Dans
cette hameçonnage relier a Poste Canada,le courriel
juliana-jms@hotmail.com ,est aussi hacké ,comme on le voit sur le site
trend micro.
Dont le message disait qu'il manquait des info sur l'envoyeur et des frais pour corriger la livraison du paquet a destination.
7 mai 2021 17 h 11
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 11
Danielle, date d’envoi : le 7 mai à 17 h 14
La dernière boite que j ai envoyé Sylvie la reçu j ai rien envoyé après
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 15
Ok y a des hackers qui s’amuse ;-)
Danielle, date d’envoi : le 7 mai à 17 h 15
Ta pris sa ou
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 15
Courriel de marc L
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 16
Danielle, date d’envoi : le 7 mai à 17 h 16
Souris un peux loin de chez toi
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 19
J’ai bloquer l’expediteur de poste Canada qui est un courriel de hacker ;-)
Danielle, date d’envoi : le 7 mai à 17 h 19
Ok connais pas
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 19
Merci d’avoir vérifier pour moi ;-)
Danielle, date d’envoi : le 7 mai à 17 h 19
De rien!!!
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 20
C sur que j’ai pas cliquer dessus
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 20
L’antivirus c moi,............ facile ;-)
Danielle, date d’envoi : le 7 mai à 17 h 21
Ta bien fait J avise Sylvie quand j envoie une boîte et prochain envoie c est moi en personne le 15 mai
Date d’envoi de votre message : le 7 mai à 17 h 40
Ok
Ici le scan du courriel hacké( dans une fuite de données ) par trend micro online,car le courriel a été utilisé par une autre personne mal intentionnée !
En passant poste canada n'a pas en aucune façon, un courriel commerçiale avec hotmail,encore moins avec un nom de guidounne !!!
Google va investir plus de 700 millions $ à Beauharnois
Le 10 mai 2021
Par Éric Tremblay
Google va de l’avant avec la construction d’un centre de
données à Beauharnois. L’entreprise a confirmé son intention d’acquérir
un terrain à Hydro-Québec pour construire une infrastructure au coût de
735 M $.
On estime que la construction nécessitera plus de 300 employés. Une
fois en opération, ce qui deviendra le tout premier centre de données de
Google au Canada emploiera une trentaine de personnes.
«L’évolution de ce projet est une excellente nouvelle pour notre
ville, indique Bruno Tremblay, maire de Beauharnois. Depuis quelques
années, nous travaillons avec le promoteur pour pouvoir répondre à ses
besoins sans effets négatifs pour notre population. La venue de Google à
Beauharnois permettra de consolider le développement de notre parc
industriel et de travailler à la création d’un pôle technologique en
données. »
Claude Reid, député de Beauharnois, parle de l’aboutissement d’un
long travail qui a impliqué Investissement Québec, Montréal
International et Hydro-Québec. «C’est un projet structurant pour la
région qui aura des retombées importantes pour tout la région, a-t-il
indiqué. Ça consolide la position de Montréal et de la région dans le
domaine de l’infonuagique. »
Il entrevoit des retombées importantes pour l’ensemble de la Montérégie-Ouest avec le projet Google.
Le conseil de Beauharnois avait demandé au gouvernement une loi
spéciale pour exclure de la zone agricole un terrain de 94 hectares
appartenant à Hydro-Québec. La Commission de protection du territoire
agricole du Québec (CPTAQ) avait offert une réponse défavorable en
décembre 2018. Le gouvernement avait cependant pris le dossier en main
et utilisé une mesure exceptionnelle. Au final, 62,4 hectares de
terrains ont été exclus de la zone agricole.
La proximité de la centrale hydroélectrique a joué en faveur de
Beauharnois puisque les serveurs de données requièrent une quantité
importante d’électricité.
«Nous sommes très heureux que Google choisisse l’énergie propre du
Québec pour l’aider à atteindre son objectif d’exploiter l’ensemble de
ses activités à partir d’énergie renouvelable d’ici 2030, a signifié
Sophie Brochu, pdg d’Hydro-Québec. Il s’agit d’une reconnaissance
significative du rôle que peut jouer notre énergie dans la décarbonation
du continent. »
L’entreprise Google est présente au Québec depuis 2004. Ses bureaux
de Montréal pourront compter jusqu’à 1000 employés, lesquels seront
répartis au sein de trois unités d’affaires : Chrome, Cloud et IA.
Récemment, l’entreprise s’est d’ailleurs engagée à faire de Montréal
l’un de ses trois principaux bureaux au Canada.
Des compensations pour le milieu agricole
L’Union des producteurs agricoles (UPA) et la Communauté
métropolitaine de Montréal (CMM) ont convenu d’engagements pour réduire
les répercussions sur le milieu agricole.
Des terrains d’une superficie équivalente, hors zone agricole
appartenant à Hydro-Québec et voisins de ceux qui seront achetés par
Google, seront inclus dans la zone agricole pour ensuite être cédée ou
confiée à long terme à la Fiducie agricole UPA-Fondaction pour soutenir
ses activités visant notamment à préserver le patrimoine agricole
québécois.
Des aides financières, de plus de 6,2 M $ seront également versées
pour favoriser le démarrage des activités de la Fiducie agricole
UPA-Fondaction ainsi que mise en oeuvre du Parc métropolitain agricole.
Hydro-Québec accepte également de céder un terrain de 150 hectares situé
à Saint-Stanislas-de-Kostka à la Fiducie agricole UPA-Fondaction.
Celui-ci permettra d’appuyer le démarrage des activités de la Fiducie.
Les voitures ne volent pas comme on l’imaginait dans les films de
science-fiction du siècle dernier, mais pour ce qui est de leur design,
on n’est pas déçu.
Je suis récemment tombé sur la publicité d’un VUS
dans laquelle on voyait sa calandre s’illuminer de mille feux au
démarrage du moteur, on aurait dit un vaisseau spatial tiré du film Rencontres du troisième type.
L’enchantement a rapidement cédé le pas à mes sempiternelles
préoccupations financières : « Avec une auto de même, t’as pas intérêt à
foncer dans le char d’en avant, je ne voudrais pas voir la facture des
ampoules ! »
Avec une auto de même, justement, il paraît qu’on n’est plus censé
rentrer dans le derrière de personne. De plus en plus de véhicules sont
équipés d’un système de détection et de freinage autonome pour éviter
les tamponnages... Bien, voilà une autre affaire qui coûte cher !
On n’a pas intérêt à trop abîmer ces joujoux bourrés de gadgets,
car le coût des réparations frappe lui aussi l’imaginaire (et les
finances). Évidemment, ça finit par se répercuter sur la facture
d’assurance.
Jusqu’à 10 fois plus cher
Le prix des pièces d’un modèle de 2021 n’a plus rien à voir avec ce
qu’il a déjà été. Des composantes répandues dans les voitures
d’aujourd’hui n’existaient pas il y a dix ans. J’ai discuté de ce sujet
avec Claude Leclerc, vice-président service pour le groupe ALBI le
Géant. Il ne tarit pas d’exemples.
« Après une collision à 30 km/h, un véhicule peut sembler ne pas
avoir grand-chose, mais tout de même avoir subi pour plus de 10 000 $ de
dommages. Les gens ont perdu leurs repères, et je les comprends. Ils se
demandent pourquoi ça coûte aussi cher. Il y a de la technologie
partout », explique-t-il.
Selon le Bureau de l’assurance du Canada (BAC), le
coût des sinistres liés aux collisions a crû de 32 % de 2009 à 2019.
Les primes d’assurance ont quant à elles grimpé de 22 %.
Prenons le pare-brise. Au début des années 2000, le remplacer
coûtait grosso modo 150 $, selon Claude Leclerc. Aujourd’hui, il peut
intégrer des détecteurs de pluie pour activer les essuie-glace et un
radar (parmi d’autres) pour le régulateur de vitesse. Coût : 1400 $.
Il y a quelques années à peine, seules les voitures de luxe étaient
munies d’un système de surveillance des angles morts. Cette technologie
s’est depuis fait un chemin jusque dans les petites voitures coréennes.
Le moindre dommage à un pare-chocs peut nécessiter un calibrage des
capteurs grâce auxquels fonctionne ce système, quand il ne faut pas les
remplacer. Le prix de ces bidules varie entre quelques centaines et
quelques milliers de dollars.
L’inflation s’attaque aux moindres composantes d’un véhicule, la
plupart du temps invisibles. Claude Leclerc relève le cas des supports
qui soutiennent le moteur au châssis. « Avant, ces supports étaient en
acier et coûtaient 35 $ chacun. Aujourd’hui, de plus en plus sont faits
d’aluminium, de caoutchouc et d’huile, ce qui réduit le bruit et la
vibration sur le volant, mais la pièce vaut 300 $ ».
Même chose avec les radiateurs.
Auparavant, ils étaient en acier. Ils sont aujourd’hui fabriqués en
aluminium, trois fois plus cher. Juste derrière ce radiateur, on en
trouve un autre, celui de la climatisation. Ces systèmes nécessitent
moins de fréon qu’auparavant, mais doivent être remplis à l’aide de
bonbonnes dont le prix est passé de 150 $ à 1000 $ !
Le phénomène gagne même la peinture. De nouvelles
couleurs, plus éclatantes, sont apparues sur le marché grâce aux
peintures dites « tricouche ». Ce type de finition coûte plus cher à
l’achat et lors des réparations. La nouvelle peinture appliquée sur la
partie réparée n’est jamais identique à l’originale, laissant une ligne
de démarcation.
« On doit tromper l’œil en étendant la zone de peinture et en
utilisant une technique d’agencement. Ça augmente la facture », explique
Claude Leclerc.
Et les phares qui donnent leurs airs futuristes aux voitures ?
Alors là, c’est le délire ! Avec les années, on est passé du phare
halogène, au xénon, à l’ampoule DEL et maintenant... au laser !
« Sur une voiture de luxe, c’est 5000 $ pour un seul côté. Sur une japonaise, on s’en tire à moins de 2000 $ par côté. »
Ajoutez le déploiement des coussins gonflables (2000 $ par coussin)
et la déformation de la structure, un impact d’importance moyenne peut
facilement mener à une perte totale.
Avant de conclure l’achat d’un nouveau véhicule, informez-vous du coût pour l’assurer. Et comme on dit : conduisez prudemment !
Coûts des nouvelles pièces qui n’existaient pas il y a 10 ans
Étape 1. Connectez votre iPhone 12 à l’ordinateur via un câble USB.
Etape 2. Faites votre iPhone entrer en mode de récupération.
Pressez rapidement volume + ;
Pressez rapidement volume - ;
Maintenez enfoncé le bouton Marche/Veille jusqu’ à ce que l’écran affiche le logo « Se connecter à iTunes ou ordinateur ».
Étape 3. Lancez iTunes, trouvez votre iPhone.
Étape
4. Une fenêtre apparait : « L’iPhone [nom de l’iPhone] a rencontré un
problème […] », cliquez sur le bouton « Restaurer ». Votre iPhone n’aura
plus le mot de passe.
La professeure en immunologie et en biologie cellulaire Véronique Giroux, travaillant en laboratoire avec une étudiante. Photo : Martin Blache - UdeS
Pouvant jouer à la fois le rôle du bon, de la brute
et du truand, ce maestro serait à l’origine de la vie et la raison pour
laquelle nous le restons au quotidien. Mais à qui appartient ce titre de
chef? Il s’agit de la cellule souche!
Comme les chefs
d’orchestre, les cellules souches ont plusieurs responsabilités et
doivent maintenir l’harmonie. Elles sont d’ailleurs la raison pour
laquelle nous pouvons fonctionner au quotidien. Inflammation, brûlure ou
reflux gastrique : ces dommages à votre corps seront réparés grâce aux
cellules souches qui s’activeront et produiront de nouvelles cellules.
Ce
type de cellule, nous en avons dans tous nos organes. Si tu fais une
crise de foie, cette cellule souche dans le foie va se réveiller et va
donner naissance à de nouvelles cellules pour réparer les dommages que
tu peux avoir, comme de l’inflammation.
Véronique
Giroux, professeure en immunologie et en biologie cellulaire et
titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la biologie des
cellules souches gastro-intestinales
Les cellules
embryonnaires et les cellules somatiques représentent les deux grands
principaux types de cellules souches. Présentes dans les premiers stades
de développement de l’embryon, les premières, les «
multi-instrumentalistes », sont capables de créer tous les différents
types de cellules qui constitueront le fœtus. Les deuxièmes, les
« adultes », sont plutôt dévouées à la pratique d’un seul instrument,
d’un seul organe. Un saxophoniste ne peut créer le son de la flûte,
comme une cellule souche dans l’intestin ne peut créer une cellule pour
le cœur.
Mauvaise interprétation
Véronique Giroux est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la biologie des cellules souches gastro-intestinales. Photo : Martin Blache - UdeS
Le
rôle de chef d’orchestre apporte certainement son lot de
responsabilités et de tâches méticuleuses. « Attendez… allez-y! ». L’une
d’elles est de donner les indications pour le rythme et la puissance.
Le
gros défi dans la recherche sur les cellules souches, c’est de trouver
l’équilibre. Parce que, oui, nous voulons qu’un tissu se récupère plus
vite, pour que la clientèle patiente se porte mieux, mais nous ne
voulons pas non plus que ça prolifère trop.
La capacité de
proliférer en grande quantité est l’une des qualités des cellules
souches! Mais, qu’arrive-t-il si elles orchestrent mal cette
prolifération et créent un déséquilibre?
Lorsqu’elles prolifèrent,
qu’elles se divisent pour créer de nouvelles cellules, il est possible
qu'une erreur d’interprétation se produise dans la réplique de l’ADN (le
contenu génétique de la cellule). Plus les cellules se divisent et
créent de nouvelles cellules, plus il y a de risques d’avoir des erreurs
et de créer une mutation qui pourrait donner naissance à une tumeur.
Une évolution suraiguë
Malheureusement,
les cellules souches ne font pas que de bonnes choses. Vous connaissez
peut-être une personne qui a vaincu un cancer, mais quelque temps après,
l’apparition d’une nouvelle tumeur est venue y mettre un bémol. Les
coupables? Les cellules souches dites cancéreuses, qui, souvent,
résistent aux traitements classiques contre le cancer, tels que la
radiothérapie et la chimiothérapie.
Les cellules souches
cancéreuses seraient capables de donner naissance à la tumeur et lui
permettraient de proliférer, de devenir de plus en plus grosse. Lorsque
l’on utilise de la chimiothérapie et de la radiothérapie, le traitement
tuerait la majorité des cellules, mais pas les cellules souches. Donc,
elles seraient encore là, puis il y aurait à un moment donné des signaux
qui font qu’elles se réveilleraient et donneraient naissance à une
deuxième tumeur.
Les personnes qui reçoivent un diagnostic de
cancer de l’œsophage font partie de celles qui résistent souvent aux
traitements. La radiothérapie et la chimiothérapie auraient le potentiel
de ne fonctionner que pour les deux tiers de cette clientèle patiente.
Avec un taux de survie en deçà de 15 %, ce cancer est considéré comme
très fatal. Ainsi, la professeure Giroux et son équipe ont décidé d’en
faire la pierre angulaire de leurs recherches sur les cellules souches.
Pour
ce type de cancer, nous essayons de voir si nous pourrions trouver des
médicaments qu’on utilise déjà pour d’autres pathologies ou de nouveaux
qui nous permettraient de tuer les cellules souches ou, du moins,
d’améliorer leur sensibilité à la radiothérapie.
Réorchestrer les cellules pour la thérapie
Toutefois,
il est possible de terminer sur une bonne note. Plusieurs membres de la
communauté de recherche se sont fait entendre sur la possibilité de
considérer les cellules souches comme cible thérapeutique. D’ailleurs,
il serait possible de prendre une cellule souche de la peau et de la
reprogrammer pour qu’elle redevienne une cellule embryonnaire pour
ensuite lui faire composer un autre tissu que la peau, un enchaînement
que nous nommons l’ingénierie tissulaire!
Ce sujet a piqué votre curiosité? La
professeure Véronique Giroux et le professeur François Boudreau de
l’Université de Sherbrooke sont responsables d’un colloque sur le sujet.
Les cellules souches : le bon, la brute et le truand
se tiendra le 7 mai dans le cadre du congrès annuel de l’Acfas, plus
grand rassemblement multidisciplinaire du savoir et de la recherche de
la francophonie, qui se déroulera du 3 au 7 mai 2021.