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mardi 24 septembre 2013

TEST: Google Glass

01net a testé pour vous les Google Glass

Google s’est décidé à sortir quelques modèles des Etats-Unis et a conviés pour tester enfin ses Glass. Nous avons pu découvrir cet accessoire qui crée le buzz. Premières impressions.

« Ok, Glass !» Cette formule risque de devenir culte lorsque les lunettes de Google seront mises sur le marché. En effet, il faut répéter cet ordre pour les démarrer. Une fois ces mots prononcés, vous pouvez enfin pénétrer dans l’univers que propose Google.
Cette découverte, nous l’avons faite ce lundi 23 septembre dans les locaux parisiens de la compagnie américaine. Cet accessoire devient commun aux États-Unis où les développeurs les portent en permanence dans les rues de San Francisco ou de New-York depuis plusieurs mois. Mais ailleurs, peu les ont vus puisque la compagnie a interdit aux premiers utilisateurs de les sortir hors du territoire américain.
Pour mettre le public européen sur un pied d’égalité avec les Américains, Google nous a proposé de vivre cette expérience.

Une surface tactile sur la branche

D’abord, elles sont légères et bien équilibrées. On ne les sent plus au bout de quelques minutes. Quant à leur manipulation, elle se maîtrise en un rien de temps. Une tape sur la branche pour les allumer et pouvoir prononcer le fameux « OK, Glass ! ».
Il suffit ensuite d’apprendre quelques gestes pour naviguer. La branche de droite est équipée d’une surface tactile qui réagit en tapotant dessus, mais aussi en faisant glisser son doigt d’avant en arrière ou de haut en bas. Rien de bien sorcier.
Une fois le sésame prononcé, un écran s’allume pour proposer quelques actions comme effectuer une recherche ou chercher une information, prendre une photo ou une vidéo, partager un contenu sur les réseaux sociaux ou chercher un itinéraire. Sans oublier l’envoi et la lecture de courriels et de SMS.
Tout se déroule vocalement casse un peu la crainte de filme ou photographier en secret. Pour prendre une photo, il faut le demander distinctement. Les modèles que nous avons essayés ne comprennent que l’anglais qu’il faut prononcer avec un accent américain. Les versions francophones arriveront plus tard.
Même pas besoin de chausser ses lunettes pour lire le texte qui s’affiche. La définition est également très claire pour regarder une vidéo en ligne. Pour les corrections plus fortes, un système est prévu pour adapter la vision.

D'abord sur Android, puis bientôt sur iOS

Le son est impressionnant. Le système de transmission par conduction osseuse est d’une efficacité redoutable. Qu’il s’agisse de discussion ou de musique, la qualité est suffisante, mais ne concurrence évidemment par un casque audio de bonne qualité.
Enfin, lorsqu’on les éteint, on ne les sent plus. Elles restent pourtant parfaitement fixées sur le nez. Même si l’on saute, si l’on court ou si l’on tourne brusquement la tête, elles restent bien en place. Les opticiens devraient s’en inspirer…
Cette prise en main a également cassé l’idée reçue qu’il faut les porter en permanence. En fait, les Google Glass sont des accessoires à utiliser, il faut le préciser, quand on en a besoin. C’est donc à chacun d’en définir l’usage selon ses habitudes, ses besoins ou ses envies. Elles permettent d’abord de ne plus utiliser son smartphone sans le manipuler. Car, sans lui, les Glass ne fonctionnent pas. Cet usage fait poser la question du prix. Le ticket d’entrée annoncé à 1500 dollars n’est-il pas un peu excessif ? Ce sera à chacun de voir en fonction de ses besoins, de ses envies et de ses moyens financiers.
Les tests ont été effectués sur un Nexus sous Android avec l’application adéquate qui est en cours de développement sur iOS pour permettre aux utilisateurs d’iPhone de dire, comme les « andronautes » : « OK, Glass ! ».


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lundi 23 septembre 2013

iOS 7 intègre Multipath TCP,utilisant plusieurs connexions simultanément

iOS 7 : le nouvel OS d’Apple peut utiliser plusieurs réseaux simultanément

En plus d’être le premier OS mobile à adopter le 64 bits, iOS 7 intègre Multipath TCP, une technologie permettant d’utiliser ,

plusieurs connexions simultanément !

Le problème des appareils mobiles est d’être toujours connectés, mieux encore de l’être toujours avec la meilleure des connexions disponibles. Pourtant le passage d’une connexion  à l’autre signifie souvent qu’il y a une interruption de service, aussi minime soit elle.

Avec iOS, la situation pourrait changer puisqu’il semblerait qu’iOS est devenu le premier système d’exploitation très grand public à intégrer un protocole évolué de TCP, le multipath TCP – FreeBSD, par exemple intègre déjà cette technologie. Selon les documents de travail de l’IETF (Internet Engineering Task Force), le MP TCP « fournit la capacité d’utiliser plusieurs chemins d’accès simultanément entre des utilisateurs ». L’objectif étant que cet « usage simultané de ces multiples chemins pour une session TCP/IP améliore l’utilisation des ressources propres au réseau et, ainsi, améliore l’expérience de l’utilisateur grâce à des débits supérieurs et une résistance renforcée contre les erreurs réseau ».
De manière plus  pragmatique, cela signifie que cette technologie permet à un périphérique de se connecter à Internet via plusieurs canaux (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, et 4G) et en parallèle. L’appareil détermine alors sur lequel de ces moyens de connexion il obtient les meilleurs débits et les utilise tous ou bascule des uns aux autres au besoin.
Une bonne nouvelle, à plusieurs titres. D’une part, la possibilité de basculer facilement d’une type de connexion à un autre pourrait permettre d’optimiser l’autonomie des périphériques mobiles en optant pour les modules les plus économes en énergie et en évitant aux modules les plus à la peine de « tirer » sur la batterie. Par ailleurs, on l’a vu, cette technologie devrait permettre d’éviter de trop souvent perdre sa connexion à Internet, et pouvoir ainsi, par exemple, continuer à utiliser Siri qui a besoin d’interroger les serveurs d’Apple pour fonctionner. Evidemment, cette technologie ne résout pas la question des zones blanches. Quand il n’y a pas de réseau, le Multipath TCP ne peut rien pour vous…


REF.:

samedi 21 septembre 2013

IOS 7 d'Apple arrive: Voici comment l'obtenir

 Apple iOS 7 mise à jour est en ligne.
Le logiciel va sortir aux utilisateurs comme une mise à jour gratuite, ce matin, un peu plus d'une semaine après les développeurs obtenu une version finalisée, et près de trois mois après Apple a montré au large en Juin.
La mise à jour est une refonte visuelle complète pour iOS, qui regardait la même chose dans ses six premières itérations. Il apporte également de nouvelles fonctionnalités, y compris:
  • Une façon de régler rapidement les paramètres de l'intérieur n'importe quelle application
  • iTunes Radio - Le service de musique en streaming d'Apple
  • Une version remaniée de Siri, le logiciel d'assistant vocal d'Apple
  • Une vue multitâche retravaillé qui montre des aperçus de ce qui se passe au sein de chaque application
  • Le partage de fichiers AirDrop (pour plus récents appareils iOS d'Apple)
Les utilisateurs peuvent trouver la mise à jour en iOS app réglages ( Réglages> Général> Mise à jour logicielle ), ou en branchant leur appareil dans iTunes. Apple va également expédition à la fois sur l' iPhone 5C et 5S vendredi.
Comme avec les versions précédentes, iOS 7 ne peut être installé sur tous les appareils. Pour cette série, c'est l'iPhone 4 et plus récent, la cinquième génération iPod Touch, et ​​iPad 2 et plus récents (y compris le Mini iPad ). Certaines fonctionnalités sont également disponibles uniquement sur ​​les derniers modèles d'Apple, comme le nouvel outil AirDrop, qui ne fonctionne que sur l'iPhone 5 (et plus récent), iPad de quatrième génération et iPad Mini, et la cinquième génération d'iPod Touch. Vous pouvez trouver plus de détails à ce sujet ici .
Pour beaucoup, la mise à jour est susceptible de justifier la connexion à un réseau Wi-Fi gratuite. Dans le cas des utilisateurs d'iPhone 4 sous iOS 6.1.3, la mise à jour iOS 7 pèse une lourde 665 MB. Et pour l'iPad 2, c'est autour de 649 MB. Certains utilisateurs signalent également que iOS est demandé pour près de 3 Go d'espace libre pour installer.


TEST: iPhone 5S,gain de performances des éléments 3D lourds ou des rendus dans des résolutions plus larges.

Les nouveaux iPhone sont arrivés, aujourd’hui, dans les magasins. L’iPhone 5c reprend en couleur les bases de l’iPhone 5, avec un boîtier un peu plus lourd en plastique de bonne qualité et de la 4G. Malgré un prix plutôt élevé nu, il est positionné par Apple comme un modèle de milieu de gamme. L’iPhone 5s, lui, occupe le haut de gamme et promet un vrai gain de puissance par rapport à son prédécesseur, même si extérieurement peu de choses changent.
Quoi qu’il en soit, en attendant de vous soumettre notre test détaillé en tout début de semaine prochaine, voici la première batterie de tests que nous avons effectués sur l’iPhone 5, l’iPhone 5c et l’iPhone 5s. Le premier fonctionne sous iOS 7.0, les deux suivants qui nous ont été prêtés par Apple bénéficient déjà de la première mise à jour dont nous vous parlions hier. C’est donc sous iOS 7.0.1 qu’on les voit s’animer.

Faites vos jeux…

Puisque Apple annonçait des performances globales (CPU et GPU) multipliées par deux, nous avons insisté sur les tests qui sollicitent le processeur en terme de puissance de calcul brut et aussi la partie graphique, même si les outils les plus récents dont nous disposons ne tirent pas encore parti de la compatibilité Open GL/ES 3.0 du dernier né des iPhone.
Il n’en reste pas moins que AnTuTu 3DRating, GFXBench (anciennement GLBenchmark 2.7), GLBenchmark 2.5 ou encore Pawamark mettent clairement en avant les forces et faiblesses des uns et des autres et montrent surtout la montée en puissance de la puce Apple A7, qui, comme son aînée, est cadencée à 1,3 GHz. La nouvelle venue fait la démonstration d’un beau gain de performances, notamment quand il lui est demandé de calculer des éléments 3D lourds ou d’afficher des rendus dans des résolutions plus larges.
Ce qui laisse augurer de belles heures passées devant des jeux de plus en plus impressionnants graphiquement parlant, Infinity Blade 3 étant un des premiers, mais certainement pas le dernier.
Comparatifs des performances de l'iPhone 5, 5c et 5s.
agrandir la photo

Puissance brute

Pour la puissance de calcul brute, l’A7 multiplie par près de 1,5 les performances de l’Apple A6 avec Linpack. Et l’iPhone 5s se distingue également par une mémoire plus performante - peut-être un effet du passage au 64 bits. Ainsi, Geekbench 2, qui dresse un portrait plus complet de la configuration, lui attribue 2584 points contre 1490 pour l’iPhone 5 et 1872 pour l’iPhone 5c.
L’occasion de noter que l’iPhone 5 et 5c – qui partagent la même configuration à quelques détails près - marchent main dans la main, les différences n’étant pas significatives, sauf une aberration, étonnante, obtenue avec Pawamark.

Nous nous empressons de tester l’autonomie de ces deux nouveaux appareils pour finaliser notre prise en main et vous fournir un test complet au plus vite. Car, si le gain de puissance semble bien au rendez-vous, la question de l’autonomie reste un point d’interrogation d’importance.


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Hackers: Symantec révèle l’existence d’un groupe de mercenaires… chinois ?

Symantec révèle l’existence d’un groupe de hackers mercenaires… chinois ?

Les Hidden Lynx, c’est le nom donné à un groupe de hackers nouvellement dévoilé par le géant de la sécurité informatique Symantec. Ce groupe serait impliqué dans quelques unes des plus grosses attaques informatiques des dernières années.

Hidden Lynx. C’est le nom d’un groupe de hackers, constitués d’entre 50 et 100 experts en informatique, dont l’éditeur de solution de sécurité, Symantec, vient de dévoiler l’existence.

Deux équipes

© Symantec
Détails des agissements des Hidden Lynx.
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Symantec les suit avec attention depuis 2011 et a trouvé ses traces dans au moins six campagnes menées à travers le monde. D’après l’éditeur, ce « groupe est plus motivé et dynamique que les autres groupes bien connus tels que APT1/Comment Crew », qui avait été mis en avant dans le rapport Mandiant publié en février 2013.
Le groupe Hidden Lynx est, semble-t-il constitué de deux sous-groupes. Le premier, surnommé Moudoor, du nom du cheval de Troie qu’il utilise, agit « sans se soucier de sa découverte par les spécialistes de la sécurité ». Le second, baptisé Naid, toujours du nom d’un cheval de Troie qu’il a adopté, agit davantage comme une « unité d’opérations spéciales, composée de membres d’élite qui infiltrent les cibles les plus précieuses ou les plus robustes ». Naid est, selon le communiqué de Symantec, utilisé avec parcimonie et prudence, comme une « arme secrète utilisée uniquement lorsque l’échec n’est pas envisageable ».

Force de frappe

Hidden Lynx est en tout cas capable de mener de nombreuses attaques, de front, contre des centaines d’entreprises à travers le monde. L’éditeur précise que ces hackers ont été les premiers à utiliser la technique du trou d’eau, qui demande patience, savoir-faire et une grande quantité d’information. Pour arriver à leurs fins, ces pirates informatiques « accèdent rapidement aux failles zero-day » et sont capables de compromettre « la chaîne logistique afin d’atteindre [leur] cible ».
Selon Symantec, les Hidden Lynx seraient derrière la fameuse attaque VOHO découverte en juin 2012. Elle leur avait permis de viser les fournisseurs de l’armée américaine, dont les systèmes étaient sécurisés par une solution de Bit9. Les hackers ont alors compromis le cœur du système de sécurité en s’attaquant directement à Bit9 et se sont introduits dans l’infrastructure de signature de fichiers sur laquelle repose ce système.

Les origines ?

D’où provient ce groupe de hackers ? La communication française de Symantec ne le précise pas. En revanche, Reuters laisse entendre que ce groupe pourrait bien être d’origine chinoise, comme APT1. L’éditeur s’est en tout cas bien gardé d’indiquer que le gouvernement chinois pouvait être lié à Hidden Lynx. En revanche, Symantec précise dans son rapport que les Hidden Lynx pourraient avoir été impliqués dans l’opération Aurora de 2009, qui avait mis à mal la sécurité de nombreuses entreprises américaines…


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