Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

mercredi 16 décembre 2020

Microsoft vous doit un demi-milliard : réclamez !

 

 

Microsoft vous doit un demi-milliard : réclamez !


Non, ce n’est pas une arnaque. Microsoft a bel et bien un demi-milliard à remettre aux consommateurs canadiens dans le cadre du règlement d’une gigantesque action collective.

 Par:  Stéphanie Grammond
La Presse

Si vous voulez recevoir votre part du gâteau, c’est le temps d’agir. Il y a de l’argent qui vous pend au bout du nez. Ne vous en privez pas. Les démarches se font en ligne et ne prennent que quelques minutes. Même pas besoin de preuves d’achat pour les réclamations de moins de 250 $.

Mais certains consommateurs sont sur leurs gardes, et ça se comprend. Avec toutes les attrapes qui empoisonnent le web et nos boîtes de courriels, on n’est jamais trop prudent.



Ces derniers jours, plusieurs clients dont Microsoft avait toujours les coordonnées dans ses bases de données ont reçu un courriel les encourageant à faire une réclamation.

Ces derniers jours, plusieurs clients dont Microsoft avait toujours les coordonnées dans ses bases de données ont reçu un courriel les encourageant à faire une réclamation. D’autres consommateurs ont remarqué la campagne de sensibilisation « Mon argent tout de suite » à la radio et à la télévision.

Qu’en est-il au juste ? En fait, l’histoire remonte à 2005.

Trois actions collectives ont été entamées, d’abord en Colombie-Britannique, puis en Ontario et au Québec. Les consommateurs y alléguaient que Microsoft avait comploté pour mettre en place un monopole illégal afin d’éliminer la concurrence et de gonfler artificiellement le prix de ses systèmes d’exploitation et de ses logiciels.

Le dossier de la Colombie-Britannique a ouvert le chemin pour les autres. Juste pour passer le stade de l’autorisation, l’affaire s’est rendue jusqu’à la Cour suprême du Canada. Le procès fort complexe a finalement débuté en juillet 2018. Mais peu après, les parties ont finalement réussi à s’entendre à l’amiable.

Mon Dieu, ça n’aurait pas pu s’arranger plus vite ? On aurait économisé des années et des millions.

Enfin, l’entente pancanadienne vise les citoyens de l’ensemble des provinces. Sans reconnaître aucune faute, Microsoft s’est engagée à verser jusqu’à 517 millions de dollars pour enterrer la hache de guerre.

Pour les consommateurs, il s’agit du plus important règlement de l’histoire du pays dans le cadre d’une action collective. À titre comparatif, Volkswagen a accepté de verser 290 millions dans le cadre du scandale du diesel. Les fabricants de mémoire vive dynamique (D-RAM) avaient allongé 80 millions. Et les fabricants de tubes cathodiques qui auraient comploté pour fixer les prix ont remis 50 millions aux consommateurs canadiens.

Dans le cas de Microsoft, les consommateurs toucheront entre 205 et 410 millions de dollars, car il faut soustraire les faramineux honoraires des avocats qui s’élèvent à 107 millions de dollars (dont environ 830 000 $ pour le cabinet québécois Bouchard Pagé Tremblay).

Alors, comment faire pour réclamer votre dû ? Ce n’est pas compliqué.

Pour être admissible à l’action collective, vous deviez être résident du Canada à partir du 25 mai 2016 et avoir acheté une licence pour un produit de Microsoft entre le 23 décembre 1998 et le 11 mars 2010.

Les consommateurs qui ont acheté un des produits visés peuvent réclamer un paiement en argent. Selon le type de produit, le montant varie entre 6,50 $ (ex. : application de traitement de texte Word) et 13 $ (ex. : MS-DOS ou système d’exploitation Windows).

Pour les réclamations de moins de 250 $, pas besoin de fournir de reçu ni de preuve, ce qui aurait été une mission impossible pour des achats qui datent de plus de 20 ans, dans certains cas. Personne ne conserve la facture d’un logiciel si longtemps.

Le formulaire de réclamation en ligne vous demandera de préciser le type de produit, la version exacte, l’année d’achat et le commerçant qui vous l’a vendu. Mais vous pouvez répondre « au meilleur de votre connaissance ». Alors pas de souci si votre mémoire défaille.

Ensuite, vous devrez déclarer que les renseignements contenus dans votre réclamation sont véridiques. Et hop ! Le tour est joué.

Vous avez jusqu’au 23 septembre 2021 pour faire une réclamation. Mais pourquoi attendre ? Vous risquez d’oublier. Réclamez immédiatement et ce sera réglé.

Allez-y : réclamez ! Trop souvent, les actions collectives finissent en queue de poisson, car peu de consommateurs font les démarches, surtout quand il s’agit d’un petit montant.

D’ailleurs, pour éviter que les actions collectives aient la triste réputation de n’enrichir que les avocats, on devrait leur verser une partie de leurs honoraires sous forme de « bonus » qui serait lié au taux de réclamation. Un juge a déjà adopté cette solution en Ontario.

Faites une réclamation

https://www.monargenttoutdesuite.ca/fr/accueil

Une fois votre réclamation terminée, armez-vous de patience. Le processus de réclamation ne sera pas terminé avant le début de 2022. Ce n’est donc que dans un an et demi environ que vous recevrez votre chèque par la poste.

Si jamais il reste de l’argent à l’issue du processus de réclamation, certaines écoles primaires, secondaires et postsecondaires pourraient recevoir des bons d’achat. 

REF.:

Tueur du zodiaque : un message décrypté 51 ans après les faits

 

 

Tueur du zodiaque : un message décrypté 51 ans après les faits:

Une équipe de passionnés a cassé le code du cryptogramme Z340, sur lequel se penchent tous les experts depuis des décennies.

 
 
Louis Chahuneau Journaliste

C'est un petit évènement aux États-Unis. Un message du tueur en série du Zodiaque, qui a tué au moins cinq femmes entre 1968 et 1969 et revendiqué 37 meurtres au total dans la baie de San Francisco, en Californie, sans jamais être identifié, vient d'être décrypté par une équipe de chercheurs bénévoles : David Oranchak, un web designer américain de 46 ans, Sam Blake un mathématicien australien et Jarl Van Eykcke, un logisticien belge.

Il s'agit d'un message codé avec le cryptogramme Z340 (pour 340 caractères) et reçu le 8 novembre 1969 au quotidien local le San Francisco Chronicle qui vient de publier l'information

Si les dernières phrases sont énigmatiques, le message du tueur du Zodiaque dit ceci : "J'espère que vous vous amusez bien à essayer de m'attraper. Ce n'était pas moi dans l'émission télévisée [...] Je n'ai pas peur de la chambre à gaz, parce que cela m'emmènera au paradis d'autant plus tôt. Parce que j'ai désormais assez d'esclaves pouvant travailler pour moi, alors que n'importe qui d'autre n'a rien en atteignant le paradis. Donc ils ont peur de la mort. Je n'ai pas peur car je sais que ma nouvelle vie sera facile au paradis de la mort. La vie c'est la mort".

En revanche, le message ne comporte aucun élément permettant d'identifier le tueur : "On a été déçus mais on ne s'attendait pas à ce qu'il en parle", explique David Oranchak dans la vidéo.

À lire aussi
  enquête
Les infos de 6h - Affaire Mouzin : de nouvelles fouilles dans le parc de l'ancien château de Fourniret

Contacté par l'équipe de chercheurs, le FBI a confirmé la traduction du message : "Le FBI est conscient qu'un cryptogramme attribué au tueur du Zodiaque a été récemment résolu par des particuliers. L'enquête reste en cours pour la division du FBI de San Francisco et nos divisions locales", a déclaré l'institution au journal de San Francisco

Un cryptogramme très complexe

David Oranchak et ses camarades ont utilisé un logiciel de déchiffrage nommé "Easy decrypt" pour déchiffrer le cryptogramme. Les trois passionnés sont tombés début décembre sur une traduction du texte mentionnant "chambre à gaz", alors que tous les autres résultats n'étaient  jusqu'à présent que du charabia.

Une autre phrase a mis les enquêteurs amateurs sur la piste de la vérité : "Ce n'était pas moi dans l'émission télévisée". En 1969, deux semaines avant que le quotidien de San Francisco reçoive le message, un anonyme avait appelé dans l'émission télévisée AM San Francisco pour se présenter comme le tueur du Zodiaque. Il avait notamment déclaré au téléphone : "Je ne vais pas finir dans la chambre à gaz".

Le cryptogramme 340 est considéré comme le cryptogramme le plus complexe de l'histoire, selon les experts en cryptologie. Il a même défié des logiciels d'intelligence artificielle sophistiqués comme CARMEL. Si un premier cryptogramme Z408 a déjà été déchiffré en 1969 par les Américains Donald Harden et Bettye Harden, les trois symboles dont le Z340, Z13 et Z32 n'ont jamais été élucidés jusqu'à présent. 


REF.:

Résultats sondage Apple M1 : la révolution est en marche

 

 

Résultats sondage Apple M1 : la révolution est en marche

L’unanimité pour Apple Silicon.


Par

Pierre Otin

 Le monde de l’ordinateur personnel a été chamboulé récemment avec la sortie des nouveaux Mac M1. Ceux-ci intègrent en effet une nouvelle puce conçue par Apple, dans le cadre du projet Apple Silicon. Ce dernier veut à long terme voir tous les Mac tourner sous architecture Apple, et non plus sous architecture Intel.

Cette transition annoncée lors du WWDC de juin 2020 était très attendue, car sur mobile, Apple propose déjà certains des meilleurs processeurs du marché. La question était de savoir si la firme californienne est capable de faire aussi bien sur ordinateur. Et selon les premiers tests, il semblerait bien que ce soit le cas. La puce M1 procure des performances impressionnantes, d’autant qu’elle sous-tend également une meilleure autonomie sur Mac portables. En revanche, tout n’est pas rose et quelques inconvénients viennent ternir le tableau, dont une compatibilité des applications qui n’est pas encore totale.

Quoi qu’il en soit, le passage aux puces Mx sur Mac est un tournant, au moins chez Apple, si ce n’est plus largement. À ce sujet, nous vous demandions justement votre avis il y a plusieurs jours, afin d’avoir un aperçu de la manière avec laquelle le grand public perçoit cette nouveauté.

Les résultats

L’intitulé du sondage était le suivant : “La nouvelle puce M1 d’Apple, pour vous, c’est”. Il y avait 4 réponses possibles :

  • Prometteur, j’attends la suite
  • Une révolution, j’achète dès maintenant
  • Inquiétant, trop de désavantages
  • Catastrophique, Apple va droit dans le mur

Vous avez été un peu moins de 500 participants. Voici sans plus attendre la répartition des votes :


© iPhon.fr

Pour une large majorité d’entre vous, soit 97 %, la nouvelle puce M1 est prometteuse. Parmi ces conquis, 6 lecteurs sur 10 préfèrent quand même attendre la suite à ce stade, quand 4 lecteurs sur 10 se disent prêts à acheter un Mac M1 dès maintenant, considérant la transition Apple Silicon comme une vraie révolution.

Moins de 4 % des votants ont jugé la puce M1 de manière négative. Pour eux, le projet Silicon est une mauvaise idée d’Apple.

L’année 2021, la confirmation attendue

En commentaires, vous êtes aussi nombreux à considérer la puce M1 comme une réelle révolution, sans forcément tout de même vouloir acheter l’une des nouvelles machines intégrant le processeur Apple de suite. Et je crois que c’est ce que beaucoup de ceux qui suivent l’affaire de près vont faire : passer la main pour cette première génération de produits Apple Silicon et attendre de voir ce que la firme californienne proposera en 2021.

À ce propos, selon les dernières rumeurs, une puce M2 serait déjà dans les cartons pour équiper les prochains Mac Pro et iMac. Ces machines pourraient paraître en fin d’année prochaine et proposer jusqu’à 20 coeurs ! Entre temps, un processeur M1x pourrait voir le jour, sorte de puce M1 boostée aux amphétamines. Ce SoC équiperait le MacBook Pro 16″ de nouvelle génération dès le premier trimestre 2021.

 

REF.:

samedi 12 décembre 2020

Le Conseil des arts de Montréal (CAM): Les 3 lauréates des résidences dans trois écoles montréalaises sont ?

 

 

Montréal, le 10 décembre 2020 – Le Conseil des arts de Montréal (CAM), le ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MÉESR), par l’intermédiaire de son programme Une école montréalaise pour tous et Communication-Jeunesse sont heureux d’annoncer que Lora Boisvert, Jennifer Couëlle et Céline Leblanc Barsalo sont les lauréates des résidences dans trois écoles montréalaises.

Les trois créatrices auront le bonheur de vivre avec des dizaines de jeunes du primaire une expérience unique en littérature pour la jeunesse. Chacune de ces résidences est assortie d’une bourse de 10 000 $ ; le CAM et le MÉESR participant chacun à la hauteur de 5 000 $.

Lora Boisvert entamera une résidence à l’école Sainte-Marguerite-Bourgeoys (CSSPI) sous le thème d’une histoire dont vous êtes le héros. Elle initiera ainsi les jeunes de 3e année à cette forme particulière et aux possibilités d’écriture collective qu’elle offre. Au fil des ateliers, les élèves auront la chance de créer des personnages et des lieux qui serviront pour la construction du récit.

La résidence confiée à Jennifer Couëlle se tiendra quant à elle à l’école Gilles-Vigneault (CSSDM), où l’autrice proposera un projet documentaire dans lequel elle invitera les jeunes du 1er cycle à amener la joie à l’avant-plan de leur conscience. Tout au long des rencontres, elle compte inciter ces derniers à écrire et à dessiner les joies qu’ils connaissent ou ont connues et à les partager.

Finalement, à l’école Harfang-des-Neiges (CSSMB)Céline Leblanc Barsalo fera découvrir aux jeunes du 1er cycle l’univers fascinant du peintre Jean-Paul Riopelle grâce à un projet de poésie animalière tout en mouvements, en rimes et en surprises. L’autrice désire ainsi donner la chance aux jeunes de s’imprégner de beauté et de rêves, en ouvrant la porte à l’imaginaire et à la magie de la poésie.

Ces résidences se dérouleront de février à avril 2021. Ce projet unique au Québec est l’occasion d’échanges privilégiés entre des créateurs et créatrices jeunesse et les jeunes où ces derniers peuvent s’initier à la création littéraire tout en développant un lien privilégié avec les créatrices sélectionnées. De leur côté cette année, les autrices profiteront de leur présence en milieu scolaire et de leur proximité avec les jeunes pour enrichir leur processus de création et leur production littéraire.

À propos de Communication-Jeunesse

Communication-Jeunesse est une association culturelle qui a pour mission la promotion de la lecture et de la littérature québécoise et franco-canadienne pour la jeunesse. Véritable référence en littérature d’ici pour la jeunesse, Communication-Jeunesse œuvre depuis 1971 à soutenir la création de productions littéraires et de rendre celles-ci accessibles aux jeunes d’ici.

À propos du Conseil des arts de Montréal

Partenaire dynamique de la création artistique professionnelle montréalaise, le Conseil des arts de Montréal repère, accompagne, soutient et reconnaît l’excellence dans la création, la production et la diffusion artistiques. Il encourage l’ouverture, la découverte et l’audace au cœur du paysage artistique montréalais par ses actions structurantes. Depuis 1956, le Conseil des arts de Montréal contribue au développement de « Montréal, métropole culturelle ».

À propos du programme Une école montréalaise pour tous

Le programme de soutien Une école montréalaise pour tous, du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, vise la réussite et la persévérance scolaires de tous les élèves montréalais qui font face aux enjeux liés à la défavorisation, notamment en contexte pluriethnique.

– 30 —

Pour information sur cette résidence, contacter :

Isabelle Chartrand-Delorme, chargée de projet, Communication-Jeunesse
i.chartrand-delorme@communication-jeunesse.qc.ca

 

REF.:

Céline Leblanc Barsalo,Lauréate d’une résidence scolaire montréalaise

 

 

Céline Leblanc Barsalo,Lauréate d’une résidence scolaire montréalaise

 

Le Conseil des arts de Montréal, le ministère de l’Éducation, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, par l’intermédiaire de son programme Une école montréalaise pour tous et Communication-Jeunesse dévoilent que Céline Leblanc Barsalo est lauréate d’une résidence dans une école montréalaise, soit l’école Harfang-des-Neiges de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeois. En février 2021, Céline Leblanc Barsalo fera donc découvrir aux jeunes du 1er cycle l’univers fascinant du peintre Jean-Paul Riopelle grâce à un projet de poésie animalière tout en mouvements, en rimes et en surprises. L’autrice désire ainsi donner la chance aux jeunes de s’imprégner de beauté et de rêves, en ouvrant la porte à l’imaginaire et à la magie de la poésie.

 

 Le travail d’enseignante de Céline Leblanc-Barsalo l’a amenée à encourager la lecture et surtout le plaisir de lire. Sa passion de l’écriture a été nourrie par son contact auprès des enfants du niveau primaire. Témoin privilégiée de leur vécu quotidien, elle veut partager son amour des Arts et des voyages. Née à Drummondville, études universitaires à Sherbrooke et Montréal, petit séjour à Ottawa et, par-dessus tout, voyageuse dans l’âme, Céline souhaite étonner et ravir ses lecteurs. Gourmande, elle savoure tous ses petits moments de bonheur avec sa famille et a le goût de crier : quelle belle aventure que l’écriture !

Annonce de Communication-Jeunesse

 

REF.: