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mardi 15 juillet 2014

CNET hacké pour sensibiliser le web aux questions de sécurité ?

 


Un groupe de hackeurs russes a piraté les serveurs du site d’information technologiques CNET.com. Un million de noms et de mots passe cryptés ont été dérobés.

 
Un représentant d'un groupe dénommé « w0rm » déclare sur Twitter avoir hacké la base de données clients de CNET.com. Cette team de hackeurs russes a d'ailleurs posté une image de l’accès à distance à un serveur du site américain, ce qui prouve l’intrusion. Jen Boscacci, directeur de la communication de CBS Interactive (qui détient CNET) a déclaré dimanche 13 juillet : « quelques serveurs ont été consultés, nous avons identifié le problème et nous l’avons résolu ». Il s’agirait en fait d’une faille de sécurité dans le framework Symfony du site.

Un gros coup de pub

Les hackeurs de w0rm auraient ainsi dérobé une base de données contenant les noms et mots de passe (cryptés) de plus d’un million d’utilisateurs. Mais CBS a indiqué qu’il s’agissait davantage d’attirer l’attention que de réellement vouloir monnayer ces données. Ce qui n'a pas empêché les hackeurs de w0rm de mettre en vente la base, pour la somme modique de 1 Bitcoin !
Ces pirates ne sont pas des nouveaux venus : ils revendiquent avoir accédé avec succès l’an dernier aux sites de la BBC, d'Adobe et de Bank of America. C’est, disent-ils, leur façon de sensibiliser l'opinion sur les questions de sécurité sur le Web. D’ailleurs, lundi 14 juillet, le représentant de w0rm a proposé sur Twitter une solution de sécurité à Cnet (voir ci-dessous). Le hack d'un des plus gros sites au monde représente pour eux un superbe coup de pub...



REF.:

vendredi 11 juillet 2014

Le Centre de la sécurité des télécommunications du Canada (CST) s'apprête à déménager son quartier général

Un milliard $ pour un immeuble top-secret


Payeriez-vous le gros prix pour quelque chose que vous ne pourrez même pas voir en images? Vous l'avez pourtant fait sans vous en rendre compte.
Le Centre de la sécurité des télécommunications du Canada (CST) s'apprête à déménager son quartier général dans un immeuble de l'est d'Ottawa qui a coûté un un peu plus d'un milliard à construire, ce qui en fait sans contredit l'immeuble le plus dispendieux jamais construit par le gouvernement canadien.

(TVA Nouvelles)
Escaliers stylisés, atrium, imposantes façades vitrées... rien de trop beau pour l'agence fédérale qui a le mandat de surveiller les communications à l'extérieur du pays.
Cependant, seuls les 2200 employés auront la chance de s'en approcher puisque le CST refuse tout accès et toute prise d'image par les médias. L'édifice en entier a été classé top secret; une décision que conteste l'ex-agent du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), Michel Juneau-Katsuya.

(TVA Nouvelles)
«Ce n'est pas tout qui est très secret. La preuve que ce n'est pas si très secret, c'est qu'ils ont donné le mandat de construction à une firme étrangère plutôt qu'à une firme canadienne. Arrêtez ça, c'est ridicule», tranche-t-il.
L'équivalent américain du CST, la National Security Agency (NSA), fait quant à elle preuve de beaucoup plus d'ouverture et a même ouvert ses portes à une équipe de production pour réaliser un documentaire à l'intérieur de son quartier général.
À ceux qui voudraient pénétrer dans le nouvel édifice du CST, sachez que l'agence est en pleine période de recrutement.


REF.:

TAXI: L'industrie du Taxi corrompu par la mafia de bas étage

La livraison de poudre et autre dérivés hallucinogène se fait depuis loingtemps par taxi.

La protection des chauffeurs de taxi se fait par des fier-à-bras ,qui font de l'intimidation social.

La collusion avec l'industrie des pièces auto ,le vol d'auto,le vol de catalyseur , se fait par eux.

Ils en mène de plus en plus large.

Qui peut contracter la nuit dans un service 24/7 , les mains sales ? .............Les Taxis , et ont saient qui  est assis derrière le volant, une communauté qui ne vient pas de la Nouvelle France , et non !

Vous ne faîtes que crétiquer le service et personnes du département des plaîtes vous écoute,ils n'ont même pas un ombudsman du citoyen .

Les contrôleurs du Métro n'ont même pas pattes blanche a la STM,......syndiqué endurci,droit acquis,personnes intouchables,toutes ces réponses sont bonnes.

Le réseau de la STM incluant le Métro de Mtl et des cie de Taxi a contrat  avec la STM est pourri de l'intérieur !

La collusion avec le milieux policier se fait depuis longtemps.

Personne ne fait rien !

Personne ne se plaint,autant de rumeur que de mauvaise humeur,les histoires d'horreur sont la!

Des photos circule sur le web ,concernant certains fautif,ont attend celui des policier ,maintenant !

Faîtes circuler Anonymousement !






REF.:bougeDelaw,

mercredi 9 juillet 2014

Contraventions : Des quotas à atteindre

Contraventions : un document remis à des policiers énonce les quotas à atteindre


Une note de service destinée aux policiers de la Régie intermunicipale de police Richelieu Saint-Laurent, dont Radio-Canada a obtenu copie, énonce clairement un objectif de 12 constats d'infraction par quart de travail, en prévision de l'été et de l'automne 2014.
Pour atteindre leur objectif, les patrouilleurs sont invités à surveiller plusieurs types d'infractions :
  • l'utilisation du téléphone cellulaire et l'envoi de textos au volant
  • le respect des panneaux d'arrêt et des feux de circulation
  • les limites de vitesse (« avec discernement », précise-t-on)
  • la validité des permis de conduire et des certificats d'immatriculation
  • les normes sur les silencieux et les vitres teintées
  • les actions imprudentes
  • les gestes illégaux
Le service de police précise en outre que les agents doivent continuer de porter une attention particulière aux véhicules stationnés illégalement et aux véhicules dont les portières sont laissées déverrouillées. Ces dernières infractions ne sont toutefois pas prises en compte dans l'atteinte du quota de contraventions.
La note précise que les sergents auront la responsabilité de voir à ce que les quotas soient respectés par tous les policiers « sans exception ».
Avec les informations de Karine Bastien

La compression H.265 ou HEVC numéroté / MPEG-H partie 2 ou encore ISO/IEC 23008-2

High Efficiency Video Coding (HEVC) est une norme de codage vidéo finalisée depuis janvier 2013, devant succéder au H.264/MPEG-4 AVC (Advanced Video Coding). Ses applications concernent aussi bien la compression des vidéos en très haute définition (2K, 4K, 8K...) que la diminution du débit de transmission sur réseau pour les vidéos en définition standard avec des applications pour la vidéo sur mobile et pour l'extension de l'éligibilité aux services audiovisuels (TV, VoD...) des abonnés aux réseaux fixes (ADSL...).


Elle porte le nom formel de HEVC, à l'ITU elle prend le numéro de H.265, tandis qu'à MPEG elle se nomme MPEG-H partie 2 ou encore ISO/IEC 23008-2.


HEVC a pour but d'améliorer significativement le codage/compression par rapport à son prédécesseur AVC. En effet, l'objectif est de réduire le débit nécessaire de moitié, à qualité équivalente. Ces progrès nécessitent l'utilisation d'algorithmes plus complexes, bien que le bond en complexité ait été limité tout au long de la normalisation.
La norme HEVC sera utilisée pour la prochaine génération de système de compression. Bien que le mode principal de codage vidéo soit le mode progressif, le mode vidéo entrelacé pourra également être utilisé. Le HEVC supporte toutes les définitions usuelles. Il prévoit également le support de cadences d'images plus élevées, pouvant atteindre 100, 120 ou 150 images par seconde.
Cette norme inclut notamment un profil principal Main profile avec des vidéos encodées en 8-bit 4:2:0, ainsi qu’un profil ‘Main 10’ garantissant une profondeur de couleurs 10-bits.
Le profil Main Still Picture permet le codage d'une seule image fixe en utilisant les mêmes contraintes que le profil Main profile. En tant que sous-ensemble du profil Main profile, le profil Main Still Picture offre une profondeur de couleur sur 8 bits avec une colorimétrie échantillonnée en 4:2:0.


REF.: