Activons HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement
Let’s Encrypt est une
autorité de certification (AC ou CA pour Certificate Authority en
anglais) gratuite, automatisée et ouverte, exploitée pour le bénéfice du
public. C’est un service fourni par Internet Security Research Group (ISRG).
Nous donnons aux gens les certificats numériques dont ils ont besoin
pour activer HTTPS (SSL/TLS) pour les sites Web, gratuitement, de la
manière la plus intuitive possible. Nous faisons cela parce que nous
voulons créer un Web plus sûr et respectueux de la vie privée.
Pour en savoir plus sur notre dernière année en revue, téléchargez notre rapport annuel.
Les principes clés de Let’s Encrypt sont les suivants :
Gratuit: Toute personne possédant un nom de domaine peut utiliser Let’s Encrypt pour obtenir un certificat reconnu, à coût nul.
Automatique: Un logiciel fonctionnant sur un
serveur web peut interagir avec Let’s Encrypt pour obtenir sans peine un
certificat, le configurer en toute sécurité pour son utilisation et
s’occuper automatiquement de son renouvellement.
Securisé: Let’s Encrypt servira de plate-forme pour
faire progresser les meilleures pratiques de la sécurité TLS, tant du
côté de l’autorité de certification que pour aider les responsables de
site Web à sécuriser correctement leurs serveurs.
Transparent: Tous les certificats délivrés ou révoqués seront enregistrés publiquement et disponibles pour inspection par quiconque.
Ouvert: Le protocole de délivrance et de renouvellement automatique est publié comme une norme ouverte que d’autres pourront adopter.
Coopératif: Tout comme les protocoles Internet
sous-jacents eux-mêmes, Let’s Encrypt est un effort conjoint au profit
de la communauté, qui échappe au contrôle d’une seule organisation.
Mon Carnet - Et si ChatGPT changeait notre point de vue à notre insu
Dans
sa chronique de samedi dernier, le chroniqueur technologie du Wall
Street Journal, Christopher Mims, avait un texte fort intéressant qui
portait sur la capacité des intelligences artificielles comme ChatGPT ou
Bard, de faire changer notre point de vue sans que nous nous en
rendions compte. Je vous explique.
Les assistants d'intelligence artificielle (IA) comme ChatGPT d’Open
AI, Chat Bing de Microsoft ou Bard de Google peuvent changer notre façon
de penser sans que nous nous en rendions compte. Des études ont montré
que lorsqu'un individu utilise une IA pour écrire un essai, l'algorithme
peut l'inciter à prendre parti pour ou contre une opinion donnée en
fonction de son biais. Cette expérience peut influencer les opinions des
sujets sur le sujet traité. Ce phénomène appelé "persuasion latente"
est préoccupant, car l'IA aurait ainsi la possibilité d’altérer
subtilement et imprévisiblement nos opinions à mesure que nous en
devenons plus dépendants.
Pour écouter Radio Mon Carnet : www.RadioMonCarnet.com
Les
chercheurs de l’Université Cornell aux États-Unis qui ont découvert ce
phénomène estiment que la meilleure défense contre cette nouvelle forme
d'influence psychologique est de sensibiliser davantage les gens. À long
terme, d'autres défenses, telles que la transparence imposée par les
régulateurs sur le fonctionnement des algorithmes d'IA et les biais
humains qu'ils imitent, pourraient être utiles.
En fait, ça
pourrait même conduire à un avenir où les gens choisissent les IA qu'ils
utilisent - au travail, à la maison, au bureau et dans l'éducation de
leurs enfants - en fonction des valeurs humaines exprimées dans les
réponses fournies par l'IA. Certaines IA pourraient également avoir
différentes "personnalités", y compris des convictions politiques.
Déjà,
des outils permettent aux utilisateurs d'interagir avec l'IA pour
rédiger des courriers électroniques, du matériel marketing, de la
publicité, des présentations, des feuilles de calcul, etc. Et les
Microsoft, Google et de dizaines d’autres entreprises travaillent fort
dans le domaine. Encore la semaine dernière, Google a annoncé que son
dernier grand modèle de langage, PaLM 2, sera utilisé dans 25 produits
de l'entreprise.
Cependant, l'utilisation de l'IA pour influencer
les opinions soulève des inquiétudes quant aux possibles utilisations
négatives de cette technologie, notamment dans les gouvernements
autocratiques, les entreprises manipulatrices, les groupes de lobbys ou
les cybercriminels.
Les entreprises technologiques, telles que
Microsoft, Google et OpenAI, ont promis de travailler sur une IA
responsable, qui examine les dommages potentiels de l'IA et les aborde.
OpenAI a publié une partie de ses directives sur la manière dont ses
systèmes doivent traiter les sujets politiques et culturels. Chez
Google, l’incubateur Jigsaw, une unité qui conseille et construit des
outils pour les grands modèles de langage, est également impliqué dans
l'étude des effets de l'interaction avec l'IA sur les individus.
Chose
certaine, l'IA est un outil puissant qui peut aider l'humanité à
résoudre de nombreux problèmes, mais elle doit être utilisée de manière
responsable pour éviter toute influence indue sur les opinions des
individus. Les entreprises technologiques travaillent pour produire une
IA responsable, examinant les dommages potentiels et publiant des
directives pour le traitement des sujets politiques et culturels. Il est
important de comprendre que les IA ne sont pas des clones
algorithmiques des opinions et des valeurs de leurs créateurs, mais
qu'elles reflètent les opinions intégrées lors de leur entraînement.
Il
est difficile de supprimer complètement les opinions et la subjectivité
des IA sans compromettre leur utilité. Les modèles de langage utilisés
par les IA sont entraînés sur des données provenant de diverses sources,
ce qui entraîne inévitablement l'incorporation des opinions et des
biais contenus dans ces textes.
L'évaluation des opinions des IA
sera une tâche continue à mesure que les modèles seront mis à jour et de
nouveau seront développés. Les utilisateurs pourraient choisir les IA
en fonction de leurs propres valeurs et ainsi éviter toute influence
indésirable.
En les utilisant, en sachant que d’autres les
utilisent, gardons en tête que les agents conversationnels peuvent
influencer subtilement nos opinions sans que nous en soyons conscients.
Il est essentiel de sensibiliser davantage les utilisateurs à cette
influence et de favoriser la transparence dans le fonctionnement des
algorithmes d'IA.
Pour consulter la chronique de Christopher Mims, dans le Wall Street Journal, c’est par ici.
Et pour la recherche sur le sujet, c’est par ici pour une version PDF.
N’hésitez pas à partager et à aimer si le cœur vous en dit! Namasté
Les scientifiques ont découvert que les neurones du cerveau des mammifères étaient capables de produire des photons de lumière, ou “biophotons” !
Les photons, curieusement, apparaissent dans le spectre visible. Ils
vont du proche infrarouge au violet, soit entre 200 et 1 300 nanomètres.
Les scientifiques soupçonnent
que les neurones de notre cerveau pourraient être capables de
communiquer par la lumière. Ils soupçonnent que notre cerveau pourrait
avoir des canaux de communication optiques, mais ils n’ont aucune idée
de ce qui pourrait être communiqué. Notre cerveau pourrait avoir des
canaux de communication optiques
Plus excitant encore, ils prétendent que s’il y a une
communication optique, les biophotons produits par notre cerveau
pourraient être affectés par un enchevêtrement quantique, ce qui
signifie qu’il peut y avoir un lien fort entre ces photons, notre
conscience et peut-être ce que plusieurs cultures et religions appellent
Esprit.
Au cours de quelques expériences, un scientifique a découvert que le
cerveau d’un rat peut transmettre un seul biophoton par neurone par
minute, mais que le cerveau humain peut transmettre plus d’un milliard
de biophotons par seconde.
Cela soulève la question de savoir s’il est possible que plus on peut
produire de lumière et communiquer entre les neurones, plus ils sont
conscients.
S’il y a une corrélation entre les biophotons, la lumière et
la conscience, cela peut avoir de fortes implications qu’il y a plus à
la lumière que ce que nous savons.
Réfléchissez un instant. De nombreux textes et religions remontant à
l’aube de la civilisation humaine font état de saints, d’êtres élevés et
d’individus éclairés ayant des cercles brillants autour de leur tête.
De la Grèce antique et de la Rome antique aux enseignements de
l’hindouisme, du bouddhisme, de l’islam et du christianisme, parmi de
nombreuses autres religions, les individus sacrés étaient représentés
avec un cercle brillant sous la forme d’une lueur circulaire autour de
leur tête. Cercle brillant sous la forme d’une lueur circulaire autour
de leur tête
S’ils étaient aussi éclairés qu’ils sont décrits, peut-être que ce
cercle lumineux n’était qu’un résultat de la conscience supérieure avec
laquelle ils opéraient, d’où une fréquence et une production plus
élevées de biophotons.
Peut-être que ces individus ont produit un niveau plus élevé
de biophotons avec une intensité plus forte à cause de leur
illumination, s’il y a une corrélation entre les biophotons et la
conscience.
Même le mot enLIGHTenment suggère que cette conscience supérieure a quelque chose à voir avec la lumière.
[note : en français on retrouve la même chose avec ilLUMInation]
enLIGHTenment suggère que cette conscience supérieure a quelque chose à voir avec la lumière
Mais l’une des implications les plus excitantes de la
découverte que notre cerveau peut produire de la lumière est que notre
conscience et notre esprit ne sont peut-être pas contenus dans notre
corps. Cette implication est complètement ignorée par les scientifiques.
L’enchevêtrement quantique dit
que 2 photons enchevêtrés réagissent immédiatement si l’un des photons
est affecté, peu importe où l’autre photon est dans l’Univers.
Peut-être y a-t-il un monde qui existe dans la lumière, et
peu importe où vous vous trouvez dans l’Univers, les photons peuvent
agir comme des portails qui permettent la communication entre ces deux
mondes. Peut-être que notre esprit et notre conscience communiquent avec
notre corps à travers ces biophotons. Et plus nous produisons de
lumière, plus nous éveillons et incarnons l’intégralité de notre
conscience.
Ceci peut expliquer pourquoi l’état d’un photon est affecté
simplement en l’observant consciemment, comme cela a été prouvé dans de
nombreuses expériences quantiques.
Peut-être que notre observation communique quelque chose à travers
nos biophotons avec le photon qui est observé, de la même manière que
l’enchevêtrement quantique, comme la lumière est juste une substance
unifiée qui est dispersée à travers notre Univers et affectée à travers
chaque particule lumineuse.
Bien sûr, rien de tout cela n’est près d’être une théorie. Mais poser
des questions et tirer des hypothèses métaphysiques pourrait nous
conduire plus près de la vérité et de la compréhension de ce qu’est la
conscience, d’où elle vient, et quels sont les mystères qui se cachent
dans la lumière.
Google lance des outils pour détecter les images générées par l’IA
Radio-Canada
Le
géant de l’informatique compte intégrer de nouvelles fonctionnalités à
Google Images qui permettront aux internautes de déterminer plus
facilement si une photo a été générée par une intelligence artificielle
(IA).
Chaque image sera dotée d’un bouton À propos de cette image, qui fournira des informations contextuelles sur sa création.
Par exemple, on pourra savoir la date à laquelle une
photographie, ou une autre semblable, a été indexée pour la première
fois par le moteur de recherche. Des données concernant le lieu où elle
est apparue en premier, de même que les autres sites sur lesquels on
peut la trouver en ligne, seront également fournies.
Si l’image a été signalée par des organismes de presse comme étant fausse, c’est aussi à cet endroit que ce sera inscrit.
Google souhaite ainsi donner un coup de main aux
internautes pour localiser la source de contenus, en apportant des
éléments de contexte.
Les images d’IA étiquetées
Le géant californien prévoit aussi d’ajouter de nouvelles étiquettes par défaut aux images générées par I’IA
de Google, mais aussi par celle du logiciel Midjourney, dont l'équipe
qui s’est ralliée à la cause. Celle de la banque d’images Shutterstock
est également dans le coup, selon ce que rapporte l’agence Bloomberg.
L’objectif : s’assurer que tous les contenus générés par l’IA
qui apparaissent dans les résultats de recherche de Google soient identifiés comme tels.
Ces nouvelles fonctionnalités seront déployées au courant de l’année.
-
Pour lutter contre la désinformation, Google
va déployer un outil permettant de savoir si une image a été générée par
une intelligence artificielle et même de trouver son origine. Un moyen
de rendre l'IA plus éthique.
Les IA
génératrices d'images fascinent les internautes autant qu'elles
inquiètent. Elles sont capables, en quelques secondes seulement, de
créer d'incroyables images dans des styles artistiques variés à partir
d'une simple commande textuelle. Peinture surréaliste, portrait au stylo
bic et, bien sûr, photo réaliste... Rien n'est impossible ! Parmi les
intelligences artificielles qui offrent les plus beaux rendus, on trouve
DALL-E, créé par les développeurs de ChatGPT, son rival Midjourney, mais aussi Bing Image Creator.
Les résultats peuvent être confondants de réalisme, comme le prouvent
les photos truquées de personnalités politiques plus vraies que nature
réalisées avec la version 5 de Midjourney (voir notre article),
à tel point qu'il est parfois impossible de distinguer la réalité d'une
production artificielle. Autant dire que ces IA sont un véritable
cauchemar pour le fact checking (vérification d'authenticité,
en français) ! On aurait bien besoin d'un outil pour permettre de
déterminer si une image a été créée par l'IA. Ça tombe bien, Google est
en train d'en développer un !
Images générées par IA : un outil pour démêler le vrai du faux
Lors de sa conférence I/O 2023,
Google a clairement énoncé sa volonté de développer une intelligence
artificielle plus éthique et plus transparente. Aussi, l'entreprise
annonce sur son blog, dans le cadre du déploiement des capacités de génération d'images de son IA Bard – grâce à un partenariat avec Adobe Firefly –, qu'elle va ajouter un petit label "AI Generated with Google"
en dessous de chaque image générée par son intelligence artificielle
dans Google Images. De plus, ces images posséderont des métadonnées
montrant leur origine artificielle. Elle va également permettre à
l'ensemble des internautes d'ajouter, dans les mois à venir, un
filigrane semblable sur les illustrations qu'ils généreront, que ce soit
sur Midjourney, Shutterstock ou d'autres. Notons que les rendus générés
par Bing Image Creator sont automatiquement identifiables à l'aide
d'une icône de Bing.
De plus, la firme de Redmond va faire en
sorte que les internautes puissent vérifier facilement l'origine des
images en consultant une sorte d'historique de ces dernières. Ainsi, un
bouton "About this image" – "À propos de cette image"
en français –, accessible dans la recherche d'image inversée de Google,
permettra de savoir où et quand elles sont apparues sur la Toile. Grâce à
ces indications, montrant notamment si la photo est d'abord apparue sur
un site légitime ou au fin fond du Web, on pourra plus facilement
déduire ses origines. L'outil sera d'abord disponible cet été aux
États-Unis pour les recherches en anglais. Dans l'exemple ci-dessus,
l'utilisateur recherche "moon landing", puis clique sur le bouton "à propos de cette image".
L'outil montre ensuite comment l'image est apparue sur Reddit avec la
mention "Midjourney". À l'inverse, il pourra montrer qu'elle est d'abord
apparue sur des sites d'information dignes de confiance.
Trucage par IA : connaitre l'origine d'une photo
La législation prend petit à petit forme pour contrer les dérives des
réseaux sociaux, mais encore faut-il mettre ces règles en application.
Du côté des réseaux sociaux, qui sont d'importants vecteurs de fake
news, TikTok a mis à jour ses règles pour encadrer les deepfakes et
autres fausses images, en ajoutant une nouvelle section dédiée aux "médias synthétiques et manipulés".
Le réseau social recommande d'utiliser un sticker ou une légende
"synthétique", "faux", "irréel" ou "modifié" pour une meilleure
transparence vis-à-vis des utilisateurs. De plus, elle interdit
complètement les deepfakes sur des personnes privées, mais fait une
exception pour les "personnalités publiques ayant un rôle public important", comme "un politicien, un chef d'entreprise [ou] une célébrité", sauf si "le contenu est utilisé à des fins de promotion ou enfreint toute autre politique". Sur Twitter en revanche, tout est permis avec la fameuse "liberté d'expression" si chère à Elon Musk !
L'Europe n'est pas restée les bras croisés face à l'émergence de
l'intelligence artificielle. Le Parlement européen vient tout juste
d'adopter l'AI Act, un texte destiné à encadrer leurs activités et à
combattre toutes les dérives qui leur sont liées (voir notre article).
Concernant par exemple les IA génératives comme ChatGPT et MidJourney,
les eurodéputés souhaitent que chaque contenu créé par un outil de ce
genre soit mentionné comme tel. Une disposition qui vise à lutter contre
la prolifération des contenus illégaux et la manipulation de
l'information, mais aussi à protéger le droit d'auteur. Reste à savoir
comment faire respecter ce règlement...
Poème:Pour l'amant que j'ai perdu(terminant,une complainte,une mort)
For the Lover That I Lost - Sam Smith 「Paroles」 - Traduction Française
Pensez à vos lèvres et la façon dont ils embrassent Il y a tellement me manque vraiment de vous Assis sur la plage, vous étiez encore à portée de main Et je ne l'ai pas senti libre sans vous
[Pré-Chorus]
Tous les souvenirs se sentent comme par magie Tous les combats semble si doux Tout ce que nous étions, mon amour, était tragique Et vous êtes la dernière chose que j'ai besoin
[Refrain] Donc, je mets une douzaine de roses Pour l'amant que j'ai perdu Je maintiens tous mes choix Même si j'ai payé le coût Oh toutes ces nuits, les bas et les hauts Je les partage avec vous tous Donc, je mets une douzaine de roses Je les mets là, je les mets là pour vous
[Verse 2] Vous avez été dans mon esprit tous les soirs Je ne peux pas visualiser la vie sans toi Je suis tryin' pour passer une semaine sans perdre le sommeil Mais il y a quelque chose que je dois passer par
[Pré-Chorus] Tous les souvenirs se sentent comme par magie Tous les combats semble si doux Tout ce que nous étions, mon amour, était tragique Et vous êtes la dernière chose que j'ai besoin
[Refrain] Donc, je mets une douzaine de roses Pour l'amant que j'ai perdu Je maintiens tous mes choix Même si je paie le coût Toutes ces nuits, les bas et les hauts Je les partage avec vous tous Donc, je mets une douzaine de roses Je les mets là, je les mets là pour vous
[Refrain] Donc, je mets une douzaine de roses Pour l'amant que j'ai perdu
Je maintiens tous mes choix Même si je paie le coût Toutes ces nuits, les bas et les hauts Je les partage avec vous tous Donc, je mets une douzaine de roses Je les mets là, je les mets là pour vous