William Buffet(L'Oracle d'Obama) lui achète des cie pour des peanuts pendant ce temps de crise ou tout le monde se serre la ceinture.
L'Assureur AIG renfloué par le gouvernement américain, a offert un séminaire de 440 000$ à ses cadres!!!
440 000 dollars pour une réunion à la station balnéaire de Saint-Regis, au sud de Los Angeles.
«C'est honteux», a réagi Dana Perino, porte-parole de la Maison Blanche. AIG a payé le séminaire après avoir bénéficié d'un prêt de 85 milliards de dollars du gouvernement qui lui a permis d'éviter la faillite le mois dernier.
Et dans le monde en Islande qui a cause de ses banques qui ont fait des investissements hasardeux ;la monnaie plonge et le premier ministre a dit que le pays rtisquait la faillite.
Le 15 Oct , l'irlande refuse l'aide du FMI(fond monétaire international= aide les pays a rester dans la pauvreté )et demande l'aide monétaire de la Russie.(4 milliards d'euro)
Au Royaume uni; Northern Rock avit été la première banque a flancher et a être nationalisée en urgence .
En Irlande; le gouvernement a décidé de garantir tous les fonds déposés dans les banques du pays . Ce qui irrita les autres pays de L'UE.
En Espagne; Même si le géant Santander en profite actuellement pour grandir en europe. Victime d'un très brutal krach immobilier,le pays pourrait souffrir plus que les autres.
Au Bénélux; le bancassureur belgonéerlandais Foris et la banque franco-belge Dexia , ont été secourus par les états a cause de leur trop forte exposition a la crise.
En France; BNP Paribas avait été la première banque européenne a fermer des fonds des août 2007. Aujourd'hui la crise lui permet de grandir sur le marché européen grâce au rachat de Fortis(du Bénélux).La banque la plus attaquée est Natixis , filiale des caisses d'épargne et des banques populaires ,forçant ces 2 établissements a une fusion plus rapide que prévu.
En Italie; malgré les assurances du président du conseil Berlusconi certaines banques italiennes pourraient elles aussi souffrir ,comme le géant Unicrédit ,très impliqué a l"étranger.
En Allemagne; les déboires des banques publiques régionales avaient déja alerté. La situation de la banque immobilière Hypo Real Estate a forcé a adopter des mesures d"urgences et une attitude plus accommodante vis-a-vis des autres pays.
Dernièrement,(14 Oct.),les marchés ont réagi a l'action musclée et concertée des pays membres de la zone euro et de l'angleterre qui ont annoncé qu'ils allaient injecter jusqu'a 2000 milliards de dollards US dans leurs système bancaire respectif ,réalisant leur intervention sur 2 fronts a la fois.
Dans un premier temps ,les pays européens vont garantir les transactions de financement interbancaires pour mettre fin a l'hésitation persistante et fort dommageable qu'avaient les banques a se prêter entre elles.
Dans un deuxième temps, ces mêmes pays dont la France ,l'Allemagne,l'Italie,l'Espagne,et la Suède vont prendre des participations dans des banques qui éprouvent des problêmes de liquidités, afin de les refinancer pour qu'elles se remettent a participer a ce qu'on appelle la vrai économie ,celle des consommateurs et des entreprises.
Le 15 Oct. :
USA, veulent nationaliser partiellements les banques ,pour 250 milliards $ .Washington ne veut pas supplanter l'économie de marché mais la protéger , en restaurant la confiance dans le système financier.Il est prévu que les parts acquises par le gouvernement ne lui accordent pas de droit de vote dans les conseils d'administration, et les banques sont censées racheter les actions quand elles seront rétablies. Ces efforts ,selon Bush , sont destinés a bénéficier directement aux américains en stabilisant le système financier et en favorisant le rétablissement de l'économie . Cette initiative n,est pas destinée a supplanter l'économie de marché mais a le protéger .
Le fait que l'état possède un bout d'une entreprise privée est discutable pour la plupart des américains . Néanmoins l'alternative consistant a laisser les entreprises et les consommateurs sans un quelconque accès au financement est totalement inacceptable.
Selon le secrétaire du trésor , M.Paulson, le gouvernement américain allait limiter la rémunération des dirigeants d'entreprises dans le cadre du plant de sauvetage financier.
Par ailleurs, la réserve fédérale va acheter de grandes quantités de crédit a court terme a compter du 27 Oct , sa dernière tentative en date pour combattre la crise des hypothèques a risques et desserrer le crédit. La banque centrale des USA dispose désormais de pouvoirs inégalés depuis la grande dépression ,dans les années 1930 , afin d'assurer un financement a court terme crucial qui permet a beaucoup d'entreprises de payer leurs salariés et d'acheter du matériel.
Ce qui sera a surveillé,c'est les dégâts du côté dépenses des consommateurs américains.Mais d'ici a ce que toutes les mesures de recapitalisation des banques soient implantées et opérationnelles ,l'économie réelle continue de progresser et son cheminement prévisible a court terme n'augure rien de bon. On estime a 3,000 milliards $ le coût de l'effondrement du marché hypothécaire a risque . Et ça serait dû a cause de l'utilisation massive des produits financiers structurés.
Pour fonctionner de façon adéquate ,le système financier doit être le plus transparent possible . Or, les investisseurs qui achetaient des produits stucturés tout comme des "hedge funds" ne savaient pas exactement dans quoi ils investissaient . Ils ne faisaient qu'acheter une promesse de rendement ; ces mêmes investisseurs font mieux d'être patients ,puisqu'aucun raillement boursier ne survivra devant l'ampleur de la récession.
L'endettement par cartes de crédits: (du 3 Janv 2009)Les émetteurs de cartes de crédits craignent 2009!
C'est peut être 70 milliards$ pour l'ensemble du secteur.Selon des chiffres de la réserve Fédérale,l'encours et les frais a régler aux sociétés de cartes de crédits ,était évalué en Octobre 2008, a 1,000 milliards$ ,soit une hausse de plus d'un quart depuis 2003.A ce montant vient s'ajouter aux 10,540 milliards$ de crédits immobiliers souscrits par les ménages américains.Autre facteur de difficulté,le taux de chômage ,qui a déja atteint le plus haut sommet depuis 15 ans,devrait retrouver son niveau des années 1980,époque ou les cartes de crédits n'étaient pas aussi répandues.
Les pertes de crédits de Citygroup,Bank of america,American express ou Discover financial services,qui ont vu leurs actions chuter jusqu'a 80% en 2008.En octobre citygroup a reçu 45 $ milliards,et Bank of america lui 25 $ milliards, de Washington.American express ,qui va se muer en holding bancaire ,récupérera 3,4$ milliards puisés dans le troubled asset relief program.
Plus de 25% des portefeuilles des cartes de crédits de Citybank,Bank of america et Capital One sont constitués de subprimes et risquent de se traduire par davantage de pertes.
American express est très exposé aux remous financiers ,surtout en Floride et en Californie.
Tandis que JP Morgan doit absorber les pertes de Washington Mutual.
90% des encours de dettes américaines sont représentés par : Citygroup,Bank of America,Américan express,Discover financial services,Capital One,et JP Morgan.
American express et Citygroup,ont prévenu qu'elles allaient restreindre les conditions d'accès au crédit.(Il était temps !!!)
Ou va l'argent du plan Paulson ? (23 Décembre 2008)
En 2007 les dirigeants des Banques ont reçus 1,6 Milliards $ .
Une enquête de L'associated press :
Les banques qui ont reçu des Milliards dans le cadre du plan de sauvetage du système financier aux USA donnent des réponses évasives sur l'utilisation de cette aide financée avec l'argent du contribuable .
"Nous ne faisons pas de suivi dollard par dollard " se justifie Barry Koling,porte-parole des SunTrust Banks,basées en Géorgie,qui ont reçu 3,5 Milliards $.
"Nous gérons notre capital dans son ensemble " ,souligne Tim Deighton,porte-parole de régions Financial,une Banque basée en Alabama ,qui a également reçu 3,5 Milliards$.
Un certain secret ,entoure le plan Paulson,officiellement ,baptisé TARP (troubled assets relief program).Il n'y a pas de suivi sur la manière dont les Banques dépensent cet argent.
En novembre, les parlementaires du Congrès américain ont demandé aux banques de prêter l'argent, et non de le garder ou de le dépenser en primes aux dirigeants ou pour le rachat d'autres banques. Mais il n'y a aucune procédure en place pour vérifier l'utilisation des aides et aucune sanction n'est prévue dans le cas où les sociétés ne suivraient pas les recommandations des élus.
Le professeur de droit Elizabeth Warren, présidente de la commission parlementaire chargée de superviser le TARP, souligne qu'il est «tout à fait justifié que les Américains sachent comment les dollars du contribuable sont dépensés dans le secteur privé». Mais, pour le moment au moins, il ne disposent d'aucun moyen de le savoir pour le plan Paulson.
Presque toutes les banques interrogées, dont Citibank et Bank of America, deux des plus gros bénéficiaires, ont répondu en des termes généraux que ces aides leur servaient à consolider leurs comptes et accorder des prêts.
Quelques établissements ont décrit des programmes précis, comme JPMorgan, qui prévoit de dépenser cinq milliards de dollars (3,5 milliards d'euros) dans des sociétés à but non lucratif et de santé en 2009. Richard Becker, vice-président de Marshall & Ilsley, a indiqué que les 1,75 milliard de dollar (1,25 milliard d'euros) reçus permettaient à sa banque de suspendre temporairement les saisies de logements d'emprunteurs en difficulté.
Mais aucune banque n'a fourni de données comptables, même basiques, sur l'argent du TARP. «Nous préférons ne pas révéler cela», explique Kevin Heine, porte-parole de la banque New York Mellon, récipiendaire de quelque 3 milliards de dollars. D'autres assurent qu'il n'est pas possible de savoir ce que deviennent ces fonds. Bob Denham, porte-parole de BB&T, précise que l'argent du plan de sauvetage ne figure pas «dans un compte à part» dans son établissement.
Les parlementaires parlent de durcir les conditions d'octroi de l'aide sur la deuxième tranche de 350 milliards de dollars du TARP. De son côté, le secrétaire au Trésor Henry Paulson affirme que ses services tentent de renforcer leur contrôle sur les dépenses des banques.
Mme Warren assure également que sa commission tentera de contraindre les banques à apporter des réponses sur l'utilisation de l'argent. «Si les restrictions et la transparence appropriées avaient été mises en place dès le départ», nous ne serions pas dans cette situation, soupire-t-elle.
Ref.: