de recherche d'audience pour les jeux vidéo édités sur mobile. une dizaine de titres servent déjà de pilotes de ce programme.


REF.:

Le «deep Web» : c'est environ 90% du Web qui n'est pas indexé

Le FBI est soupçonné d'avoir introduit un virus dans le «deep Web» pour débusquer un hébergeur de contenus pédopornographiques...

Selon le FBI, Eric Eoin Marques est «le plus grand distributeur mondial de pédopornographie». L'arrestation, en Irlande, du fondateur présumé de l'hébergeur anonyme Freedom Hosting, semble constituer l'épilogue d'un techno-thriller haletant. Selon des experts, les autorités américaines l'auraient traqué aux confins du «deep Web», notamment via un virus qu'elles auraient spécifiquement conçu pour le débusquer.
Le «deep Web», c'est quoi?



Il a de multiples appellations. Invisible, caché, obscur, opaque ou profond, il désigne la portion du Web qui n'est pas accessible, ou pas indexée, par les moteurs de recherche. Car les pages archivées par Google ne représentent que la partie émergée de l'iceberg –moins de 10% du Web, selon les estimations.
Pourquoi 90% du Web n'est-il pas indexé?
Pour diverses raisons. Les algorithmes de Google explorent le Web de lien en lien. Sauf que certains sites n'ont pas d'index, ou leur structure est parfois trop complexe. Des webmasters peuvent encore refuser d'être indexés, via une ligne de code, ou restreindre l'accès à un site par un mot de passe. Enfin, il est possible de «cacher» un domaine via le réseau d'anonymisation TOR.

Les origines du Deep Web:
Notamment au courant cypherpunk, né d’une poignée d’ingénieurs californiens libertariens, qui prônait, dès le début des années 90, le développement de l’anonymat et de la cryptographie comme outils d’une défense inconditionnelle de la vie privée face aux pouvoirs des gouvernements.
La première existence reconnue d’un prototype de Darknet non voulu par un gouvernement remonte au début des années 1990. Son fondateur, Timothy C. May, l’avait intitulé le « Blacknet ».
Scientifique de haut niveau chez Intel, May était aussi un des membres fondateurs des cypherpunks [cypher = code secret en anglais, ndt], un groupe créé à l’aube d’Internet dans la Bay Area de San Francisco qui a graduellement gagné le monde entier via sa mailing list. À son apogée, elle incluait des sommités du monde du hack comme Julian Assange, futur fondateur de WikiLeaks.
Pour l’un des cryptoanarchistes qu’il interroge, il s’agit de «créer une zone libre, une terra nova, un territoire libre entouré de murs de cryptographie». Dès lors s’articulent les grands affrontements dont le Net est aujourd’hui le champ de bataille – la vie privée face à la surveillance, l’individu (ou la communauté) face à l’Etat. De quoi nourrir la réflexion, alors même que la cryptographie fait à nouveau l’objet d’âpres batailles. Il n’y a pas un seul, un unique Darknet particulier et singulier, même si le plus populaire, et de loin, est accessible via Tor, un réseau informatique décentralisé développé à l’origine par le Laboratoire de recherche de la marine des États-Unis afin de protéger les communications des différents services de renseignements américains.Aujourd’hui, Tor est sans doute mieux connu, du moins dans l’imaginaire populaire, pour ses services cachés, ses sites de trafic de drogues et d’armes, de pornographie enfantine ou même, éventuellement, de crowdfunding pour des personnalités publiques ou politiques.
 
TOR?
«The Onion Router» est un réseau mondial décentralisé de routeurs. Le trafic rebondit aux quatre coins du monde en passant par des «nœuds». La destination finale est cryptée à de multiples reprises, et un nœud ne dispose jamais de l'itinéraire global: il connaît uniquement l'aiguilleur précédent et le suivant. Cela permet en théorie de rendre l'internaute anonyme en dissimulant son origine (son adresse IP) et sa destination (le serveur). Il s'agit d'un outil, qui peut être utilisé par des internautes plus ou moins bien intentionnés, par des dissidents en Iranou pour échanger de la pédopornographie.
Les sites «cachés» via TOR
Un site, avec son adresse en .onion, peut être rendu inaccessible depuis un navigateur traditionnel. Pour s'y connecter, l'internaute doit installer le client TOR, qui sert de guide pour naviguer sur les eaux du Web invisible. Le plus célèbre dans les médias s'appelle Silk Road, une sorte d'eBay alternatif centré sur la vente de drogue sur lequel les achats sont réglés en bitcoins, une monnaie virtuelle et cryptée.
Et Freedom Hosting dans tout ça?
Il s'agit d'un acteur Web offrant un hébergement anonyme par TOR. Plusieurs dizaines de sites pédopornographiques, comme Lolita City, auraient utilisé ses services. En 2011, les hackers d'Anonymous avaient déclaré la guerre à Freedom Hosting via l'opération #OpDarknet, bloquant momentanément l'accès à ses sites.
L'action présumée des autorités américaines
Freedom Hosting était dans le collimateur du FBI depuis longtemps. Dimanche dernier, un virus a fait son apparition sur le réseau, exploitant une faille présente dans les vieilles versions de TOR et de Firefox du côté Javascript. Le malware,explique l'expert en sécurité Sophos, n'avait qu'un but: lever le voile d'anonymat de TOR afin de localiser ses utilisateurs. Au même moment, l'arrestation d'Eric Eoin Marques, l'administrateur présumé de Freedom Hosting, était annoncée en Irlande, et Washington demandait son extradition. Pour l'instant, les autorités ont refusé de commenter. Selon Wired, le virus envoyait les informations récoltées vers un bâtiment situé en Virginie, un Etat où se trouvent la plupart des agences de renseignement US. Le domaine appartiendrait à SAIC, un sous-traitant du département de la Défense. Sophos et d'autres experts soupçonnent le FBI d'avoir mis au point ce virus, comme Stuxnet, ce ver informatique qui avait fait surchauffer les centrifugeuses iraniennes en 2010. Plusieurs rapports récents se sont penchés sur la nouvelle cyberstratégie US. En résumé, Washington n'hésiterait plus à combattre le mal par le mal.
La réaction de TOR
The TOR Project, l'organisation à but non lucratif qui administre le réseau, a souligné que la faille ne concernait qu'une vieille version du logiciel. Elle recommande de désactiver Javascript ou de ne plus utiliser Windows. Plus largement, de nombreux observateurs s'inquiètent des dommages collatéraux sur l'anonymat en ligne, seul bouclier des dissidents politiques. La question sous-jacente: la lutte contre la pédopornographie, louable, est le premier combat du FBI; quel sera le suivant?
L’entrée dans le dark web et ses pages ultra-sécurisées, souvent cryptées, se fait via des réseaux décentralisés de routeurs comme Tor, le plus connu et « maintream », ou d’autres outils comme Freenet, I2P, etc. Des programmes qui garantissent, plus ou moins, l’anonymat de votre connexion, en modifiant par exemple constamment votre adresse IP, qui devient alors très compliquée à identifier. Disons… pour le FBI. Vos requêtes passent par une multitude de relais à travers le monde, appelés « nœuds ». Le traçage de la requête originale devient alors quasi impossible. (Ceci n’est pas tiré d’un épisode des Experts.)

*Philippe Berry

vendredi 26 juillet 2013

Poème : Si On Changeait

Poème(chanson) de Si On Changeait:


Attendre , que les jours se fanent
Un cri dans le calme , oohh
On a mis trop de temps..

D'espace tant de silences
À trop vouloir tout garder
On s'est laissé tomber..

Et si on changeait
Si on se retrouvait
Et si dans l'ombre et les défauts
On trouvait les mots
Et si on changeait..

De place toi et moi
Pouvoir enfin se voir
S'offrir un nouveau départ..

Savoir remonter le temps
Revenir à contresens
À contre-courant

Et si on changeait
Si on se retrouvais
Et si dans l'ombre et les défauts
on trouvait les mots
Et si on changeait
Nos regards imparfaits
Et si dans l'ombre comme un écho
On trouvait les mots, tous les mots..

Et si on changeait
Si on se retrouvait
Et si dans l'ombre et les défauts
On trouvait les mots..

Et si on changeait
Si on recommençait
Et si dans l'ombre comme un écho
On trouvait les mots, tous les mots.



REF.: Merci a Marc Dupré,