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jeudi 10 janvier 2013

États-Unis: les précurseurs de l'«open data»


Publication de données - États-Unis: les précurseurs de l'«open data»
 
Photo momius - Fotolia.com


WASHINGTON - La liste des visiteurs de la Maison Blanche, les risques de retard sur chaque vol intérieur américain, ou encore la carte des tornades: ce sont quelques-uns des 400 000 fichiers publiés sur internet par l'Etat américain, un des précurseurs de l'«open data».
L'open data - littéralement «données ouvertes» en français -, qui vise à publier sur internet le maximum de données publiques possible, a seulement quelques années d'existence.
Washington n'a lancé data.gov qu'en 2009, avec 57 fichiers, mais près de quatre ans plus tard, le site publie régulièrement de nouvelles données, dans un format qui permet aux entreprises ou aux citoyens de les exploiter facilement.
Le développement de l'open data traduit la volonté des États d'améliorer la transparence de l'action publique et d'en justifier le coût auprès des citoyens.
C'est grâce à des données - gratuites - de l'administration des transports, que des sites aériens américains indiquent pour chaque vol, avant l'achat, le pourcentage de vols à l'heure: 73% seulement pour le vol United Washington-New York du mercredi soir.
Et on trouve de tout sur data.gov: les rapports d'inspection des maisons de retraite, les évaluations de sièges auto pour enfants ou les taux d'infections nosocomiales dans les nombreux hôpitaux publics militaires.

La qualité prime

Mais ce n'est pas tant le volume que la qualité des données qui importent.
Selon le professeur James Hendler, un expert américain qui étudie l'open data dans le monde, les Américains, suivis des Britanniques, sont en pointe car ils ont institutionnalisé la publication des données par les administrations. Ils ont aussi développé des «écosystèmes» d'entreprises et d'associations qui exploitent les données dans des applications pour les internautes.
«C'est bien de publier les données, mais tout est vraiment plus utile quand on crée des communautés et si on donne l'opportunité aux gens d'intégrer les données, et si les données sont lisibles par des machines», explique-t-il.

Trous, erreurs et zones d'ombre

Mais si les Américains sont les premiers à s'être lancés, les zones d'ombre persistent après une période d'euphorie suivant l'élection de Barack Obama. Au premier jour de son premier mandat, le 21 janvier 2009, le président américain signait un mémorandum ordonnant à ses ministères une «présomption de publication» pour tous les documents, un renversement de tendance après la présidence de George W. Bush.
«Les deux premières années ont été très créatives, très avancées», explique Daniel Schuman, de la Fondation Sunlight. Mais «ils ont perdu la motivation». En cause: l'inertie ou la résistance des administrations, qui doivent adopter de nouveaux réflexes.
«Nous avons besoin de nouvelles lois, pour institutionnaliser cela et nous immuniser contre un changement d'humeur du prochain président», expliquait récemment lors d'une conférence Anne Weismann, directrice de l'ONG CREW, qui a forcé la Maison Blanche à publier la liste de ses visiteurs, afin d'identifier ceux qui ont l'oreille de la présidence.
Des milliers de fichiers ne sont pas à jour, contiennent des trous ou des erreurs, pointe de son côté Josh Tauberer, un jeune entrepreneur de l'open data, notamment sur le site des dépenses publiques (USASpending.gov).
Mais l'open data n'en est qu'à ses débuts. Avec plus de 40 pays et l'arrivée de l'Inde, l'Amérique du Sud et de dizaines de villes dans le giron de l'open data, le nombre de fichiers en ligne pourrait passer d'environ un million actuellement à plus de cinq millions d'ici 2015, selon James Hendler.



REF.:

mercredi 9 janvier 2013

CES 2013 : Qualcomm enfonce le clou avec ses nouveaux Snapdragon



Technologie : Le leader des processeurs pour smartphones a dévoilé ses nouveautés dont le très puissant Snapdragon 800 doté de 4 coeurs cadencés jusqu’à 2,3 GHz.

Microsoft absent, Qualcomm a eu l'honneur d'ouvrir le CES de Las Vegas cette année. Et le fondeur n'est pas venu les mains vides.
Alors que la concurrence dans les puces pour mobiles s'intensifie (Nvidia avec Tegra 4, ARM etIntel), le groupe américain a dévoilé les nouveaux membres de sa famille Snapdragon (gravés en 28 nm) afin de ne laisser à personne sa place de leader sur le segment des smartphones.
Et autant dire que Qualcomm n'a pas trop de souci à se faire vu les caractéristiques de ces nouveaux SoC (system on chip), notamment le plus puissant d'entre-eux sobrement baptisé Snapdragon 800.
Bénéficiant d'un meilleur rapport performance par watt à travers la gravure en 28 nm, cette plate-forme offre 75% de plus de puissance de calcul que son prédécesseur le S4.
Occuper le marché 
Il est doté de 4 coeurs Krait 400 cadencés jusqu’à 2,3 GHz (!) associés à un composant graphique Adreno 330 qui est deux fois plus rapide qu'Adreno 320, affirme Qualcomm. De quoi supporter un affichage en 2560 x 2048 points. Rien que ça.
Il prend en charge l’USB 3 à 5 Gbit/s, le Bluetooth 4.0. Le SoC intègrera à terme le Wi-Fi 802.11ac (1,3 Gbit/s) et un modem LTE-Advanced (150 Mbit/s).
Qualcomm a également présenté une version moins puissante avec le Snapdragon 600 (40% plus puissant S4 Pro) doté de 4 coeurs Krait 300 à 1,9 GHz et du GPU Adreno 320.

L'idée reste la même : occuper tous les segments de marché de l'entrée de gamme aux modèles les plus puissants, véritables références pour l'américain. Qualcomm affirme ainsi que plus de 50 terminaux seront équipés de ces nouveaux SoC dès le second semestre.
L'espace est donc réduit pour la concurrence. Rappelons qu'en novembre dernier, Qualcomm s'offrait le luxe de dépasser pour la première fois Intel en capitalisation boursière (Nasdaq). 
Pourtant, au global, Qualcomm n'est que le quatrième fabricant de semi-conducteurs global et affiche un chiffre d'affaires deux fois inférieur à celui d'Intel, leader du marché.
Mais la croissance est bien du côté de Qualcomm et de ses processeurs pour smartphones, alors que les tentatives d'Intel sur ce marché n'ont pas encore donné les fruits escomptés. 
Ce basculement des positions devrait se maintenir avec un marché des PC attendu en baisse et un marché des tablettes et des smartphones en croissance à deux chiffres...


Fin le 15 Mars 2013: De MSN Messenger, comme Windows Live Messenger


La date de la mort est connue à l'avance : MSN Messenger, aussi connu comme Windows Live Messenger, "èmèssène" ou Live Messenger, s'éteindra le 15 mars prochain. C'était annoncé de longue date (depuis octobre rappelle The Next Web) par l'équipe Skype, censé remplacer le client de messagerie instantanée historique de Microsoft.
Dans un email, "The Messenger Team" a donc officialisé la date d'extinction définitive. Le logiciel continuera seulement de fonctionner en Chine après le 15 mars. Pour les autres utilisateurs, il suffira de télécharger et d'installer Skype, puis de s'y logguer avec ses identifiants Microsoft, pour retrouver tous leurs contacts.
Stratégie unifiée autour de Skype 
Au final, c'est plutôt rationnel de la part de Microsoft, dont le client de messagerie séparé d'un Skype racheté à prix d'or n'a plus grand sens. D'une part, le "tu as èmèssène" a depuis quelques années remplacé par "je t'ai ajouté sur Facebook." D'autre part, quitte à rester dans le domaine, Microsoft a clairement misé sa stratégie autour de Skype.
Pour les nouveaux arrivants sur Skype, toutes les fonctionnalités du logiciel seront débloquées, y compris les appels vidéos vers les téléphones mobiles. Reste à voir qui fera la migration sur les plus de 100 millions de comptes MSN Messenger encore valides (mais plus forcément très actifs).


mardi 8 janvier 2013

Vérifier si Windows® 7 est activé



2 méthodes pour vérifier si votre Windows® 7 est bien activé:
1. Démarrer / recherche
taper "SLUI"
ou
2.Démarrer /executer
taper "SLUI"

Comment utiliser le disque de réparation de Windows 7:


Astuce divers : Utiliser le disque de réparation de WindowsVoici comment utiliser le disque de réparation de Windows 7. Ce dernier permet de régler différents problèmes du système, notamment lorsque Windows refuse de démarrer. A noter que ce disque permet de réparer d'autres versions de Windows, même si ce dernier a été créé avec Windows 7.

Avant de pouvoir utiliser le disque de réparation, il faut au préalable l'avoir créé. Nous avons vu comment créer ce disque de réparation avec Windows 7 dans une astuce précédente.

Pour utiliser notre disque de réparation, il suffit de l'insérer dans le lecteur et de redémarrer l'ordinateur. Le chargement du disque commence alors...

Windows loading files
Lancement du disque de récupération

A noter que si le CD ne se lance pas, il faut alors aller voir du côté de la configuration du BIOS afin de spécifier que le démarrage peut s'effectuer sur le lecteur CD ou DVD.

La fenêtre suivante apparait :

Options récuperation systeme
Choix de la langue

La langue est normalement déjà sélectionnée sur Français. Cliquez sur le bouton Suivant.

Recherche des installation de Windows
Recherche des installations de Windows

Après une recherche des installations de Windows présentes sur l'ordinateur, l'écran suivant apparait :

Choix entre la réparation et la restauration de Windows
Choix entre la réparation et la restauration de Windows

Les différents systèmes d'exploitation trouvés sur la machine sont alors listé. Sélectionnez celui que vous souhaitez réparer avant de continuer. Si vous n'avez qu'un seul OS sur la machine, celui-ci est alors déjà sélectionné.

L'outil de réparation système nous offre deux choix : utiliser les outils présents sur le CD ou bien effectuer une restauration complète de la machine. A noter que cette seconde option n'est possible que si vous avez déjà effectué une image de votre système au préalable.

Nous allons ici utiliser la première option afin de réparer notre installation de Windows existante. On laisse donc le premier choix sélectionné et on clique sur le bouton Suivant. L'écran ci-dessous apparaît alors :

Les différents outils de récupération
Les différents outils de récupération

Cette fenêtre regroupe les différents outils proposés par le disque de réparation. Il vous suffit maintenant de choisir l'outil de votre choix afin de continuer.

Voici la description de ces outils donnée par Microsoft :
  • Réparation du démarrage :
    Résout certains problèmes (par exemple l'absence ou l'altération des fichiers système) susceptibles d'empêcher Windows de démarrer correctement.
  • Restaurer le système :
    Restaure les fichiers système de votre ordinateur à un point antérieur dans le temps, sans affecter vos fichiers tels que le courrier électronique, les documents ou les photos.
    Si vous utilisez la Restauration du système depuis le menu Options de récupération système, vous ne pouvez pas annuler l'opération de restauration. Cependant, vous pouvez exécuter à nouveau la Restauration du système et sélectionner un autre point de restauration s'il en existe un.
  • Récupération de l'image système :
    Vous devez avoir créé une image système avant de pouvoir utiliser cette option. Une image système est une sauvegarde personnalisée de la partition qui contient Windows et qui inclut des programmes et des données utilisateur, telles que des documents, des photos et de la musique.
  • Windows Outil Diagnostics de la mémoire :
    Analyse les erreurs de mémoire de votre ordinateur.
  • Invite de commandes :
    Les utilisateurs expérimentés peuvent se servir de l'invite de commandes pour effectuer des opérations de récupération, et exécuter d'autres outils en ligne de commande pour diagnostiquer et de résoudre les problèmes.

Note : il se peut que certains fabricants d'ordinateurs peuvent avoir personnalisé le menu en ajoutant ou en supprimant des outils de récupération, ou en incluant leurs propres outils.