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lundi 18 juin 2018

Rachat de Github : la concurrence n’en perd pas une miette




Business : Microsoft a annoncé le rachat de Github, principale plateforme de partage de code. En marge de l’annonce, les concurrents profitent de l’occasion pour tenter de ramener les développeurs mécontents de cette évolution dans leur giron. Microsoft débourse l’équivalent de 7,5 milliards en actions pour s’offrir la plateforme majeure de partage de code, continuant à creuser le filon de l’open source.
Github passe sous la coupe de Microsoft et pour de nombreux défenseurs de l’open source et du logiciel libre, c’est une très mauvaise nouvelle. On aura sûrement le temps de discuter en long et en large dans les prochaines semaines afin de savoir si Github a fait un pacte avec le diable ou si la plateforme a simplement fait preuve de réalisme. Mais en attendant, la concurrence ne perd pas une occasion de se mettre en avant.
 
C’est tout d’abord le cas sur Twitter ou les community manager des concurrents de Github n’hésitent pas à rappeler plus ou moins subtilement leur existence : on a ainsi vu Bitbucket vanter de manière pas vraiment innocente ses outils de migration d’une plateforme à l’autre, une manière de séduire les développeurs qui souhaiteraient voir si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. Sourceforge a également profité de l’occasion pour rappeler que le site historique avait été racheté en 2016 et que son interface avait fait peau neuve pour l’occasion, afin de faire oublier son image écornée au cours des dernières années.

Gitlab en embuscade

Mais les grands gagnants de cette foire d’empoigne, c’est Gitlab. Si la plupart des concurrents se contentent d’un tweet discret ou d’une allusion voilée au rachat de Github par Microsoft, Gitlab a de son côté décidé d’y aller franco et a publié un communiqué « félicitant » Github pour son rachat. Le communiqué en question rappelle l’historique de Git, l’outil de contrôle des versions utilisé par Github et l’ensemble de ses concurrents, ainsi que l’évolution de Github. Il s’avance également sur le futur et rappelle à ce sujet que la tentation sera grande pour Microsoft de pousser les utilisateurs de Github vers ses solutions maisons, notamment le cloud Azure, pour héberger les projets. La perspective n’a rien de fantaisiste : dans son communiqué annonçant le rachat de Github, Microsoft a ainsi listé parmi ses objectifs la volonté de promouvoir ses propres services auprès des utilisateurs de Github. Gitlab en profite donc pour rappeler sa propre stratégie en la matière : une application dédiée pour le partage de code, sans intégration d’outil partenaire, et un fort attachement à l’open source.
Pour enfoncer le clou, Gitlab communique allégrement sur le pic de migration que son service constate depuis l’annonce du rachat. Dans un tweet, le service explique ainsi que le nombre de nouveaux répertoires créés sur Gitlab a été décuplé suite à l’annonce. Le service veut donc se positionner comme l’alternative de référence pour ceux qui ne parviendraient pas à se résoudre à utiliser des outils Microsoft pour le contrôle de version.
 
 
REF.:

Sauvegarde système et fichiers Windows 10 sur disque dur externe ou clé USB




Vous possédez un ordinateur ASUS, HP, ACER ou autres marques en Windows 10 et souhaitez effectuer une sauvegarde système ou de fichiers sur votre disque dur externe ou clé USB.
Vous cherchez aussi des logiciels de sauvegarde simple et efficace.
Cet article vous explique comment sauvegarder votre ordinateur Windows 10 avec les outils intégrés ou avec des logiciels tiers.
Sauvegarde système et fichiers Windows 10 sur disque dur externe ou clé USB

Sauvegarde système et fichiers Windows 10

Afin de bien comprendre de quoi nous parlons, voici quelques explications autour des sauvegardes.
De manière générale, évitez plutôt d’effectuer des sauvegardes sur clé USB, le support n’était pas très fiable.
Vous risquez de rencontrer des problèmes lors de la restauration.
Sauvegarde système et fichiers Windows 10 sur disque dur externe ou clé USB

Sauvegarde système

Comme indiqué précédemment, la sauvegarde système consiste à sauvegarder entièrement l’ordinateur et Windows 10.
Lorsque Windows 10 est planté, suite à une mise à jour ou autre problème par exemple.
Vous pouvez restaurer cette sauvegarde système de Windows 10 en 30 minutes environ.
Cela permet de remettre un Windows 10 fonctionnel en démarrant sur une clé USB de secours: Créer un support de récupération pour Windows 10, 8.1 ou 7
Le gros avantage est que vous retrouvez vos applications, jeux installés contrairement à une réinstallation à partir d’un support d’installation.
Plus d’informations pour  créer une sauvegarde système, suivre la page:  Créer une image système de Windows
Sauvegarde système et fichiers Windows 10 sur disque dur externe ou clé USB

Sauvegarde de vos fichiers

La sauvegarde des fichiers permet de dupliquer vos documents.
Lorsque vous perdez ces dernières après un crash du disque dur ou après avoir effacé par erreur, vous pouvez restaurer vos documents.
Windows 10 fournit un utilitaire pour cela qui se nomme l’historique des fichiers.
Ce dernier permet de sauvegarde vos fichiers sur un disque dur externe, clé USB ou second disque dur.
Pour utiliser la sauvegarde de fichiers de Windows 10, reportez-vous à l’article : Windows 8/10 : sauvegarder ses documents personnelles
Sauvegarde système et fichiers Windows 10 sur disque dur externe ou clé USB

Logiciel de sauvegarde pour Windows 10

Enfin, il existe des logiciels de sauvegarde… la plupart sont payants mais existent en version gratuite avec des limitations.
Les logiciels de sauvegarde système :
Les logiciels de sauvegarde de fichiers :
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Smartphones/PC ultraportables: Cortex-A76, la nouvelle plateforme à tout faire d'ARM


Technologie : Cette plateforme devrait arriver sur le marché en 2019. Elle pourrait équiper les smartphones mais aussi des PC ultraportables tournant sous Windows. Et encore les appareils de domotique et les voitures connectées.


Le spécialiste des processeurs ARM annonce sa prochaine plate-forme. Son nom : Cortex-A76. Cette plateforme devrait arriver sur le marché en 2019. Elle pourrait équiper les smartphones mais aussi des PC ultraportables tournant sous Windows. De quoi proposer toutes les fonctionnalités de Windows 10 ? Rien n'est moins sûr pour l'heure !

Ce SoC repose sur l’Armv8-A (Harvard), et la puce propose un cœur 64 bits. Il se complète par un GPU Mali-G76 et un VPU Mali-V76. Économies d’énergie (gain de 40 % par rapport à la génération précédente) et amélioration des performances (35 %) sont au programme, même si cela peu sembler paradoxal. Cette plate-forme est basée sur la technologie DynamIQ. Dans le détail, chaque A76 propose 128 Ko de cache L1 et 256 ou 512 Ko de cache N2. Et 1280 entrées et partage jusqu’à 4 Mo de L3.
Par ailleurs, ARM présente sa puce graphique Mali-G76. Une puce qui propose deux fois plus de voies d’exécution que la puce précédente, la G72. Le VPU Mali-V76 décode lui la vidéo 8K à 60 images par seconde.

Smartphone, domotique, voiture connectée

Côté usages, ARM assure que pour les smartphones l'intégration de ce SoC devrait apporter plus de performance et un meilleur rendement. Mais ARM pense que cet équipement pourrait être également intégré aux appareils de domotique, avec de nouveaux niveaux de performances pour ces appareils dont l'objectif est de connecté la maison et de la rendre "plus intelligente".
Côté ordinateurs portables, ARM assure que cette nouvelle technologie doit permettre d'alimenter "ordinateurs portables et Chromebooks". Enfin, les voitures connectées devraient bénéficier également du produit.
 
 
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vendredi 15 juin 2018

Réseaux LoRa & Sigfox : il y a une vie en-dehors de la 3G, du Bluetooth et du Wi-Fi !




On estime que d'ici 2020, ce sont plus de 50 000 Go de données qui transiteront entre nos machines chaque seconde. Ces échanges massifs se font en partie via des réseaux sans fil, les plus répandus étant essentiellement les réseaux 3G/4G, le Bluetooth et le Wi-Fi. Mais d'autres réseaux moins connus sont utilisés tous les jours dans nos objets connectés et dans nos villes !

Nous connaissons tous les principaux réseaux non-câblés qui font partie de notre quotidien, en téléphonie mobile avec la 3G/4G ou avec celui qui s'est imposé comme le standard domestique, le Wi-Fi.

Ces réseaux traditionnels ont en commun un protocole de communication d'une grande complexité qui permet un débit de données très élevé. Avec jusqu'à 700 Mbits de débit par seconde, ils permettent de regarder des vidéos en 4K et d'échanger de gros fichiers au quotidien. Mais cela implique également une importante consommation énergétique : la connectivité sans fil représente environ 40% de la consommation énergétique de nos téléphones.

Ces technologies évoluent et s'adaptent à nos besoins au fil des années, et nous permettent d'échanger toujours plus de données, toujours plus vite, tout en contrôlant notre consommation.


ville connectée fotolia


Les nouveaux réseaux dédiés à la ville connectée


Parallèlement, on assiste à l'émergence des villes connectés au sein desquelles de plus en plus d'objets du quotidien doivent être également capable de communiquer entre eux. Les applications telles que les compteurs intelligents, le contrôle et la gestion des parkings, de l'éclairage ou encore du trafic routier se généralisent.

Les quantités mesurées ou contrôlées dans ces applications, comme les conditions météorologiques, les niveaux d'humidité du sol ou les lampadaires, montrent toutes de très lentes fluctuations sur une période prolongée. Pour connecter ces objets il suffit, dans la majorité des cas, d'un débit de données extrêmement faible avec des échanges très peu fréquents.

détecteur de place de stationnement
Le pavé clair est un détecteur de places de stationnement installé aux abords du port d'Amsterdam. Il transmet un message lorsqu'une place se libère et permet de mieux gérer les flux de véhicules.


L'un des principaux challenges consiste également à augmenter la durée de vie des batteries de ses capteurs afin de réduire les coûts de maintenance et de remplacement.

D'après une étude de la firme Gartner datée de 2017, ce sont plus de 20,4 milliards « d'objets » qui seront connectés en 2020. Cet engouement soulève de nouveaux besoins en matière de connectivité. Or, les réseaux grand public sont mal adaptés aux objets car trop gourmands en énergie et trop coûteux.

C'est un petit peu comme de payer un abonnement 4G illimité au prix fort alors que vous ne souhaitez envoyer que 10 SMS par mois. N'existerait-il pas un forfait plus adapté ?

reseau sans fil fotolia


L'émergence des LPWANs


Supporter un très grand nombre de connexions à faible débit avec une consommation énergétique minimale, le tout pour des coûts d'implémentation et de de gestion réduits : voici le tour de force à accomplir pour supporter l'expansion de l'Internet Of Things.

La demande est si forte que de nombreux industriels se sont engouffrés dans la brèche tentant d'imposer un nouveau standard. C'est l'avènement des LPWAN, Low Power Wide Area Network (réseaux sans-fil à faible consommation énergétique). Ils sont constitués de différents routeurs qui collectent les messages des capteurs environnants et qui retransmettent les informations sur internet afin d'y accéder sur son mobile où un ordinateur.

Ils permettent l'échange de données simples telle que l'état d'un interrupteur, la position géographique d'un objet, le taux d'humidité d'un entrepôt ou le déclenchement d'une alerte.

Voici les principales caractéristiques et attentes d'un réseau LPWAN :
Caractéristique Réseau LPWN
Débit Faible : une centaine d'octets de données par jour
Fiabilité de la transmission Moyenne : les données sont rarement critiques et certaines pertes de données restent acceptables
Consommation énergétique Bonne : 10 ans de batterie avec seulement 4 piles classiques.
Coût et souscription au réseau Bons : gratuit ou quelques centimes par objet et par mois
Portée Bonne : 30 km en milieu rural, 5 km en ville


Le sujet de la législation autour des fréquences radio


Une autre particularité de ces réseaux est l'utilisation d'une bande de fréquence libre d'exploitation.
En effet, l'utilisation des différentes fréquences radio est encadrée par des organismes nationaux et internationaux afin que tous les systèmes sans fils puissent cohabiter sans subir de perturbations.

Il est possible d'acheter certaines plages de fréquence pour être assuré d'être l'unique utilisateur au niveau national ou international. Ce sont donc plusieurs millions d'euros qui sont dépensés chaque année par les opérateurs téléphoniques dits classiques (Orange, SFR, Free...) afin d'assurer à leurs utilisateurs qu'un client d'une entreprise concurrente ne perturbera pas sa communication.

Il existe deux bandes de fréquence définies comme libres d'utilisation, appelées ISM (Industrie, Science et Médicale) : 868 MHz et 2.4 GHz - fréquence dans laquelle opèrent le Bluetooth et le Wi-Fi.

Dans ce contexte, deux réseaux tendent à s'imposer dans la guerre des LPWANs. Ils utilisent la fréquence ISM 868 MHz, qui permet d'obtenir une portée supérieure comparée à 2.4 GHz.

Il s'agit de SigFox et LoRa, qui reposent tout deux sur des technologies d'initiative française.


Sigfox


Créée en 2009 dans la commune de Labège, cette société est l'une des premières mondiales à avoir flairé le besoin grandissant d'un réseau bas débit. L'idée était simple : créer un réseau national d'antennes optimisées pour couvrir une zone de 10 à 50 km, quitte à sacrifier la vitesse de transfert de données. Le nombre d'antennes à installer s'en trouve ainsi ainsi drastiquement réduit. Les investisseurs n'ont pas tardé à s'intéresser au projet et ont permis à Sigfox de couvrir 92% de l'Hexagone dès 2014 avec seulement 1 000 antennes (contre 11 121 pour la couverture 4G de Bouygues Telecom, par exemple).

Ils sont aujourd'hui présents sur les 4 continents, dans plus de 45 pays et couvrent 3,8 millions de kilomètres carré, soit la superficie de l'Inde.

Le réseau Sigfox, de par sa simplicité de déploiement (bande de fréquence libre et grande portée), peut s'étendre extrêmement rapidement et tente peu à peu de recouvrir le globe. La firme participe d'ailleurs à un programme de lancement de nano-satellites afin d'obtenir une couverture mondiale. Les premiers lancements sont prévus l'an prochain.

sigfox


Coûts


Pour environ 2 euros par an, il est possible d'enregistrer un objet sur le réseau et de récupérer ses données à distance. Grâce à cette souscription il est possible d'envoyer maximum 140 messages de maximum 8 octets par jour. Suffisant pour relever une température, un taux d'humidité ou encore les coordonnées GPS d'un objet.

Technologie


Sigfox utilise pour communiquer une technologie appelée Ultra Narrow band. Chaque message est transmis en utilisant une bande de fréquence très étroite (100 Hz) ce qui permet d'augmenter la qualité du signal et sa portée.

Le message est transmis en utilisant une modulation appelée DBPSK, une variante d'une technique appelée PSK. Cette modulation assez simple à implémenter et permet d'une part de réduire le coût des récepteurs et d'autre part de faire cohabiter un maximum de terminaux sur le réseau.



LoRa


Contrairement à Sigfox, LoRa n'est pas le nom d'une entreprise. Il s'agit d'un protocole de communication sans fil, crée par une société grenobloise, Cycleo SAS puis racheté par l'américain Semtech. Cette technologie s'avère excellente pour transmettre des messages sur de très longues distances, le tout pour très peu d'énergie. Un candidat idéal pour le marché des capteurs et objets connectés.

A la différence de Sigfox, vous aurez besoin de déployer vous-même un modem pour assurer la connexion des appareils environnants. Ils couvrent une zone d'environ 5 à 15 km dans laquelle tous les appareils utilisant la technologie LoRa pourront échanger des informations.

lora


Coûts


LoRa est gratuit d'utilisation : il suffit d'acheter un modem et des capteurs compatibles. Cela le rend particulièrement intéressant à l'échelle d'une ville. Avec seulement quelques modems, la ville de Dublin arrive à collecter les informations de différents capteurs d'inondation LoRa et peut prendre des mesures rapidement avant tout incident.

Il existe également une communauté, nommée The Things Network et basée à Amsterdam, qui permet aux passionnées ou entreprises possédant un modem LoRa de le partager avec les autres. Le réseau compte aujourd'hui 40 000 membres dans 60 pays et offre donc une couverture LoRa dans différents endroits à travers le monde.

Technologie


Le protocole LoRa repose sur une technique appelée CSS (Chirp Spread Spectrum modulation). Ce procédé étale le message sur une bande de fréquence défini, ce qui rend la communication extrêmement résistante aux interférences et permet d'améliorer drastiquement la portée. Cela permet également de fonctionner avec très peu d'énergie pour un coût de fabrication très réduit.

Les signaux LoRa d'un ballon d'air chaud embarquant des capteurs de pression et de température, ont été reçus à plus de 700 km de distance en août dernier, le tout fonctionnant avec 40 fois moins d'énergie qu'un smartphone.

En comparaison avec Sigfox, le débit offert est supérieur et le nombre de messages par jour est ici théoriquement illimité.


LoRa ou Sigfox : quel réseau pour connecter les objets entre eux ?


LoRa et Sigfox répondent tous deux parfaitement aux besoins du futur « internet des objets » en matière de communications longue portée, basse consommation et à faible débit de données. Cependant, ils diffèrent en plusieurs points qui ont un impact sur le choix de la technologie à choisir en fonction de son application.

Pour un agriculteur qui souhaite implanter des capteurs dans un champ pour connaitre l'état de santé de ses plantations et les besoins d'irrigation, il lui est préférable d'utiliser le réseau LoRa. Il déploie son propre modem et peut consulter les données amassées par les capteurs depuis un ordinateur sans payer d'abonnement annuel par capteur.

réseau fotolia


Pour une compagnie de déchets qui souhaite installer des capteurs de remplissage sur des bennes à ordures réparties sur différentes communes, il est peut-être préférable de souscrire à un abonnement Sigfox. Cela évite d'avoir à installer des modems LoRa pour garantir la couverture. Il suffit d'acheter les capteurs adéquats et Sigfox s'occupe de transférer les données via ses antennes réseaux jusqu'au PC du centre de collecte des déchets.

Quoi qu'il en soit, devant le succès de ces compagnies, les opérateurs téléphonique classiques cherchent à se tailler une part dans le marché de l'IoT. Ainsi, Orange a lancé son propre réseau LoRa fonctionnant sur leurs antennes.

L'organisme créateur des standards téléphoniques (2G, 3G, 4G), quant à lui, vient de publier une nouvelle technologie appelée NB-IoT, destinée uniquement à connecter les objets à internet.


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Comment transférer une licence Windows d’un PC à un autre ?



Dans cet article vous trouverez les explications pour transférer une licence Windows d’un ordinateur à l’autre.
Pour rappel, vous devez posséder une licence de type Retail pour pouvoir transférer une licence Windows.
Les licences OEM, c’est à dire les licences Windows vendues sur des ordinateurs de constructeur (Acer, ASUS, etc) sont liés à l’ordinateur et ne peuvent donc pas être transférées.
Pour plus d’informations sur les licences Windows, lire notre article dédié : Licences et activation de Windows

Comment transférer une licence Windows d’un PC à un autre

Voici comment déplacer une licence Retail d’un PC à un autre.
Dans un premier temps, vous devez désactiver la licence sur le premier ordinateur.

Désactiver la licence sur l’ancien ordinateur

Dans un premier temps, il faut désactiver la licence sur l’ancien ordinateur afin de pouvoir ensuite la transférer.
Pour cela, ouvrez l’invite de commandes en administrateur,
  • Windows  8 et Windows 10 : Lancez l’invite de commandes en administrateur par un clic droit sur le menu Démarrer puis invite de commandes (admin)
  • Windows 7 : Menu Démarrer / tous les programmes / Accessoires, sur l’invite de commandes, faites un clic droit puis « exécuter entant qu’administrateur ».
Ensuite dans l’invite de commandes, saisissez la commande suivante :
slmgr /dlv
Cette commande permet d’obtenir les informations de licence avec la fenêtre ci-dessous, repérez l’ID d’activation
Comment transférer une licence Windows d’un PC à un autre
Saisir ensuite la commande suivante toujours dans l’invite de commandes, avec l’ID d’activation.
Cela va désinstaller la clé produit.
slmgr /upk 30fab8cc-8614-4339-XXXXX
Puis pour réinitialiser les licences de l’ordinateur, saisissez ces deux commandes et redémarrez l’ordinateur.
slmgr /cpky
slmgr /rearm
A ce stade là, la clé produit est désactivée et peut-être utilisée sur un nouvel ordinateur.

Activer la licence sur le nouvel ordinateur

Enfin, il ne reste plus qu’à activer la licence sur le nouvel ordinateur.
Ouvrez l’invite de commandes en administrateur sur le nouvel ordinateur et saisissez les commandes suivantes
slmgr /ipk CLE-DE-PRODUIT-WINDOWS
slmgr /ato
Vous devez obtenir une fenêtre vous indiquant que votre clé produit a été enregistré et Windows activé.
Comment transférer une licence Windows d’un PC à un autre
Comment transférer une licence Windows d’un PC à un autre
A ce moment là, la licence est activée sur le nouvel ordinateur.
La procédure pour transférer la licence Windows d’un ordinateur à l’autre est terminée.

Les liens autour des licences de Windows

Les tutoriels autour des licences et activation de Windows.
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