Sexualité 101: par les temps crus et mensongés que l'on traverse

Le Centre des sciences de Montréal présente depuis le 15 avril Sexe: l'expo qui dit tout!, une création originale et unique sur la sexualité.

L'exposition permet aux visiteurs d'explorer les sujets les plus importants et les plus délicats qui entourent la sexualité en répondant sans détour à une centaine de questions des adolescents.

Le Centre des sciences de Montréal présente depuis le 15 avril Sexe: l'expo qui dit tout!, une création originale et unique sur la sexualité.

L'exposition permet aux visiteurs d'explorer les sujets les plus importants et les plus délicats qui entourent la sexualité en répondant sans détour à une centaine de questions des adolescents.

Sexe: l'expo qui dit tout! amène d'abord le visiteur à l'origine humaine et le plonge au coeur des phénomènes de la fécondation et de la petite enfance.

La période de la puberté et des changements physiques et hormonaux qui s'opèrent chez tous les être humains sont présentés de façon audacieuse tout en soulignant les aspects scientifiques incontournables qui permettent de comprendre ces phénomènes. Les mécanismes de l'excitation et de la réponse sexuelle, de la contraception et des infections transmises sexuellement (ITS) sont aussi abordés.

Enfin, l'expo traite des aspects sociaux de la sexualité, notamment le phénomène de l'influence des autres ou sur les autres chez les jeunes en particulier, ainsi que l'espace occupé par les médias et internet.

La création a été conçue en collaboration avec des jeunes, des parents, des professionnels de l'enseignement, des médecins, des sexologues et des spécialistes de la santé.

L'exposition exploite la vidéo, la photographie de sujets réels, les plateformes électroniques interactives, des mannequins ainsi que des conseils d'experts audio disposés tout au long du parcours.

La création a été conçue en collaboration avec des jeunes, des parents, des professionnels de l'enseignement, des médecins, des sexologues et des spécialistes de la santé.

L'exposition exploite la vidéo, la photographie de sujets réels, les plateformes électroniques interactives, des mannequins ainsi que des conseils d'experts audio disposés tout au long du parcours.

Pour accompagner les visiteurs avant et après leur visite de l'exposition, une section spéciale du site web du Centre des sciences de Montréal est dédiée à Sexe: l'expo qui dit tout!. Elle inclut du matériel de soutien pédagogique pour les professeurs et les parents, de même que des ressources pour les jeunes vers des organismes reconnus et spécialisés en matière de sexualité.

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Manège: La Ronde a dévoilé son nouveau manège, «Ednor-L'Attaque»

La Ronde a dévoilé son nouveau manège, «Ednor-L'Attaque», évalué à 10 millions de dollars, qui promet des sensations extrêmes à ceux qui en feront l'essai à compter de la mi-mai.

Ce manège de type montages russes permettra d'atteindre 90 kilomètres à l’heure, et la moitié de son parcours de près de 800 mètres se fera au-dessus du lac des Dauphins. Il comprendra cinq inversions complètes.

Avant d'y prendre place, les visiteurs traverseront un centre d'interprétation du phénomène des monstres marins, avec effets spéciaux, inspiré par la «présence» du nouveau résidant du lac des Dauphins, la créature Ednor. On en apprendra alors davantage sur Ednor ainsi que sur d'autres créatures mythiques, comme Nessie, Champ, Memphré et Ponik.

Au même endroit, on pourra revivre les plus récents événements, soit l'«attaque» supposément «vécue» par deux travailleurs dans la soirée du 30 mars. La vidéo produite à l'occasion a été vue par 75 000 personnes sur Internet.

Ednor est le nom de ce monstre marin qui, selon la légende, a combattu les Vikings au large des côtes de Terre-Neuve autour de l'an 1000. Il serait «réapparu» dans lac des Dauphins.

Pour débuter, le nouveau manège accueillera seulement les détenteurs de passeport-saison 2010 de La Ronde les 15 et 16 mai dès 11h, puis le grand public à compter du 22 mai, à la même heure.

Par ailleurs, avec la mise en place du nouveau manège, le propriétaire de La Ronde, Six Flags, vient compléter ses engagements envers la Ville de Montréal pris lors de l'achat de l'emplacement. L'entreprise aura injecté 90 millions de dollars en travaux depuis 2001.

La compagnie poursuit sa restructuration, commencée en juin dernier à la suite de problèmes financiers. Mais, comme l'a rappelé le porte-parole de la Ronde Martin Roy, cela n'affecte en rien les opérations à Montréal.

(Presse canadienne)

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wow !

Connexion sans fil Internet à bord d'Air Canada, Greyhound et Via Rail

Les voyageurs canadiens devraient bientôt avoir un accès accru à Internet sans fil.

Air Canada prévoit offrir un accès à Internet à bord de ses avions sous peu. Le transporteur aérien a procédé à un essai à bord de deux Airbus à destination de la Californie l'hiver dernier. Le service était seulement disponible dans l'espace aérien américain, puisqu'il n'existe au Canada aucune infrastructure de transmission air-sol.

Le transporteur attend maintenant la conclusion de négociations entre l'américaine Aircell et la canadienne Skysurf Canada Communications. Cette dernière, dont le siège social se trouve à Ottawa, a déboursé 2,1 millions $ l'an dernier pour obtenir une partie du spectre sans fil.

Un porte-parole d'Air Canada a indiqué que la mise en place d'une infrastructure canadienne devrait se faire rapidement, puisque seulement une vingtaine de tours de transmission devrait suffire pour couvrir l'ensemble du territoire.

Pour sa part, le transporteur par autobus Greyhound offre depuis peu un service Wi-Fi à bord de certains autocars circulant dans le nord-est des États-Unis. Quelques autobus qui desservent Montréal et Toronto offrent aussi le service.

L'entreprise a commandé 70 autres autocars munis d'une capacité Wi-Fi et prévoit donner plus d'ampleur à ce service sous peu.

Via Rail, enfin, est à remettre sur pied le service Wi-Fi à bord de ses trains, après les problèmes de fiabilité et de stabilité rencontrés dans le passé. Le transporteur ferroviaire a depuis changé de fournisseur d'accès Internet et modernisé ses modems cellulaires.

Un système sophistiqué agrégation devrait être disponible à l'été 2011. Ce système regroupera la bande passante de plusieurs fournisseurs en un seul accès plus généreux et plus stable. Le système limitera aussi la bande passante accordée à chaque utilisateur, pour empêcher que ceux qui téléchargent des vidéos - par exemple - ne nuisent aux autres passagers.

La nouvelle technologie sera mise à l'essai dès cet été, mais uniquement dans le corridor Québec-Windsor.

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Game Room (Xbox 360): Une arcade dans mon salon

Comment savoir si une industrie est arrivée à maturité? En constatant qu’elle commence à vendre son vieux stock une deuxième fois. Les PlayStation 3, Wii et Xbox 360 ont chacune leur boutique virtuelle offrant une panoplie de classiques du premier âge d’or du jeu vidéo, de Super Mario à Final Fantasy VII en passant par Sonic et Street Fighter II.

Les jeux de l’époque «pré-Nintendo» étaient cependant plutôt rares, et on les a généralement retravaillés afin de les rendre plus appétissants, comme dans le cas de Space Invaders Extreme, qui est presque autant un jeu rythmique qu’un jeu de tir.

Ça va changer, puisque Microsoft vient de sauter à pieds joints dans l’archéologie vidéoludique avec son Game Room, une salle d’arcade virtuelle qui déterre des versions fidèles, au pixel près, à de très vieux jeux provenant des salles d’arcade et des consoles Atari 2600 et Intellivision.

Bips-bips inclus
Pourquoi la Game Room, alors que la Xbox 360 offre déjà le marché Live Arcade? Pour l’expérience. Le marché Live Arcade est une boutique de contenu téléchargeable tout ce qu’il y a de plus traditionnelle : on parcourt le catalogue et on achète.

La Game Room, elle, est une jolie reconstitution d’une salle d’arcade du début des années 1980, avec les cabinets et les bips-bips omniprésents. Les jeux sont regroupés dans différentes pièces, par thématiques, et on peut également mettre sur pied sa collection personnelle. On a aussi droit à des instructions complètes pour chacun des jeux, ainsi qu’à une notice historique.

L’application Game Room est gratuite, mais chaque «machine» coûte la somme de 240 points Microsoft (un peu moins de 4 $), ou 400 (6 $) points pour l’acquérir sur la console et le PC. Il est également possible de jouer une partie individuelle pour 40 points (0,60 $). On a enfin droit à une période d’essai unique de 10 minutes pour chacun des jeux.

Ce sera peut-être suffisant pour la plupart des visiteurs. Disons-le franchement : la plupart des 30 jeux de la sélection de départ ont mal vieilli. C’était peut-être le nec plus ultra il y a 30 ans, mais, en 2010, on se lasse rapidement de détruire des météorites en noir et blanc tout en regardant le pointage augmenter. C’est encore pire dans le cas des jeux Intellevision et Atari, dont la valeur se limite à nous permettre de mesurer l’immense chemin parcouru depuis. Les graphiques sont tellement horribles que c’en est drôle.

Le concept reste prometteur, surtout que Microsoft a annoncé que plus de 1 000 ti tres seront disponibles au cours des trois prochaines années. Mais il faudra rapidement y inclure des jeux moins archaïques, sans quoi son intérêt ne dépassera pas celui d’une visite au musée.

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Splinter Cell Conviction

Splinter Cell, LE jeu d'infiltration et l'une des licences phares d'Ubisoft Montréal, revient pour un nouvel opus.

Attendu depuis quatre ans par les fidèles de la série, Splinter Cell Conviction en marque le renouveau par un rééquilibrage en profondeur, avec la disparition et l'ajout de nombreux éléments. Techniquement impressionnant et pourvu d'un multijoueur solide, le jeu saura satisfaire aussi bien les joueurs sérieux que le grand public.

La série met toujours en scène Sam Fisher, désormais ancien super agent d'Échelon 3 (une branche de la NSA). Bouleversé par la mort de sa fille et trahi par son pays, il fuit son ancien employeur qui le poursuit à travers le monde. Lorsqu'il apprend que sa fille n’est pas morte par accident, mais a été assassinée, Fisher revient pour savoir qui se cache derrière cet ordre, découvrant surtout au passage un vaste complot qui le dépassera. Voilà pour l’histoire qui réservera bien des surprises!

Techniquement et visuellement, Splinter Cell Conviction immerge le joueur dans son univers dès les premières secondes par un haut niveau de réalisme. Des décors superbes, un Sam Fisher plus vrai que nature et des éclairages et des textures extrêmement travaillés finissent de convaincre.

Jeu d'infiltration par excellence, Splinter cell Conviction offre au joueur d'emprunter plusieurs chemins pour parvenir à son but. Sam pourra tirer sur les lumières et se dissimuler dans le noir pour abattre ses ennemis, s'agripper sur les extérieurs des bâtiments ou s'accrocher aux tuyauteries qui parcourent les plafonds afin de surgir de là ou ne l'attend pas, et même y aller en force grâce aux nouvelles armes disponibles comme le fusil à pompe.

Car c'est l'une des grandes nouveautés du jeu, Sam ayant à sa disposition un stock d'armes impressionnant pour tous les styles du jeu. Toutes peuvent être améliorées et de nombreux gadgets qui s’ajoutent - comme la caméra glue, les mines de proximité ou l'IEM qui désoriente les ennemis et coupe l'électricité momentanément - lui seront d'une aide précieuse.

Comme nous le disions plus haut, ce jeu marque un profond renouveau dans l'équilibre par rapport à ses prédécesseurs. Ainsi, la vision nocturne a disparu, le jeu passe en noir et blanc quand Sam se trouve dans une zone d'ombre, ce qui indique que personne ne le voit, tandis que les ennemis disposent désormais de lampes torches pour le traquer à la moindre alerte ou soupçon. Son agilité a augmenté, tandis que «dernière position connue» indiquera à l'écran quand Sam se fait repérer pour lui permettre de changer de tactique.

Les différents niveaux de difficulté permettront de découvrir et d’apprécier le jeu, que l'on soit débutant ou joueur confirmé.

Après avoir fini l’histoire, les modes Opération Confidentielle et Multijoueur permettent de prolonger la durée de vie. Opération Confidentielle propose d’infiltrer divers nouveaux lieux et d'éliminer tout le monde le plus discrètement possible.

Le mode Multijoueur offre quatre options de jeu, qui vont de la coopération à l'affrontement en passant par la défense d'une place. Exigeant parfois une grande coordination de la part des joueurs lors des parties en coopération et proposant des défis vraiment intéressants, le jeu ne risque pas de lasser rapidement. Bonne nouvelle, Ubisoft compte enrichir son jeu chaque semaine avec de nouveaux contenus gratuits, dont de nouvelles cartes.

Avec une histoire prenante qu'il faudra de huit à dix heures à terminer suivant la difficulté et le mode choisis, Splinter Cell Conviction offre une aventure où l’infiltration est reine. Ce jeu qui plaira aussi au grand public saura également satisfaire les gros joueurs qui pourront régler le compte du jeu en mode Expert.

L’équilibre revu, les nombreuses idées tout comme les nouvelles situations sont au nombre des innovations qui font de Splinter Cell Conviction une vraie réussite qui ne risque pas de décevoir.

Disponible exclusivement sur Xbox 360 et PC, joué sur Xbox 360.

REF.: La cote du grand Téo: un 10,9/10 , cote couvre plat ;-)