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lundi 5 juin 2023

Draft & Goal: Un outil montréalais pour détecter l’IA pourrait contrer les « dérives de ChatGPT »

 

 

Draft & Goal: Un outil montréalais pour détecter l’IA pourrait contrer les « dérives de ChatGPT »

Nabil Tayeb a cofondé avec Vincent Terrasi l'entreprise montréalaise Draft & Goal.

https://detector.dng.ai/fr

Stéphanie Dupuis

Un peu de répit pour le corps enseignant : la jeune pousse montréalaise Draft & Goal vient de mettre en ligne un outil gratuit qui permettrait de détecter avec une fiabilité de 93 % si un texte a été généré ou non par un robot conversationnel à la ChatGPT.

Le fonctionnement est simple : on ouvre dans un fureteur la page web de l’outil de détection d’IA (Nouvelle fenêtre), on copie et colle dans une boîte un texte en anglais (une version en français est en préparation) d’au moins 200 caractères à tester, on appuie sur analyser, et le logiciel offre un pourcentage de chance que l’essai ait été rédigé par un être humain ou par une intelligence artificielle (IA).

Si l'on teste un contenu dont on connaît déjà la nature, on peut aussi indiquer au bas de l’écran si le résultat obtenu par l’entreprise est juste ou non.

« On a fait une première analyse mercredi, basée sur 2000 textes en anglais. Les résultats montrent une fiabilité à 93 %. »

— Une citation de  Nabil Tayeb, PDG de Draft & Goal

Pour la deuxième version sur laquelle nous travaillons, avec un algorithme amélioré, on estime que ce pourcentage sera supérieur, a indiqué à Radio-Canada le PDG de l’entreprise.

Agrandir l’image (Nouvelle fenêtre)

L'outil de détection de l'IA de Draft & Goal analyse les textes soumis afin de déterminer s'ils ont été rédigés par des êtres humains ou une machine.

Photo : Draft and Goal

Pour arriver à détecter avec justesse si un texte a été généré par un robot conversationnel, Draft & Goal utilise l’apprentissage machine.

Les modèles d’IA générative sont souvent probabilistes, c'est-à-dire que ce sont des modèles qui font que ce qui est écrit n’est pas totalement aléatoire, explique Nabil Tayeb.

Draft & Goal arrive ainsi à détecter des empreintes laissées par l’IA, notamment en regardant plusieurs éléments dans le style d'écriture.

Si l’outil est seulement offert en anglais pour le moment, une version française du service sera mise en ligne d’ici la fin du mois de janvier, selon Nabil Tayeb.

Il y a beaucoup plus de textes en anglais sur le web, donc le modèle de départ s'entraîne plus facilement et rapidement avec l’anglais qu'avec le français, justifie le PDG de Draft & Goal, qui envisage d’étendre le service à d’autres langues dans le futur.

Un concours de circonstances

L'entreprise Draft & Goal travaille elle-même depuis deux ans à créer un outil de génération de contenus automatisé. Elle souhaite aider les autres entreprises à être plus productives dans la rédaction d’articles de blogue, la publication de pages web statiques ou encore dans l’écriture de descriptions de produits, tout en maintenant une certaine intervention humaine.

En générant des textes, on avait besoin de savoir si ça allait être perçu comme un texte écrit par une intelligence artificielle, raconte Nabil Tayeb, PDG de Draft & Goal, précisant que le but n’est pas de tromper les lecteurs ou lectrices.

« On a donc créé un outil pour nous aider, et on s’est rendu compte rapidement qu’on était plutôt bons à détecter les contenus générés par l’IA. »

— Une citation de  Nabil Tayeb

L’équipe y a vu une occasion d’en faire profiter les autres, car les risques sont nombreux quant à la démocratisation de logiciels d’intelligence artificielle qui imitent de façon ultraréaliste l’écriture humaine, comme c'est le cas de ChatGPT d’OpenAI.

On voit l’IA comme un outil, une machine à écrire à améliorer, mais ça ne doit pas devenir le centre de la création en tant que tel, croit le PDG de la jeune pousse.

Plusieurs champs d’action

Les enseignants et enseignantes craignent par exemple que ces robots conversationnels s’infiltrent dans les dissertations de leurs élèves, tous niveaux confondus.

Les profs utilisent depuis des années des logiciels pour déceler le plagiat, mais ceux-ci sont conçus pour analyser les textes déjà publiés sur le web.

Comme l’IA génère du texte original, elle ne copie pas de texte à partir du web, précise-t-il.

Un outil comme celui de Draft & Goal pourrait aussi être utile dans des salles de presse afin de s’assurer de l’authenticité d’un communiqué de presse.

« [Une personne malintentionnée] pourrait envoyer des communiqués de presse complètement bidonnés sans que ce soit suspect, et ça pourrait être fait à grande échelle. »

— Une citation de  Nabil Tayeb

En phase de test

Pour le moment, l’outil de Draft & Goal est encore en phase de développement. Chaque requête permet d’améliorer sa propre intelligence artificielle.

L’entreprise souhaite garder le logiciel gratuit et accessible à tous et à toutes le plus longtemps possible. Elle compte tout de même offrir prochainement des formules payantes avec des fonctionnalités supplémentaires, qui pourraient prendre la forme, entre autres, d’une extension sur le navigateur Chrome.

Une nouvelle version du détecteur sera mise en ligne dans les prochains jours et permettra de cibler les passages plus précis d’un texte soupçonnés d’avoir été générés par l’intelligence artificielle.

jeudi 1 juin 2023

L’astuce confidentielle pour personnaliser encore mieux son WhatsApp

 

 

L’astuce confidentielle pour personnaliser encore mieux son WhatsApp

Meta prépare une fonctionnalité encore inédite, mais qui pourrait bien s’imposer assez vite chez des millions d’utilisateurs.


Publié le

 


  • On pourra bientôt créer son nom d’utilisateur sur WhatsApp
  • L’outil n’est pas encore disponible pour le moment, et pourrait n’arriver que sur Android au début
  • On vous explique comment faire, en avance

Les noms d’utilisateurs arrivent sur WhatsApp. Ce n’est pas encore officiel, mais l’app de messagerie pourrait très bientôt dévoiler la fonctionnalité, à en croire des fuites tout juste publiées sur le net – captures d’écran à l’appui. On peut y découvrir un nouveau champ à remplir par les internautes, non loin de celui dédié à leur statut et identifié par le préfixe @ – tel celui de Twitter.

 

Pour le moment, nul ne sait encore comment fonctionnera cette nouveauté. Et pour cause : celle-ci n’a pas encore été déployée, pas même chez les utilisateurs de la version beta de WhatsApp. On peut toutefois aisément supposer que la plateforme offrira bientôt la possibilité d’ajouter un contact via son nom d’utilisateur, ce qui pourrait s’avérer bien plus pratique qu’en tapant son numéro de téléphone à dix chiffres. Telegram, un des principaux concurrents du service de Mark Zuckerberg, le propose déjà, notamment sous forme de NFT.

 

Pour quand sur nos mobiles ?

Les noms d’utilisateurs semblent être inclus dans la mouture numérotée 2.23.11.15 de WhatsApp. Mais celle-ci est donc encore indisponible pour l’instant ; il est probable que seuls les développeurs qui se cachent derrière le code de l’app y ont accès pour l’instant.

On sait cependant que les mises à jour de WhatsApp sont très régulières, avec des déploiements presque chaque semaine sur le Google Play Store. Les noms d’utilisateurs ont d’ailleurs été repérés uniquement sur la version Android de la messagerie, et on ne sait pas quand ceux-ci pourront arriver sur les iPhone ou sur macOS. Le délai entre les deux systèmes d’exploitation pourrait toutefois s’avérer pénalisant pour iOS, car il n’est pas rare que plusieurs mois s’écoulent entre la publication d’un changement chez Mountain View et celle de son équivalent pour les mobiles pommés.

Modifier son nom d’utilisateur WhatsApp

Pour modifier son nom d’utilisateur sur WhatsApp, la marche à suivre devrait être la suivante :

Sur Android

  1. ouvrir WhatsApp
  2. toucher les trois points en haut à droite de l’écran
  3. toucher Paramètres
  4. toucher sa photo de profil
  5. appuyer sur @
  6. entrer le nom d’utilisateur désiré
  7. toucher Enregistrer

Sur iOS

  1. ouvrir WhatsApp
  2. accéder aux Réglages
  3. toucher sa photo de profil
  4. toucher @
  5. entrer le nom d’utilisateur désiré
  6. toucher Enregistrer
 
REF.:  https://www.presse-citron.net/lastuce-confidentielle-pour-personnaliser-encore-mieux-son-whatsapp/

Google Play Games : les jeux Android débarquent sur PC en France

 

 

Google Play Games : les jeux Android débarquent sur PC en France

 

Google Play Games, ce logiciel permettant de faire tourner des titres Android sur PC, est enfin disponible dans l'Hexagone, et avec de nouveaux jeux chaque mois. Un concurrent de taille pour le système Android de Windows 11 !

Ça y est, Google Play Games, ce launcher – ou lanceur, en français – qui permet aux joueurs de profiter des meilleurs titres mobiles sur leur ordinateur personnel – est disponible en France ! Car malgré son échec cuisant avec Stadia, son service de cloud gaming, le géant du numérique persiste à essayer de s'imposer comme un acteur majeur du secteur du jeu vidéo. Pour cela, l'entreprise mise sur une idée à laquelle il croit fermement puisque, selon un sondage qu'il a mené en partenariat avec IPSOS, de nombreuses personnes seraient fortement intéressées par l'arrivée des jeux mobiles sur ordinateur. En effet, elles seraient  71 % aux États-Unis, 60 % au Japon et plus de 85 % au Brésil et en Indonésie à être prêtes à acheter un jeu mobile pour y jouer sur leur PC.


Télécharger Google Play Games pour PC (bêta)

Annoncé en décembre 2021, le service a été lancé  en janvier 2022 dans une version bêta sur un marché réduit comprenant l'Australie, la Corée du Sud, Taïwan, la Thaïlande et Hong-Kong. Depuis le 2 novembre, Google Play Games – rebaptisé Google Play Jeux dans les pays francophones… – est disponible aux États-Unis, mais aussi au Canada, au Mexique, au Brésil, en Indonésie, aux Philippines, en Malaisie et à Singapour. La firme de Mountain View continue son déploiement et a rendu, le 24 mai, son nouveau service accessible en bêta en Nouvelle-Zélande et dans 40 pays européens, dont la France, l'Espagne, les Pays-Bas, l'Irlande et le Royaume-Uni. Pour en profiter, il suffit de se rendre sur le site et de cliquer sur le bouton vert "Télécharger la version bêta". "Nous sommes ravis d'étendre notre plateforme à davantage de marchés pour que les joueurs puissent profiter de leurs jeux préférés sur Google Play", déclarait Arjun Dayal, directeur de Google Play Games, dans un billet de blog en novembre 2022. "Alors que nous nous dirigeons vers une version complète, nous continuerons à ajouter de nouvelles fonctions et à évaluer les commentaires des développeurs et des joueurs".

 

Google Play Games : pas besoin d'un PC surpuissant

En pratique, Google Play Games est un logiciel pour Windows permettant de jouer à certains jeux mobiles Android – mais pas tous – et donc de bénéficier d'un plus grand confort et d'un meilleur gameplay. Contrairement à Stadia ou au Cloud Gaming de Microsoft, les jeux ne fonctionnent pas grâce à des serveurs distants : ils sont installés directement sur le PC et utilisent les ressources de ce dernier. Google a misé sur la carte de l'accessibilité et propose donc un logiciel et des jeux qui n'ont pas besoin d'une machine de guerre pour fonctionner. Il faut au minimum un PC avec un processeur (CPU) à quatre cœurs physiques (Intel ou AMD, peu importe), 8 Go de mémoire vive (Ram), 10 Go de stockage libre (SSD), un circuit graphique (GPU) Intel UHD Graphics 630, le tout sous Windows 10 ou Windows 11. Bien évidemment, une machine plus puissante sera encore plus à l'aise, mais un ordinateur de cinq ans peut suffire pour en profiter. 

Reste à voir le rendu de l'image, car les jeux n'ont pas tous été conçus pour les écrans de grande taille. Google Play Games prend en charge la souris, le clavier, mais aussi les manettes afin de rendre le gameplay plus confortable. Notons que l'interface ne ressemble pas à celle du Google Play Store, mais se rapproche plus de Steam, GOG Galaxy et Epic Games Store. Une volonté clairement affichée de se rapprocher de ces plateformes de jeux PC.

Google Play Games : un catalogue de jeux encore timide

Petit bémol cependant : tous les titres Android ne sont pas compatibles. Pour l'instant, il y a un peu plus de 100 jeux validés par le service, dont Just Dance Now, WWE SuperCard et Cookie Run: Kingdom. Google continue d'ajouter de nouveaux jeux chaque mois, dont Garena Free Fire, Ludo King et MapleStory. Pour éviter que les joueurs potentiels ne se tournent tout simplement vers un émulateur Android, le géant d'Internet mise sur la synchronisation des données via le compte Google de l'utilisateur,  qui permet de reprendre une partie lancée depuis un appareil mobile sur un PC, et vice-versa. De plus, il avait annoncé sur YouTube un partenariat avec Intel afin de faciliter la tâche des développeurs qui voudraient faire partie du programme, ce qui lui permettrait d'enrichir plus rapidement son catalogue. Ces derniers vont avoir le droit à un nouvel émulateur afin d'effectuer plus facilement les opérations de débogage et d'optimisations. Ceux-ci auront également la possibilité de traduire leurs jeux en plus de huit langues en quelques seulement minutes via Machine Translation.

Autre avantage : les joueurs peuvent gagner des Google Play Points de la même manière que sur mobile afin de les dépenser pour obtenir des éléments intégrés aux applications ou aux jeux, gagner des bons de réduction pour acheter des éléments intégrés ou encore obtenir du crédit Google Play. En mars, l'entreprise avait également mis à disposition des développeurs un émulateur afin qu'ils puissent déboguer facilement leurs jeux.

 

Pour le moment, Google Play Games s'annonce comme une bonus sympathique et gratuit, mais qui risque bien d'être insuffisant pour permettre à Google de s'imposer dans le monde du jeu vidéo. Sans compter qu'il vient – légèrement – concurrence le système Android de Windows 11, qui permet lui de faire tourner presque toutes les applications  Android sur un PC (voir notre article), mais qui se montre en pratique nettement plus gourmand, exigeant ainsi un PC bien plus musclé.

 

REF.:  https://www.commentcamarche.net/image-son/jeu-video/26959-google-play-games/

mercredi 31 mai 2023

3 entraînements de 15 minutes : parfait lorsque l’on manque de temps

 

 

3 entraînements de 15 minutes : parfait lorsque l’on manque de temps


Vous n’avez que 15 minutes, mais vous voulez quand même courir ? Ces 3 entraînements courts vous aideront à tirer le meilleur parti de votre temps !

Qu’est-ce qu’un entraînement de 15 minutes peut vous apporter? D’abord c’est un stimulus supplémentaire qui vous pousse à vous entraîner même les jours où vous n’avez vraiment pas le temps. 15 minutes, c’est peu mais suffisant pour augmenter votre fréquence cardiaque et ce de manière super efficace ! “Je n’ai pas le temps” n’est plus une excuse !

Bon à savoir :

Comme ces exercices sont vraiment intenses, ils exigent une bonne base d’entraînement et ne remplacent pas un plan de course régulier. Assurez-vous que votre programme d’entraînement en running comprend aussi des courses d’endurance de faible intensité. Découvrez sur l’appli adidas Running votre plan d’entraînement personnalisé !

 

entraînements de running de 15 minutes

Enfilez vos baskets et en route ! Ces séances d’entraînement comprennent un échauffement et une phase de récupération, donc aucune préparation n’est nécessaire !

1. Course par intervalles de 15 minutes

Comment s’entraîner ?

ÉchauffementIntervallesRécupération
5 min. de course facile, sans forcer6 x 30 sec. intenses (à 90%) avec 30 sec. de pause4 min. de course facile, sans forcer

La partie centrale de l’entraînement consiste en 6 intervalles de 30 secondes de course. Chacun est suivie de 30 secondes de pause. Les 30 secondes de course doivent être effectuées à très haute intensité, c’est à dire à un rythme qui rend la respiration très difficile. La seule façon d’aller plus vite serait de faire un sprint ! Découvrez les avantages de l’entraînement par intervalles et comment le configurer dans l’application adidas Running.

2. 15 minutes de HIIT / Fartlek

Comment s’entraîner ?

ÉchauffementHIIT / FartlekRécupération
3 min. de course facile, sans forcer9 min. en jouant sur les variations de rythme et d’intensité, en fonction de vos sensations3 min. de course facile, sans forcer

Le fartlek – “jeu de vitesse” en suédois – est une méthode d’entraînement durant laquelle le coureur s’amuse à varier ses allures de course et la durée des efforts au gré de ses envies et de ses sensations. Il n’y a pas de limite. Assurez-vous simplement de bien varier les intensités : de la marche en passant par le sprint. Croyez-le ou non, mais faire du jogging ou du running à un rythme de course confortable peut vraiment améliorer vos performances de course ! Exemple : piquez un sprint jusqu’au coin de la rue, puis marchez à un rythme détendu jusqu’à la voiture rouge, ensuite montez les escaliers rapidement… et ainsi de suite.

3. 15 minutes d’entraînement au sprint

Comment s’entraîner ?

Échauffement Sprint Récupération
3 min. de course facile, sans forcer
  1. 1 min. 30 sec. à 70% env. de votre fréquence cardiaque maximale : respiration rapide mais encore facile et détendue
  2. 1 min. 30 sec. à 80% env. : la respiration devient de plus en plus intense
  3. 1 min. 30 sec. à 90% env. : la respiration est intense

Récupérez avec un jogging de 5 minutes puis recommencer.

3 min. de course facile, sans forcer

Vous disposez de plus de 15 minutes pour vous entraîner ? Essayez le plan d’entraînement pour débutants de 28 jours (sans matériel) ! Ne négligez pas non plus vos fessiers et essayez ces 15 meilleurs exercices pour les fessiers et continuez à courir ! Vous ne pouvez pas courir dehors et ne voulez pas aller au centre de fitness ? Sculptez vous de beaux abdominaux avec ces 10 meilleurs mouvements pour les renforcer !Il s’agit d’un type d’entraînement durant lequel votre allure va augmenter progressivement. Courez un peu plus vite à chaque intervalle, mais de façon telle que vous puissiez encore augmenter votre rythme à l’intervalle suivant. Alors choisissez bien pour ne pas avoir à vous arrêter et reprendre votre souffle.

Comme indiqué plus haut, ces courtes séances d’entraînement vous aideront à rester en forme, mais elles ne peuvent remplacer un plan d’entraînement équilibré. Assurez-vous d’inclure également des runs à faible intensité et consultez cet article pour éviter les erreurs courantes de running. La façon la plus simple de planifer vos runs est de devenir un membre Premium et de télécharger un plan d’entraînement dans l’appli adidas Running !

 

REF.:  https://www.runtastic.com/blog/fr/entrainements-de-course-en-15-minutes/

dimanche 28 mai 2023

Neuralink aurait le feu vert

 Neuralink aurait le feu vert

 



Neuralink, la société d’implants cérébraux d’Elon Musk, viendrait d’obtenir l’approbation réglementaire aux États-Unis pour mener son premier essai clinique sur des humains. Cette annonce marque une étape majeure pour l’entreprise qui développe un dispositif implanté chirurgicalement dans le cerveau et capable de décoder l’activité cérébrale pour la relier à des ordinateurs. Jusqu’à présent, Neuralink n’avait réalisé des recherches que sur des animaux.

L’approbation de la FDA, la Food and Drug Administration, ouvre de nouvelles perspectives pour l’entreprise, qui envisage d’aider les personnes paralysées ou souffrant de conditions débilitantes. Neuralink se distingue également par ses ambitions d’améliorer les performances humaines grâce à sa technologie. La société a conçu une puce électronique implantable dans le cerveau, qui pourra être régulièrement mise à jour pour suivre les avancées technologiques.

Neuralink, fondée en 2016, est une entreprise privée basée en Californie. Avec le soutien d’Elon Musk, elle a réussi à attirer des investissements importants de l’ordre d’un demi-milliard canadien et à réunir une équipe de plus de 400 employés. La technologie de Neuralink s’inscrit dans le domaine de l’interface cerveau-ordinateur, où des chercheurs travaillent depuis des décennies pour développer des implants électroniques capables de restaurer les fonctions des personnes paralysées ou atteintes de maladies dégénératives.

Plusieurs autres entreprises ont déjà réalisé des essais cliniques avec des implants cerveau-ordinateur, permettant à des personnes paralysées d’accomplir des actions incroyables telles que serrer la main du président Barack Obama grâce à une main robotique ou écrire en pensant aux mouvements des doigts. Neuralink se distingue cependant en ayant pour ambition de dépasser les capacités humaines et d’améliorer les performances grâce à sa technologie.

Cependant, il est important de souligner que la réalisation d’essais cliniques chez l’homme ne garantit pas le succès réglementaire ou commercial. Neuralink devra répondre aux exigences strictes de la FDA en matière de sécurité et de fiabilité de son dispositif. De plus, les questions éthiques et de sécurité entourant l’utilisation d’une technologie qui confère un avantage cognitif soulèvent des préoccupations supplémentaires. Aucune date précise n’a été annoncée pour le début des essais cliniques chez l’homme.

Alors que Neuralink ouvre la voie à de nouvelles avancées dans le domaine des implants cérébraux, l’avenir dira si cette technologie révolutionnaire pourra réellement améliorer la vie de nombreuses personnes et dépasser les limites actuelles des capacités humaines.

 

REF.:  https://moncarnet.blog/2023/05/26/neuralink-aurait-le-feu-vert/