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mardi 28 février 2012

Autopsie d’une attaque informatique des Anonymous


Anatomie d’une attaque informatique des AnonymousSécurité - Des chercheurs en sécurité d’Imperva ont décortiqué une attaque échelonnée sur 25 jours lancée en 2011 par les Anonymous. Il ressort que les Anonymous se composent de hackers confirmés, en petit nombre, utilisant des outils conventionnels et de membres techniquement novices pour la phase de DDoS.
La société de sécurité Imperva s’est penchée sur le mode opératoire des Anonymous pour préparer et réaliser une attaque informatique. Pour procéder à cette autopsie, l’éditeur précise avoir analysé les logs d’une des cibles en 2011 des cyber-activistes.
De cette attaque qui s’est échelonnée sur 25 jours, les experts en sécurité d’Imperva tirent plusieurs enseignements et hypothèses. D’abord, les profils des Anonymous impliqués dans l’attaque. Deux grands profils sont ainsi identifiés : les hackers compétents, entre 10 et 15, et les participants novices, voire même sans compétences techniques.
Des attaques qui demandent de la préparation
Concernant ces hackers confirmés, l’étude relève qu’ils recourent à des méthodes de piratage dans l’ensemble conventionnelles. A noter néanmoins une particularité : la création d’outils spécifiques comme LOIC ou de sites servant à lancer des attaques en déni de services.
Ces outils sont destinés à l’autre catégorie d’Anonymous, qui sans maîtrise technique peuvent ainsi participer aux attaques en DDoS. Ces mêmes Anonymous sont recrutés par les premiers par l’intermédiaire de campagne, notamment sur les réseaux sociaux.
Quant aux 25 jours de l’attaque disséquée par Imperva, ils se décomposent en trois phases majeures. Du 1er au 18ème jour, les Anonymous se consacrent à la communication sur une attaque et au recrutement de membres/participants.
Du 19e au 22eme jour, les activistes entrent en phase de reconnaissance, analysant la cible, un site Web ici, avec comme finalité la découverte de vulnérabilités et leur exploitation. Pour cela, des logiciels conventionnels comme Acunetix sont mis à contribution. Des techniques et outils d’extraction de données sont également exploités.
Car, c’est ensuite, à défaut d’avoir pu dérober des données, que l’attaque passerait en phase trois selon les chercheurs en sécurité. Les 24 et 25e jours sont ainsi consacrés à une attaque en déni de service consistant à noyer la cible sous un afflux de trafic.

 
 
 
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lundi 27 février 2012

Jeux: «Kingdoms of Amalur: Reckoning»

Kingdom of Amalur

Kingdoms of Amalur: Reckoning est le premier jeu proposé par l’équipe toute-étoile de 38 Studios, formée notamment du concepteur Ken Rolston (Morrowind, Oblivion), du dessinateur Todd McFarlane (Spawn), de l’auteur R.A. Salvatore (Drizzt Do’Urden), et du lanceur Curt Schilling, qui était impliqué dans la création de jeux de stratégie et ensuite de jeux vidéo bien avant de mettre un terme à sa carrière au baseball majeur. Il a fallu attendre assez longtemps pour voir ce jeu sur les tablettes (si longtemps, en fait, que j’avais assumé qu’il était mort de sa belle mort depuis un bon bout de temps); est-ce que l’attente en valait la peine?

En un mot: «mouais»... Ou peut-être «bof». C’est-à-dire qu’on ne peut pas vraiment reprocher quoi que ce soit à Amalur, mais qu’il n’a rien de bien mémorable non plus; il fait le boulot, ni plus ni moins.

Par exemple: les contrôles des combats adoptent un style un peu trop «arcade» à mon goût, mais ils fonctionnent bien et la plupart des joueurs vont les trouver confortables. Le niveau de difficulté est généralement tiède. Le monde est vaste, mais pas toujours «rempli» avec beaucoup d’inspiration. L’histoire principale est bien écrite, mais pas assez pour nous garder éveillés la nuit et nous donner hâte de revenir jouer à la fin d’une journée de travail. On se cogne le nez sur un bogue de temps en temps, mais ni plus ni moins que ce à quoi on s’attendrait d’un jeu de cette taille -- ce qui est déjà un petit miracle après une démo épouvantable qui annonçait une catastrophe. La caméra vous fera hurler quelques jurons, mais pas plus souvent que dans la majorité des jeux.

Bref, si vous achetez Amalur et que vous vous y plongez la tête première, vous ne devriez pas le regretter... Mais si vous passez votre tour, vous ne le regretterez pas forcément non plus. Attendez-donc une baisse de prix, disons jusqu’à l’été, et consacrez plutôt vos prochaines semaines à finir Skyrim, à fouiner dans Star Wars: The Old Republic, ou à traverser Mass Effect 3 de bord en bord!
Plate-forme: Testé sur PS3, aussi disponible pour Windows et XBOX 360
Développeur: 38 Studios et Big Huge Games
Éditeur: Electronic Arts
Cote ESRB: M (17 ans et plus)
Prix: 60$ à 70$


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dimanche 26 février 2012

Généalogie: Lancement d'une importante collection d'archives canadiennes-françaises

Ancestry.ca - Lancement d'une importante collection d'archives canadiennes-françaises
Dresser son arbre généalogique n’est plus l’apanage des retraités désirant se trouver un passe-temps. 
© Aude Boivin Filion

MONTRÉAL — Ancestry.ca a lancé mercredi à Montréal la plus importante collection électronique de documents historiques canadiens-français du monde. Les Québécois férus de généalogie ont maintenant accès à un plus grand volume de documents originaux numérisés, afin de commencer ou d'étoffer leur arbre familial.
Dresser son arbre généalogique n'est plus l'apanage des retraités désirant se trouver un passe-temps. En effet, la numérisation et l'indexation de millions des documents historiques rendent la recherche d'informations sur nos ancêtres dynamique et infiniment stimulante, en plus de protéger le contenu de la dégradation des documents originaux. Alors que retracer nos ancêtres exigeait beaucoup de travail il n'y a pas si longtemps — sans parler des voyages nécessaires —, cette activité se fait maintenant en quelques clics.
Quelle est mon histoire? Est-ce que je partage un ancêtre commun avec une personne connue? De quel pays viennent mes ancêtres? Mais d'où me viennent donc ces irrépressibles manies?
Peu de personnes pourraient répondre à ces questions. Sur son communiqué, Ancestry rapporte que près des deux tiers des Québécois (62 %) ne peuvent retracer leurs ancêtres ayant vécu il y a plus de 100 ans, c'est-à-dire il n'y a que deux ou trois générations. Or, la plupart des familles sont installées au Québec depuis plus d'un siècle.
D'après la spécialiste en généalogie présente au lancement, Lorraine Gosselin, «cette situation est notamment attribuable à la migration des habitants de la campagne vers les grandes villes, ce qui a eu pour effet de disloquer les familles.»
Par ailleurs, 56 % des Québécois ne savent même pas à quel moment leurs ancêtres sont arrivés au pays.
Grâce à Ancestry.ca, près de 3,3 millions de documents historiques canadiens-français sont disponibles. Les généalogistes en herbe pourront y rechercher des données sur les mariages, les noms de baptême, les décès, les naissances, etc., répertoriées jusqu'au début du XVIIe siècle.
D'ailleurs, la base de données du principal site de web de généalogie du Canada s'appuie sur deux ressources incontournables: les collections de l'avocat Drouin et de l'Abbé Tanguay, considéré comme le père de la généalogie canadienne-française.
Alors que la première constitue à ce jour la plus vaste collection de fiches historiques (environ 12 millions de fichiers) couvrant près de 350 ans d'histoire (de 1621 à 1967), la seconde — constituée en sept volumes – retrace en 350 000 documents l'histoire des premières familles canadiennes-françaises du Québec ainsi que celle des premiers colons à avoir parcouru les terres du Québec avant de s'y établir.
Fonctionnement du site
«Les premières branches de l'arbre, les plus récentes, sont les plus longues à définir. Les personnes amorçant leur travail auraient avantage à communiquer avec leur famille proche, afin de rassembler le maximum d'informations sur leurs grands-parents et arrière-grands-parents», explique Mme Gosselin à l'Agence QMI. Pour retrouver des générations plus éloignées, «les usagers auront plus de chances de tirer profit du travail des autres».
Le fonctionnement du site ancestry.ca, une déclinaison du site américain ancestry.com, se rapproche de celui des réseaux sociaux. En plus de pouvoir partager ses plus récentes trouvailles familiales sur Facebook et Twitter, les usagers peuvent aussi rendre leur arbre généalogique public; près de 30 millions le sont (en combinant les différents sites d'Ancestry).
«Ceci signifie qu'au-delà d'une certaine période de temps, il devient plus facile de trouver un ancêtre commun à un autre usager, ce qui permettra de compléter son arbre à partir du sien et de s'éviter des heures de travail», poursuit la spécialiste en généalogie.
Le site ancestry.ca offre une période d'essai gratuite de 14 jours. Quoique plusieurs services soient gratuits, les intéressés devront débourser 9,95 $ par mois s'ils souhaitent utiliser la banque de données numériques de la version canadienne du site. Afin de pouvoir accéder aux fichiers des autres pays (Irlande, Allemagne, France, États-Unis, Angleterre, Italie, etc.), les frais mensuels s'élèvent à 24,95 $.


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Réseau Social: Tour d'horizon du nouveau réseau social de Microsoft So.cl


Après Google, qui a lancé son propre réseau social à l'été 2011, c'est au tour du géant américain Microsoft de sauter dans l'arène des réseaux sociaux en créant So.cl (prononcez Social), un réseau destiné aux étudiants.
So.cl est un projet expérimental de recherche développé par FUSE Labs, une division de Microsoft. Tout le monde ne peut pas accéder à So.cl puisqu'il a été conçu pour les élèves d'écoles américaines. Ceux qui étudient dans les universités de Washington, Syracuse et de New York y ont aussi accès. Il existe également un système d'invitation d'amis. Une fois l'ami invité à utiliser la plateforme, la connexion se fait par un compte Facebook ou Windows Live.
Le nouveau réseau est une combinaison de navigation sur le web, de recherche et d'un réseau social avec une interface et des fonctionnalités empruntées à Google, Linkedin ou Facebook. Le moteur de recherche de Microsoft, Bing, est mis de l'avant pour toutes les recherches effectuées sur la plateforme. «Ce n'est pas un substitut à Facebook, mais un outil pour étudier les usages. Avec So.cl, nous voulons mieux comprendre les réseaux sociaux aujourd'hui et la façon dont ils évoluent» affirme Paul Steckler, le directeur des projets chez FUSE Labs, dans une entrevue donnée au site web petitweb.fr.
So.cl permet aux étudiants de gérer des projets en groupe, de partager l'information et de constituer des dossiers autour de thématiques. Il est également possible de partager les résultats des recherches avec ceux qui nous suivent et engager des conversations avec les autres. On peut faire la même chose avec des listes de lecture de vidéos (les «video parties»). So.cl permet aussi d'identifier («tagger») des publications, pour les garder en mémoire et les classer par contenu recherché. Tout comme les recherches effectuées, il est impossible de rendre ces identifications («tags») privées.
Paul Steckler a mentionné sur petitweb.fr qu'« il n'y a pas d'objectif publicitaire, c'est un laboratoire d'usages en vue d'intégrer de nouveaux outils dans Office et Windows. » Il n'y a donc pas de déploiement prévu pour le grand public à court terme pour So.cl.
http://so.cl/


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dimanche 19 février 2012

msnNow pour traquer les tendances de l'heure


Recherche sociale - Microsoft lance msnNow pour traquer les tendances de l'heure
 
© Courtoisie


Microsoft a lancé mercredi un nouveau service d'agrégation d'actualités à dimension sociale nommé msnNow, qui est un traqueur de sujets chauds. Aux dires de l'entreprise, il s'agit du premier service rassemblant en un seul lieu, les plus récentes tendances glanées sur Facebook, Twitter, Bing et le site BreakingNews.com.
Le site msnNow a été créé pour que les internautes ne manquent rien des actualités dans le monde et ce que les internautes en pensent. Toute cette information sera accessible en un seul coup d'œil et sans qu'ils ne perdent leur temps à naviguer sur plusieurs sites pour y parvenir.
En raison du tsunami d'informations transitant sur la Toile chaque jour, «msnNow est le site qui vous aidera à donner du sens à partir de tout le bruit généré sur internet, en tout temps et en tous lieux, du moment que vous êtres branchés», explique l'entreprise de Redmond.
Les articles d'information les plus tendance de msnNOW sont envoyés aux lecteurs en version abrégée. «En cent mots maximum, nous résumons les tendances, et nous vous donnons des munitions sur les sujets dont vous souhaitez discuter avec vos amis»,


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