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mercredi 29 décembre 2021

Instagram vous invite à créer un Finsta, un faux compte qui vous montre tel que vous êtes

 

 

Instagram vous invite à créer un Finsta, un faux compte qui vous montre tel que vous êtes

Ces dernières années, Instagram est devenu plus qu’un simple réseau social pour communiquer avec ses amis. Les utilisateurs les plus créatifs utilisent notamment la plateforme pour montrer leur talent de photographe. Mais beaucoup en font simplement fait la vitrine de leur vie, dans une version très idéalisée. Paysages paradisiaques, food porn, vêtements à la mode, les clichés qui défilent sur nos feeds Instagram débordent de glam et vendent un quotidien qui fait rêver.


Mais ces comptes sont souvent bien loin de montrer la réalité. Alors Meta (Facebook), a une suggestion pour vous : créer un autre compte, plus privé, réservé à vos proches. Ces comptes secondaires, appelés dans le jargon Facebook « Finsta », ne datent pas d’aujourd’hui. Cette tendance existe depuis environ 2013 et a notamment rencontré un certain succès auprès des ados. L’idée étant d’utiliser ce compte pour publier sans réfléchir, sans utiliser filtre ou retouche, et bien sûr de limiter son audience. De nombreux ados ont donc ce compte secret dont ils interdisent l’accès à leurs parents. Cet aspect a notamment été montré du doigt lors d’une récente commission du Sénat aux États-Unis. Certains voient en effet cette fonctionnalité comme un moyen idéal pour les mineurs d’échapper au contrôle parental.

Certaines célébrités, telles que la chanteuse Adèle, ont également confié avoir un Finsta. Une rumeur affirme que même la Reine d’Angleterre Elizabeth II aurait elle aussi un compte Instagram secondaire plus privé.

Finsta : une fonctionnalité qui fait déjà débat

Jusqu’à maintenant, cette option de Finsta s’était donc faite plutôt discrète dans l’application. Mais Meta semble avoir décidé de la mettre désormais plus en avant. Les utilisateurs ayant un seul compte Insagram se voient maintenant proposer l’option d’« essayer un nouveau compte ». L’application explique ensuite que ce compte secondaire leur permettra de rester en contact avec « un plus petit groupe d’amis ». La suggestion fait donc référence au fameux Finsta.

Il y a quelques mois, des études internes à Facebook avaient révélé que l’application serait nocive pour le bien-être des adolescents. En réponse, le réseau social aurait commencé à travailler sur une fonctionnalité de « pause » destinée aux ados. Mais cette pause s’applique-t-elle au compte officiel seulement ou également à leur Finsta ? Cette suggestion nouvellement intégrée à l’application risque de semer encore plus le trouble sur les vraies intentions du réseau social.

Source : Screenrant

Il y a-t-il des avantages d'utiliser du carburant super dans un véhicule qui n'en requiert pas?

 

 

Il y a-t-il des avantages d'utiliser du carburant super dans un véhicule qui n'en requiert pas? 

 

D’abord, c’est quoi l’octane, cet addictif que l’on ajoute à l’essence? Il s’agit d’un antidétonant qui augmente la résistance du carburant à la détonation. Des composés de plomb ont longtemps été utilisés dans l’essence à cet effet.

Une essence qui résiste mieux à la combustion permet aux véhicules sport ou dotés d’un turbo de maximiser leur performance. Les carburants à haut taux d’octane sont aussi plus propres pour les moteurs des véhicules.

Selon l'organisation automobile indépendante ADAC, des niveaux de pollution massifs sont émis par les véhicules diesel construits par entre autres, Volkswagen, Mercedes, BMW, Mazda, Fiat, Ford et Peugeot.


Pour cette raison précise, Marcel Leclerc croit que les essences super et suprême devraient se vendre à des plus comparables à l’ordinaire, pour créer un incitatif.

« On ne devrait même pas avoir cette conversation-là ce matin, on devrait avoir l’essence la moins polluante sur le marché surtout qu’elle ne coûte presque rien à fabriquer », estime le garagiste.

Marcel fait valoir également que les essences dites super ou suprêmes ici au Québec, l’indice d’octane se chiffre autour de 91 alors qu’il est de 95 pour les essences de base en Europe.

À long terme, rouler avec de l’essence à haute teneur en octane peut être bon pour les systèmes d’échappements, les pistons ou encore les catalyseurs, notamment. M. Leclerc est toutefois conscient que plusieurs automobilistes ne se soucient pas de ces détails puisqu'ils sont de plus en plus nombreux à louer leur voiture.

 

Une question concernant l’essence. Je mets présentement du 87 dans ma voiture, cependant, apparemment ce n’est pas bon pour le moteur. Est-ce que vous savez quelle sorte d’essence convient le mieux à une Hyundai Elantra GL 2018? Et quels sont les avantages entre les sortes d’essences?

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Bonjour,

Contrairement à la version Sport qui est turbocompressée, la version GL à moteur 2,0 litres atmosphérique de l’Elantra ne requiert pas d’essence super (indice d’octane 91 et plus). Comme d’habitude, le manuel du propriétaire est votre meilleure source d’informations à ce sujet, mais de l’essence ordinaire (indice d’octane 87) convient parfaitement à la mécanique de votre véhicule.

Maintenant, ce qui différencie surtout les divers grades d’essence que l’on retrouve à la pompe revient aux différents additifs, au pourcentage d’éthanol ainsi qu’à l’indice d’octane (87, 89, 91, 94...). Contrairement à ce que l’on pourrait penser, de l’essence à haut indice d’octane est plus difficile à brûler qu’un carburant « ordinaire ».

Les moteurs turbocompressés ou atmosphériques à haute compression requièrent généralement du carburant super, car la pression ainsi que la température à l’intérieur des chambres de combustion sont plus élevés que la moyenne. Cela augmente le risque d’auto-allumage (le moteur « ping »). C’est à dire qu’une explosion se produit avant même que la bougie ne soit activée, car la compression dans le cylindre est suffisante pour allumer le mélange air-essence. Ce phénomène peut générer des dommages irréversibles aux différents organes mécaniques.

Fort heureusement, les moteurs modernes sont tous équipés d’un ou plusieurs capteurs de cliquetis (knock sensors). Ces derniers enverront un signal afin de retarder le calage de l’allumage et, ainsi, éviter la catastrophe. Par contre, à ce moment, la puissance ainsi que l’efficacité énergétique du moteur seront réduites.

Bref, il n’y a pas de réels avantages de rouler un véhicule conçu pour de l’essence ordinaire avec du carburant super. Il ne faut cependant pas prendre à la légère les recommandations du fabriquant quant au type d’essence à utiliser dans sa voiture.

 

Plusieurs étapes vont permettre de déterminer si vous allez devoir ou non utiliser un additif à chaque passage à la station essence :

  1. Mon véhicule a-t-il été mis en circulation avant 1987 ? Si oui, il y a de fortes chances pour qu’il ait besoin d’un additif. Si non, il peut fonctionner à l’essence sans plomb.
  2. Dans le cas où mon véhicule a été mis en circulation en 1987 ou dans les mois précédents ou suivants, il est plus prudent de consulter le manuel d’utilisateur ou la revue technique : ils vous indiqueront pour quelle essence le moteur a été conçu (essence plombée : ordinaire ou supercarburant ; essence sans plomb).
  3. Mon véhicule a-t-il subi une modification des sièges de soupapes en acier ? Si oui, il pourra fonctionner à l’essence sans plomb sans problème. Mais cela impose de connaître l’historique de la voiture pour en avoir le cœur net.

REF.: 

 https://www.guideautoweb.com/articles/47343/il-y-a-t-il-des-avantages-d-utiliser-du-carburant-super-dans-un-vehicule-qui-n-en-requiert-pas/

 

ZD Tech : Pourquoi l'informatique quantique fait trembler les cryptographes

 

 

ZD Tech : Pourquoi l'informatique quantique fait trembler les cryptographes

Podcast : Mais pourquoi donc l’arrivée imminente d’un ordinateur quantique fait trembler le monde de la cryptographie ? Explications.

Bonjour à tous et bienvenue dans le ZD Tech, le podcast quotidien de la rédaction de ZDNet. Je m’appelle Louis Adam et aujourd’hui, je vais vous expliquer pourquoi l’arrivée imminente d’un ordinateur quantique fait trembler le monde de la cryptographie.

La cryptographie, cela n’a rien de sorcier. C’est l’ensemble des techniques qui permettent de dissimuler un message et de s’échanger des données de manière confidentielle.

La technique la plus utilisée pour cela, c’est le chiffrement. L'émetteur fait passer son message à travers un algorithme mathématique plus ou moins complexe. Cela permet de s’assurer que seules les personnes autorisées sauront le lire.

Aujourd’hui, on sait que la puissance de calcul nécessaire pour casser ce chiffrement dépasse largement les capacités des supercalculateurs traditionnels. On peut donc considérer que ces algorithmes de chiffrement offrent une protection suffisante contre les attaques.

La menace quantique

Mais l’arrivée d'ici cinq ans d’un ordinateur quantique fiable et fonctionnel pourrait changer la donne.

Microsoft, IBM et consorts travaillent d’arrache-pied sur le sujet. L’idée n’est pas de produire un ordinateur plus puissant qu’un ordinateur traditionnel. Il s’agit plutôt d’un ordinateur particulièrement efficace pour réaliser certaines tâches bien précises.

Et l’un des points forts de l’ordinateur quantique, c’est sa capacité à casser les algorithmes de chiffrement actuels.

Des algorithmes quantiques

Dans les années 90, des chercheurs ont mis au point des algorithmes quantiques capables de casser la protection des outils de chiffrement traditionnels.

Si vous êtes curieux, les algorithmes de Shor et de Grover sont les plus souvent cités en exemple.

La seule chose qui manque à ces algorithmes, c’est un ordinateur quantique capable de les faire tourner. Et cette perspective devient de plus en plus concrète.

Alors, que faire ?

Faut-il tirer définitivement un trait sur la cryptographie ? Pas tout à fait.

Plutôt que d’attendre sagement la fin du monde, les chercheurs se penchent sur l’élaboration de la cryptographie post quantique. Ils développent des outils de cryptographie capables de résister à une attaque menée par un ordinateur quantique.

Clarifions un aspect important. Il ne s’agit pas d’outils cryptographiques qui auraient besoin d’un ordinateur quantique pour fonctionner. Ces algorithmes pourront être exécutés sur un ordinateur classique.

Cryptographie vs quantique

Simplement, ces nouveaux algorithmes de cryptographie utilisent des fonctions mathématiques différentes. Des fonctions mathématiques que l’ordinateur quantique n’est pas en mesure de casser facilement.

En 2017, l’institut des standards technologiques américains a lancé un challenge mondial pour identifier et tester ces nouveaux algorithmes qui résistent aux attaques de ce type. L’objectif est de disposer d’outils pour protéger des données face à un attaquant qui aurait accès à un ordinateur quantique.

C'est donc une course contre la montre qui a lieu, entre les cryptographes d'un côté, et les chercheurs en informatique quantique de l'autre.

 

REF.:  https://www.zdnet.fr/actualites/zd-tech-pourquoi-l-informatique-quantique-fait-trembler-les-cryptographes-39933355.htm?utm_source=NL_cybersecurite&utm_medium=email&utm_campaign=ZD_NL_cybersecurite&utm_content=&utm_term=20211229

Les fraudes dans les batteries de véhicules électriques

 Les fraudes dans les batteries de véhicules électriques

 William Clavey est allé chez Ingenext, entreprise québécoise spécialisée dans la revente de pièces de véhicules électriques, pour mieux comprendre le phénomène montant de fraude de batteries dans les véhicules électriques d'occasion.

Les fraudes dans les batteries électriques, arrive souvent, donc si on achète un véhicule accidenté scrap, Nissan Leaf SL Plus(autonomie 360KM,avec batterie 62KW/hr) dans un encan aux USA pour mettons 10,000$ plus le transport a 2,500$ peut nous apporter des mauvaises surprises!

 Dans ce cas ci, les batteries de 62 avait été changées pour des vielles 24 KW/hr ,c'est carrément de la fraude et l'encan est évidemment retiré de toute responsabilité.

Un garagiste pourrait ,en enlevant le plastique, sous le véhicule voir que la batterie a été changée ,que les boulons ne sont pas d'origines et qu'il y a de l'espacement entre la batterie et les supports.Donc c'est une différence de valeur de 10,000$ entre l'ancienne batterie.Car une batterie neuve de Leaf est de 16,000$.

Il y a aussi l'état de santé de la batterie qui peut avoir été réinitialisée ,donc la dégradation n'apparaitra plus,et que seul un garagiste peut voir la capacité ,l'autonomie du véhicule en KW/hr avec un essai routier.

Le véhicule après environ 20 pleines charge et décharge complète ,recalcule l'état de la batterie,mais avec réinitialisation c'est pas facile a voir.

Un autre moyen est de démonter la batterie et voir le numéro de série ,le collant de la Leaft en KW/hr ,donc la valeur de cette mauvaise batterie de 24 KW/hr est de 4,000$ sur l'après marché, c'est une différence de 12,000$ avec une 62 KW/he originale.

On peut lire le soh ,le state of healt avec une machine de diagnostique,qui nous dit son état de santé en KW/hr ou en %. Et c'est ce qui provoque une surenchère de batterie de remplacement et de fraude actuellement,de batterie ou de voiture électrique réusunée.

Une batterie de Tesla usager 2018 se vent 30,000$


REF.: Merci William 

https://rpmweb.ca/fr/videos/chroniques/chroniques/fraude-de-batteries-dans-les-vehicules-electriques?fbclid=IwAR1lt_4HCfv8KTjTieuVKUebL-q3CzA9Ek95SzLQXEDPlJpAXD572xrmqVw&d=n

lundi 20 décembre 2021

En Australie, les réseaux sociaux bientôt contraints de dévoiler l’identité des trolls

 

 

En Australie, les réseaux sociaux bientôt contraints de dévoiler l’identité des trolls

29 novembre 2021
Par Kesso Diallo

Selon le Premier ministre Scott Morrison, un projet de loi sera publié cette semaine pour une présentation au Parlement début 2022.

En Australie, l’anonymat ne sera peut-être plus une option pour les trolls qui font des réseaux sociaux leurs terrains de jeux favoris. Ces internautes qui aiment générer des polémiques sont actuellement dans le viseur du Premier ministre Scott Morrison. Le 28 novembre, ce dernier a dévoilé que le gouvernement du pays préparait de nouvelles lois qui devraient être publiées sous forme de projet cette semaine. « Le monde en ligne ne devrait pas être un Far West, où les bots, les fanatiques, les trolls et d’autres peuvent anonymement circuler et nuire aux gens et blesser les gens », a-t-il déclaré. Prévues pour une présentation au Parlement début 2022, ces lois contraindraient ainsi les réseaux sociaux à révéler l’identité de ces utilisateurs anonymes.

Concrètement, elles les obligeraient à collecter les informations personnelles de tous les utilisateurs et permettraient aux tribunaux d’accéder à leur identité pour lancer des affaires de diffamation. Le type de données recueilli par les plateformes n’a pas été précisé, mais cela pourrait inclure le nom, l’adresse mail et le numéro de téléphone.

Un processus de plainte créé par les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux seraient également tenus de créer un processus de plainte, dont un utilisateur pourrait se servir pour demander le retrait d’un contenu qu’il estime diffamatoire à son égard. Si l’auteur de la publication refuse de la supprimer, la victime aurait alors la possibilité de demander ses coordonnées personnelles, une action pour laquelle le consentement est nécessaire. Dans le cas où celui-ci n’a pas autorisé la divulgation de ses informations personnelles, une ordonnance du tribunal forcerait les plateformes à les révéler, permettant ainsi au plaignant la possibilité d’intenter une action en justice.

Selon ces nouvelles lois, les particuliers ou les entreprises comme les médias qui gèrent les pages sur les réseaux sociaux ne seraient plus considérés comme responsables des contenus diffamatoires publiés par les utilisateurs. En septembre dernier, la Haute Cour australienne a statué que les médias pouvaient être tenus responsables de ce type de publications sur leurs pages à la suite du procès intenté par Dylan Voller contre plusieurs organes de presse du pays. Cet Australien les avait poursuivis pour diffamation après que des articles publiés sur Facebook le concernant ont suscité des commentaires diffamatoires de la part d’utilisateurs. La Haute Cour a estimé qu’en gérant les pages sur la plateforme, ces médias participaient à la communication de tout contenu diffamatoire publié par des tiers. Le projet de loi prévoit d’imputer la responsabilité de ce type de publications aux réseaux sociaux.

L’Australie n’est pas le seul pays à s’en prendre aux trolls. Au Royaume-Uni, ces derniers pourraient être condamnés à deux ans de prison pour la publication de contenus causant des dommages psychologiques grâce au projet de loi sur la sécurité en ligne. En France, lorsqu’un contenu diffamatoire est publié, la responsabilité est imputée à son auteur, mais l’hébergeur de la plateforme peut aussi être sanctionné « s’il est prouvé qu’il a délibérément mis en ligne ou laissé en ligne ce contenu illicite ».

 

REF.:   https://leclaireur.fnac.com/article/50242-en-australie-les-reseaux-sociaux-bientot-contraints-de-devoiler-lidentite-des-trolls/?utm_campaign=Mon%20Carnet%20-%20l%27infolettre&utm_medium=email&utm_source=Revue%20newsletter