Me résonnent encore dans la tête les mots très durs que mon père, Polonais d’origine, avait pour la « schlata », la petite noblesse Polonaise. Zbigniev Brzezinski en est issu, qui approche aujourd’hui l’âge respectable de 88 ans, et il a fait une carrière prestigieuse aux Etats-Unis, ayant joué un rôle non négligeable dans les stratégies géopolitiques américaines depuis un demi siècle. Hélas !La carrière nuisible de Zbig, c’est ainsi qu’on s ‘adresse à lui outre-Atlantique, commence en 1966 avec le Président Johnson. Il lui servira de conseiller pendant deux ans. Il devient dix ans plus tard conseiller national à la sécurité de Jimmy Carter. C’est déjà à cette période qu’il conseille à Carter d’armer et financer les Mudjadin Afghans, un groupe qui a muté pour devenir Al Qaeda. C’est qu’il n’en est pas à une bourde géopolitique catastrophique près, l’éminence grise des Présidents. Lui pense que c’était bien, car il prétend que plus de Musulmans sont favorables aux Etats-Unis aujourd’hui. Un vrai politicien autiste en quelque sorte, Brzezinski ; il ne doit pas bien suivre l’actualité. Jamais le ressentiment Arabe n’a été aussi fort que maintenant, et on pourrait penser que c’est mérité.Obama a dit : “Si vous regardez les nouvelles à la télévision, on dirait que le monde s’écroule. Le monde a toujours été en sens dessus-dessous, mais on le remarque maintenant à cause des medias ». Sur quoi Brzezinski en remet une couche en prétendant que : « Nous faisons face à un chaos qui s’étend dynamiquement dans de nombreuses parties du monde ». Le pire, c’est que ces deux individus ne se rendent pas compte du rôle qu’ils jouent là dedans. Le chaos général, ils l’ont théorisé et mis en œuvre, et leur responsabilité est pleine et entière.Brzezinski reconnait que les Américains ont fait des erreurs : « Nous étions au faîte du monde au début du XXème siècle. Depuis, notre position a décliné dramatiquement. Toujours les plus forts cependant, nous ne sommes plus respectés et ressentis comme légitimes ». À la question de savoir si les Etats-Unis peuvent regagner cette stature et cette position, il répond que non, car la Chine atteint un statut majeur. C’est aussi pour cela qu’il l’a désignée comme ennemi juré. Néanmoins il exerce son influence perverse et néfaste pour s’accrocher au rêve de l’influence Américaine qui perdure.La proximité d’idées d’Obama pour Brzezinski, intervenant de la commission trilatérale de Rockefeller ce qui n’est même pas caché, commence entre 1981 et 1983, alors qu’Obama étudie à l’Université de Colombia et que Zbig y dirige l’Institut anti Russe. La fille de Brzezinski, Mika, journaliste, est une admiratrice inconditionnelle d’Obama et son fils Mark Brzezinski, est conseiller en affaires étrangères du même Obama. Une affaire de famille.Zbig, en bon Polonais, a dédié sa vie à la haine de la Russie. Ce docteur Strangelove (Folamour) fait tout pour envenimer les relations avec Poutine et propose d’armer à grande échelle les Ukrainiens, sa dernière proposition criminelle du moment. Il s’est exprimé à plusieurs reprises sur le sujet. Il est partisan également de la battre froid envers la Chine. Rien que çà ! Avec l’hostilité envers la Chine et la Russie, il ne doute de rien. Sous une apparence de calme et de contrôle de soi, Brzezinski cache un tempérament de psychopathe calculateur et agressif.La réputation de Brzezinski pour les Américains lucides (il y en a) est qu’il est une momie du capitalisme et un faucon de la guerre froide. Il ne suffit pas qu’Obama soit sous la coupe des néoconservateurs psychopathes de Washington et de son administration déconnectée, il est aussi le pantin de Brzezinski. Obama est influencé également par le sénateur Jay Rockefeller et par Joseph Nye, membre du Bilderberg et patron de la trilatérale. Nye est le théoricien du « Soft Power », une forme d’agression impérialiste basée sur la guerre économique, la subversion, la manipulation et les coups d’états genre « printemps arabe ». Bref, le quotidien de ce que fait l’Amérique d’Obama pour notre plus grand dam.Le but ultime actuel de Brzezinski est la confrontation avec l’organisation de coopération de Shanghai (Shanghai Cooperation Organization), une organisation que tous les lecteurs des medias alternatifs devraient connaître. La SCO est le pendant de l’OTAN et son principal adversaire. Voyez sur Google la liste des membres, édifiante. La SCO est le centre mondial de résistance à la domination des Etats-Unis et de l’Angleterre.La Pologne joue un rôle important dans la détestation de la Russie, que ce soit avec Brzezinski ou Donald Tusk, Président du Conseil Européen. La France suit bêtement avec Hollande et Fabius. Des rumeurs prétendent que Laurent Fabius serait très malade et sur le point de quitter le gouvernement. Si c’est vrai, la position envers la Russie ne changerait pas, la France et la majorité de l’Europe suivant docilement le diktat américain.Des gérontes, comme Brzezinski ou d’autres, ont contribué et continuent encore d’imposer avec succès leur influence pernicieuse sur les affaires du monde. Le Docteur Folamour (doctor Strangelove) de Stanley Kubrick, avec l’interprétation convaincante de Peter Sellers, est un des meilleurs films humoristiques classés. Le film se termine sur des images apocalyptiques, avec un ballet d’explosions nucléaires et leurs champignons atomiques. On en n’est pas là aujourd’hui, car Poutine garde la tête froide. Néanmoins si des zozos inconscients poussés par Brzezinski passaient à l’acte, d’autres zozos Russes influents dont j’écoute les discours, tout comme les citoyens Russes, pourraient répondre et mener le monde à sa perte. Nul doute que le monde, qui porte encore une attention distraite à Brzezinski, le honnirait alors pour avoir été un artisan de la pire guerre froide et un théoricien de la façon dont elle aura dégénéré. La « schlata » polonaise critiquée par mon père aurait fourni à la puissante Amérique son docteur Folamour.Algarath-
Source.:
http://www.oulala.info/2014/12/ceux-qui-influencent-obama-zbigniev-brzezinski/#sthash.dNaKfZ1U.dpuf
Me
résonnent encore dans la tête les mots très durs que mon père, Polonais
d’origine, avait pour la « schlata », la petite noblesse Polonaise.
Zbigniev Brzezinski en est issu, qui approche aujourd’hui l’âge
respectable de 88 ans, et il a fait une carrière prestigieuse aux
Etats-Unis, ayant joué un rôle non négligeable dans les stratégies
géopolitiques américaines depuis un demi siècle. Hélas !
La carrière nuisible de Zbig, c’est ainsi qu’on
s ‘adresse à lui outre-Atlantique, commence en 1966 avec le Président
Johnson. Il lui servira de conseiller pendant deux ans. Il devient dix
ans plus tard conseiller national à la sécurité de Jimmy Carter. C’est
déjà à cette période qu’il conseille à Carter d’armer et financer les
Mudjadin Afghans, un groupe qui a muté pour devenir Al Qaeda. C’est
qu’il n’en est pas à une bourde géopolitique catastrophique près,
l’éminence grise des Présidents. Lui pense que c’était bien, car il
prétend que plus de Musulmans sont favorables aux Etats-Unis
aujourd’hui. Un vrai politicien autiste en quelque sorte, Brzezinski ;
il ne doit pas bien suivre l’actualité. Jamais le ressentiment Arabe n’a
été aussi fort que maintenant, et on pourrait penser que c’est mérité.
Obama a dit : “Si vous regardez les nouvelles à la
télévision, on dirait que le monde s’écroule. Le monde a toujours été
en sens dessus-dessous, mais on le remarque maintenant à cause des
medias ». Sur quoi Brzezinski en remet une couche en prétendant
que : « Nous faisons face à un chaos qui s’étend dynamiquement dans de
nombreuses parties du monde ». Le pire, c’est que ces deux individus ne
se rendent pas compte du rôle qu’ils jouent là dedans. Le chaos général,
ils l’ont théorisé et mis en œuvre, et leur responsabilité est pleine
et entière.
Brzezinski reconnait que les Américains ont fait
des erreurs : « Nous étions au faîte du monde au début du XXème siècle.
Depuis, notre position a décliné dramatiquement. Toujours les plus forts
cependant, nous ne sommes plus respectés et ressentis comme
légitimes ». À la question de savoir si les Etats-Unis peuvent regagner
cette stature et cette position, il répond que non, car la Chine atteint
un statut majeur. C’est aussi pour cela qu’il l’a désignée comme ennemi
juré. Néanmoins il exerce son influence perverse et néfaste pour
s’accrocher au rêve de l’influence Américaine qui perdure.
La proximité d’idées d’Obama pour Brzezinski,
intervenant de la commission trilatérale de Rockefeller ce qui n’est
même pas caché, commence entre 1981 et 1983, alors qu’Obama étudie à
l’Université de Colombia et que Zbig y dirige l’Institut anti Russe. La
fille de Brzezinski, Mika, journaliste, est une admiratrice
inconditionnelle d’Obama et son fils Mark Brzezinski, est conseiller en
affaires étrangères du même Obama. Une affaire de famille.
Zbig, en bon Polonais, a dédié sa vie à la haine
de la Russie. Ce docteur Strangelove (Folamour) fait tout pour envenimer
les relations avec Poutine et propose d’armer à grande échelle les
Ukrainiens, sa dernière proposition criminelle du moment. Il s’est
exprimé à plusieurs reprises sur le sujet. Il est partisan également de
la battre froid envers la Chine. Rien que çà ! Avec l’hostilité envers
la Chine et la Russie, il ne doute de rien. Sous une apparence de calme
et de contrôle de soi, Brzezinski cache un tempérament de psychopathe
calculateur et agressif.
La réputation de Brzezinski pour les Américains
lucides (il y en a) est qu’il est une momie du capitalisme et un faucon
de la guerre froide. Il ne suffit pas qu’Obama soit sous la coupe des
néoconservateurs psychopathes de Washington et de son administration
déconnectée, il est aussi le pantin de Brzezinski. Obama est influencé
également par le sénateur Jay Rockefeller et par Joseph Nye, membre du
Bilderberg et patron de la trilatérale. Nye est le théoricien du « Soft
Power », une forme d’agression impérialiste basée sur la guerre
économique, la subversion, la manipulation et les coups d’états genre
« printemps arabe ». Bref, le quotidien de ce que fait l’Amérique
d’Obama pour notre plus grand dam.
Le but ultime actuel de Brzezinski est la
confrontation avec l’organisation de coopération de Shanghai (Shanghai
Cooperation Organization), une organisation que tous les lecteurs des
medias alternatifs devraient connaître. La SCO est le pendant de l’OTAN
et son principal adversaire. Voyez sur Google la liste des membres,
édifiante. La SCO est le centre mondial de résistance à la domination
des Etats-Unis et de l’Angleterre.
La Pologne joue un rôle important dans la
détestation de la Russie, que ce soit avec Brzezinski ou Donald Tusk,
Président du Conseil Européen. La France suit bêtement avec Hollande et
Fabius. Des rumeurs prétendent que Laurent Fabius serait très malade et
sur le point de quitter le gouvernement. Si c’est vrai, la position
envers la Russie ne changerait pas, la France et la majorité de l’Europe
suivant docilement le diktat américain.
Des gérontes, comme Brzezinski ou d’autres, ont
contribué et continuent encore d’imposer avec succès leur influence
pernicieuse sur les affaires du monde. Le Docteur Folamour (doctor
Strangelove) de Stanley Kubrick, avec l’interprétation convaincante de
Peter Sellers, est un des meilleurs films humoristiques classés. Le film
se termine sur des images apocalyptiques, avec un ballet d’explosions
nucléaires et leurs champignons atomiques. On en n’est pas là
aujourd’hui, car Poutine garde la tête froide. Néanmoins si des zozos
inconscients poussés par Brzezinski passaient à l’acte, d’autres zozos
Russes influents dont j’écoute les discours, tout comme les citoyens
Russes, pourraient répondre et mener le monde à sa perte. Nul doute que
le monde, qui porte encore une attention distraite à Brzezinski, le
honnirait alors pour avoir été un artisan de la pire guerre froide et un
théoricien de la façon dont elle aura dégénéré. La « schlata »
polonaise critiquée par mon père aurait fourni à la puissante Amérique
son docteur Folamour.
Algarath
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Me
résonnent encore dans la tête les mots très durs que mon père, Polonais
d’origine, avait pour la « schlata », la petite noblesse Polonaise.
Zbigniev Brzezinski en est issu, qui approche aujourd’hui l’âge
respectable de 88 ans, et il a fait une carrière prestigieuse aux
Etats-Unis, ayant joué un rôle non négligeable dans les stratégies
géopolitiques américaines depuis un demi siècle. Hélas !
La carrière nuisible de Zbig, c’est ainsi qu’on
s ‘adresse à lui outre-Atlantique, commence en 1966 avec le Président
Johnson. Il lui servira de conseiller pendant deux ans. Il devient dix
ans plus tard conseiller national à la sécurité de Jimmy Carter. C’est
déjà à cette période qu’il conseille à Carter d’armer et financer les
Mudjadin Afghans, un groupe qui a muté pour devenir Al Qaeda. C’est
qu’il n’en est pas à une bourde géopolitique catastrophique près,
l’éminence grise des Présidents. Lui pense que c’était bien, car il
prétend que plus de Musulmans sont favorables aux Etats-Unis
aujourd’hui. Un vrai politicien autiste en quelque sorte, Brzezinski ;
il ne doit pas bien suivre l’actualité. Jamais le ressentiment Arabe n’a
été aussi fort que maintenant, et on pourrait penser que c’est mérité.
Obama a dit : “Si vous regardez les nouvelles à la
télévision, on dirait que le monde s’écroule. Le monde a toujours été
en sens dessus-dessous, mais on le remarque maintenant à cause des
medias ». Sur quoi Brzezinski en remet une couche en prétendant
que : « Nous faisons face à un chaos qui s’étend dynamiquement dans de
nombreuses parties du monde ». Le pire, c’est que ces deux individus ne
se rendent pas compte du rôle qu’ils jouent là dedans. Le chaos général,
ils l’ont théorisé et mis en œuvre, et leur responsabilité est pleine
et entière.
Brzezinski reconnait que les Américains ont fait
des erreurs : « Nous étions au faîte du monde au début du XXème siècle.
Depuis, notre position a décliné dramatiquement. Toujours les plus forts
cependant, nous ne sommes plus respectés et ressentis comme
légitimes ». À la question de savoir si les Etats-Unis peuvent regagner
cette stature et cette position, il répond que non, car la Chine atteint
un statut majeur. C’est aussi pour cela qu’il l’a désignée comme ennemi
juré. Néanmoins il exerce son influence perverse et néfaste pour
s’accrocher au rêve de l’influence Américaine qui perdure.
La proximité d’idées d’Obama pour Brzezinski,
intervenant de la commission trilatérale de Rockefeller ce qui n’est
même pas caché, commence entre 1981 et 1983, alors qu’Obama étudie à
l’Université de Colombia et que Zbig y dirige l’Institut anti Russe. La
fille de Brzezinski, Mika, journaliste, est une admiratrice
inconditionnelle d’Obama et son fils Mark Brzezinski, est conseiller en
affaires étrangères du même Obama. Une affaire de famille.
Zbig, en bon Polonais, a dédié sa vie à la haine
de la Russie. Ce docteur Strangelove (Folamour) fait tout pour envenimer
les relations avec Poutine et propose d’armer à grande échelle les
Ukrainiens, sa dernière proposition criminelle du moment. Il s’est
exprimé à plusieurs reprises sur le sujet. Il est partisan également de
la battre froid envers la Chine. Rien que çà ! Avec l’hostilité envers
la Chine et la Russie, il ne doute de rien. Sous une apparence de calme
et de contrôle de soi, Brzezinski cache un tempérament de psychopathe
calculateur et agressif.
La réputation de Brzezinski pour les Américains
lucides (il y en a) est qu’il est une momie du capitalisme et un faucon
de la guerre froide. Il ne suffit pas qu’Obama soit sous la coupe des
néoconservateurs psychopathes de Washington et de son administration
déconnectée, il est aussi le pantin de Brzezinski. Obama est influencé
également par le sénateur Jay Rockefeller et par Joseph Nye, membre du
Bilderberg et patron de la trilatérale. Nye est le théoricien du « Soft
Power », une forme d’agression impérialiste basée sur la guerre
économique, la subversion, la manipulation et les coups d’états genre
« printemps arabe ». Bref, le quotidien de ce que fait l’Amérique
d’Obama pour notre plus grand dam.
Le but ultime actuel de Brzezinski est la
confrontation avec l’organisation de coopération de Shanghai (Shanghai
Cooperation Organization), une organisation que tous les lecteurs des
medias alternatifs devraient connaître. La SCO est le pendant de l’OTAN
et son principal adversaire. Voyez sur Google la liste des membres,
édifiante. La SCO est le centre mondial de résistance à la domination
des Etats-Unis et de l’Angleterre.
La Pologne joue un rôle important dans la
détestation de la Russie, que ce soit avec Brzezinski ou Donald Tusk,
Président du Conseil Européen. La France suit bêtement avec Hollande et
Fabius. Des rumeurs prétendent que Laurent Fabius serait très malade et
sur le point de quitter le gouvernement. Si c’est vrai, la position
envers la Russie ne changerait pas, la France et la majorité de l’Europe
suivant docilement le diktat américain.
Des gérontes, comme Brzezinski ou d’autres, ont
contribué et continuent encore d’imposer avec succès leur influence
pernicieuse sur les affaires du monde. Le Docteur Folamour (doctor
Strangelove) de Stanley Kubrick, avec l’interprétation convaincante de
Peter Sellers, est un des meilleurs films humoristiques classés. Le film
se termine sur des images apocalyptiques, avec un ballet d’explosions
nucléaires et leurs champignons atomiques. On en n’est pas là
aujourd’hui, car Poutine garde la tête froide. Néanmoins si des zozos
inconscients poussés par Brzezinski passaient à l’acte, d’autres zozos
Russes influents dont j’écoute les discours, tout comme les citoyens
Russes, pourraient répondre et mener le monde à sa perte. Nul doute que
le monde, qui porte encore une attention distraite à Brzezinski, le
honnirait alors pour avoir été un artisan de la pire guerre froide et un
théoricien de la façon dont elle aura dégénéré. La « schlata »
polonaise critiquée par mon père aurait fourni à la puissante Amérique
son docteur Folamour.
Algarath
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