Maintenant que la poussière est tombée;Ont peut plus en parler maintenant!
Ne jamais divulgué des infos par téléphone,a n'importe qui ! Cette info est a titre d'information pour éviter les arnaques. "Arnaque sur les cartes de crédits":Tel était le titre de l'article dernièrement dans le journal de mtl de cette semaine,ont parle de 146,310 cartes utilisées frauduleusement pour un montant de 139 Millions$.La tactique des Black hats consistait a se faire passer pour un employé du département de la fraude de Master card et annonce a sa victime que des achats anormaux sur sa carte se sont enregistrés.Ils demande a leurs victimes les 4 derniers chiffres a l'endos de leurs cartes.Ça permet aux fraudeurs tout simplement de pouvoir faire des prélèvements fantomes sur leurs cartes. Julie Brassard de Master cards Canada a expliqué que sa revenait a donner votre signature aux fraudeurs,car les 4 derniers chiffres sont un code de sécurité,donc qui permet de débarrer la carte ou d'obtenir le numéro de celle-ci . **********************************************************8 Mais ,depuis un an déja il y a eut pire,et ceci est répertorier sur le site de l'Université de Cambridge : http://www.cl.cam.ac.uk/TechReports/ Decimalisation table attacks for PIN cracking par Mike Bond, Piotr Zielinski,fichier en PDF (0.2 MB) Ça dit que plusieurs personnes se sont fait vidées partiellement leurs comptes de cartes de crédits ou débits(ATM). Les Banques ont rejettées la faute au laisser-aller des utilisateurs et dit que même si un criminel réussissait a copier le contenu de la bande magnétique d'la carte par un POS piraté sans avoir le code secret ont ne peut utiliser la carte de façon frauduleuse. Ces victimes en Angleterre, sont aller en justice contre Diner/Citybank pour démontrer que ce n'est pas impossible d'obtenir le code secret d'une carte ATM .Ils ont demander aux département de sécurité informatique et de cryptographie du "Computer Laboratory de l'University of Cambridge", de pondre un rapport sur la vulnérabilité du code pin secret d'une carte de crédit et ce en seulement 10 essais. C'est que la technologie utilisée était un système IBM 3624 implémenté par la Citybank,datant de 1980.Le problême est la!!! Ses vulnérabilités sont mises en évidence par 3 algorithmes dont le meilleur est capable de trouver un code secret au bout d'une dizaines d'essais ,face aux 5000 essais par attaque a force brute. Le code secret ,appelé aussi PIN , des cartes ATM et de crédits est de 4 chiffres. Les caractères numériques prévus sont de 10 chiffres (0 a 9)pour 10 exposant 4 : soit 10,000 combinaisons pour en avoir une de valide.Il faut detenir la moitié des combinaisons c.a.d. 5000 pour avoir 50% de probabilité de le trouver.En exécutant l'encrypted_pin_verify ,Mike Bond Étudiant de Cambridge , exploita la vulnérabilité des 4 premier chiffres cryptés d'une carte de crédit.
Ex. :
Pour un numéro fictif de carte 4556 2385 7753 2239
il sera crypté avec l'algorithme DES en 3F7C 2201 00CA 8AB3
si les 4 premier chiffres cryptés sont: 3F7C
Selon le tableau de conversion décimale: 0-1-2-3-4-5-6-7-8-9-A-B-C-D-E-F 0-1-2-3-4-5-6-7-8-9-0-1-2-3-4-5
le numéro 3F7C peut être aussi valable que le le numéro 3F72 ou le 3572
Donc,en envoyant un code PIN de valeur (****censuré)au HSM (Hardware security module),en seulement 10 essais il a pu trouver si les 10 chiffres décimaux a l'intérieur du code PIN de la carte sont présents. La Citybank s'est trouvée prise au dépourvu et réclama a la haute cours anglaise que les documents de M.Bond de Cambridge ne soient pas divulgués.Et que son système inadapté remontant au années 1980 soit révisé tout simplement. http://www.ftp.cl.cam.ac.uk/ftp/users/r ... _order.pdf La haute cours n'a pas pensé aux citoyens anglais qui confient leurs épargnes a la Citybank?Puisque les criminels connaissent déja probablement leur vulnérabilité,ceux qui resteraient dans l'obscurité du problême seraient seulement les citoyens fraudés incapables de démontrer devant une cours comment leur code PIN jalousement gardé a été utilisé. Source: H-magazine Solution: Devener un Human Firewall,en attendant que les systèmes de sécurité des Cartes Bancaire deviennent plus sécure !
Oui,et qui qui payera les $ 139 Millions.......C'est nous $$
La collecte d'info personnel va plus loin dans le cas des Taupes de la SAAQ,Raymond Turgeon écope cinq ans de pénitencier alors que sa complice, Ginette Martineau, est condamnée à trois ans de réclusion. Ils ont plaidé coupable à 25 accusations d'utilisation frauduleuse de renseignements confidentiels, alors qu'ils étaient à l'emploi d'un mandataire de la SAAQ dans l'est de Montréal. Et aussi ,le vol d'ordinateurs de l'Agence des douanes et du revenu du Canada (ADRC). Un des ordinateurs contenait des renseignements qui ont trait à des particuliers et des entreprises du domaine de la construction; il s'agit de noms, d'adresses et de numéros d'entreprise d'entrepreneurs et de sous-traitants. Certains dossiers contenaient aussi des numéros d'assurance sociale de particuliers. Et aux USA ;Ainsi, on apprend qu'au moins 595 ordinateurs portables et de bureau, appartenant au Navy's Pacific Command à Hawaï étaient potentiellement perdus ou compromis. Le rapport fait état de l'inaptitude du service à comptabiliser des centaines d'ordinateurs, dont certains contiennent des documents classifiés. Ainsi, on apprend qu'au moins 595 ordinateurs portables et de bureau, appartenant au Navy's Pacific Command à Hawaï étaient potentiellement perdus ou compromis. Le rapport fait état de l'inaptitude du service à comptabiliser des centaines d'ordinateurs, dont certains contiennent des documents classifiés. Deux ordinateurs portables, contenant des informations «top secret» sont disparus d'un site compartimenté d'informations classifiées (Sensitive Compartmented Information Facility) opéré par le U.S. Central Command à la base aérienne MacDill, à Tampa, en Floride. Ironiquement, la seule raison pour laquelle on a découvert la disparition de ces deux ordinateurs est que le secrétaire à la défense Donald Rumsfeld a ordonné aux enquêteurs de découvrir comment il y avait eu fuite de renseignements concernant des plans d'invasion de l'Iraq! le ministère de la justice à reconnu ne pas pouvoir retracer 400 ordinateurs portables et 775 armes appartenant au FBI et au Drug Enforcement Agency. De plus, il était alors impossible d'établir le niveau de classification de 317 ordinateurs appartenant au FBI. Comme quoi le gouvernement américain semble plus en mesure de déterminer les équipements que possède l'Iraq que ses propres forces sur le territoire américain…
Bientôt,les cartes de débits et crédits avec puces.................Wow,j'espère que ça va être plus sécure, pour nous!
samedi 29 mars 2008
Création de batch file
Quelques informations indispensablesMalheureusement, la majorité des sources intéressantes qui pourront vous aider à approfondir les techniques de la programmation Batch sont souvent en anglais..."Xset" est un outil indispensable pour appendre à écrire des fichiers Batch sous toutes les versions de Windows. De plus, Marc Stern propose de nombreux didacticiels à partir de son site Internet : http://xset.tripod.com/.Jerold Schulman qui m'a autorisé à citer quelques-uns de ces scripts anime un site Internet qui propose d'innombrables pages sur la programmation Batch : http://www.jsiinc.com/. C'est, par ailleurs, un des meilleurs sites traitant des systèmes NT de Windows.D'excellents scripts sont également visibles à partir de cette adresse : www.uwasa.fi/~ts/http/http2.html#batch. Timo Salmi propose une multitude de solutions permettant de résoudre les problèmes les plus courants quand on commence à se lancer dans la programmation Batch.Ritchie Lawrence met en lignes de nombreux modèles de scripts et propose quelques utilitaires fort bien faits qui vous permettront de réaliser des choses étonnantes en mode Ms-Dos ou en Invite de commandes. L'adresse de son site est la suivante : http://www.commandline.co.uk/index.html.Enfin, une source inépuisable de trouvailles sont proposées à partir de ce forum recouvrant une multitude de thématiques dont Ms-Dos et l'Invite de commandes : http://www.experts-exchange.com/Operating_Systems/MSDOS.
La plupart des exemples de scripts expliqués dans ce chapitre s'inspirent directement ou indirectement des techniques présentées par ces différents auteurs.
Créer un fichier Batch
Le terme "Batch" désigne un fichier contenant une suite de commandes qui seront traitées automatiquement. Nous appelons aussi cela un "traitement par lot". Afin de créer votre premier fichier Batch suivez cette procédure :1) Ouvrez un éditeur de texte : le Bloc-notes par exemple.2) Inscrivez vos lignes de commandes.3) Enregistrez votre fichier texte.4) Cliquez sur le nom du fichier puis appuyez sur la touche F2.Vous serez en mode "Édition".5) Renommez le fichier en changeant l'extension .txt en .bat.À la question : "Voulez-vous vraiment renommer le fichier", répondez par Oui.Attention de désactiver au préalable la case "Masquer les extensions de fichiers dont le type est connu" dans les options avancés de l'Explorateur Windows.
Quelle différence entre l'extension .cmd .btm et .bat ?Un fichier .cmd ou .btm ne sera pas reconnu en tant que tel par Windows 9X. Nous pouvons voir cela comme une sorte de garde-fou si tel fichier de commande est parfaitement incompatible avec ces versions de Windows. Par ailleurs, le processus est légèrement différent :Dans le cas d'un fichier .bat ou .cmd, chaque ligne du fichier est exécutée individuellement et le fichier fermé puis ouvert à chaque lecture d'une nouvelle commande. Dans le cas d'un fichier .btm, le fichier n'est ouvert qu'une fois, puis lu en mémoire et enfin fermé. C'est donc a priori le mode le plus rapide. surtout si ce sont des commandes internes qui sont exécutées.
Savoir se servir de la commande EchoDans un nouveau fichier Batch, copiez ce contenu :
echo La commande Echo est active
@echo
date /t
echo off
date /t
@echo off
date /t
L'utilisation de l'arobase permet de biffer le statut de la commande "Echo".Par ailleurs, la commande "Echo off" évite l'affichage des commandes contenues dans le script.
Se servir des parenthèses dans les fichiers de scriptsSi vous souhaitez rediriger le résultat de différentes commandes dans un même fichier texte. Par exemple :
dir /s /b *.doc >> résultat.txt
dir /b *.dot >> résultat.txt
etc.
Il est dans ce cas plus simple de saisir :
(
dir /s /b *.doc
dir /s /b *.dot
) >> résultat.txt
Cela vous évitera de spécifier plusieurs fois le même fichier de sortie. Par ailleurs, c'est une manière de créer de toutes pièces un fichier texte :
@echo off
(
@echo Bonjour,
@echo Tout le monde !
) > test.txt
Dans ce dernier cas, les commandes sont regroupées.Faire des remarquesLa commande "Rem" vous permet d'insérer des commentaires ou de désactiver temporairement des commandes inclues dans votre fichier batch. Ce n'est pas tout à fait vrai. La commande rem echo quelque chose > Sortie.txt ne fait qu'envoyer rien au fichier Sortie.txt. La commande est donc exécutée mais en mode "désactivé". Une sorte de coup à blanc... Pour les amoureux de la performance il est donc plus judicieux d'utiliser :: plutôt que Rem. Les deux points étant considéré comme l'indication d'une étiquette la commande ne sera pas exécutée. À titre de test saisissez tour à tour ces deux commandes :
rem echo A
:: echo B
La seconde commande provoque un retour chariot et non un saut de ligne.Dans un fichier Config.sys il est possible de désactiver une commande en utilisant un point virgule : ;connexion=c:\dos\ramdrive.sys
Afficher le code de sortieÀ chaque fois que vous saisissez une commande, cette dernière produit un code de sortie qui sont principalement les suivants :1 : la commande a renvoyé une erreur0 : la commande n'a pas renvoyé d'erreur.C'est la variable %Errorlevel% qui est chargée de suivre les fluctuations de la réussite ou non des commandes exécutées.Information : La commande "Set" teste les "Errorlevel" en partant de la plus petite valeur puis en procédant par incrémentation de 1. La commande "Goto" démarre de la plus grande valeur puis procède par décrémentation de 1.
Se servir des étiquettesLa commande "Goto" vous permet d'atteindre un point précis de votre script. La commande spécifiée doit porter un titre que nous appelons une étiquette. Cette ligne de titre commence obligatoirement par deux points. Nous sommes obligés d'anticiper quelque peu sur l'explication des conditions car c'est une des utilisations privilégiées des étiquettes. Dans un nouveau fichier Batch copiez ce contenu :
@echo off
dir *.doc
if not errorlevel 1 goto Fin else if goto Avertissement
:Avertissement
echo Aucun fichier .doc !
:Fin
La variable %Errolevel% nous permet de saisir si la commande "Dir" a renvoyé une valeur 1 ("Échec") ou 0 ("Opération réussie"). Si au moins un fichier .doc est trouvé nous allons directement à l'étiquette :Fin. Ou, plus exactement si la sortie d'erreur n'est pas 1 ("Échec"), alors il faut se rendre à l'étiquette :Fin. Sinon (else if) nous nous rendrons à l'étiquette :Avertissement. Si nous rajoutons une commande à la suite de l'étiquette :Fin, cette dernière sera automatiquement exécutée même si la condition n'est pas remplie. Afin d'éviter cela, il nous faut nous servir d'une étiquette spéciale : goto:eof. Notre fichier script devient alors :
@echo off
dir *.doc
if not errorlevel 1 goto Fin else if goto Avertissement
:Avertissement
echo Aucun fichier .doc ! & goto:eof
:Fin
echo Processus fini !
Dans ce dernier cas, la commande goto:eof nous permet d'effectuer une césure dans le script. Cela revient à dire : "Affiche le message 'Aucun fichier .doc !' puis ne fait plus rien". En termes savants, puisque nous ne définissons pas d'étiquette, nous transférons le contrôle à la fin du script en cours.
http://www.hotline-pc.org/batch.htm
La plupart des exemples de scripts expliqués dans ce chapitre s'inspirent directement ou indirectement des techniques présentées par ces différents auteurs.
Créer un fichier Batch
Le terme "Batch" désigne un fichier contenant une suite de commandes qui seront traitées automatiquement. Nous appelons aussi cela un "traitement par lot". Afin de créer votre premier fichier Batch suivez cette procédure :1) Ouvrez un éditeur de texte : le Bloc-notes par exemple.2) Inscrivez vos lignes de commandes.3) Enregistrez votre fichier texte.4) Cliquez sur le nom du fichier puis appuyez sur la touche F2.Vous serez en mode "Édition".5) Renommez le fichier en changeant l'extension .txt en .bat.À la question : "Voulez-vous vraiment renommer le fichier", répondez par Oui.Attention de désactiver au préalable la case "Masquer les extensions de fichiers dont le type est connu" dans les options avancés de l'Explorateur Windows.
Quelle différence entre l'extension .cmd .btm et .bat ?Un fichier .cmd ou .btm ne sera pas reconnu en tant que tel par Windows 9X. Nous pouvons voir cela comme une sorte de garde-fou si tel fichier de commande est parfaitement incompatible avec ces versions de Windows. Par ailleurs, le processus est légèrement différent :Dans le cas d'un fichier .bat ou .cmd, chaque ligne du fichier est exécutée individuellement et le fichier fermé puis ouvert à chaque lecture d'une nouvelle commande. Dans le cas d'un fichier .btm, le fichier n'est ouvert qu'une fois, puis lu en mémoire et enfin fermé. C'est donc a priori le mode le plus rapide. surtout si ce sont des commandes internes qui sont exécutées.
Savoir se servir de la commande EchoDans un nouveau fichier Batch, copiez ce contenu :
echo La commande Echo est active
@echo
date /t
echo off
date /t
@echo off
date /t
L'utilisation de l'arobase permet de biffer le statut de la commande "Echo".Par ailleurs, la commande "Echo off" évite l'affichage des commandes contenues dans le script.
Se servir des parenthèses dans les fichiers de scriptsSi vous souhaitez rediriger le résultat de différentes commandes dans un même fichier texte. Par exemple :
dir /s /b *.doc >> résultat.txt
dir /b *.dot >> résultat.txt
etc.
Il est dans ce cas plus simple de saisir :
(
dir /s /b *.doc
dir /s /b *.dot
) >> résultat.txt
Cela vous évitera de spécifier plusieurs fois le même fichier de sortie. Par ailleurs, c'est une manière de créer de toutes pièces un fichier texte :
@echo off
(
@echo Bonjour,
@echo Tout le monde !
) > test.txt
Dans ce dernier cas, les commandes sont regroupées.Faire des remarquesLa commande "Rem" vous permet d'insérer des commentaires ou de désactiver temporairement des commandes inclues dans votre fichier batch. Ce n'est pas tout à fait vrai. La commande rem echo quelque chose > Sortie.txt ne fait qu'envoyer rien au fichier Sortie.txt. La commande est donc exécutée mais en mode "désactivé". Une sorte de coup à blanc... Pour les amoureux de la performance il est donc plus judicieux d'utiliser :: plutôt que Rem. Les deux points étant considéré comme l'indication d'une étiquette la commande ne sera pas exécutée. À titre de test saisissez tour à tour ces deux commandes :
rem echo A
:: echo B
La seconde commande provoque un retour chariot et non un saut de ligne.Dans un fichier Config.sys il est possible de désactiver une commande en utilisant un point virgule : ;connexion=c:\dos\ramdrive.sys
Afficher le code de sortieÀ chaque fois que vous saisissez une commande, cette dernière produit un code de sortie qui sont principalement les suivants :1 : la commande a renvoyé une erreur0 : la commande n'a pas renvoyé d'erreur.C'est la variable %Errorlevel% qui est chargée de suivre les fluctuations de la réussite ou non des commandes exécutées.Information : La commande "Set" teste les "Errorlevel" en partant de la plus petite valeur puis en procédant par incrémentation de 1. La commande "Goto" démarre de la plus grande valeur puis procède par décrémentation de 1.
Se servir des étiquettesLa commande "Goto" vous permet d'atteindre un point précis de votre script. La commande spécifiée doit porter un titre que nous appelons une étiquette. Cette ligne de titre commence obligatoirement par deux points. Nous sommes obligés d'anticiper quelque peu sur l'explication des conditions car c'est une des utilisations privilégiées des étiquettes. Dans un nouveau fichier Batch copiez ce contenu :
@echo off
dir *.doc
if not errorlevel 1 goto Fin else if goto Avertissement
:Avertissement
echo Aucun fichier .doc !
:Fin
La variable %Errolevel% nous permet de saisir si la commande "Dir" a renvoyé une valeur 1 ("Échec") ou 0 ("Opération réussie"). Si au moins un fichier .doc est trouvé nous allons directement à l'étiquette :Fin. Ou, plus exactement si la sortie d'erreur n'est pas 1 ("Échec"), alors il faut se rendre à l'étiquette :Fin. Sinon (else if) nous nous rendrons à l'étiquette :Avertissement. Si nous rajoutons une commande à la suite de l'étiquette :Fin, cette dernière sera automatiquement exécutée même si la condition n'est pas remplie. Afin d'éviter cela, il nous faut nous servir d'une étiquette spéciale : goto:eof. Notre fichier script devient alors :
@echo off
dir *.doc
if not errorlevel 1 goto Fin else if goto Avertissement
:Avertissement
echo Aucun fichier .doc ! & goto:eof
:Fin
echo Processus fini !
Dans ce dernier cas, la commande goto:eof nous permet d'effectuer une césure dans le script. Cela revient à dire : "Affiche le message 'Aucun fichier .doc !' puis ne fait plus rien". En termes savants, puisque nous ne définissons pas d'étiquette, nous transférons le contrôle à la fin du script en cours.
http://www.hotline-pc.org/batch.htm
Les BATCHS Files
Les commandes sont ici.
En informatique, un traitement par lots (batch processing en anglais)
Un exemple pour vider un dossier temp de win XP-2000-NT-98SE-95 ...
@echo on
cd %homedrive%%homepath%
rd /s/q locals~1\tempor~1
rd /s/q locals~1\temp\tempor~1
rd /s/q cookies
rd /s/q temp\cookies
rd /s/q locals~1\history
rd /s/q locals~1\temp\history
rd /s/q recent
md recent
rd /s/q locals~1\temp
md locals~1\temp
Le sigle % = (les caractères % permettent de spécifier à l'invite de commandes qu'il s'agit d'une variable d'environnement dont nous voulons obtenir la valeur). La commande RD (ou RMDIR)pour Remove Directory avec l’option /S va supprimer tous les répertoires et fichiers du répertoire spécifié en plus du répertoire lui-même. L’option /Q (pour Quiet) active le mode silencieux, c'est-à-dire qu’il n’y a pas de confirmation demandée lors de la suppression. Et , HOMEDRIVE : disque local primaire (partition système). HOMEPATH : dossier par défaut pour les utilisateurs. Le reste c'est les dossiers de windows xp.
Cmd.exe
Sur le système d'exploitation Windows NT, un fichier batch est un fichier texte contenant une série de commandes (Voir interpréteur de commandes). Quand le fichier batch est lancé, de la même manière (d'un point de vue utilisateur) qu'un exécutable ordinaire, les commandes du fichier sont exécutées dans l'ordre. Un fichier batch est l'équivalent d'un script shell sous Unix ou cygwin.
Les fichiers batch du Windows NT sont les fichiers dotés de l’extension .BAT ou .CMD. Leur syntaxe est héritée de COMMAND.COM de MS-DOS, mais est nettement plus puissante.
Le comportement par défaut de cmd.exe est d'afficher chaque commande sur la sortie standard avant de l'exécuter. C'est souvent non désiré, la commande ECHO OFF est souvent donnée au début d'un fichier batch. Cmd.exe interprète également le @, préfixé à la commande, pour empêcher une seule commande de s'afficher. De ce fait, beaucoup de fichiers batch commencent par la ligne @ECHO OFF.
Histoire et évolutions
La programmation des fichiers scripts sous les systèmes d'exploitation Microsoft a beaucoup évolué. Au départ, simple suites de commande sous les premières versions de MS-DOS, il permet un peu de programmation dans les versions livrées avec Windows 2000 et Windows XP.
Il existe deux modes d'exécution :
Un mode interactif
Un mode exécution de scripts
Dans le mode interactif, l'utilisateur tape les commandes qui sont exécutées immédiatement. Le mode script exécute une séquence de commandes définies dans un fichier batch.
À l'origine, le système MS-DOS fournit un interpréteur : command.com. Les programmes batch pour MS-DOS sont composés d'un ensemble relativement simple d'ensemble de commandes interprétées directement par command.com (commande interne) et des utilitaires qui existent en tant qu'exécutables séparés (commande externe).
Il existe des interpréteurs de commande plus évolués fournis par d'autres sociétés. Le plus connus est l'interpréteur 4DOS (ou 4NT sous Windows NT) de la société JP Soft.
Le système d'exploitation OS/2 comprend également un interpréteur de commande cmd.exe apparenté à celui de Windows NT.
Microsoft semble avoir abandonné les améliorations des fichiers batch pour se concentrer sur les scripts en VBScript ou Jscript permettant une programmation plus structurée et cohérentes avec les langages de macros de la suite Microsoft Office.
Commandes internes
On peut obtenir de l'aide sur toutes les commandes en tapant leur nom suivi de /? :
C:\>echo /?
Affiche des messages ou active/désactive l'affichage des commandes.
ECHO [ON OFF]
ECHO [message]
ECHO sans paramètres affiche l'état en cours de la commande.
* ECHO
Affiche une chaîne sur la sortie. Permet également d'autoriser ou d'interdire l'affichage des commandes sur la sortie standard par les commandes ECHO ON et ECHO OFF
* REM ou ::
Commentaire.
* SET
Sert à modifier des variables d'environnement. Équivalent de set et export sous bash
* FOR
Sorte de for. On peut grouper plusieurs commandes à l'aide de parenthèses. Par exemple :
for %x in (*.c) do (
echo copie de %x
copy %x c:\sos\
)
Cette commande a de nombreuses options la rendant beaucoup plus puissante que sa version MS-DOS.
* SHIFT
Décale les arguments. Équivalent du shift de bash.
* GOTO
Dirige cmd.exe sur une ligne étiquetée dans le programme de commandes. Les étiquettes sont sur un lignes précédées du caractère ":". Hérité des premières versions de COMMAND.COM qui ne permettaient pas beaucoup de structuration.
* IF
Le if connu de tous les programmeurs.
* ERRORLEVEL
Utilisé avec IF, teste si la valeur de retour d'un programme atteint ou dépasse une erreur donnée. Equivalent du $? de bash. Par exemple:
IF ERRORLEVEL 6 GOTO label
Continuera l'exécution à l'étiquette label si le dernier programme exécuté a retourné une valeur supérieure ou égale à 6.
* CALL
Appelle un autre programme batch. En effet l'appel simple à un fichier batch provoquera l'enchaînement du fichier sans retour possible vers le fichier appelant.
Permet également d'appeler une fonction (matérialisée par un label (:) et un retour au programme principal par GOTO :EOF)
Exemple d'appel de fonction avec un argument :
@ECHO OFF
ECHO "Avant fonction1"
CALL:fonction1 arg1
ECHO "Apres fonction1"
REM Sortie du programme
GOTO:EOF
:fonction1
ECHO "Fonction1 avec argument: %1"
REM Sortie de la fonction
GOTO:EOF
* START
Démarre une nouvelle fenêtre pour exécuter le programme ou la commande donné. Par exemple
start netscape
permet de démarrer la commande "netscape" dans une nouvelle fenêtre sans attendre la fin de son exécution. Il existe de nombreuses options.
Exemple
:: Start Vim on a copy of the tutor file.
@echo off
:: Usage: vimtutor [-console] [xx]
::
:: -console means gvim will not be used
:: xx is a language code like "es" or "nl".
:: When an xx argument is given, it tries loading that tutor.
:: When this fails or no xx argument was given, it tries using 'v:lang'
:: When that also fails, it uses the English version.
:: Use Vim to copy the tutor, it knows the value of $VIMRUNTIME
FOR %%d in (. %TMP% %TEMP%) DO IF EXIST %%d
ul SET TUTORCOPY=%%d\$tutor$
SET xx=%1
IF NOT .%1==.-console GOTO use_gui
SHIFT
SET xx=%1
GOTO use_vim
:use_gui
:: Try making a copy of tutor with gvim. If gvim cannot be found, try using
:: vim instead. If vim cannot be found, alert user to check environment and
:: installation.
:: The script tutor.vim tells Vim which file to copy.
:: For Windows NT "start" works a bit differently.
IF .%OS%==.Windows_NT GOTO ntaction
start /w gvim -u NONE -c "so $VIMRUNTIME/tutor/tutor.vim"
IF ERRORLEVEL 1 GOTO use_vim
:: Start gvim without any .vimrc, set 'nocompatible'
start /w gvim -u NONE -c "set nocp" %TUTORCOPY%
Ref
En informatique, un traitement par lots (batch processing en anglais)
Un exemple pour vider un dossier temp de win XP-2000-NT-98SE-95 ...
@echo on
cd %homedrive%%homepath%
rd /s/q locals~1\tempor~1
rd /s/q locals~1\temp\tempor~1
rd /s/q cookies
rd /s/q temp\cookies
rd /s/q locals~1\history
rd /s/q locals~1\temp\history
rd /s/q recent
md recent
rd /s/q locals~1\temp
md locals~1\temp
Le sigle % = (les caractères % permettent de spécifier à l'invite de commandes qu'il s'agit d'une variable d'environnement dont nous voulons obtenir la valeur). La commande RD (ou RMDIR)pour Remove Directory avec l’option /S va supprimer tous les répertoires et fichiers du répertoire spécifié en plus du répertoire lui-même. L’option /Q (pour Quiet) active le mode silencieux, c'est-à-dire qu’il n’y a pas de confirmation demandée lors de la suppression. Et , HOMEDRIVE : disque local primaire (partition système). HOMEPATH : dossier par défaut pour les utilisateurs. Le reste c'est les dossiers de windows xp.
Cmd.exe
Sur le système d'exploitation Windows NT, un fichier batch est un fichier texte contenant une série de commandes (Voir interpréteur de commandes). Quand le fichier batch est lancé, de la même manière (d'un point de vue utilisateur) qu'un exécutable ordinaire, les commandes du fichier sont exécutées dans l'ordre. Un fichier batch est l'équivalent d'un script shell sous Unix ou cygwin.
Les fichiers batch du Windows NT sont les fichiers dotés de l’extension .BAT ou .CMD. Leur syntaxe est héritée de COMMAND.COM de MS-DOS, mais est nettement plus puissante.
Le comportement par défaut de cmd.exe est d'afficher chaque commande sur la sortie standard avant de l'exécuter. C'est souvent non désiré, la commande ECHO OFF est souvent donnée au début d'un fichier batch. Cmd.exe interprète également le @, préfixé à la commande, pour empêcher une seule commande de s'afficher. De ce fait, beaucoup de fichiers batch commencent par la ligne @ECHO OFF.
Histoire et évolutions
La programmation des fichiers scripts sous les systèmes d'exploitation Microsoft a beaucoup évolué. Au départ, simple suites de commande sous les premières versions de MS-DOS, il permet un peu de programmation dans les versions livrées avec Windows 2000 et Windows XP.
Il existe deux modes d'exécution :
Un mode interactif
Un mode exécution de scripts
Dans le mode interactif, l'utilisateur tape les commandes qui sont exécutées immédiatement. Le mode script exécute une séquence de commandes définies dans un fichier batch.
À l'origine, le système MS-DOS fournit un interpréteur : command.com. Les programmes batch pour MS-DOS sont composés d'un ensemble relativement simple d'ensemble de commandes interprétées directement par command.com (commande interne) et des utilitaires qui existent en tant qu'exécutables séparés (commande externe).
Il existe des interpréteurs de commande plus évolués fournis par d'autres sociétés. Le plus connus est l'interpréteur 4DOS (ou 4NT sous Windows NT) de la société JP Soft.
Le système d'exploitation OS/2 comprend également un interpréteur de commande cmd.exe apparenté à celui de Windows NT.
Microsoft semble avoir abandonné les améliorations des fichiers batch pour se concentrer sur les scripts en VBScript ou Jscript permettant une programmation plus structurée et cohérentes avec les langages de macros de la suite Microsoft Office.
Commandes internes
On peut obtenir de l'aide sur toutes les commandes en tapant leur nom suivi de /? :
C:\>echo /?
Affiche des messages ou active/désactive l'affichage des commandes.
ECHO [ON OFF]
ECHO [message]
ECHO sans paramètres affiche l'état en cours de la commande.
* ECHO
Affiche une chaîne sur la sortie. Permet également d'autoriser ou d'interdire l'affichage des commandes sur la sortie standard par les commandes ECHO ON et ECHO OFF
* REM ou ::
Commentaire.
* SET
Sert à modifier des variables d'environnement. Équivalent de set et export sous bash
* FOR
Sorte de for. On peut grouper plusieurs commandes à l'aide de parenthèses. Par exemple :
for %x in (*.c) do (
echo copie de %x
copy %x c:\sos\
)
Cette commande a de nombreuses options la rendant beaucoup plus puissante que sa version MS-DOS.
* SHIFT
Décale les arguments. Équivalent du shift de bash.
* GOTO
Dirige cmd.exe sur une ligne étiquetée dans le programme de commandes. Les étiquettes sont sur un lignes précédées du caractère ":". Hérité des premières versions de COMMAND.COM qui ne permettaient pas beaucoup de structuration.
* IF
Le if connu de tous les programmeurs.
* ERRORLEVEL
Utilisé avec IF, teste si la valeur de retour d'un programme atteint ou dépasse une erreur donnée. Equivalent du $? de bash. Par exemple:
IF ERRORLEVEL 6 GOTO label
Continuera l'exécution à l'étiquette label si le dernier programme exécuté a retourné une valeur supérieure ou égale à 6.
* CALL
Appelle un autre programme batch. En effet l'appel simple à un fichier batch provoquera l'enchaînement du fichier sans retour possible vers le fichier appelant.
Permet également d'appeler une fonction (matérialisée par un label (:) et un retour au programme principal par GOTO :EOF)
Exemple d'appel de fonction avec un argument :
@ECHO OFF
ECHO "Avant fonction1"
CALL:fonction1 arg1
ECHO "Apres fonction1"
REM Sortie du programme
GOTO:EOF
:fonction1
ECHO "Fonction1 avec argument: %1"
REM Sortie de la fonction
GOTO:EOF
* START
Démarre une nouvelle fenêtre pour exécuter le programme ou la commande donné. Par exemple
start netscape
permet de démarrer la commande "netscape" dans une nouvelle fenêtre sans attendre la fin de son exécution. Il existe de nombreuses options.
Exemple
:: Start Vim on a copy of the tutor file.
@echo off
:: Usage: vimtutor [-console] [xx]
::
:: -console means gvim will not be used
:: xx is a language code like "es" or "nl".
:: When an xx argument is given, it tries loading that tutor.
:: When this fails or no xx argument was given, it tries using 'v:lang'
:: When that also fails, it uses the English version.
:: Use Vim to copy the tutor, it knows the value of $VIMRUNTIME
FOR %%d in (. %TMP% %TEMP%) DO IF EXIST %%d
ul SET TUTORCOPY=%%d\$tutor$
SET xx=%1
IF NOT .%1==.-console GOTO use_gui
SHIFT
SET xx=%1
GOTO use_vim
:use_gui
:: Try making a copy of tutor with gvim. If gvim cannot be found, try using
:: vim instead. If vim cannot be found, alert user to check environment and
:: installation.
:: The script tutor.vim tells Vim which file to copy.
:: For Windows NT "start" works a bit differently.
IF .%OS%==.Windows_NT GOTO ntaction
start /w gvim -u NONE -c "so $VIMRUNTIME/tutor/tutor.vim"
IF ERRORLEVEL 1 GOTO use_vim
:: Start gvim without any .vimrc, set 'nocompatible'
start /w gvim -u NONE -c "set nocp" %TUTORCOPY%
Ref
N'importe quel des 65 535 ports, est un port dont peut se servir un Hacker
La plupart des trojans se configurent sur n'importe quel port (même le 80). C'est pas pour rien qu'une cie doit impérativement avoir un IDS en plus du firewall car même pour le peu de port qu'elle a d'ouvert (disons ftp, telnet, web, ssl, https, gre, pop et smtp), il y a des chances d'attaques.
Le protocole réseau principalement utilisé de nos jours : IP fonctionne de manière telle que ce sont les programmes qui écoutent sur les ports. Il reçoivent donc les messages de cette façon. Lorsqu'on veut tester la sécurité d'un système, on regarde quels ports sont accessibles de l'extérieur, ou de la zone non-sécurisée. Ensuite on vérifie si les programmes qui écoutent sur ces ports sont sécuritaires et ne possèdes pas de faille de sécurité connue et exploitable. On peut donc se considéré en sécurité si ces conditions sont respectées et que nos mots de passe sont assez complexes et bien chiffrés. Un firewall permet de contrôler l'accès aux ports d'un système. Il peut bloquer complètement l'accès ou permet l'accès à des ports spécifiques, ce qui équivaut à donner accès à des programmes précit. Afin de m'assurer de la sécurité sur mon serveur Linux, je lance la commande "netstat -an" (qu'on peut d'ailleurs aussi effectuer sous Windows) et je regarde les lignes de type LISTEN ou Idle elles représentent les ports ouverts. Je m'assure donc que les deamons ou programmes associés à ces ports soient sécuritaires.
http://www.hsc.fr/ressources/breves/min_srv_res_win.html
http://www.devicelock.com/freeware.html
Y en n'a plusieurs Port Number(U=udp;les autres TCP-IP) / Hacker Programs : 5 Midnight Commander 21 Doly Trojan 25 AntiGen, Email Password Attacks 80 Executer 109 Sekure SDI, b00ger 137 NetBios exploits 555 phAse zero, Stealth Spy 1001 SK Silencer 1011 Doly Trojan 1234 Ultor's Trojan 1243 Sub-7 1245 VooDoo Doll 1807 SpySender 1981 ShockRave 1999 BackDoor 2001 The Trojan Cow 2023 Ripper Pro, HackCity 2140 Deep Throat, The Invasor 2801 Phineas Phucker 3024 WinCrash 3129 Master Paradise 3150 DeepThroat, The Invaser 4092 WinCrash 4950 ICQ Trojan 5321 BackDoorz, Firehotchker 5568 Robo-Hack 5714 WinCrash 5741 WinCrash 5742 WinCrash 6006 Bad Blood 6670 DeepThroat 6711 Sub-7, DeepThroat 6969 GateCrasher 9989 Ini-Killer 10167 U Portal of Doom 10529 Acid Shivers 10666 U Ambush 12345 GirlFriend 19932 DropChute 21544 NetBus 23456 EvilFtp, UglyFtp 26274 Delta Source 27374 Sub-7 30100 NetSphere 31789 Hack'a'Tack 31337 U BackOrifice 31338 NetSpy 31339 NetSpy 34324 Big Gluck, TN 40412 The Spy 47262 Delta Source 50505 Sockets de Troie 50766 Fore 53001 Remote Windows Shutdown 60000 DeepThroat 61466 TeleCommando 65000 Devil 65535 RC1 Trojan * Et lorsque BlackICE Defender(très bon soft) est a jour,il vous indique quels sortes d'attaques se produit sur votre PC.Votre Firewall lui, bloquera les ports ouverts de votre PC.
Attention, le daemon NFS (sous unix,linux)est connu pour permettre à un hacker de parvenir à root ; limitez donc au strict minimum le nombre d'hôtes de confiance pouvant accéder au protocole NFS. crond : Ordonnancement des travaux kswapd : Configuration de la zone swap syslogd : Exécution de l'ouverture de session du système klogd : Exécution de l'ouverture de session du noyau inetd : Exécution de tous les services réseau (super daemon) sendmail : Mise en file d'attente et transmission des messages httpd : Daemon du server Web Apache in.telnetd : Daemon telnet (pour les connexions entrantes) ftpd : Daemon ftp (pour les connexions entrantes) sshd : Deamon Secure Shell (pour les connexions entrantes) popd : Pour les connexions pop3 (accès à un courrier électronique distant) imapd : Pour les connexions IMAO (accès à un courrier électronique distant) ipd : impression réseau named : Server de noms de domaine xntpd : Protocole NTP (Network Time Prtotocol) pppd : Protocole point-to-point rpc.mountd : Montage de système de fichiers distants .
La commande netstat ne liste pas exactement l'état des sockets TCP ou UDP mais reporte en fait l'état des objets de l'interface TDI (Transport Driver Interface) du pilote TCP/IP. Plus précisément, netstat rapporte l'état, dans certains cas, des objets TDI du pilote TCP/IP de type adresse de transport (transport address) et terminaison de connexion (connection endpoint), alors que seuls les terminaisons de connexion correspondent à des sockets (TCP ou UDP). Ce problème se manifeste notamment lorsqu'un système Windows établit une connexion TCP sortante (ouverture active). Dans ce cas, un port TCP local est utilisé comme port source de la connexion TCP établie. Le problème est que la commande netstat affiche ce port source comme étant en écoute sur toutes les interfaces, ce qui peut laisser croire qu'un service TCP est en écoute sur ce port, ce qui n'est pas le cas. Dans l'exemple suivant, la machine locale a établi une connexion TCP du port source 1367 vers le port 22 d'une machine distante. Le résultat de la commande netstat, filtré pour ne contenir que les lignes contenant le numéro de port 1367 est le suivant : C:\WINDOWS>netstat -anp tcp find ":1367" TCP 0.0.0.0:1367 0.0.0.0:0 LISTENING TCP 192.70.106.142:1367 192.70.106.76:22 ESTABLISHED La deuxième ligne montre bien qu'une connexion est établie, du port local 1367 vers le port 22 d'un système distant. En revanche, la première ligne laisse à penser que le port 1367 est en écoute alors qu'il n'en est rien. Ainsi, pour toute connexion sortante établie, une ligne supplémentaire et n'ayant pas lieu d'être apparaît dans la sortie de netstat. Il est donc important de bien faire la différence entre un port réellement ouvert et un port rapporté par erreur par netstat comme étant en écoute. Ce problème a été corrigé dans Windows Server 2003.
Nous dénombrons à l'heure actuelle environ une centaine de systèmes de détections d'intrusions (ou IDS pour Intrusion Détection System), que ce soit des produits commerciaux ou du domaine public. Snort est le système de détection des intrusions open source le plus répandu. Avec plus de 100 000 installations recensées dans le monde, il est devenu l'une des principales applications de sécurité. Snort dispose de fonctionnalités similaires voire meilleures que celles proposées par des systèmes de détection chers et adhère au modèle open source de distribution publique gratuite. Il a ainsi été rapidement accepté dans le monde de l'entreprise comme dans celui de l'environnement domestique. Un IDS ou un NIDS peut être vulnérable! Le fait par exemple de changer le port sur lequel agit un cheval de troie,aussi l ' IP Spoofing font parties des techniques anti-ids. Par les méthodes classiques de scan : les scans furtifs SYN, FIN, XMAS, NULL implémentés par le très connu Nmap(celui qu'ont voient dans le film Matrix) permettent de ne pas etre détectes par les NIDS. Le but du scan SYN par exemple (le plus simple) est de ne pas ouvrir une connexion complètement. Par le flood : tout comme n'importe quel serveur sur Internet, un NIDS peut etre victime de flood, c'est à dire d'un trafic très important. Etant surchargé, il détecte donc peu ou pas d'attaques en conséquence. Par la méthode Decoy de Nmap : le principe est de le surcharger de fausses attaques simultanées (avec de fausses adresses sources) tout en lancant une attaque réelle sur un hote choisi. Elle passera inapercue aux yeux de l'administrateur qui sera occupé à analyser tous les logs. Par fragmentation : le principe est de fragmenter les paquets IP, c'est à dire de les découper en paquets de plus petites tailles pour empecher les NIDS de détecter les attaques (les paquets étant réassemblés au niveau du destinataire). Des scans très lents : le fait de scanner un réseau très lentement, c'est à dire un scan toutes les heures, n'est souvent pas détecté. Les NIDS maintiennent un état de l'information (TCP, IP Fragments, TCP Scan ...) pendant une période bien définie (tout dépend de la mémoire ). Donc si deux scans consécutifs n'appartiennent pas à la meme période, le NIDS peut ne rien détecter. Rain Forest Puppy ou RFP a développé plusieurs techniques anti-IDS au niveau du protocole HTTP qu'il a implémenté dans son scanner cgi Whisker.Encodage : cette technique code les caractères sous la forme hexadécimale. L'URL sera tout de meme comprise par le protocole HTTP. Double slashes : avec cette méthode, notre requete est de la forme '//cgi-bin//script'. Les IDS vérifiant les requetes de la forme '/cgi-bin/script', nous passons au travers de l'IDS. Self-reference directories : une autre technique est de remplacer tous les '/' par '/./'. C'est normal puisque sous Unix par exemple, '/tmp/./././././' est équivalent à '/tmp/'. Notre requete n'est alors pas détectée.Paramètre caché : cette technique est assez simple. Certains IDS cherchent le nom du script avant '?'. Si nous remplacons '?' par sa valeur en ASCII (?), c'est à dire '%3f', l'IDS échoue et la requete est valide. Formatage : le principe est de remplacer les espaces par des tabulations. Longue URL : certains IDS ne regardent que le début d'une URL, il est donc possible de créer une longue URL pour tromper l'IDS Case sensitive : très simple aussi, cette technique consiste à remplacer les minuscules par des majuscules. La requete est toujours valide. Syntaxe de Bill : le principe est d'utiliser la syntaxe Windows/DOS dans les URLs en remplacant certains '/' par '\'. Url coupée : la requete http est coupée en plusieurs paquets TCP. L'url "GET /cgi/bin/phf" deviend par exemple "GET", "/cgi/b", "in/ph" "f HTTP/1.0". Agissant de facon similaire à la fragmentation réseau, notre attaque n'est pas détectée. Filtrage des NOPs Nous savons que les attaques de type buffer overflow utilisent une série de NOP (0x90 sur plate-forme x86). Le principe dans la détection est donc le suivant : il analyse le trafic, regarde s'il voit passer une série de caractères "0x90" et agit en conséquence.Le but ici, est de trouver une instruction équivalente aux NOPs afin de rendre notre attaque indétectable. Il suffit de remplacer 0x90 par 0x41: Pourquoi '0x41' ? Cette instruction '0x41' (équivalente à la lettre 'A' en ascii) représente en assembleur 'inc %ecx' (elle incrémente de 1 la valeur du registre %ecx). Quelque soit la valeur de %ecx, cette instruction n'a aucune importance dans le contexte de l'exploit. Elle a donc les memes avantages que l'instruction NOP : codée sur un octet et ne faisant rien. Il arrive aussi que l'IDS cherche à détecter la chaine de caractères /bin/sh. Pour passer au travers de cette détection, une des methodes est de crypter par un simple XOR cette chaine et le shellcode la décrypte ensuite au moment ou il s'execute. Comme vous avez pu le voir, les systèmes de détection d'intrusions ne sont pas infaillibles. Vous etes alors en train de vous demander quel système peut nous assurer un maximum de sécurité. Il existe une alternative à ces systèmes qui sont les systèmes distribues à tolérance d'intrusions. "De ce que j'ai lu" ; pour etre plus clair, le concept de tolérance d'intrusion peut etre utilisé sur des systèmes distribués de par leur nature à distribuer, répartir de l'information à plusieurs endroits géographiques. Donc, si nous considérons que notre information sensible est répartie sur plusieurs sites, un pirate meme s'il a réussi à s'introduire sur une partie de notre système ne pourra récupérer qu'une partie de l'information sans aucune signification pour lui. Avec la technique de fragmentation-scattering, nous tolérons donc un certain nombre d'intrusions tout en gardant une confidentialité et une integrité de l'information. A cette tolérance d'intrusions, nous ajoutons la tolérance de destruction des informations grace à une redondance des fragments. Plusieurs copies de chaque fragment sont archivées sur plusieurs sites différents. Une disponibilité de l'information est donc assurée. Le domaine des systèmes de détection d'intrusions est un sujet très vaste. Il y a les honey pots aussi, cette nouvelle méthode de détection d'intrusions et du projet Honeynet (http:// project.honeynet.org), de la facon de placer un IDS dans un système d'information en complément du firewall. Toutefois, nous pouvons conclure que les IDS sont loin d'etre infaillibles meme s'ils apportent un complément à la sécurité du système d'information.
GRC.COM est un bon site pour tester les ports
Le protocole réseau principalement utilisé de nos jours : IP fonctionne de manière telle que ce sont les programmes qui écoutent sur les ports. Il reçoivent donc les messages de cette façon. Lorsqu'on veut tester la sécurité d'un système, on regarde quels ports sont accessibles de l'extérieur, ou de la zone non-sécurisée. Ensuite on vérifie si les programmes qui écoutent sur ces ports sont sécuritaires et ne possèdes pas de faille de sécurité connue et exploitable. On peut donc se considéré en sécurité si ces conditions sont respectées et que nos mots de passe sont assez complexes et bien chiffrés. Un firewall permet de contrôler l'accès aux ports d'un système. Il peut bloquer complètement l'accès ou permet l'accès à des ports spécifiques, ce qui équivaut à donner accès à des programmes précit. Afin de m'assurer de la sécurité sur mon serveur Linux, je lance la commande "netstat -an" (qu'on peut d'ailleurs aussi effectuer sous Windows) et je regarde les lignes de type LISTEN ou Idle elles représentent les ports ouverts. Je m'assure donc que les deamons ou programmes associés à ces ports soient sécuritaires.
http://www.hsc.fr/ressources/breves/min_srv_res_win.html
http://www.devicelock.com/freeware.html
Y en n'a plusieurs Port Number(U=udp;les autres TCP-IP) / Hacker Programs : 5 Midnight Commander 21 Doly Trojan 25 AntiGen, Email Password Attacks 80 Executer 109 Sekure SDI, b00ger 137 NetBios exploits 555 phAse zero, Stealth Spy 1001 SK Silencer 1011 Doly Trojan 1234 Ultor's Trojan 1243 Sub-7 1245 VooDoo Doll 1807 SpySender 1981 ShockRave 1999 BackDoor 2001 The Trojan Cow 2023 Ripper Pro, HackCity 2140 Deep Throat, The Invasor 2801 Phineas Phucker 3024 WinCrash 3129 Master Paradise 3150 DeepThroat, The Invaser 4092 WinCrash 4950 ICQ Trojan 5321 BackDoorz, Firehotchker 5568 Robo-Hack 5714 WinCrash 5741 WinCrash 5742 WinCrash 6006 Bad Blood 6670 DeepThroat 6711 Sub-7, DeepThroat 6969 GateCrasher 9989 Ini-Killer 10167 U Portal of Doom 10529 Acid Shivers 10666 U Ambush 12345 GirlFriend 19932 DropChute 21544 NetBus 23456 EvilFtp, UglyFtp 26274 Delta Source 27374 Sub-7 30100 NetSphere 31789 Hack'a'Tack 31337 U BackOrifice 31338 NetSpy 31339 NetSpy 34324 Big Gluck, TN 40412 The Spy 47262 Delta Source 50505 Sockets de Troie 50766 Fore 53001 Remote Windows Shutdown 60000 DeepThroat 61466 TeleCommando 65000 Devil 65535 RC1 Trojan * Et lorsque BlackICE Defender(très bon soft) est a jour,il vous indique quels sortes d'attaques se produit sur votre PC.Votre Firewall lui, bloquera les ports ouverts de votre PC.
Attention, le daemon NFS (sous unix,linux)est connu pour permettre à un hacker de parvenir à root ; limitez donc au strict minimum le nombre d'hôtes de confiance pouvant accéder au protocole NFS. crond : Ordonnancement des travaux kswapd : Configuration de la zone swap syslogd : Exécution de l'ouverture de session du système klogd : Exécution de l'ouverture de session du noyau inetd : Exécution de tous les services réseau (super daemon) sendmail : Mise en file d'attente et transmission des messages httpd : Daemon du server Web Apache in.telnetd : Daemon telnet (pour les connexions entrantes) ftpd : Daemon ftp (pour les connexions entrantes) sshd : Deamon Secure Shell (pour les connexions entrantes) popd : Pour les connexions pop3 (accès à un courrier électronique distant) imapd : Pour les connexions IMAO (accès à un courrier électronique distant) ipd : impression réseau named : Server de noms de domaine xntpd : Protocole NTP (Network Time Prtotocol) pppd : Protocole point-to-point rpc.mountd : Montage de système de fichiers distants .
La commande netstat ne liste pas exactement l'état des sockets TCP ou UDP mais reporte en fait l'état des objets de l'interface TDI (Transport Driver Interface) du pilote TCP/IP. Plus précisément, netstat rapporte l'état, dans certains cas, des objets TDI du pilote TCP/IP de type adresse de transport (transport address) et terminaison de connexion (connection endpoint), alors que seuls les terminaisons de connexion correspondent à des sockets (TCP ou UDP). Ce problème se manifeste notamment lorsqu'un système Windows établit une connexion TCP sortante (ouverture active). Dans ce cas, un port TCP local est utilisé comme port source de la connexion TCP établie. Le problème est que la commande netstat affiche ce port source comme étant en écoute sur toutes les interfaces, ce qui peut laisser croire qu'un service TCP est en écoute sur ce port, ce qui n'est pas le cas. Dans l'exemple suivant, la machine locale a établi une connexion TCP du port source 1367 vers le port 22 d'une machine distante. Le résultat de la commande netstat, filtré pour ne contenir que les lignes contenant le numéro de port 1367 est le suivant : C:\WINDOWS>netstat -anp tcp find ":1367" TCP 0.0.0.0:1367 0.0.0.0:0 LISTENING TCP 192.70.106.142:1367 192.70.106.76:22 ESTABLISHED La deuxième ligne montre bien qu'une connexion est établie, du port local 1367 vers le port 22 d'un système distant. En revanche, la première ligne laisse à penser que le port 1367 est en écoute alors qu'il n'en est rien. Ainsi, pour toute connexion sortante établie, une ligne supplémentaire et n'ayant pas lieu d'être apparaît dans la sortie de netstat. Il est donc important de bien faire la différence entre un port réellement ouvert et un port rapporté par erreur par netstat comme étant en écoute. Ce problème a été corrigé dans Windows Server 2003.
Nous dénombrons à l'heure actuelle environ une centaine de systèmes de détections d'intrusions (ou IDS pour Intrusion Détection System), que ce soit des produits commerciaux ou du domaine public. Snort est le système de détection des intrusions open source le plus répandu. Avec plus de 100 000 installations recensées dans le monde, il est devenu l'une des principales applications de sécurité. Snort dispose de fonctionnalités similaires voire meilleures que celles proposées par des systèmes de détection chers et adhère au modèle open source de distribution publique gratuite. Il a ainsi été rapidement accepté dans le monde de l'entreprise comme dans celui de l'environnement domestique. Un IDS ou un NIDS peut être vulnérable! Le fait par exemple de changer le port sur lequel agit un cheval de troie,aussi l ' IP Spoofing font parties des techniques anti-ids. Par les méthodes classiques de scan : les scans furtifs SYN, FIN, XMAS, NULL implémentés par le très connu Nmap(celui qu'ont voient dans le film Matrix) permettent de ne pas etre détectes par les NIDS. Le but du scan SYN par exemple (le plus simple) est de ne pas ouvrir une connexion complètement. Par le flood : tout comme n'importe quel serveur sur Internet, un NIDS peut etre victime de flood, c'est à dire d'un trafic très important. Etant surchargé, il détecte donc peu ou pas d'attaques en conséquence. Par la méthode Decoy de Nmap : le principe est de le surcharger de fausses attaques simultanées (avec de fausses adresses sources) tout en lancant une attaque réelle sur un hote choisi. Elle passera inapercue aux yeux de l'administrateur qui sera occupé à analyser tous les logs. Par fragmentation : le principe est de fragmenter les paquets IP, c'est à dire de les découper en paquets de plus petites tailles pour empecher les NIDS de détecter les attaques (les paquets étant réassemblés au niveau du destinataire). Des scans très lents : le fait de scanner un réseau très lentement, c'est à dire un scan toutes les heures, n'est souvent pas détecté. Les NIDS maintiennent un état de l'information (TCP, IP Fragments, TCP Scan ...) pendant une période bien définie (tout dépend de la mémoire ). Donc si deux scans consécutifs n'appartiennent pas à la meme période, le NIDS peut ne rien détecter. Rain Forest Puppy ou RFP a développé plusieurs techniques anti-IDS au niveau du protocole HTTP qu'il a implémenté dans son scanner cgi Whisker.Encodage : cette technique code les caractères sous la forme hexadécimale. L'URL sera tout de meme comprise par le protocole HTTP. Double slashes : avec cette méthode, notre requete est de la forme '//cgi-bin//script'. Les IDS vérifiant les requetes de la forme '/cgi-bin/script', nous passons au travers de l'IDS. Self-reference directories : une autre technique est de remplacer tous les '/' par '/./'. C'est normal puisque sous Unix par exemple, '/tmp/./././././' est équivalent à '/tmp/'. Notre requete n'est alors pas détectée.Paramètre caché : cette technique est assez simple. Certains IDS cherchent le nom du script avant '?'. Si nous remplacons '?' par sa valeur en ASCII (?), c'est à dire '%3f', l'IDS échoue et la requete est valide. Formatage : le principe est de remplacer les espaces par des tabulations. Longue URL : certains IDS ne regardent que le début d'une URL, il est donc possible de créer une longue URL pour tromper l'IDS Case sensitive : très simple aussi, cette technique consiste à remplacer les minuscules par des majuscules. La requete est toujours valide. Syntaxe de Bill : le principe est d'utiliser la syntaxe Windows/DOS dans les URLs en remplacant certains '/' par '\'. Url coupée : la requete http est coupée en plusieurs paquets TCP. L'url "GET /cgi/bin/phf" deviend par exemple "GET", "/cgi/b", "in/ph" "f HTTP/1.0". Agissant de facon similaire à la fragmentation réseau, notre attaque n'est pas détectée. Filtrage des NOPs Nous savons que les attaques de type buffer overflow utilisent une série de NOP (0x90 sur plate-forme x86). Le principe dans la détection est donc le suivant : il analyse le trafic, regarde s'il voit passer une série de caractères "0x90" et agit en conséquence.Le but ici, est de trouver une instruction équivalente aux NOPs afin de rendre notre attaque indétectable. Il suffit de remplacer 0x90 par 0x41: Pourquoi '0x41' ? Cette instruction '0x41' (équivalente à la lettre 'A' en ascii) représente en assembleur 'inc %ecx' (elle incrémente de 1 la valeur du registre %ecx). Quelque soit la valeur de %ecx, cette instruction n'a aucune importance dans le contexte de l'exploit. Elle a donc les memes avantages que l'instruction NOP : codée sur un octet et ne faisant rien. Il arrive aussi que l'IDS cherche à détecter la chaine de caractères /bin/sh. Pour passer au travers de cette détection, une des methodes est de crypter par un simple XOR cette chaine et le shellcode la décrypte ensuite au moment ou il s'execute. Comme vous avez pu le voir, les systèmes de détection d'intrusions ne sont pas infaillibles. Vous etes alors en train de vous demander quel système peut nous assurer un maximum de sécurité. Il existe une alternative à ces systèmes qui sont les systèmes distribues à tolérance d'intrusions. "De ce que j'ai lu" ; pour etre plus clair, le concept de tolérance d'intrusion peut etre utilisé sur des systèmes distribués de par leur nature à distribuer, répartir de l'information à plusieurs endroits géographiques. Donc, si nous considérons que notre information sensible est répartie sur plusieurs sites, un pirate meme s'il a réussi à s'introduire sur une partie de notre système ne pourra récupérer qu'une partie de l'information sans aucune signification pour lui. Avec la technique de fragmentation-scattering, nous tolérons donc un certain nombre d'intrusions tout en gardant une confidentialité et une integrité de l'information. A cette tolérance d'intrusions, nous ajoutons la tolérance de destruction des informations grace à une redondance des fragments. Plusieurs copies de chaque fragment sont archivées sur plusieurs sites différents. Une disponibilité de l'information est donc assurée. Le domaine des systèmes de détection d'intrusions est un sujet très vaste. Il y a les honey pots aussi, cette nouvelle méthode de détection d'intrusions et du projet Honeynet (http:// project.honeynet.org), de la facon de placer un IDS dans un système d'information en complément du firewall. Toutefois, nous pouvons conclure que les IDS sont loin d'etre infaillibles meme s'ils apportent un complément à la sécurité du système d'information.
GRC.COM est un bon site pour tester les ports
Ce qu'ont disaient du HD-DVD/Blu-Ray, en 2004
Oui. a ce moment la,ont se rapproche des graveurs DVD a Rayon-Bleu ,y en a a 2800$ je crois bien.J'ai vu un Sony a 3,800$ Matsushita(modèle Panasonic) a sortie juste après Sony le premier Graveur Bleu-Ray ,mais pour la télé numérique.Ont ne dit pas le prix ,la Cie va l'annoncer plus tard. Ça enregistre sur 50Go pour 4 hrs en numéric et 64 hrs en analogique.$$$$$C'est le compétiteur a la techno DVD-HD de Toshiba et NEC qui est compatible avec les DVD actuelle sur 30Go par DVD.Le consommateur aura a trancher entre ces 2 techno la,moyennant quelques $$$$$de satisfaction évidemment.
Le Bleu-Ray enregistre le signal en haute-définission numérique et n'a pas besoin de compression(ont parlent même de 100Go/DVD) et de perte de qualité d'image dû a la compresion Mpeg4 ou du codec DivX.Mais je crois que ça pourrait être possible. En fait le mpeg4 n'est pas un codec (la confusion est souvent réalisée) ; il permet simplement l'utilisation facile de codec plus performant que ceux d'origine. Le MPEG-4 : MPEG-2 + 2 - L'intégration des formats Audiovisuels (Vidéo, audio, 2D, 3D) pour le bas et le haut débit. Y a aussi le MPEG-7 : MPEG-4 + 3 - Description des informations audiovisuelles pour faciliter la recherche et le iltrage. Il devient possible de retrouver une prise d'un film à partir d'un croquis ou d'une description verbale, ou une musique simplement en la fredonnant. Il existe une autre explication : Les experts auraient trouvé que le MPEG-7 était si différent des standards précédant, qu'ils auraient préféré le 7 porte bonheur au 5. Il est donc inutile de rechercher un MPEG-5 ou un MPEG-6. Cependant le numéro du standard suivant le MPEG-7 est le ... MPEG-21 (comme 21ème siècle) ! Le MPEG-21 qui devrait rassembler tous types de contenus (texte, données, vidéo, son...) sur tous types de médias (télévision numérique, Internet, téléphones mobiles...) Le maximum de data transféré d'un DVD est de 10 Mbps, et pour la HDTV ça requiert plus de 25 Mbps.Donc,il n'y a pas assez de bande passante pour enregistré un émission de HDTV sur un DVD.C'est pour ça qui a le Bleu-Ray DVD.Et l'autre méthode qui utiliserait la compression sans perte de qualité ,Dit ont ;ça serait le DVD-HD(DVD Haute-Définission). La version 1.0 du standard HD DVD de Microsoft vient d'être validée par le consortium DVD Forum, ce qui officialise ainsi pour la firme de Redmond cette technologie rivale du Blu-Ray. Ceci s'annonce comme une victoire pour Microsoft, qui se permet d'imposer son codec (VC-9), lequel sera supporté par le HD DVD au même titre que MPEG-2 et 4.Ça va prendre un PC de 2.4 a 3.0GHz pour faire rouler ça. Le DVD Forum aurait approuvé,dernièrement les codecs MPEG2, WM9 (VC-9,de Micro$oft) et le MPEG4 AVC(H.264).
WoW ! en 2008,c'est un tout autre monde...................HD-DVD c'est du VC-1 de Microsoft et ,c'est déja désuet et Microsoft devra intégré le BluRay dans sa console Xbox360 !
Le Bleu-Ray enregistre le signal en haute-définission numérique et n'a pas besoin de compression(ont parlent même de 100Go/DVD) et de perte de qualité d'image dû a la compresion Mpeg4 ou du codec DivX.Mais je crois que ça pourrait être possible. En fait le mpeg4 n'est pas un codec (la confusion est souvent réalisée) ; il permet simplement l'utilisation facile de codec plus performant que ceux d'origine. Le MPEG-4 : MPEG-2 + 2 - L'intégration des formats Audiovisuels (Vidéo, audio, 2D, 3D) pour le bas et le haut débit. Y a aussi le MPEG-7 : MPEG-4 + 3 - Description des informations audiovisuelles pour faciliter la recherche et le iltrage. Il devient possible de retrouver une prise d'un film à partir d'un croquis ou d'une description verbale, ou une musique simplement en la fredonnant. Il existe une autre explication : Les experts auraient trouvé que le MPEG-7 était si différent des standards précédant, qu'ils auraient préféré le 7 porte bonheur au 5. Il est donc inutile de rechercher un MPEG-5 ou un MPEG-6. Cependant le numéro du standard suivant le MPEG-7 est le ... MPEG-21 (comme 21ème siècle) ! Le MPEG-21 qui devrait rassembler tous types de contenus (texte, données, vidéo, son...) sur tous types de médias (télévision numérique, Internet, téléphones mobiles...) Le maximum de data transféré d'un DVD est de 10 Mbps, et pour la HDTV ça requiert plus de 25 Mbps.Donc,il n'y a pas assez de bande passante pour enregistré un émission de HDTV sur un DVD.C'est pour ça qui a le Bleu-Ray DVD.Et l'autre méthode qui utiliserait la compression sans perte de qualité ,Dit ont ;ça serait le DVD-HD(DVD Haute-Définission). La version 1.0 du standard HD DVD de Microsoft vient d'être validée par le consortium DVD Forum, ce qui officialise ainsi pour la firme de Redmond cette technologie rivale du Blu-Ray. Ceci s'annonce comme une victoire pour Microsoft, qui se permet d'imposer son codec (VC-9), lequel sera supporté par le HD DVD au même titre que MPEG-2 et 4.Ça va prendre un PC de 2.4 a 3.0GHz pour faire rouler ça. Le DVD Forum aurait approuvé,dernièrement les codecs MPEG2, WM9 (VC-9,de Micro$oft) et le MPEG4 AVC(H.264).
WoW ! en 2008,c'est un tout autre monde...................HD-DVD c'est du VC-1 de Microsoft et ,c'est déja désuet et Microsoft devra intégré le BluRay dans sa console Xbox360 !
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