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samedi 11 juin 2022

WinSecret : modifier l'apparence de Windows 11 facilement

 

 

WinSecret : modifier l'apparence de Windows 11 facilement

Pas besoin d'être un expert de l'éditeur de registre pour changer l'interface de Windows 11 comme vous l'entendez. L'outil gratuit WinSecret vous simplifie la tâche en quelques clics.

Envie de personnaliser un peu l'interface de Windows 11, de retrouver quelques aménagements auparavant proposés dans Windows 10 et dont vous avez du mal à vous passer ? Pour ce genre d'opérations, vous pouvez bidouiller des clés du Registre de Windows en passant par l'éditeur de Registre… à condition de savoir parfaitement ce que vous faites. Une fausse manipulation et votre système peut se retrouver complètement bancal voire, inopérant. Pour vous faciliter la tâche il existe ce que l'on nomme des tweaker. Des logiciels spécialement conçus pour modifier des réglages de Windows en modifiant le registre sans pour autant vous laisser modifier la moindre clé. Ils se dotent en effet d'une interface graphique qui facilite chaque opération en vous permettant de choisir une option dans un menu ou de cocher simplement une case. Ces logiciels, gratuits la plupart du temps, existent depuis belle lurette pour modifier Windows de fond en comble. On peut ici évoquer Winaero Tweaker ou encore RoundedTB par exemple. Un petit nouveau vient de faire son entrée : TweakNow WinSecret. Gratuit lui aussi, il se focalise sur Windows 11 et permet de modifier aisément plusieurs aspects de l'interface du système. Il permet ainsi de modifier l'apparence de la Barre des tâches mais aussi de l'Explorateur de fichiers ou encore de l'écran de démarrage. WinSecret n'est disponible qu'en anglais mais se montre très simple à utiliser.

Comment modifier l'interface de Windows avec WinSecret ?

Simple à utiliser et gratuit, TweakerNow WinSecret regroupe au sein d'une unique interface les réglages nécessaires pour modifier sans effort l'apparence de Windows 11.

► Commencez par télécharger TweakerNow WinSecret. Installez l'utilitaire puis lancez-le. L'installation ne présente aucune difficulté.

► L'interface de WinSecret se révèle plutôt claire. Au sommet de la fenêtre s'alignent plusieurs onglets. Chacun d'eux est consacré à un élément de Windows : Appearence pour modifier les couleurs et quelques éléments graphiques, Desktop pour le Bureau, File Explorer pour l'Explorateur de fichiers, Privacy pour quelques réglages de confidentialité, System pour les éléments de démarrage, Taskbar pour la barre des tâches et enfin Others pour le menu contextuel et le positionnement des fenêtres. Au centre de la fenêtre sont regroupés les réglages possibles pour chacune des catégories présentes dans les onglets. Choisissez par exemple Appearence.


► Vous pouvez ici adopter le mode sombre pour vos applis, accentuer la couleur de la barre de titres des fenêtres ou encore en modifier la largeur. Essayez de modifier les paramètres. Pour voir immédiatement les résultats, cliquez sur le bouton Save en haut à gauche de l'interface de WinSecret.


► Cliquez sur l'onglet Desktop afin de choisir de masquer ou non certaines icônes sur le Bureau (la corbeille, les éléments réseaux, etc.). Vous pouvez aussi modifier l'espacement minimal entre chaque icône présente sur le Bureau. Un redémarrage est nécessaire pour voir le résultat de cette dernière modification. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► Dans l'onglet File Explorer, vous avez la possibilité d'afficher par défaut les extensions de nom de fichiers (.exe, .png, .mkv par exemple), de révéler les fichiers et dossiers cachés par le système, ou, plus intéressant, de retrouver la barre d'outils de l'Explorateur de fichiers de Windows 10 dans Windows 11. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► L'onglet System propose des réglages un peu anecdotiques. Ils permettent d'afficher l'ancienne animation de démarrage de Windows ou d'activer ou non les messages texte pendant le démarrage (ce qui permet de connaître le détail des opérations en cours pendant la phase de boot). Plus utile, une option permet de désactiver l'écran de verrouillage afin d'arriver directement sur la page de saisie du mot de passe de session. Il est même possible d'afficher un message personnel à l'écran de la saisie du mot de passe. Enfin, vous avez la possibilité d'abaisser le temps nécessaire à une appli avant de quitter. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► Les réglages proposés dans l'onglet Taskbar permettent de modifier la taille de la barre des tâches, son emplacement, sa transparence, etc. mais aussi d'ôter certaines icônes qui semblent y être bien ancrées comme celle de Conversation ou celle dédiée aux bureaux virtuels de Windows. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► Enfin, depuis l'onglet Others, vous pouvez désactiver la fonction Snap Assit qui permet d'ancrer des fenêtres sur le bureau ou encore récupérer l'ancien menu contextuel présent dans Windows 10. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► WinSecret propose également depuis l'onglet Privacy quelques réglages de confidentialité. Néanmoins, ils restent assez sommaires. Pour aller plus loin, nous vous conseillons d'utiliser un outil gratuit dont c'est la spécialité et qui se montre très complet : DoNotSpy 11.

 

REF.:  https://www.commentcamarche.net/telecharger/utilitaires/25681-winsecret-modifier-l-apparence-de-windows-11-facilement/

Par:Fabrice Brochain 

DoNotSpy 11 : stopper l'espionnage de Windows 10 et 11

 

 

DoNotSpy 11 : stopper l'espionnage de Windows 10 et 11

Si vous n'y prêtez pas attention, le système d'exploitation de Microsoft peut se montrer très indiscret avec vos données personnelles. L'outil gratuit DoNotSpy 11 va vous aider l'empêcher de collecter des données à votre insu.

Windows 10 et Windows 11 peuvent prendre certaines libertés avec vos données personnelles et l'utilisation que vous faites de votre PC. Ce n'est pas un secret d'ailleurs puisque, lors de l'installation du système, une multitude d'autorisations vous sont demandées : analyse des frappes au clavier, localisation, sites Web visités, etc. Las, lorsque vous cliquez un peu trop rapidement sur Accepter, histoire de commencer au plus vite à utiliser votre PC, vous laissez à Microsoft toute latitude pour espionner votre activité. Heureusement, ces réglages ne sont pas gravés dans le marbre. Vous pouvez bien sûr revenir sur vos décisions. À commencer par modifier les réglages de confidentialité dans Windows 10 comme nous l'indiquons ici.

Vous pouvez aussi vous en remettre à un outil gratuit comme DoNotSpy 11. Comme son nom l'indique (ne pas espionner, en français), il est là pour remettre de l'ordre dans ce que vous acceptez ou refusez de communiquer à Microsoft. Il agit comme Windows10Privacy ou O&O Shutup10 (conçus pour Windows 10) ou encore PrivateZilla auquel nous avons consacré une fiche pratique. DoNotSpy 11 fonctionne aussi bien avec Windows 10 que Windows 11. Entièrement en français, il permet d'empêcher le système d'afficher du communiquer à Microsoft de nombreuses données personnelles grâce à une interface simple à manipuler et accessible à tous et de renforcer la confidentialité.

Comment empêcher Windows de collecter vos données avec DoNotSpy 11 ?

Gratuit et en français, DoNotSpy 11 permet en quelques clics de faire un point sur les autorisations que vous avez accordées à Windows et de revenir sur vos choix pour plus de confidentialité.

► Téléchargez et installez DoNotSpy 11 sur votre PC. L'installation ne présente aucune difficulté. Lancez ensuite l'utilitaire.

► L'interface du logiciel s'affiche. Elle présente au centre de la fenêtre la liste des éléments qu'il est possible de désactiver. Ils sont regroupés en plusieurs catégories : Publicité, Applications, Windows Defender, Vie privée, Chercher, Démarrer, Mises à jour, Microsoft Office et Edge (Chromium). La partie droite de la fenêtre livre des informations sur l'utilisation et les données transmises de chaque élément. Bon point : les indications sont toutes en français. Il est donc plus aisé de comprendre les tenant et aboutissant de chaque réglage.


► Cochez la case Activé au sommet de la fenêtre dans la section Filtre. S'affichent alors les éléments pour lesquels vous avez déjà refusé les autorisations.


► Cochez maintenant la case Désactivé pour continuer à traquer les données transmises à Microsoft. Naviguez parmi les différents réglages proposés et cliquez dessus pour avoir de plus amples informations sur leur fonction. Si un réglage vous semble inopportun, cochez simplement la case à gauche de son nom pour le sélectionner et continuez vos investigations.


► La plupart des éléments sont indiqués en bleu. Mais d'autres s'inscrivent en orange ou en rouge. Ce code couleur précise le degré d'importance du réglage. Il n'est absolument pas conseillé de tout cocher (et donc de tout désactiver). Windows risquerait de ne plus fonctionner normalement. Il a besoin pour cela de transmettre certaines données. Aussi, veillez à lire attentivement chaque description avant de désactiver un réglage.


► Lorsque toutes vos préférences de confidentialité vous semblent justes, cliquez sur le bouton Appliquer au bas de la fenêtre. Par mesure de sécurité, DoNotSpy 11 vous invite à créer un point de restauration. Vous pourrez ainsi revenir en arrière en cas de mauvaise manipulation comme nous le décrivons dans notre fiche pratique. Une fois le point créé, les réglages sont appliqués. Vous pouvez cliquer sur le bouton Sortir pour quitter l'application.

 

REF.:  Fabrice Brochain

 https://www.commentcamarche.net/telecharger/securite/25679-donotspy-11-stopper-l-espionnage-de-windows-10-et-11/

Asahi – Le Linux des nouveaux Macs

 

 

Asahi – Le Linux des nouveaux Macs

Savez vous ce que signifie Asahi en japonais ? Cela veut dire « Soleil levant » et c’est également une variété de pommes.

De pomme ? Oui, de pomme… Apple en anglais. Hé oui, on va bien parler aujourd’hui de Asahi, un projet dont le but est de porter Linux sur les Mac Silicon (les fameux M1…etc), en commençant par les Mac Mini, MacBook Air et MacBook Pro 2020 M1.

Leur objectif n’est pas de simplement faire tourner un linux mais également de l’optimiser pour en faire un système d’exploitation agréable à utiliser au quotidien.


Toutefois, cela demande pas mal de boulot car Apple Silicon est très peu documenté, et les dev doivent reverser l’architecture du GPU d’Apple et développer le pilote open source qui va bien. Gros challenge à suivre donc !

Pour le moment, seule une alpha est sortie. Pas mal de choses fonctionnent comme le wifi, l’usb, le lecteur de carte SD…etc. Par contre, pour le bluetooth, Thunderbolt, l’accélération du GPU…etc il faudra encore attendre un peu. Mais comme je vous le disais, c’est une version Alpha. Le dual boot fonctionne donc vous pourrez profiter de Asahi tout en conservant macOS. Et si vous vous plantez, pas grave, vous pouvez toujours supprimer la partition Asahi ou réinstaller votre Mac via son mode d’install recovery.

Pour installer Asahi, vous devez mettre à jour votre macOS vers une version >= 12.3, disposer de 53 GB minimum d’espace disque, ouvrir un terminal et entrer la commande suivante :

curl https://alx.sh | sh

Vous trouverez plus d’infos ici.

REF.:  https://korben.info/asahi-le-linux-des-nouveaux-macs.html

vendredi 27 mai 2022

Attention au faux site de canalblog.com

 Attention au faux site de canalblog.com

 

Décidément le site http://t30dulle.canalblog.com/,canalblog c'est pas blogger de google,parce que c'est une sale copie le site original https://teodulle.blogspot.com/2020_10_04_archive.html



Ne pas vous enregistrez ni ouvrir ce liens !

C'est la même merde que profile engine a déja fait en 2014 !

 https://teodulle.blogspot.com/2014/06/vol-didentite-profilengine-cest-de-la.html

 

Ce sont des hackers qui utilisent le site canalblog.com

Car, ....

Côtés positifs

Ce site est (très) vieux.

This website is safe according to DNSFilter.

Ce site web est approuvé par Trend Micro

Côtés négatifs

Le propriétaire de ce site utilise un service pour dissimuler son identité

Selon Alexa, ce site a un score faible

Ce site est un site internet à l'intérieur d'un autre site internet


REF.: jetemmerde,con

https://teodulle.blogspot.com/2014/06/vol-didentite-profilengine-cest-de-la.html

jeudi 5 mai 2022

macOS Monterey supporte enfin le TRIM en USB avec les SSD externes

 

 

macOS Monterey supporte enfin le TRIM en USB avec les SSD externes

Bonne nouvelle, car le problème existait depuis des années : macOS Monterey supporte (enfin) la commande TRIM en USB pour les SSD externes.

Petites précisions : je le mets en début d’article parce qu’on a plusieurs fois fait la remarques sur divers sites. Pour le fait de devoir l’activer manuellement, c’est probablement le cas (je n’ai pas de quoi tester) et c’est historique sous macOS, pour pleins de raisons. Pour le fait que l’exFAT ne prenne pas en charge le TRIM, c’est lié à Microsoft, a priori (comme expliqué plus bas, Windows ne le gère pas non plus). Et pour le fait que tous les adaptateurs USB vers SATA ne gèrent pas la commande, c’est matériel. C’est une limitation des adaptateurs, et c’est la même chose avec d’autres OS. Enfin, si votre SSD affiche deux lignes pour le même identifiant, ça peut venir du fait qu’il contient une partition EFI (cachée) qui ne prend pas en compte le TRIM.

J’ai trouvé des sujets sur MacRumors qui en parlaient, donc j’ai fait quelques essais. Attention, il faut peut-être explicitement activer le TRIM pour les SSD tiers (c’était déjà fait sur mes machines) avec la commande sudo trimforce enable.

Mais c’est quoi le TRIM et pourquoi c’est important ? En simplifiant vraiment, c’est une commande qui permet de dire au contrôleur du SSD que les données effacées sont libres. Elle est importante pour la gestion de l’usure des SSD (sans TRIM, ça s’use un peu plus vite) mais aussi pour les performances. Sur les SSD avec un cache qui accélère les écritures (la majorité des modèles modernes), le cache en question ne fonctionne pas réellement sans la commande TRIM, et les performances peuvent donc s’effondrer. Donc le TRIM en USB, c’est important.

Attention, il y a quelques limites. Premièrement, le SSD externe doit être formaté en APFS et pas en exFAT. Ce n’est pas une limitation arbitraire d’Apple, c’est juste que l’exFAT ne supporte pas le TRIM (en tout cas sous Windows et sous macOS).

Deuxièmement, il faut un bridge qui supporte la commande. Pour être plus clair : ça ne fonctionne pas avec tous les boitiers et adaptateurs USB (comme sous Windows, du reste). Il y a deux contraintes à ce niveau : le bridge (la puce qui fait le lien entre l’USB et le SSD) doit supporter l’UASP et le TRIM.

L’UASP est un protocole qui augmente les performances en USB et une bonne partie des adaptateurs modernes supporte ça. Ce n’est malheureusement pas généralisé, mais c’est simple à vérifier. Une fois le SSD branché, tapez cette commande dans le Terminal. Si elle donne une réponse, c’est bon. S’il n’y a pas de réponse, vous n’aurez pas le TRIM.

ioreg |egrep 'IOUSBMassStorageUASDriver'

Pour le TRIM, c’est un peu la même chose. Pour vérifier si ça marche, il faut débranchez le SSD, le rebranchez et taper la commande suivante. Il faut adapter la date en mettant un timing un peu avant le branchement.

log show --predicate "processID == 0" --start "2021-12-23 15:30:00" | grep spaceman

Avec un boitier qui supporte le TRIM, vous aurez une réponse de ce genre (j’ai viré les heures pour que ce soit plus simple à lire). En gros, si ça affiche le nombre de trims/s, c’est a priori bon.

kernel: (apfs) spaceman_scan_free_blocks:3153: disk4 scan took 4.544669 s, trims took 2.996066 s
kernel: (apfs) spaceman_scan_free_blocks:3155: disk4 100157466 blocks free in 4570 extents
kernel: (apfs) spaceman_scan_free_blocks:3163: disk4 100157466 blocks trimmed in 4570 extents (655 us/trim, 1525 trims/s)
kernel: (apfs) spaceman_scan_free_blocks:3166: disk4 trim distribution 1:815 2+:622 4+:809 16+:312 64+:174 256+:1838

S’il ne supporte pas le TRIM (que ce soit le boîtier, le SSD, le HDD, etc.), vous aurez plutôt ceci.

kernel: (apfs) spaceman_metazone_init:191: disk4 metazone for device 0 of size 2693771 blocks (encrypted: 0-1346885 unencrypted: 1346885-2693771)
kernel: (apfs) spaceman_scan_free_blocks:3171: disk4 scan took 2.461839 s (no trims)

Quelques essais

Comme j’ai pas mal de SSD et adaptateurs à la maison, j’ai essayé avec beaucoup d’appareils.

Sur les boîtiers USB vers SATA que je possède qui utilisent des puces Asmedia… ça dépend. J’en ai plusieurs qui s’identifient avec les mêmes valeurs (0x174c et 0x55aa) et une prise en charge variable, probablement en fonction du firmware. Certains supportent TRIM et UASP, d’autres uniquement l’UASP et d’autres aucun des deux. Il faut tester.

J’ai un USB vers SATA avec une puce Via qui accepte le TRIM et un Prolific qui ne l’accepte pas.

La bonne nouvelle vient des adaptateurs USB vers NVMe : j’en ai trois, deux à base de JMicron 562 et un à base d’Asmedia 2364 et les trois fonctionnent. De même, un SSD externe Crucial X8 accepte bien la commande.

Si vous voulez vérifier la prise en charge, il y a une autre commande : ioreg -l. Il suffit ensuite de chercher "Unmap"=Yes. Unmap est le nom de la commande SCSI équivalente au TRIM. Assez bizarrement, certains contrôleurs affichent aussi "UnmapCapable"=Yes, mais ça ne semble rien changer.

Enfin, j’ai testé avec Catalina (et ça ne semble pas fonctionner) et Guillaume m’a aidé pour Big Sur, et ça ne semble pas fonctionner non plus. Donc c’est a priori une nouveauté de Monterey.

Si quelqu’un se sent motivé pour faire une app’ ou un script qui donne le résultat facilement, ça peut être intéressant (je n’ai aucune idée de comment faire ça).

 

REF.:   https://www.journaldulapin.com/2021/12/24/trim-usb-monterey/