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mercredi 4 novembre 2009

Jour J pour le iPhone et le réseau HSPA chez BELL

Avec un an et demi de retard sur Rogers, Bell déploie son réseau sans fil haute vitesse et met en vitrine le iPhone aujourd'hui. Telus suivra demain.

La fin du monopole de Rogers a donc sonné. Le consommateur qui souhaite avoir un téléphone intelligent, un iPhone ou un autre, a désormais le choix. Sa vitesse de téléchargement sera la même chez les trois opérateurs.

Toutefois, côté porte-monnaie le magasinage sera vite fait, le prix du iPhone et du forfait est jusqu'à maintenant sensiblement le même que l'on choisisse Rogers, Bell ou Telus. Le contrat de trois ans est également la norme partout.

Reste le service à la clientèle. De ce côté, c'est Telus qui serait le meilleur à en juger par le rapport du Commissaire aux plaintes relatives aux services de télécommunications publié hier. Des trois opérateurs, c'est en effet Bell qui totalise le plus de plaintes (1239), suivi de Roger (672) et Telus (579).

Partout sauf au Québec?
Toutefois, les consommateurs du Québec et de la région d'Ottawa resteraient limités à une vitesse maximale de 10 mégabits par seconde jusqu'au premier trimestre 2010.

Le HSPA à 21 mégabits par seconde ne serait en effet pas encore disponible partout à en croire Pierre Duhamel sur son blogue. Des régions reculées et peu populeuses, comme le Nord de l'Alberta ou les côtes de Terre-Neuve, ont pourtant accès au nouveau service. Nos demandes de renseignements auprès de Bell sont jusqu'à maintenant restées sans réponse.

Au premier trimestre 2010, Videotron sera sur le point de lancer son propre réseau sans fil.


REF.:

mardi 3 novembre 2009

La policière Stéphanie Pilotte témoigne à l'enquête Villanueva




Stéphanie Pilotte
Jean-Loup Lapointe
Ce que ça devrait avoir l'aire ,après le procès,dans 10 ans!!!




Bernard Barbeau
La Presse Canadienne
Montréal
La policière Stéphanie Pilotte, impliquée dans l'incident qui a mené à la mort de Fredy Villanueva, bénéficiait de beaucoup de soutien moral, vendredi après-midi, au palais de justice de Montréal, alors qu'elle amorçait son témoignage.
Plusieurs de ses collègues étaient présents, incluant l'agent Jean-Loup Lapointe, celui-là même qui a abattu le jeune Latino. La présence du policier dans la salle a grandement troublé la famille Villanueva.
Pour la première fois, donc, un acteur direct de la tragédie prenait la parole. Le coroner André Perreault a toutefois dû ajourner son enquête, en fin de journée, alors que Mme Pilotte arrivait au point où tout allait se jouer.
Et elle ne poursuivra son témoignage que le 9 décembre. Les audiences reprendront le 8 décembre, mais la jeune femme ne pourra être présente à cette date.
Le procureur du coroner, François Daviault, a surtout mis la table, vendredi.
Stéphanie Pilotte lui a indiqué qu'elle avait reçu son diplôme de l'Ecole nationale de police en décembre 2006 pour entrer en fonction au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) en février 2007. Elle a immédiatement été affectée à un poste de Montréal-Nord, que les policiers surnomment «Le Bronx» parce qu'il s'agit d'un quartier «chaud».
Elle n'avait ainsi qu'une année et demie d'expérience au moment du drame.
De petite taille, Mme Pilotte a elle-même souligné que ses collègues l'ont parfois taquinée.
«Ils riaient de moi quand ils me voyaient au volant d'une Crown Victoria», a-t-elle lancé en référence aux voitures les plus imposantes que les policiers utilisent, faisant sourire une partie de la salle.
Elle a par ailleurs indiqué qu'elle n'a jamais fait feu lors d'une intervention. Elle n'a même eu à dégainer son arme et à la pointer vers quelqu'un qu'une seule fois.
Comme elle faisait du temps supplémentaire, le soir du 9 août 2008, elle ne travaillait pas avec son équipière habituelle. C'était la première fois qu'elle était jumelée à Jean-Loup Lapointe.
Stéphanie Pilotte a raconté que c'est par coïncidence qu'ils sont tombés, lors d'une patrouille, sur un groupe d'individus dont quatre ou cinq formant un cercle étaient penchés vers le sol.
«Ils jouent aux dés», lui aurait dit M. Lapointe. Ils contrevenaient ainsi à un règlement municipal sur les paris et les jeux de hasard, règlement que la jeune femme connaissait mais pour lequel elle n'était jamais intervenue.
Alors qu'elle venait d'accepter de répondre à un appel pour une tout autre affaire (une histoire de bruit), elle a constaté que l'agent Lapointe venait de sortir de leur voiture. Elle l'a suivi et les deux se sont dirigés vers un jeune homme qui avait quitté le groupe. Ils apprendraient plus tard qu'il s'agissait de Dany Villanueva, le frère de Fredy.
La suite en décembre.
Comme Mme Pilotte l'avait relaté un peu plus tôt, le hasard a aussi voulu que les deux agents rencontrent quelques minutes avant la tragédie Jeffrey Sagor Metellus, au sujet de qui Jean-Loup Lapointe avait fait une recherche avec l'ordinateur de leur voiture environ deux heures plus tôt. M. Metellus allait sous peu recevoir dans le dos un projectile du même Jean-Loup Lapointe.
«Ç'a été très bref, a-t-elle dit au sujet de cette rencontre. Au maximum une minute.» Les deux jeunes hommes, qui se connaissaient, se sont simplement salués, selon elle.
Beaucoup de tension dans la salle
Non seulement l'agent Lapointe a offert une présence très remarquée, lors de ce témoignage très attendu, il était accompagné de ce qui semblait être au moins cinq gardes du corps. Et plusieurs autres policiers étaient aussi sur place.
«Je ne pense pas que nos clients assis dans la salle vont faire des choses méchantes», a assuré après l'ajournement l'avocat de M. Metellus et principal porte-parole du camp Villanueva, Alain Arsenault.
«Je trouve qu'il y a beaucoup de gens avec des oreillettes et des trucs semblables, a-t-il ajouté. Je trouve ça lourd comme atmosphère.»
La mère des frères Villanueva, Lilian Madrid Antunes, et l'agent Lapointe ont échangé de nombreux regards tout au long de l'après-midi, des regards qui semblaient souvent très durs, aucun des deux n'acceptant de baisser les yeux.
«C'était la première fois pour la mère qu'elle était confrontée à l'individu qui a fait feu sur son fils, qui a causé sa mort, a confié en fin de journée l'avocat des Villanueva, Peter Georges-Louis. C'était très difficile pour les parents.»
«Il a tout à fait le droit d'y être, a-t-il reconnu. Mais mettez-vous à la place d'un père ou d'une mère qui ont perdu un de leurs enfants.»
Une scène souillée
Vendredi matin, c'est l'état des lieux dans les heures suivant l'intervention qui avait retenu l'attention.
Le drame s'est déroulé dans un endroit public où il y avait beaucoup de va-et-vient. La scène a donc été «contaminée et souillée», comme l'a dit le coroner Perreault.
Ainsi, deux des quatre douilles trouvées par terre avaient été partiellement aplaties.
Des pièces de monnaie jonchaient aussi le sol, tout comme des lunettes fumées endommagées, ce qui survient souvent lorsqu'il y a eu bousculade, a affirmé l'enquêteur en scène d'incident de la Sûreté du Québec (SQ) Sylvain Landry.


REF.:


Fredy Villanueva se trouvait à une quinzaine de pouces de l'arme(*) du policier Jean-Loup Lapointe quand celui-ci a fait feu sur lui, peu après 19h00, le soir du 9 août 2008, dans un parc de Montréal-Nord.
C'est ce qu'indique un rapport d'analyse présenté mardi au palais de justice de Montréal, devant le coroner ad hoc André Perreault. Le sergent-détective Bruno Duchesne, enquêteur principal de la Sûreté du Québec (SQ) dans ce dossier, poursuivait alors son témoignage.
Les différents documents et déclarations évoqués en cour semblent indiquer que les agents Jean-Loup Lapointe et Stéphanie Pilotte avaient interpellé Dany Villanueva - le frère de Fredy -, qui contrevenait apparemment à des conditions que la Cour lui avait imposées, et qu'ils essayaient de l'immobiliser quand le policier Lapointe et lui se sont retrouvés par terre.
C'est à ce moment que Fredy Villanueva aurait tenté de prêter main-forte à son frère.
Il est vraisemblablement le seul à l'avoir fait. Il aurait eu la main gauche presque au sol et la main droite en l'air quand il a été atteint de trois projectiles. Son corps portait des marques de brûlures d'arme à feu, selon le sergent-détective Duchesne.
L'hypothèse de départ de la SQ, transmise par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), voulait qu'au moins un des jeunes en cause ait étranglé l'agent Lapointe. Or, ce dernier a subi un examen médical dans les heures suivant l'incident et on ne lui a constaté aucune blessure au cou.
Par ailleurs, on connaissait déjà le passé chargé de Dany Villanueva, mais on n'a appris que mardi que l'Agence des services frontaliers du Canada s'intéressait à son cas.
Celle-ci a contacté la SQ le 15 août 2008 afin d'obtenir la confirmation que le jeune homme dont il était question dans les médias était bien le même que celui au sujet de qui elle conservait un dossier. Originaire du Honduras, Dany Villanueva était résident permanent et non citoyen canadien.
Il est toujours devant les tribunaux pour une affaire de vol qualifié survenue en juin 2008, et avait déjà été condamné à 11 mois de détention pour une précédente affaire semblable. La Couronne songe aussi à porter des accusations contre lui pour une troisième affaire de moindre importance.
Un traitement de faveur pour les policiers?
Les avocats du camp policier ont d'autre part voulu rétablir mardi la crédibilité de l'enquête de la SQ, mise à mal lundi par Me Alain Arsenault, l'avocat de Jeffrey Sagor Metellus, l'un des deux jeunes blessés dans l'incident. Ils ont également voulu démontrer que les agents de la paix ne bénéficient d'aucun traitement de faveur devant l'appareil judiciaire.
En contre-interrogeant Bruno Duchesne, l'avocat de la Fraternité des policiers de Montréal, Michael Stober, lui a fait confirmer que tout témoin ou suspect, civil ou policier, a le droit de refuser de répondre aux questions.
M. Duchesne a aussi souligné que «dans la majorité des cas», on rencontre les suspects à la fin d'une enquête, et qu'il n'avait pas de raison, dans la présente affaire, de s'éloigner de cette habitude.
De plus, Me Stober a fait dire à Bruno Duchesne que rien ne le forçait à séparer les agents Jean-Loup Lapointe et Stéphanie Pilotte, comme son équipe l'avait fait pour les autres témoins, puisqu'il ne souhaitait pas les interroger dans les heures suivant la mort de Fredy Villanueva. Il n'aurait vraisemblablement pas pu les isoler l'un de l'autre pendant des jours, voire des semaines.
Le procureur de la Ville de Montréal et du SPVM, Pierre Yves Boisvert, a ensuite souligné qu'un rapport doit impérativement être soumis à la Couronne dans toute enquête qui vise un policier, ce que M. Duchesne a confirmé. C'est le cas même si l'enquêteur estime qu'aucune accusation ne devrait être portée.
Or, il semble que ce ne soit pas vrai dans le cas d'une enquête visant un civil. La police peut elle-même fermer le dossier.
Me Boisvert a ainsi voulu démontrer que non seulement les policiers ne jouissent pas d'un traitement de faveur, ils ont encore plus l'obligation de montrer patte blanche.
Répondant plus tard à Alexandre Popovic, de la Coalition contre la répression et les abus policiers (CRAP), Bruno Duchesne a assuré qu'il n'a «aucun préjugé favorable» envers les policiers. Il a cependant réitéré être d'avis qu'on peut, de par leur fonction, «présumer qu'ils sont honnêtes».


LES BLESSURES DES 2 POLICIERS:
Par les 3 photos ci-dessus,ni Jean-Loup ou Stéphanie,n'ont été gravement agressés ou blessés,ce ne sont que des blessures superficielles,aux bras et aux jambes.Fait interressant,selon les rapports personnels des 2 policiers; Jean-Loup ,qui aurait reçu un solide coup de poing a la machoire n'a pu rien montré de grave lors de son examen médicale;donc cela prouve que dans les faits les rapports des policiers n'étaient vraiment pas juste et honnête.Et que la seule arme trouvé sur les latinos présent n'était qu'un vulguère canif de gamin et des Dés.

(*) L'armurier du SPVM, Alexandre Limoges, entendu aujourd'hui est donc venu expliquer les mécanismes de sécurité des étuis d'armes à feu que possèdent les policiers.
Selon lui, le type d'étui que portait le policier Lapointe le 9 août 2008 possédait trois dispositifs de sécurité fonctionnels, c'est pourquoi, bien qu'il était possible pour un civil de sortir l'arme de son étui, le tout lui semblait peu probable. Il a donc estimé que le policier n'avait pas à craindre d'être désarmé.
Questionné sur les habiletés nécessaires pour réussir cette manœuvre, l'avocat de la famille Villanueva, Me Peter Georges-Louis, a également souligné que pour quelqu'un qui serait «strictement néophyte dans les armes à feu ou les étuis», ce serait «très difficile».

Deux ans plus tard

L'enquête publique sur la mort de Fredy Villanueva avait été suspendue en 2010, le temps que la Cour supérieure entende les requêtes de la Ville de Montréal et de la Fraternité des policiers et des policières de Montréal qui s'opposaient à l'examen de ces mécanismes de sécurité, faisant valoir qu'il s'agissait d'informations privilégiées qui ne devaient pas être divulguées.
«Souvenons-nous en 2008, après le décès, il y a eu beaucoup de brasse-camarade. La Ville a eu peur de ça, a commenté aujourd'hui l'avocat d'un des jeunes blessés, Me Alain Arsenault. C'est l'analyse que je fais de la position de la Ville et de la Fraternité: ils n'en veulent pas du rapport.»
Même si les demandes déposées à la Cour supérieure ont été rejetées en avril 2011, une partie du témoignage de l'armurier M. Limoges a tout de même été frappée d'une ordonnance de non-publication.

REF.:

Le film Prince of Persia: The Sands of Time ,sort en Mai 2010

Le film Prince of Persia: The Sands of Time,est l’adaptation cinématographique du jeu du même nom, sorti en 2003, développé par Ubisoft Montréal. Il est réalisé par Mike Newell (Four Weddings and a Funeral, Donnie Brasco et Harry Potter and the Goblet of Fire ), produit par Jerry Bruckheimer et Walt Disney Pictures et avec Jake Gyllenhaal (Prince Dastan), Gemma Arterton (Tamina), Ben Kingsley (Nizam) et Alfred Molina (Sheik Amar). En salles en mai 2010.


REF.: Merci Gina xXx

lundi 2 novembre 2009

Est-ce que la vaccination a de l'importance ?

Conduire trop vite le long de Red Lion Road, à côté du Nord-Aéroport de Philadelphie, et vous allez manquer le bâtiment de faible élévation de ciment où la société de biotechnologie MedImmune a été pomper tranquillement vaccin contre la grippe porcine à environ un million de doses par semaine. Pendant tout l'été et l'automne, les travailleurs qui portent un équipement de protection qui les couvrait de la tête aux pieds brassée en place des lots de virus vivants génétiquement modifiés contre la grippe. Robots alors injecté de petites doses de virus de fluide en charge dans des flacons en verre, qui ont été montées dans spritzers nasales, étiquetés et préparés pour l'expédition à la direction des Centers for Disease Control and Prevention, à Atlanta, qui aide à coordonner la pandémie de la nation la préparation du plan. Dans le programme le plus ambitieux de vaccination, le pays a monté depuis la campagne anti-polio dans les années 1950, le gouvernement fédéral a commandé MedImmune et quatre autres entreprises de produire suffisamment de vaccins pour couvrir toute la population américaine.


La vaccination est essentielle au plan du gouvernement pour la prévention des décès de la grippe porcine. Le CDC a recommandé que les quelque 159 millions d'adultes et les enfants reçoivent soit un vaccin contre la grippe porcine ou une dose de vaccin nasal MedImmune cette année. Les plans sont offerts dans les bureaux de médecins, les hôpitaux, les aéroports, les pharmacies, les écoles, les lieux de vote, les centres commerciaux et magasins à grande surface comme Wal-Mart. En août, l'état de New York exige que tous les travailleurs de la santé pour obtenir la fois saisonnières et des coups de la grippe porcine. Afin de mieux protéger la population, le gouvernement fédéral a dépensé plus de $ 3 milliards de dollars le stockage de doses de médicaments antiviraux comme le Tamiflu, qui sont utilisés tant pour prévenir la grippe porcine et pour traiter ceux qui tombent malades.

Mais si tout ce que nous pensons a propos du combat de la grippe serait faux?
Que faire si les vaccins contre la grippe ne protègent pas les gens de mourir, en particulier les personnes âgées, qui représentent 90 pour cent des décès de la grippe saisonnière? Et si les médicaments antiviraux coûteux que le gouvernement a accumulé au cours des dernières années ont également peu, le cas échéant, le pouvoir de réduire le nombre de personnes qui meurent ou sont hospitalisés? Le gouvernement des États-Unis avec l'appui des dirigeants de la santé publique et la communauté médicale, a mis sa foi dans la puissance des vaccins et des médicaments antiviraux pour limiter la propagation et la létalité de la grippe porcine. D'autres plans pour contenir la pandémie semblent anémiques en comparaison. Pourtant, certains chercheurs grippe haut sont profondément sceptiques des deux vaccins contre la grippe et d'antiviraux. Comme les ingénieurs qui ont mis en garde pendant plusieurs années sur les digues de la Nouvelle-Orléans, ces experts avertissent que nos défenses peuvent être viciées, et très probablement inefficaces contre la grippe vraiment mortel. Et que si nous sommes prêts à poser des questions fondamentales sur la science derrière les vaccins antigrippaux et d'antiviraux, nous pourrions nous trouver, dans une épidémie de mal, aussi impuissants que les citoyens de la Nouvelle-Orléans pendant l'ouragan Katrina.


La grippe terme, qui remonte au Moyen Age, est tiré du mot italien de l'occulte ou l'influence astrale. Alors, comme maintenant, la grippe semble apparaître de nulle part, chaque hiver, invalidante ou de tuer un grand nombre de personnes, pour disparaître au printemps. Aujourd'hui, la grippe saisonnière est estimée à tuer environ 36.000 personnes dans les États-Unis chaque année et un demi-million dans le monde entier.

Pourtant, la grippe, à bien des égards importants, il reste encore mystérieuse. Déterminer combien de décès qu'elle provoque réellement, ou même qui l'a, n'est pas chose simple. Nous pensons avoir la grippe, n'importe quand on tombe malade d'une maladie qui amène sur les maux de tête, malaise, fièvre, toux, éternuements, et ce sentiment Achy comme si nous avons dormi sur un lit de rochers, mais les chercheurs ont constaté que dans la plupart des demi, et peut-être aussi peu que 7 ou 8 pour cent, de ces cas sont en fait causés par un virus grippal dans une année donnée. Plus de 200 virus connus et d'autres agents pathogènes peuvent causer la suite de symptômes appelé "syndrome grippal"; virus respiratoire syncytial, bocavirus, coronavirus, rhinovirus et ne sont que quelques-uns des bugs qui peuvent faire qu'une personne se sent pourri. Et en fonction de la saison, à hauteur des deux tiers des cas de syndrome pseudo-grippal, aucune cause, à tous puisse être trouvée.


Personne ne sait précisément pourquoi nous sommes beaucoup plus susceptibles d'attraper la grippe en hiver qu'en d'autres périodes de l'année. Peut-être que c'est parce que les virus de la grippe prospérer dans des températures fraîches et sont tués par l'exposition au soleil. Ou c'est peut-être parce qu'en hiver, les gens passent plus de temps à l'intérieur, où un éternuement ou la toux peuvent plus facilement transmettre le virus à d'autres. Ce qui est certain est que les virus de la grippe mute avec une rapidité étonnante, de sorte que chaque saison de la grippe voit légèrement différentes versions génétique du virus qui a infecté des gens l'année d'avant !

Chaque année, l'Organisation mondiale de la Santé et les Centers for Disease Control and Prevention recueillir des données à partir de 94 nations sur le virus de la grippe qui ont circulé l'année précédente, puis faire une supposition éclairée dont les virus sont susceptibles de circuler à l'automne à venir. Sur la base de ces informations, la US Food and Drug Administration des questions de l'ordre de fabricants en Février pour un vaccin incluant les trois souches les plus probables.



De temps en temps, cependant, un bug très différents se soulève et peuvent infecter les gens beaucoup plus que les variantes de la grippe saisonnière normale peut faire. Ce sont ces nouveaux virus qui sont responsables des pandémies, définie par l'Organisation mondiale de la santé comme des événements qui se produisent lorsque "un nouveau virus grippal contre lequel apparaît la population humaine n'a pas d'immunité» et qui peut être emporté partout dans le monde en un temps très court. Le pire pandémie de grippe dans l'histoire enregistrée était de la «grippe espagnole» de 1918-19, à la fin de la 1ière Guerre Mondiale.La population du tiers monde,est infectée, avec au moins 40 millions et peut-être jusqu'à 100 millions de plus de personnes mortes,que ceux qui ont été tués dans les World Wars I et II .(Certains spécialistes estiment que l'une des raisons du monde Wari terminé, c'est que tant de soldats étaient malades ou de mourir de la grippe.) Depuis lors, deux autres pandémies de grippe se sont produites, en 1957 et 1968, dont aucun n'était particulièrement meurtrière.


En août, le Conseil présidentiel des conseillers sur la science et la technologie prévu que cet automne et l'hiver, la grippe porcine, H1N1, peut infecter n'importe où entre un tiers et la moitié de la population américaine et peut en tuer autant que 90.000 Américains, deux et une fois et demi le nombre de personnes tuées dans une saison de grippe classique. Mais précisément pour savoir si la H1N1 sera mortelle, ou même infectieuses, la pandémie de H1N1 de cette année ne sera révélé qu'a la fin de la saison des grippes. La plupart des rapports en provenance de l'hémisphère Sud à la fin août (à la fin de l'hiver là-bas) a suggéré que la grippe porcine est extrêmement contagieuse, mais pas particulièrement meurtrière. Par exemple, les autorités australiennes ont estimé qu'ils finiraient en vertu de l'hiver avec les décès de la grippe porcine de 1000 de moins que l'habitude de 1500 à 3000 de la grippe saisonnière. Parmi ceux qui sont morts aux États-Unis, environ 70 pour cent souffraient déjà de maladies congénitales comme la paralysie cérébrale ou des maladies sous-jacentes telles que le cancer, l'asthme ou le sida, qui rendent les gens plus vulnérables.


Les Fonctionnaires de la santé considèrent que leur vaccin contre la défense la plus redoutable contre la pandémie, en effet, contre toute la grippe et sur la surface, leur foi, semble justifiée. Les vaccins développés au cours du 20ème siècle réduit les taux de décès de près d'une douzaine de maladies infectieuses telles que la variole et la poliomyélite et la vaccination est devenue l'une des armes les plus puissantes médecine. Virus de la grippe a été identifiée dans les années 1930, et par le milieu des années 1940, les chercheurs ont produit un vaccin qui a été accordée aux soldats dans la World WarII. Le gouvernement américain se penche sérieusement sur la promotion du vaccin anti-grippe après la pandémie de 1957 a introduit la grippe influenza maison continue potentiel de causer une maladie répandue et la mort. Aujourd'hui, le vaccin contre la grippe est un aliment de base de la politique de santé publique; dans une année normale, quelque 100 millions d'Américains vont se faire vacciner.


Mais alors que les vaccins pour, disons, la coqueluche et la poliomyélite de façon claire et considérablement réduit les taux de mortalité de ces maladies, l'impact du vaccin antigrippal a été plus difficile à déterminer. Grippe va et vient avec les saisons, et souvent elle ne tue pas les gens directement, mais contribue plutôt à la mort en rendant le corps plus vulnérable aux infections secondaires, comme une pneumonie ou une bronchite. Pour cette raison, les chercheurs étudient l'impact de la vaccination contre la grippe en général regarder les décès toutes causes confondues, durant la saison de la grippe, et de comparer les populations vaccinées et non vaccinées.

Ces comparaisons ont montré une différence spectaculaire de la mortalité entre ces deux groupes: l'étude après étude a constaté que les personnes qui obtiennent un vaccin contre la grippe à l'automne sont environ deux fois moins de chances de mourir cet hiver-là de toute cause que les personnes qui n'en ont pas. Procurez-vous vacciner contre la grippe chaque année, la littérature suggère, et vous allez réduire considérablement vos chances de mourir durant la saison de grippe.


Pourtant, de l'avis de plusieurs vaccins sceptiques, cet argument est suspectes a leur face. La grippe ne provoque qu'une petite minorité de tous les décès aux Etats-Unis, même chez les personnes âgées, et même après l'ajout dans le décès de la grippe qui pourrait avoir contribué indirectement. Lorsque les chercheurs de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses inclus tous les décès dus aux maladies que la grippe aggrave, comme les maladies pulmonaires ou d'insuffisance cardiaque chronique, ils ont constaté que la grippe compte pour, au plus, 10 pour cent des décès d'hiver chez les personnes âgées. Alors, comment le vaccin contre la grippe pourrait éventuellement réduire le total des décès de moitié? Tom Jefferson, un médecin basé à Rome et le chef du Champ vaccins à la Cochrane Collaboration, un réseau international de chercheurs très respectés qui apprécie les preuves médicales, explique: "Pour un vaccin pour réduire la mortalité de 50 pour cent et jusqu'à 90 pour cent en certaines études moyens dont elle dispose pour prévenir les décès et pas seulement de la grippe, mais aussi contre les chutes, les incendies, les maladies cardiaques, les infarctus et les accidents de voiture. Ce n'est pas un vaccin, c'est un miracle. "



L'estimation de la réduction de 50 pour cent de la mortalité est fondée sur «les études de cohorte, qui comparent les taux de mortalité dans de grands groupes, ou des cohortes, de personnes qui choisissent d'être vaccinés, contre des taux de décès dans les groupes qui n'en ont pas. Mais les gens qui choisissent de se faire vacciner peuvent différer à plusieurs égards importants de gens qui vont non vaccinés, et ces différences peuvent influencer la probabilité de décès pendant la saison grippale. L'éducation, le mode de vie, de revenu et de nombreux autres «confondants» facteurs peuvent entrer en jeu, et en conséquence, les études de cohorte sont notoirement sujettes à des biais. Lorsque les chercheurs crunch les chiffres, ils essaient généralement de tenir compte des variables qui pourraient influencer les résultats, mais, comme le remarque Jefferson, "vous pouvez régler pour la connaissance sur les facteurs de confusion, pas pour celles dont vous n'avez pas", et les chercheurs peuvent ' t toujours anticiper quels facteurs sont susceptibles d'être important de savoir si un patient meurt de la grippe. Il ya toujours le risque qu'ils pourraient manquer certains facteurs de confusion critique qui rend leurs résultats tout à fait tort.


Quand Lisa Jackson, un médecin et chercheur principal au Centre de recherche en santé du Groupe, à Seattle, a commencé à se demander à voix haute à des collègues si peut-être quelque chose n'allait pas avec l'estimation de la réduction de 50 pour cent de mortalité des personnes qui reçoivent le vaccin contre la grippe, la réponse elle se sonnait plus comme la doctrine que la science. «Les gens m'ont dit, 'Rien de bon,ne peut venir de ça», dit-elle. »« Potentiellement beaucoup de chose puisse leur arriver »pour moi professionnellement en faisant une critique qui pourrait dissuader les gens de vous faire vacciner, car bien sûr,« Nous savons que les œuvres vaccin ". Il s'agissait de la sagesse qui prévaut».



Néanmoins, en 2004, Jackson et trois collègues ont entrepris de déterminer si la différence de mortalité entre les vaccinés et non vaccinés peuvent être causés par un phénomène appelé «l'effet de l'utilisateur en bonne santé." Ils ont émis l'hypothèse qu'en moyenne, les gens qui sont tout simplement se faire vacciner meilleure santé que ceux qui n'en ont pas, et donc moins susceptibles de mourir sur le court terme. Les gens qui n'aiment pas se faire vacciner car alités ou trop malades pour aller prendre un coup de feu. Ils peuvent également être plus susceptibles de succomber à la grippe ou toute autre maladie, parce qu'ils sont généralement plus âgés et plus malades. Pour tester leur mémoire, Jackson et ses collègues ont passé au peigne fin de huit années de données médicales sur plus de 72.000 personnes de 65 ans et plus. Ils ont regardé qui a obtenu le vaccin antigrippal et qui n'a pas fait. Puis ils ont examiné les membres du groupe étaient plus susceptibles de mourir d'une cause où il n'était pas la saison grippale.


Les Conclusions de Jackson a montré que, en dehors de la saison de la grippe, le risque initial de décès parmi les personnes qui ne se sont pas vaccinés a été d'environ 60 pour cent plus élevé que chez ceux qui n'ont, en appuyant l'hypothèse qu'en moyenne, les personnes en bonne santé a choisi de recevoir le vaccin, tandis que les «personnes âgées fragiles» n'a pas pu ou n'a pas. En fait, l'effet bénéfique utilisateur a expliqué tout l'avantage que d'autres chercheurs attribuaient vaccin de la grippe, ce qui suggère que le vaccin lui-même ne puisse réduire la mortalité à tous. Jackson's papers "sont belles", dit Lone Simonsen, qui est un professeur de la santé mondiale à la George Washington University, à Washington, DC, et un expert reconnu internationalement dans la grippe et l'épidémiologie des vaccins. "Ce sont des études classiques en épidémiologie, ils sont si bien fait."

Les résultats ont également été aussi inattendu que de nombreux experts ont simplement refusé de les croire. Documents de Jackson ont été rejetées pour publication dans le top-ranked revues médicales. Un expert de la grippe qui a examiné ses études pour le Journal de l'Association médicale américaine a écrit, "à accepter ces résultats serait de dire que la terre est plate» Quand les papiers ont finalement été publiées en 2006, dans l'International Journal of Epidemiology moins important , ils ont été largement ignorées par les médecins et les responsables de la santé publique. "La réponse que j'ai reçu», dit Jackson, «n'était pas la bonne réponse».










REF.:

LE JEUNE ONTARIEN N'EST PAS MORT DE LA GRIPPE

«LE JEUNE ONTARIEN N'EST PAS MORT DE LA GRIPPE»


Samedi, le 31 octobre 2009 - 10h03 am. - Radio-Canada annonce sur 95,1 FM, que le jeune ontarien soi-disant mort de la grippe, est finalement mort d'une « MÉNINGITE !».

Après avoir ameuté tout le Québec et publié durant plus de «DEUX JOURS» et «À LA UNE» que le jeune ontarien était mort à cause de la méchante gri-grippe porcine...

Radio-Caca-Nada publie aujourd'hui un léger correctif ...

...en bas.. .en bas... en bas... de la page....

...en p'tits, p'tits caractères ... sur fond gris...

Ceci...


Révélation étonnante

...Le directeur de la santé publique du Québec, le Dr Alain Poirier affirme que le jeune Ontarien de 13 ans, que l'on croyait mort du H1N1, cette semaine, aurait plutôt succombé à une méningite. M. Poirier a fait cette déclaration, vendredi, lors de l'émission 24 heures en 60 minutes, animée par Anne-Marie Dussault...

Et ça c'est sans compter les 186 morts en Australie (sur 35 millions d'habitants alors qu'on en avait prédit 7000 !!

- 500,000 personnes meurent chaque année de la grippe ordinaire...

Si c'est ce type d'information qui vous rend malade..

Promptrétablissement...


Référence :

Révélation étonnante / Radio-Canada :

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2009/10/30/001-grippe_vendredi.shtml



REF.: