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jeudi 23 juillet 2009

Test de performance du PC

Je te propose ces logiciels Cinq logiciels gratuits pour évaluer son PC :

1er : SiSoft Sandra Lite


2e : SIW


3e : Aida32 ;
complet dans l’inventaire des programmes et logiciels installés, cet utilitaire est moins convaincant pour les tests


4e : Belarc Advisor (très bon pour recherche de pilotes)

5e : Everest Ultimate edition,(qui est très bien ! ) ou
Éverest Corpo Editon, que vous pouvez tous, retrouver sur le lien suivant http://www.01net.com/telecharger/



P.S. :
Mais a mon humble avis,Sisoft Sandra,Belarc et Everest sont les meilleures,par préférences !




Et pour les Pros, 3D Mark 06 : (attention, il y a un hotfix a installer,pour Vista)
3D Mark 2006 Basic Edition est un outil versatile, en ce sens où ses utilisations peuvent être diverses et variées, avec un seul et unique mode opératoire, et une seule fonctionnalité : exécuter des calculs théoriques et lourds, dans le champs de la troisième dimension. De ce fait, et en dans la mesure où les constructeurs n'appliquent pas de modifications spécifiques lors de l'exécution du programme, il permet de donner une idée des performances brutes de la machine sur laquelle il a été lancée, dans le domaine du multimédia, et plus spécifiquement des jeux. En ce sens, 3D Mark 06 comme ses ancêtres permet donc une multitude d'utilisation : concours de la machine la plus puissante, évaluation des performances d'une machine (utile dans le cadre d'opérations de montées en fréquence non garanties par le fabricant du produit), ou tout simplement test de stabilité

Tester seulement votre carte graphique : avec GPU-Z

Outre le fait que cet utilitaire renseigne sur toutes les caractéristiques concernant une carte graphique, il dispose d’un onglet « Sensor » offrant un monitoring sur diverses informations tel que, la fréquence du GPU, la fréquence de la mémoire, la température du GPU, la vitesse du ventilateur ainsi que la charge du processeur graphique.

Tester seulement votre CPU !

Avec , CpuIdle Extreme est un utilitaire qui va vous permettre de solliciter au minimum votre processeur en utilisant uniquement les ressources nécessaires. Le résultat donne une baisse significative de la température du processeur et une durée de vie plus importante. En cas de non-utilisation de l'ordinateur, le programme permet même d'arrêter complètement le processeur afin d'économiser de l'énergie. Votre système sera beaucoup plus stable qu'avant !

Tester seulement votre Disque Dur :
HD Tune est un programme permettant de vérifier les disques durs. En effet, il s'agit d'un programme qui offre la possibilité de gérer et de surveiller l'état des disques durs présents sur un ordinateur. HD Tune propose de nombreux outils d'analyses disponibles grâce au système de surveillance S.M.A.R.T, comme le contrôle de la température ou encore l'affichage d'éventuelles erreurs contenues dans les disques. De plus, HD Tune permet de tester les performances (benchmark) des disques en analysant par exemple les temps d'accès, les performances brutes, ou encore les taux de transferts en lecture/écriture.

Ou bien tester le Trio, CPU/mémoire vive/carte mère,avec CPU-Z !

Le logiciel est en mesure de donner de nombreuses informations à propos du processeur, de la carte mère et des barrettes de mémoire vive. CPU-Z donne ainsi le modèle précis du processeur ainsi que toutes ses fonctionnalités. L’utilisateur dispose de toutes les données nécessaires à un bon overclocking, que ce soit les vitesses et tailles des caches, ou bien la fréquence du FSB, ou encore le voltage du noyau et encore bien d’autres. Toutes ces informations, CPU-Z les donne en temps réel, et les remet à jour à intervalles réguliers. Très utile, lorsqu’il est nécessaire de suivre en continu les performances de l’ordinateur, par exemple après une petite séance d’overclocking, notamment pour vérifier si les fréquences ont belles et bien changées. Grand point fort de CPU-Z : il ne nécessite aucune installation. À peine téléchargé, il est déjà prêt à l’emploi et peut être transporté sur simple clé USB partout.

Tester votre ordinateur pour vos futurs jeux

Avec le System requirements Lab !

Clic ICI ,et sélectionne le jeux a tester!

En avoir pour son argent ! .......ce sera jamais pour le peuple !


Crise financière oblige, cela fait plusieurs mois que les médias nous bombardent de termes jusqu'ici méconnus: papier commercial adossé à des actifs; titrisation; subprime; dérivé de crédit; actif toxique; etc.

Récemment, une autre expression spécifique aux banques centrales a fait son entrée dans notre vocabulaire usuel. Il s'agit de l'«assouplissement quantitatif» en vertu duquel une Banque centrale achète des obligations gouvernementales et/ou corporatives afin d'injecter de l'argent neuf sur les marchés financiers. En termes simples, ceci signifie qu'elle fait fonctionner la planche à billets $$$ . La Réserve fédérale, la Banque d'Angleterre et la Banque centrale européenne sont d'ailleurs bien familières avec ce genre de mesure. Au Canada, M. Mark Carney, gouverneur de la Banque centrale, a récemment laissé entendre qu'il envisage également le recours à l'impression de monnaie.

Évidemment, on nous dit que l'assouplissement quantitatif permet de lutter contre la crise économique et de stimuler la croissance. Si c'était réellement le cas, le Zimbabwe, qui fait intensivement fonctionner sa planche à billets, devrait être aujourd'hui le pays le plus riche de la planète. Or, il vit un cataclysme économique sans précédent. Selon les dernières statistiques, ce pays enregistre un taux d'inflation de 231 000 000%, tandis que la base de production est anéantie!


Ce résultat découle d'une confusion entre l'argent et la richesse. On s'imagine qu'il suffit de mettre davantage de monnaie entre les mains des consommateurs pour que le pays prospère. C'est une erreur! La richesse, c'est notre capacité à produire des biens et services. La monnaie n'est qu'un outil pour faciliter les échanges. On est riche, non pas parce qu'on possède beaucoup d'argent, mais bien parce qu'on produit quelque chose que la société valorise.
L'assouplissement quantitatif n'étant pas synonyme de production, il ne contribue en rien à la prospérité. Par contre, comme il augmente la quantité de monnaie en circulation, il réduit la valeur de l'argent. Certes, les partisans de cette mesure prétendent que si les gens dépensent davantage, la production augmente. Ce n'est pas si simple, car nous sommes limités par notre capacité de production.


Ainsi, même si la Banque centrale versait un million de dollars dans le compte bancaire de chacun d'entre nous, nous ne serions pas plus riches. Nous aurions temporairement une illusion de richesse, mais lorsque les magasins seront incapables de répondre à la demande des millions de consommateurs frénétiques, les prix augmenteront. Au bout du compte, notre portefeuille sera plus épais, mais nous ne consommerons pas plus qu'avant. Les Zimbabwéens ont tous des valises pleines de billets de 100 milliards, mais c'est à peine suffisant pour acheter quelques produits d'épicerie! Ce qui importe, ce n'est ni la quantité de billets dont nous disposons ni leur valeur nominale, mais bien le pouvoir d'achat de chacun d'eux.


En conséquence, si l'assouplissement quantitatif ne nous rend pas plus productifs, il est en revanche annonciateur d'inflation. En effet, plus on injecte de liquidités, plus les prix augmentent. L'inflation n'est donc pas un phénomène naturel face auquel nous sommes impuissants. Milton Friedman, Prix Nobel d'économie, affirmait que «l'inflation est toujours et partout un phénomène monétaire», ce qui signifie que c'est la Banque centrale, et elle seule, qui est responsable des augmentations soutenues du niveau moyen des prix.


Mais quelles sont les conséquences de l'inflation sur nos vies? Une inflation faible, comme celle que préconise Mark Carney, n'est-elle pas souhaitable pour le bon fonctionnement de l'économie? C'est ce qu'on tente de nous faire croire, mais est-ce réellement le cas?

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L’assouplissement quantitatif.
Nous avons vu que par ce terme pseudo-scientifique, il faut simplement entendre que la Banque Centrale injecte de la monnaie dans l’économie sous forme de billets ou de virements électroniques.


Or, quand on augmente la quantité de monnaie en circulation, l’argent perd de sa valeur et il faut offrir une quantité de monnaie toujours plus grande pour se procurer les biens convoités. L’injection de liquidités occasionne une dévaluation de la monnaie et est donc responsable de la hausse généralisée du niveau des prix, communément appelée inflation.
Néanmoins, Ben Bernanke, le président de la Fed, a injecté à plusieurs reprises des sommes importantes. Quant à Mark Carney, le gouverneur de notre Banque Centrale, il a récemment déclaré qu’il envisage l’assouplissement quantitatif. Selon eux, et selon la plupart des économistes de l’école keynésienne, un taux d’inflation modéré serait nécessaire au bon fonctionnement de l’économie. La Banque du Canada s’évertue d’ailleurs à maintenir le taux d’inflation dans une fourchette de 1% à 3%.


Quel que soit son taux, l’inflation fait des gagnants et des perdants. Les gagnants sont ceux qui disposent en premier du nouvel argent, car ils peuvent le dépenser avant qu’il ne se déprécie. Ainsi, l’État qui monétise son déficit, ses fournisseurs et les bénéficiaires des plans de relance s’enrichissent. Ils ont les moyens de dépenser davantage, mais il n’y a pas nécessairement une hausse de la production. C’est alors que les prix se mettent à augmenter. Et plus on injecte des liquidités, plus les prix grimpent.


Les grands perdants:
La classe moyenne, les épargnants, les démunis, et ceux qui vivent de revenus fixes sont les grands perdants. Comme ils n’entretiennent pas une relation privilégiée avec l’État ou la Banque Centrale, ils ne profitent pas de l’injection de monnaie. Pis encore : ils s’appauvrissent, car ils se trouvent à posséder des billets dont le pouvoir d’achat ne cesse de diminuer. Par exemple, même si un taux d’inflation annuel de 2,5% paraît insignifiant, il occasionne une réduction de 50% du pouvoir d’achat en moins de trente ans. L’inflation est donc une taxe cachée qui redistribue la richesse des plus pauvres vers l’État et ses partenaires. C’est un vol!
On prétend que l’inflation est nécessaire et bénéfique à la croissance économique. Pourtant, entre 1800 et 1913, il n’y eut pratiquement aucune inflation aux États-Unis. Non seulement les prix étaient-ils stables pour l’essentiel de la période, mais ils avaient même diminué vers la fin du 19e siècle. Malgré tout, l’Oncle Sam s’est industrialisé et a été prospère.
Alors pourquoi provoquer de l’inflation? Tout simplement parce qu’elle bénéfice fortement à celui qui est endetté, car elle réduit la valeur réelle de sa créance.
Et quel pays a vu sa dette doubler au cours de la dernière année, et la doublera encore au cours de la prochaine décennie? Qui est contraint d’emprunter 1300 milliards $ cette année uniquement? Les États-Unis!


Dans les faits, l’inflation nuit à ceux qui travaillent dur pour leur argent, et permet à des gouvernements qui se sont endettés de manière suicidaire d’alléger subtilement le fardeau de leurs engagements. Manifestement, l’administration Obama privilégie une vision à court terme en tentant de régler ses problèmes financiers en profitant des politiques inflationnistes de la Fed, même si cela doit appauvrir des millions d’Américains. Est-il donc vraiment nécessaire que notre Banque Centrale imite les initiatives lamentables de nos voisins du Sud?


REF.: Merci, Nathalie !

mercredi 22 juillet 2009

Photo cute

Aller voir ça ,de bien bonnes photos inusitées.
sur http://cuteoverload.com

Projet Climat

Le Projet climatique – Canada est un organisme sans but lucratif enregistré au Canada à titre d’organisme de bienfaisance; il se consacrre à l’éducation de la population sur les changements climatiques au moyen de présentations offertes par des bénévoles. Nous espérons qu’en sensibilisant nos concitoyens à cette crise et en les informant des solutions possibles, nous parviendrons tous ensemble à préserver l’équilibre climatique dont dépend la vie sur notre planète.

Le documentaire primé Une vérité qui dérange a contribué à éduquer des millions de personnes sur les impacts des changements climatiques.
En avril 2008, Al Gore a formé lui-même 250 Canadiennes et Canadiens afin qu’ils offrent à leur tour une présentation semblable à celle qui figure dans le documentaire, mais bâtie sur mesure autour de problèmes canadiens et pour des auditoires canadiens.
Des personnes de tous les horizons et de toutes les régions du pays se sont rassemblées à Montréal, au cours d’une fin de semaine, avec un objectif commun : apprendre à étendre la sensibilisation aux changements climatiques.