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lundi 24 mars 2008

Le seul espoir de l'internet est les logiciels libres

Les logiciels open source ou libres,sont plus performants que ceux sur le réseau commercial, car les logiciels comme Hackjack this,AVG antivirus, Ad-Aware ou Spybot S & Destroy , ont perdus de l'efficacité pour avoir un certain éthique commercial a respecter,c'est la règle a suivre.

Autrement dit,les programmes laissent passer des applications jugées non détectable par ceux-ci pour que les cie garde un certains contrôle de leurs clients.Le plus grand scandale fut le rootkit de SONY sur leurs cd de musique.

Tandis que les nouveaux programmes Libres de droit (copyleft),n'ont pas ces contrainte la.





Bien sur , il y a eut confusion entre OpenSource et Logiciel libre:


La confusion entre Logiciel Libre et Open Source est courante dans les médias qui utilisent souvent les deux termes sans les distinguer. Une vive polémique oppose les partisans de l’Open Source et les partisans du Logiciel Libre.
Les logiciels qui supportent le mouvement du Logiciel Libre répondent aux critères énoncés par la Free Software Foundation dans la Free Software Definition, elle-même rédigée par Richard Stallman.
La notion d’Open Source repose également sur des définitions précises. L'utilisation des termes Open Source a été suggéré par Christine Peterson, de la Foresight Institute, afin de lever l'ambiguïté sémantique du mot anglais free qui signifie libre au sens de « liberté », mais également libre au sens de « libre accès, gratuité » – et par le biais de cette rectification sémantique, indiquer aux utilisateurs qu'un logiciel a un coût.
La principale critique issue du mouvement parent du Logiciel Libre est le fait que l’Open Source ne communique presque exclusivement que sur une des caractéristiques techniques des logiciels ( la liberté d'accès au fonctionnement du logiciel ) en occultant les motivations premières dont elles sont issues, au risque de les perdre. Ils accusent l’Open Source d'être mû par la dynamique et les ressources financières et d'expertise de multinationales, l'opposant au Logiciel Libre mû par des idéaux d’ordre philosophique et politique.
Un an après sa création, Bruce Perens, détenteur de la marque Open Source et créateur de l’Open Source Definition, décide de se retirer du projet suite à ce qu’il appelle un « Échec de l’Open Source Initiative » et publie un essai publié par la Free Software Foundation intitulé Pourquoi nous parlons de logiciels libres dans lequel il affirme que la Free Software Definition assure davantage de libertés aux utilisateurs des programmes.
Après l’éclatement de la bulle internet en 2000 et la faillite de plusieurs sociétés qui avaient pour modèle d’affaires l’Open Source, l'adéquation organisationnelle et la viabilité économique de cette approche ont été critiquées par Nicolas Boiteux dans son essai L’ésotérisme du bazar, et la pomme empoisonnée démystifiée[2].
Ainsi, des Logiciels Libres sous licence copyleft sont Open Source, tandis que des logiciels Open Source peuvent ne pas être libres. En pratique, la plupart des licences de l’Open Source satisfont aux critères de liberté de la Free Software Foundation, les différentes subtilités qui les distinguent étant principalement d’ordre philosophique et commercial.



Si vous cherchez un programme,quelqu'ils soient,allez sur : http://sourceforge.net/softwaremap/ et pas ailleurs !



Ref
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dimanche 23 mars 2008

La différence entre un site Web et un Blog

Abrév. de weblog. Log personnel, sur le web. L'idée est, pour un individu, de tenir une sorte de journal personnel en forme de site web et de le publier. Le contenu a une géométrie très très variable sur ces sites de plus en plus populaires.


Ensemble (plus ou moins) cohérent de documents web. Le Jargon Françaisest un « site web », même s'il fait partie de linux-france.org, et n'est pas hébergé sur un serveur propre.


NON.nOn,nOn....................la différence est que sur un site web ,comme M.Net.com ,mettons ne peut pas exprimer son propre opinion,sous peine de représaille de ses annonceurs ou fournisseurs de démo de jeux,applications ,dont Microsoft entretient tout un lobby mondial a ce sujet et met en péril la viabilité du site web,comme le site de Forum 640Kb qui ont été mit en garde contre les opinions anti-Microsoft sur son site.La conséquence est que, si tu veut un effet d'ascenseur de Microsoft(tout comme les géants du Pétrole l'ont fait,face a la réélection de George Bush)tu doit dire que c'est un très bon produit. 81,121

C'est l'antithèse du Blogue!

Les Anti-Rootkits sont a la mode

Selon Lesnouvelles.net,les anti-Rootkits seraient a la mode actuellement chez les cie d'anti-virus et de sécurité. Maintenant que les spywares sont bien à la mode, l'industrie de la sécurité doit se trouver une nouvelle tendance. Et il pourrait bien s'agir des rootkits pour Windows, ces codes malicieux terriblement difficiles à détecter et à éradiquer. Déjà, des anti-rootkits font leur apparition. Menace sérieuse ou nouveau coup de pub ? Le petit monde de la sécurité s'est trouvé une nouvelle marotte : le rootkit Windows.

Maintenant que les spywares sont devenus très "grand public", l'attention des passionnés et des techniciens se tourne ainsi vers une menace moins connue et beaucoup plus technique. Le tout, bien sûr, sous le regard bienveillant des éditeurs, toujours prompts à flairer une bonne affaire. Car voyez-vous, le rootkit Windows a tous les atouts pour faire peur dans les chaumières : c'est un code malicieux vraiment complexe qui se greffe dans le noyau même du système d'exploitation, c'est à dire le Saint des Saints. Il est ainsi capable de prendre le contrôle total d'un PC sans laisser de trace. Sa détection est difficile, parfois même impossible tant que le système fonctionne. Une fois en place, le rootkit (noyau) est véritablement le Maître du système. À ce titre tous les programmes, y compris les antivirus, anti-spywares et autres anti-tout, doivent passer par lui avant de faire quoi que ce soit : ils ne peuvent donc se fier à aucune information collectée sur le système. C'est diabolique. Maintenant que nous avons nous aussi contribué à médiatiser ces méchants rootkits, revenons sur les fondements de cette mode qui semble s'annoncer. Les rootkits sont en réalité loin d'être une nouveauté. De tels codes existent sous Linux depuis très longtemps (noyau ouvert et modulaire oblige). Sous Windows en revanche, ils sont longtemps restés un simple sujet d'étude et de curiosité, souvent abordé durant des conférences de passionnés tel Black Hat. Microsoft s'en mêle Microsoft a cependant amené le rootkit Windows sur le devant de la scène il y a quelques semaines à peine. Lors de la RSA Conference 2005 à San Francisco, l'éditeur a révélé que selon ses observations les logiciels "fantômes" -les rootkits, donc- devenaient plus courants sous Windows. Selon lui les outils de sécurité actuels doivent absolument s'adapter car ils sont inefficaces face à cette menace. Et pour faire bonne mesure, Microsoft annonçait dans la foulée qu'il travaille déjà à une réponse appropriée : le projet Strider GhostBuster. Ce dernier n'est encore qu'au stade des publications techniques et des tests en interne, mais il permet déjà de bien cerner les problèmes auxquels devra faire face l'industrie lorsqu'elle décidera de lutter contre les rootkits Windows. A titre d'exemple, le rapport de Microsoft -pourtant très sérieux et dont l'approche est jugée "intelligente et élégante" par l'incontournable Bruce Schneier)- indique que la seule manière d'être vraiment sûr de se débarrasser d'un rootkit noyau sous Windows est... de reformater le disque ! Les éditeurs dans la bataille Du côté des éditeurs spécialistes de la sécurité, la réponse ne s'est pas faite attendre. D'abord par Sysinternals, très connu des passionnés pour ses outils gratuits très pratiques. L'éditeur a récemment diffusé son RootkitRevealer. L'outil, gratuit lui aussi, utilise une technique similaire à celle décrite par le projet Strider GhostBuster de Microsoft : il tente de lire des informations systèmes de plusieurs manières différentes -via des interfaces à haut niveau et via des appels presque directs au matériel- et d'en comparer les résultats. Il s'agit d'une technique similaires à celle utilisée il y a fort longtemps pour détecter les virus furtifs sous DOS et qui a largement fait ses preuves. Enfin, F-Secure est à notre connaissance le premier éditeur d'antivirus à annoncer une solution anti-rootkit spécifique (d'autres, tels Kaspersky Antivirus, mettent en oeuvre des techniques de comparaison similaires mais seulement afin de détecter certains fichiers cachés sur les disques NTFS). La technologie Blacklight de F-Secure sera annoncée au salon Cebit ce moi-ci et la version bêta de l'outil de détection sera téléchargeable à partir du 10 mars sur le site de l'éditeur. Il reste que les outils anti-rootkits grand public ne sont pas pour demain : il suffit d'utiliser RootkitRevealer pour comprendre que l'utilisateur non- technicien sera incapable de décerner, parmi toutes les entrées suspectes identifiées (et elles sont nombreuses !), les véritables rootkits. Mais la tendance est en marche... Peut être que le RootkitRevealer serait mieux que de reformatter sont disque dur.(AVG ont sorti aussi leur anti rootkit ! )





ETK si ont se fit au gilet (s'était inscrit "GOT ROOT")qu'a déja porté Kevin Mitnick, lors d'une conférence publique.C'est important d'être administrateur de la session windows;et les Rootkit aide a le demeurer de manière incognito mettons! Donc un scan RAW de la base de registre est une meilleure détection des Rootkits sur nos PC.
Et F-Secure y met le paquet:
http://www.f-secure.com/blacklight/
avec son projet Blacklight.Car beaucoup de SPYWARE s'incruste dans la base de registre et sont rendu invisible aux logiciels anti-spyware connu,comme Ad-Aware ou SpyBot. Moi mon moteur de recherche de spyware ultime est celui-la:
http://www.spywareguide.com/category_list_full.php
Essayez-le



Un jugement contre un Cd musical de la Cie Warner a été rendu! C'est a propos du système de protection DRM (peut être un Rootkit était mit en doute?)qui faisait capotter un Mac . Warner devra verser 60 euros au client, et 5000 euros à l'association pour les dommages et intérêts. Par ailleurs, elle a interdiction d'utiliser des DRM sur le CD mis en cause et dispose de deux mois pour se conformer à ce jugement, sous astreinte de 150 euros par jour de retard. Le tribunal a aussi rappelé que «si les dispositifs anticopie ne sont pas interdits par la loi, ils doivent respecter l'exception de copie privée, tout en préservant les droits des auteurs».
Et même chose pour le "Norton Protected Recycle Bin," ou le "NProtect" dans le Norton SystemWorks de Symantec.Il y avait un RootKit aussi que les hackers utilisaient.La faille fut patché par Symantec dernièrement Aucunes poursuites cependant!


En 2006,l'affaire liée à l'intégration de « Rootkit » dans certains CD-audio Sony pour assurer le bon fonctionnement d'une protection anticopie a fait couler beaucoup d'encre (voir Sony BMG et les rootkits : épilogue ?). Aujourd'hui, ce sujet épineux refait surface avec l'accord trouvé entre Sony et la FTC aux Etats-Unis.La firme japonaise a effectivement été sommée par la FTC (Federal Trade Commission) de verser 150$ à chaque client ayant vu être victime du rootkit. La FTC a aussi demande explicitement à Sony de ne pas intégrer dans ses CD des technologies qui permettraient de communiquer des données personnelles à des fins marketing et de fournir un logiciel de désinstallation pour son rootkit. Sony sera aussi dans l'obligation de financer le retour des éventuels CD accompagnés du rootkit qui peuvent encore se trouver chez certains revendeurs.« Les logiciels secrets qui peuvent créer des problèmes de sécurité sont intrusifs et hors la loi [...] Les particuliers doivent rester maîtres de leurs machines et les sociétés doivent être complètement transparentes en ce qui concerne le contenu des produits qu'elles vendent et doivent informer de façon claire les consommateurs », a ainsi précisé le président de la FTC.Sony de son côté se félicite d'avoir trouvé un accord avec la FTC. 4 à 8 millions de CD protégés par le rootkit auraient été livrés par Sony. Cette affaire pourrait donc coûter à Sony plusieurs centaines de millions de dollars pour régler ce différend.

Durée de vie des média cd/dvd enregistrable, pas si longue que ça

La dernière étude publiée par Kurt Gerecke, un spécialiste du stockage des données chez IBM, vient nous rappeler que, contrairement à ce que l'on pourrait croire, la bonne veille cartouche magnétique pour sauvegarder des données importantes n'est pas obsolète face aux CD / DVD vierges.Cette étude nous rappelle qu'effectivement la durée de vie de ces médias enregistrables est bien loin de celle offerte par les CD pressés. La faute à la couche organique des CD vierges qui aurait tendance à s'altérer avec le temps. D'après cette nouvelle étude, la durée de vie d'un CD-R/CD-RW d'entrée de gamme serait, en moyenne, de deux ans. Les médias de marque et de meilleure qualité offriraient une durée de vie moyenne de 5 ans. Les bandes magnétiques offriraient quant à elles une durée de vie de 30 - 100 ans. Une durée de vie semblable serait attribuée aux médias CD / DVD pressés et non-inscriptibles (comme les CD-audio, les CD-ROM, les DVD-ROM, les DVD vidéo...).Quant aux DVD vierges, leur durée de vie serait encore plus courte que celle des CD enregistrables et cela serait particulièrement vrai dans le cas des modèles bas de gamme. Prudence donc si vous avez tendance à conserver des données importantes sur la durée sur ce type de média, il faudra penser à archiver tout ce petit monde de temps en temps. Pour finir, petit conseil pour optimiser la durée de vie de ces médias : conserver les à l'abris de l'air et surtout de la lumière... comme les Tetra Pack





Les matières plastiques sont influencées par plusieurs mécanismes de dégradation. La lumière contient souvent des ultraviolets qui dégrade rapidement les plastiques, L'ozone contenu dans l'air particulièrement près des champs électriques détériore aussi les plastiques, la chaleur a un effet de dégradation exponentiel dans le temps et bien sur le temps a une effet de dégradation. Autre possibilité c'est l'incompatibilité à long terme entre certains matériaux utilisés dans la fabrication des medias qui se dégrade mutuellement. La meilleure chose à faire c'est de garder nos media dans un endroit propre, à la noirceur, dans un environnement sans condensation mais pas trop sec à une température basse et loin des source ou de charges électriques. Pour ce qui est de mettre des CD/DVD dans un congélateur je ne ferais pas cela p.c.q. l'air dans les congélateurs est pas mal sec. En fait le point de rosée d'un congélateur est très bas autour de -15C. Une bonne pratique pour archiver des données est de garder plus d'une source identique sur des média différents, CD et DVD. Personnelement j'ai constaté que certains de mes CD-R ne fonctionnent plus seulement après quelques années. J'ai aussi remarqué que ces CD-R étaient des médias sans marque que j'avais payé pas cher. Les meilleurs CD-R que j'ai eut étaient les Kodak Ultima 80 contenant de l'or et les Verbatim avec la technologie Blue Azo. J'ai beau les laisser au soleil dans mon auto et ils durent...

une nuit au Burj Al-Arab de Dubai ,un 7 étoiles a 1,650$ US

Opra Winfrey y sera peut être,ou bill gates,qui sait http://www.burj-al-arab.com/

http://www.anvari.org/cols/Burj_Alarab.html ou le centre touristique The World un ensemble de 300 îles en forme de planisphère;le prix moyen de chacune des îles a coûtées environ 25 millions $. http://www.linternaute.com/savoir/diaporama/dubai/the-world.shtml