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samedi 24 avril 2010

Splinter Cell Conviction

Si Sam Fisher ne peut souffrir les idiots, il se fait une joie de les faire souffrir en retour.

L’ex-espion rebelle au visage sombre et à la voix graveleuse revient en force dansSplinter Cell Conviction, cinquième mouture de la célèbre série d’action infiltration d’Ubisoft Montréal. Cette fois, la vengeance est au menu.

Le scénario deConviction reprend trois ans après les événements de Splinter Cell: Double Agent (2006).

Sam Fisher a disparu de la circulation, hors de portée de ses officiers traitants de Third Echelon, une branche secrète du renseignement américain.

Un vieux collègue retrouve toutefois Fisher et lui révèle que la mort de sa fille dans un accident de voiture, des années auparavant, n’avait rien d’accidentel.

Fisher est de nouveau en mission, mais cette fois, à l’extérieur du cadre de Third Echelon et avec l’objectif personnel de retracer et de punir les meurtriers de sa fille. Ses recherches le mènent sur les traces d’un complot terroriste domestique qui prévoit l’explosion de gigantesques bombes à pulsion électromagnétique à Washington, D.C., avec la Maison-Blanche comme cible principale de l’attentat.

24

Si tout cela rappelle étrangement un épisode de 24, disons simplement que Sam Fisher et Jack Bauer auraient plusieurs trucs à partager s’ils venaient à se rencontrer. Ainsi, les inconditionnels de la sérieSplinter Cell devront aborder Conviction l’esprit ouvert, puisque le ninja hi-tech invisible des jeux précédents a disparu. Les fusillades explosives sont désormais routinières et les tactiques d’interrogatoire de Fisher feraient même grimacer Bauer.

Le jeu se déroule en mode flashback avec d’occasionnels sauts vers le présent. Cette technique narrative fonctionne à merveille ici pour mettre en scène ce qui semble culminer en une trahison des plus choquantes.

Plus d'action, moins d'infiltration

L’approche plus axée sur l’action de Convictionpermet par exemple à Fisher de s’abattre sournoisement sur un ennemi en contrebas, de lui briser le cou et de descendre trois autres ennemis d’une balle en plein crâne en moins de temps qu’il faut pour le dire. Rien de subtil, mais d’une redoutable efficacité.

Des rues de Malte aux entrailles du quartier général de Third Echelon jusqu’aux corridors de la fameuse aile ouest de la Maison-Blanche, le visuel est réussi et le jeu se contrôle bien. Par contre, une conception moins linéaire des niveaux aurait été préférable et les ennemis ont tendance à rompre le sentiment d’immersion avec leur comportement robotique et verbeux.

La campagne principale implique bien 10 à 12 heures d’action presque toujours entraînante. Le mode coop en ligne de Conviction rajoute du millage au jeu, avec ses quatre antépisodes situés en Russie dans lesquels deux joueurs œuvrent ensemble, respectivement en tant qu’agent de Third Echelon et sa contrepartie russe.

Il y a également une poignée de sérieux modes multijoueurs coopératifs et compétitifs. Le nouveau Sam Fisher ne fera pas l’unanimité, mais Convictionplaira certainement à ceux qui ont toujours souhaité voir Fisher se faire moins discret et tirer plus souvent.

De tous, ce Splinter Cell est le plus bruyant, le plus impétueux, le plus violent et le plus… personnel.

VERDICT

Nouveau champion de l’action lourde au sein de la franchise Splinter Cell, Conviction est divertissant à souhait, mais le jeu s’éloigne résolument de la tradition établie par ses prédécesseurs.



REF.:

vendredi 23 avril 2010

Réseautage Social : Foursquare vole la vedette(sur iPhone,Android) !

Cela fait un moment que l’on entend parler de Foursquare sur les différents site d’actualités HighTech (ici, ou encore ).

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Foursquare est à la fois un réseau social et un jeu, géolocalisé, disponible sur le web et sur mobile (site mobile et applications iPhone & Android).

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Les utilisateurs de Foursquare doivent se signaler et se localiser à travers l’application (ou le site mobile, ou par SMS) pour remporter des points dans la ville où ils se trouvent. Ces points permettent de gagner des récompenses virtuelles (‘badges »). Vous pourrez même devenir le Maire virtuel de la ville!

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Mais en plus de partager le lieu où l’on se trouve, avec ses amis connectés, l’idée est de partager aussi à travers le service des bons conseils (‘tips »).

Les utilisateurs peuvent se signaler dans différents types de lieux (café, bars, restaurant etc…). Au fur et à mesure, Foursquare peut vous conseiller les lieux à visiter.

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Jusqu’à maintenant le service était disponible dans 38 villes, principalement aux USA, dont 2 seulement en Europe : Londres et Amsterdam.

Aujourd’hui, Foursquare se lance dans 15 nouvelles villes en Europe dont Paris : Athènes, Barcelone, Berlin, Bruxelles, Copenhague, Dublin, Genève, Helsinki, San Antonio, Madrid, Manchester, Paris, Prague, Rome et Stockholm.

A vous de jouer maintenant! :-)



REF.:

mercredi 21 avril 2010

La musique dite «en nuage»

La musique diffusée en continu fera oublier le CD

Le moment où les consommateurs n'auront plus jamais besoin de posséder de la musique pour en écouter à volonté pourrait arriver plus tôt qu'on ne le croyait.

On pourra alors dire adieu aux piles de CD et au téléchargement de musique sur des ordinateurs ou des appareils mobiles. Toute la musique sera alors disponible en continu, en tout temps, pour le prix d'un abonnement.

Les services rendant possible un tel scénario n'obtiennent pas encore une grande popularité et peu d'entre eux sont disponibles au Canada. Mais une baisse de prix et les avancées technologiques ont commencé à faire accepter l'idée de la musique «en nuage» par le grand public dans certaines parties du monde.

La musique dite «en nuage» est gardée sur des serveurs et est écoutée en continu («streaming») par l'utilisateur sur son ordinateur ou un appareil mobile.

Le service suédois Spotify a déjà pris d'assaut certaines parties de l'Europe, et des Nord-Américains attendent avec impatience son lancement de leur côté de l'Atlantique.

Aux États-Unis, Rhapsody International et Thumbplay offrent maintenant la possibilité de choisir n'importe quel album ou morceau et de le faire jouer instantanément sur un appareil mobile connecté à Internet par réseau cellulaire. Ces services coûtent 10$US par mois.

Justin Darcy, un directeur des ventes de 32 ans établi à San Francisco, affirme qu'il consomme tellement de musique qu'il devrait débourser 10 000$ par année s'il n'avait pas un abonnement à Rhapsody.

Compte tenu des avantages évidents liés à la possibilité d'écouter des millions de chansons comme si elles se trouvaient dans l'ordinateur, on peut se demander pourquoi de tels services ne sont pas plus populaires.

Pour les Canadiens, des problèmes de licences ont compliqué le lancement de services au pays, bien qu'il en existe quelques-uns offrant une sélection limitée.

Aux Etats-Unis, la faible popularité de ces services s'explique surtout par un faible effort de marketing et par le fait que les gens sont habitués à se procurer des CD ou à télécharger leur musique sur iTunes. Par ailleurs, des gens qui dépensent moins de 120$ par année en musique ne verront pas le service d'abonnement comme étant une bonne affaire.

Les fournisseurs de musique espèrent attirer plus de consommateurs en rendant les services plus conviviaux, profitant de la plus grande robustesse des réseaux cellulaires pour diffuser la musique. Sans compter qu'en général, les consommateurs sont de plus en plus à l'aise avec l'utilisation de services basés sur des fichiers accessibles à distance, un concept baptisé «informatique en nuage».




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Très bon antivirus gratuit !