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jeudi 29 juillet 2021

Vol d’iPhone : supprimez vos données à distance va être plus simple

 

 

Vol d’iPhone : supprimez vos données à distance va être plus simple

Quand un iPhone est volé, son propriétaire peut effacer les données avec le service Localiser. Néanmoins, la procédure à suivre n’est peut-être pas évidente pour tous les utilisateurs. Apple cherche donc à faciliter la suppression des données d’un iPhone volé.

Avec la recrudescence des vols d’iPhone au Brésil, Apple se voit contraint à prendre des mesures nécessaires pour améliorer la sécurité de ses utilisateurs. En effet, les criminels dans la ville de São Paulo au Brésil ne volent pas les iPhone pour les revendre comme c’est habituellement le cas dans le monde. Ils se servent des iPhone pour accéder aux comptes bancaires des victimes et les vider. Il leur suffit généralement de quelques heures pour y avoir accès.


Les propriétaires d’iPhone ont déjà un outil à disposition afin d’effacer à distance les données de leur smartphone volé. Il leur suffit de se rendre dans l’application Localiser mon iPhone sur iCloud. Néanmoins, il ne faut pas oublier qu’un iPhone effacé ne pourra plus être suivi. Les chances de le récupérer seront donc très faibles. D’ailleurs, le service Localiser d’Apple a récemment eu une faille qui permettait d’envoyer des messages à n’importe quel iPhone à proximité.

Apple et Google veulent rendre la suppression des données plus facile à faire pour les victimes de vols

Bien qu’une procédure soit déjà en place pour supprimer son iPhone à distance, elle n’est pas toujours évidente à suivre pour tout le monde et elle n’est surtout pas très rapide. Cela est la raison pour laquelle Apple veut faciliter la suppression des données d’un iPhone volé. Google compte également s’y mettre pour tous les smartphones Android.

Comme l’a rapporté le journal brésilien Folha de S.Paulo, « Apple et Google ont également promis de faciliter l’accès à leurs services pour effacer un smartphone volé avec d’autres appareils. Bien que moins connus, ces services existent déjà et seront rendus plus accessibles ». Cela signifie donc qu’Apple ne va pas lancer un nouvel outil pour aider les victimes d’iPhone volés, mais qu’il va faire en sorte de rendre le service actuel plus rapide et plus facile à utiliser.

En effet, l’objectif est de pouvoir supprimer les données de son iPhone dans les cinq premières minutes après le vol. L’appareil n’aura alors plus aucune valeur pour le criminel qui voulait accéder au compte bancaire de sa victime. Enfin, nous ne savons pas exactement comment Apple a prévu de s’y prendre et si le service amélioré sera uniquement disponible au Brésil dans un premier temps. En attendant, Apple présentera bientôt l’iPhone 13 pour lequel de récentes images ont d’ores et déjà dévoilé son nouveau design.

Source. : Ubergizmo

Comment obtenir de l'aide sur Google Play et plusieurs autres services !

 

Comment obtenir de l'aide sur Google Play et plusieurs autres services !

 

Aller la:  https://support.google.com/googleplay/gethelp

c'est le formulaire a compléter en ligne.

 

et aussi la :  https://support.google.com/googleplay/#topic=3364261

 

REF.: Google

Facebook lance les Live Audio Rooms et les podcasts

 

 

Facebook lance les Live Audio Rooms et les podcasts

Appoline Reisacher / Publié le 21 juin 2021 à 14h40

Facebook vient d’annoncer le lancement des podcasts et des Live Audio Rooms sur sa plateforme.

En avril dernier, Facebook avait annoncé l’arrivée prochaine de nouveaux outils dédiés à l’audio. C’est aujourd’hui chose faite, avec le lancement des Live Audio Rooms et des podcasts, accessibles directement depuis le réseau social.

Les Lives Audio Rooms, des salles audio en direct

Les salles audio en direct permettent aux utilisateurs de Facebook d’écouter, de participer et d’échanger lors de conversations en live avec d’autres internautes, directement au sein de la plateforme.

L’interface de Live Audio Rooms ressemble sensiblement à celle de Clubhouse. © Facebook

Au sein de ces conversations, les personnalités publiques peuvent inviter quiconque à prendre la parole, et les hôtes ont la possibilité de convier des orateurs en amont du lancement du direct. Un fonctionnement tout à fait similaire à Clubhouse, donc. Concernant le nombre de participants à un Live Audio, Facebook accepte jusqu’à 50 speakers en simultané mais n’impose aucune limite du côté du nombre d’auditeurs.

Parmi les fonctionnalités disponibles pour les Live Audio Rooms :


« Lever la main » : pour demander à prendre la parole.
Utilisation des réactions : la plateforme met à disposition une série de réactions pour que les auditeurs puissent participer à la conversation sans forcément prendre la parole.
Activation des sous-titres : Facebook propose une fonction de sous-titrage automatique des conversations pour favoriser l’accessibilité des salles audio en direct.
Envoi d’une Étoile : pour soutenir un orateur, les auditeurs peuvent envoyer des étoiles en achetant des packs Stars. Ceux-ci apparaîtront alors « au premier rang », en tant que supporter d’un speaker et bénéficieront d’une meilleure visibilité.
Soutien d’une association à but non lucratif : les hôtes d’une salle audio en direct peuvent choisir une association ou une collecte de fond à mettre en avant, afin de proposer un appel aux dons durant la conversation.

Envoyez des « Stars » pour soutenir un speaker. © Facebook – Captures BDM

 

 

La plateforme introduit également les conversations audio en direct au sein des groupes Facebook. Concernant ce canal de diffusion, les administrateurs pourront choisir quel membre du groupe a le droit de créer une conversation en direct. Autre spécificité : dans les groupes publics, les membres et les visiteurs pourront participer aux discussions, alors que dans le groupes privés, seuls les membres adhérents pourront rejoindre une salle audio.

Pour participer à des Live Audio Rooms, les utilisateurs iOS et Android vont pouvoir découvrir des conversations depuis leur fil d’actualité mais également via l’envoi de notifications. Il est aussi possible de s’inscrire à une discussion en amont, afin de recevoir un rappel à l’heure de lancement.

Découvrez des Live Audio Rooms depuis votre fil d’actualité. © Facebook

Pour le moment, les Live Audio Rooms sont réservés aux auditeurs et speakers situés aux États-Unis. Plus de personnalités et de groupes publics devraient pouvoir créer et héberger des salles audio en direct dans les semaines à venir.

L’arrivée des podcasts sur le réseau social

Avec un répertoire exclusivement anglophone à l’heure actuelle, plusieurs podcasts sont aujourd’hui disponibles à l’écoute pour les auditeurs situés aux États-Unis.

Facebook propose un format natif où il est possible d’écouter un podcast tout en continuant à naviguer sur la plateforme sans être interrompu. Une barre de lecture apparaît alors et rend accessible des options de base telles que mettre sur pause, reprendre la lecture ou encore quitter le podcast. Facebook met également à disposition une expérience de lecture en plein écran, où les réactions et commentaires des auditeurs apparaissent en même temps.

 

L’écoute d’un podcast via Facebook est également possible lorsque l’écran de son smartphone est éteint.


De nouvelles fonctionnalités devraient voir le jour d’ici cet été telles que les sous-titres  et la possibilité de créer des courts clips d’un podcast pour en faire sa promotion. En revanche, aucune date n’a été communiquée quant à l’arrivée des podcasts en France.

Source : Facebook

Google veut vous aider à apprendre les langues grâce à l’IA et sa propre application

 

 

Google veut vous aider à apprendre les langues grâce à l’IA et sa propre application

 

Google plancherait actuellement sur une nouvelle application d’apprentissage des langues basée sur l’intelligence artificielle. Le projet devrait se concrétiser d’ici la fin de l’année.


Dans le domaine de la traduction, Google est incontestablement un acteur majeur et incontournable. Grâce à l’intelligence artificielle du groupe américain, il n’a jamais été aussi simple de traduire un mot, une phrase ou un texte, en le rentrant directement dans Google Traduction, moteur constamment amélioré.

Mais la firme de Mountain View voit encore plus loin, et chercherait désormais à nous aider à apprendre les langues. Toujours en s’appuyant sur sa puissante IA, la firme d’outre-Atlantique travaillerait sur une application d’apprentissage des langues qui viendrait concurrencer Duolingo ou Babel, leaders du domaine.

Un double apprentissage en un

En cours de finalisation et répondant au nom de Google Tivoli, le projet aurait une double utilité : nous enseigner une langue étrangère de toute évidence, mais aussi améliorer les technologies de Google et les interactions entre machines et humains. Un double apprentissage en un, en somme.


Au départ, seul l’écrit serait proposé aux utilisateurs : l’oral, au travers d’échanges audio, pourrait arriver dans un second temps. Cela constituerait déjà un léger retard pour l’application du géant, puisque Duolingo, à titre d’exemple, soumet déjà des exercices oraux à ses élèves.

Google Tivoli : date de lancement, fonctionnement et design

À la fois décliné sur iOS et Android pour toucher le maximum de personnes, Google Tivoli devrait voir le jour d’ici la fin de l’année 2021, assure le site espagnol Xataca, qui cite The Information. Design, fonctionnement, disponibilité sur le Web : tous ces éléments demeurent encore un mystère à l’heure de rédiger ces lignes.

À n’en pas douter, Google Tivoli refera parler de lui au cours des prochains mois.

 

REF.:

Anom : Un smartphone à 2 000 $ qui permet au FBI d'écouter

 

 Anom : Un smartphone à 2 000 $ qui permet au FBI d'écouter


Par Brian Livingston

 Les smartphones spéciaux qui étaient censés être les plus super secrets au monde ont en fait entraîné au moins 800 arrestations, la saisie de huit tonnes de cocaïne et la récupération de 48 millions de dollars en devises auprès des gangs du crime organisé les 6 et 7 juin.

 Le FBI, Europol, la police fédérale australienne et les forces de l'ordre de plusieurs autres pays ont annoncé le 8 juin qu'ils avaient discrètement intercepté 27 millions de messages de ce qu'on appelle "WhatsApp pour les criminels". Le fonctionnement de cette piqûre contient des informations précieuses pour vous et toute entreprise pour laquelle vous travaillez, même si vous n'envisagez pas de rejoindre bientôt un syndicat du crime organisé.

 Les téléphones que les criminels pensaient sûrs ont en fait tout divulgué Le matériel intercepté provenait de smartphones personnalisés appelés Anom (abréviation d'anonymat). Les téléphones avaient été « jailbreakés » – un terme ironique, dans ce cas – avec la plupart des fonctionnalités de suivi et d'application supprimées.

 Même les capacités GPS des téléphones ont été désactivées, soi-disant pour empêcher la révélation de l'emplacement d'un utilisateur. (Voir Figure 1.) Pour ressembler à un téléphone ordinaire, les appareils simplifiés comprenaient une application de calculatrice typique. Mais le mignon utilitaire cachait un service de SMS annoncé comme introuvable par les autorités. Téléphone anonyme Figure 1.

 Un lien vers Anom proposait les téléphones personnalisés (en néerlandais, dans ce cas) pour 1 500 euros, soit environ 1 817 $. Cela comprenait six mois de connectivité mondiale, renouvelable pour environ 250 $ supplémentaires chaque mois après la période initiale.

Source: We the World

 Impressionnés par le cryptage soi-disant incassable de l'appareil, des milliers d'acheteurs d'Anom ont rapidement renoncé aux mots de code et aux commentaires cryptiques. Certains des communicateurs ont été si audacieux qu'ils ont inclus des photos d'envois de drogue comme preuve de livraison. Et d'autres discutaient avec désinvolture des fonctionnaires qui avaient perdu leur utilité seraient frappés ou, dans un cas, jetés par-dessus bord pour se noyer en mer. (Voir Figure 2.)

 Parce que le FBI et d'autres agences avaient mis en place le système Anom en premier lieu, tous les messages sont allés directement dans les ordinateurs des forces de l'ordre, où ils ont été traduits si nécessaire et traités presque en temps réel. 

Captures d'écran d'AnomFigure 2. Se croyant à l'abri de la détection, les utilisateurs se sont envoyés des photos de livraisons de drogue (à gauche) et ont pris des dispositions pour le meurtre de laquais gênants (à droite).

 Source : Captures d'écran de la déclaration du FBI Pour donner aux criminels une bonne raison d'acheter les nouveaux téléphones « supercryptés », les autorités de nombreux pays ont coordonné leurs efforts pour fermer les appareils et services préexistants qui servaient également le crime organisé : Phantom Secure, un fabricant d'appareils basé au Canada, a fait faillite en 2018 lorsque les autorités dotées de mandats approuvés par le tribunal ont saisi son équipement. Le PDG du groupe, Vincent Ramos, et ses associés ont plaidé coupables devant un tribunal californien.

 Le PDG a été condamné à neuf ans de prison, en plus de la perte d'environ 80 millions de dollars de gains mal acquis. En juillet 2020, les services de police européens ont réussi à compromettre une application cryptée nommée EncroChat, ce qui a conduit à l'arrestation de centaines de ses utilisateurs. Une autre organisation de chat crypté connue sous le nom de Sky Global a été fermée par le FBI en mars 2021. La fermeture de chacun de ces réseaux de messagerie a eu tendance à pousser les gangs du crime organisé vers un nouvel appareil – Anom. 

Ce que les criminels ne savaient pas, c'est qu'Anom était secrètement dirigé depuis 2019 par des organismes chargés de l'application des lois aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans d'autres pays. Au lieu d'apprendre une leçon précieuse - les téléphones cryptés pourraient ne pas être aussi sécurisés qu'annoncés - les criminels ont simplement afflué vers Anom. En mai 2021, plus de 12 000 téléphones Anom fonctionnaient dans au moins 100 pays à travers le monde.

 Les fédéraux ont même récupéré 85% des bitcoins des escrocs Dans une affaire sans rapport – mais un autre signe que tout n'est pas aussi sûr pour les criminels qu'ils peuvent le penser – le FBI a fait une percée majeure dans le suivi des bitcoins qui avaient été payés par une victime d'une attaque de ransomware. Colonial Pipeline de Mundissima/ShutterstockColonial Pipeline, un distributeur de près de la moitié de l'essence et du carburéacteur livrés aux marchés de l'est des États-Unis, a annoncé le 7 mai que ses systèmes informatiques avaient été bloqués par une cyberattaque.

 Alors que les stations-service de nombreux États commençaient rapidement à manquer de carburant, la société a transmis dans le portefeuille numérique d'un pirate informatique une rançon de 75 bitcoins, d'une valeur d'environ 4,3 millions de dollars à l'époque.

 Remarquablement, le FBI a rapporté le 7 juin qu'il avait récupéré 63,7 (ou 85%) des bitcoins que Colonial avait envoyés aux pirates. L'agence avait en quelque sorte déterminé la "clé privée" des auteurs et simplement transféré la crypto-monnaie aux propriétaires du pipeline. 

En d'autres termes, le FBI avait piraté les pirates. Ce que l'on peut retenir de ces victoires sur les criminels Les bustes d'Anom et les bitcoins de Colonial ont été largement rapportés ailleurs, donc je n'entrerai pas dans tous les détails fascinants ici.

 Ce qui est important, pour les particuliers comme pour les dirigeants d'entreprise soucieux de la sécurité, c'est de répondre à certaines questions urgentes : 

 Pourquoi les agences ont-elles révélé Anom au lieu de le continuer tranquillement ?

 D'une part, la nécessité d'obtenir des mandats de perquisition et de mener des perquisitions dans le monde entier signifiait que la vraie nature d'Anom deviendrait immédiatement claire dans les documents judiciaires.

 Tout aussi important était l'effet dissuasif sur les criminels que l'annonce des agences pourrait créer. "L'ironie suprême ici est que les dispositifs mêmes que ces criminels utilisaient pour se cacher des forces de l'ordre étaient en fait des balises pour les forces de l'ordre", a déclaré le procureur américain par intérim Randy Grossman. "Nous visons à briser toute confiance dans l'industrie des appareils cryptés renforcés avec notre acte d'accusation et notre annonce que cette plate-forme était gérée par le FBI." 

 Pourquoi les criminels n'étaient-ils pas plus méfiants envers Anom ?

 Certains utilisateurs potentiels étaient méfiants, mais la plupart d'entre eux n'ont jamais lu les analyses techniques qui sont sorties.

Dès mars 2021, un utilisateur nommé canyouguess67 a écrit sur un blog que les appareils Anom étaient "en contact constant" avec les serveurs des forces de l'ordre. "J'ai été assez troublé de voir la quantité d'adresses IP relatives à plusieurs organisations au sein des gouvernements aux 5 yeux (Australie, États-Unis, Canada, Royaume-Uni, Nouvelle-Zélande) qui partagent des informations entre elles", a écrit le blogueur avant la suppression de son message, selon à un article de We the World. Mais de tels avertissements n'ont pas ralenti l'adoption d'Anom par les gangs du crime organisé. 

 Comment le FBI a-t-il récupéré les bitcoins de Colonial si la crypto est si anonyme ? 

Les transactions Bitcoin sont enregistrées dans un grand livre public appelé blockchain. "L'utilisation du bitcoin comme moyen de paiement, en particulier pour des activités illégales telles que la rançon, est extrêmement dangereuse pour les attaquants. Ils peuvent être facilement localisés et attrapés, et leur argent peut être saisi", explique Slava Gomzin, directeur de la cybersécurité pour Toshiba Global Commerce. Solutions.

 Pourquoi, alors, le bitcoin a-t-il été spécifiquement demandé par les pirates ? "La plupart sont probablement situés dans les pays paradis des pirates, comme la Russie, la Chine, la Corée du Nord ou l'Iran, qui n'ont pas d'accords d'extradition avec l'Occident. Ils n'ont donc pas peur du FBI, ne craignent pas d'être pris, et je ne pensais tout simplement pas que les forces de l'ordre seraient assez intelligentes pour trouver un moyen de saisir leur argent. » Gomzin pense que les pirates informatiques peuvent passer au monero, une crypto-monnaie qui dissimule à l'inspection publique tous les détails des transactions. À quels dispositifs de cryptage pouvez-vous faire confiance ? Vous ne pouvez pas faire entièrement confiance à quoi que ce soit.

 Quelle que soit la force d'un schéma de cryptage, il est toujours possible que le logiciel ou le matériel contienne une "porte dérobée" pour permettre à une agence - ou à un initié fouineur - d'enregistrer vos communications. Nous débattrons pour le reste de notre vie du juste équilibre entre la confidentialité absolue, dans laquelle aucun acte répréhensible ne pourra jamais être détecté, et les mandats légitimes autorisés par les tribunaux pour permettre aux agences de collecter des preuves sur des criminels présumés. 

 En attendant, peu importe à quel point vous pensez avoir garanti la confidentialité, vous devez toujours tenir compte de la probabilité que quelqu'un, quelque part, écoute.

 

 

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