Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

mercredi 18 août 2010

jeux : Halo reach, le 14 sept 2010.

Halo Reach
La série futuriste de Microsoft s'étoffera le 14 septembre prochain avec un nouveau volet, Halo Reach, un antépisode à la trilogie principale.

L'action de ce nouvel opus est située en 2552, à l'heure où les humains et une race d'extraterrestres appelée les Covenant se livrent bataille pour récupérer la planète Reach, une colonie terrienne envahie.

Le joueur défendra l'humanité dans la peau de Noble 6, un soldat d'élite de l'UNSC, le Commandement Spatial des Nations Unies. Jouissant d'une popularité sans faille depuis son lancement en 2001, la franchise totalise plus de 25 millions de mordus.

Microsoft compte monter d'un cran avec ce nouveau chapitre. Halo Reach est annoncé comme l'épisode le plus ambitieux et le plus abouti de la série, doté d'un rendu visuel différent grâce à l'introduction d'un nouveau moteur graphique. Le fabriquant américain croit dur comme fer à son jeu exclusif à la Xbox 360 qui devrait sans nul doute dominer les ventes de fin d'année compte tenu du succès rencontré par sa version bêta en mai dernier. En un peu plus de deux semaines, 2,7 millions de privilégiés ont testé le titre. En une seule journée, Halo Reach a attiré plus de joueurs que le test entier de Halo 3, succès de l'année 2007 avec huit millions d'exemplaires

Battements binauraux La drogue numérique


Battements binauraux - La drogue numérique
La technique des battements binauraux consiste en l'émission dans chaque oreille de deux sons semblables, mais dont la fréquence diffère, ce qui a pour conséquence d'altérer les ondes cérébrales.
©AFP/Bliznetsov

Les drogues peuvent être injectées, ingérées ou fumées mais aussi, désormais, écoutées: des fichiers musicaux téléchargeables sur Internet promettent de faire ressentir à leurs «consommateurs» des effets semblables à ceux provoqués par le LSD ou la cocaïne.

Ces «substances numériques» reposent sur la technique des battements binauraux. Cette dernière consiste en l'émission dans chaque oreille de deux sons semblables mais dont la fréquence diffère, ce qui a pour conséquence d'altérer les ondes cérébrales.

«Il est possible grâce à cette méthode d'amener le cerveau à produire des ondes voulues: par exemple, des ondes lentes, comme les ondes alpha, associées aux états de relaxation, ou encore des ondes plus rapides, comme les ondes bêta, associées à des états de vigilance et de concentration», a expliqué à l'AFP la neuropsychologue Brigitte Forgeot, qui a rédigé un mémoire sur les effets cliniques et neuropsychologiques des sons binauraux.

Le site I-Doser.com, qui revendique la place de chef de file sur le marché des battements binauraux, propose sur sa boutique en ligne, depuis 2005, près de 200 «doses» différentes, pour lesquelles l'utilisation d'un casque stéréo est indispensable et dont le prix varie entre 2,50 et 199,95 dollars.

Disponible depuis 2007 sur le site de téléchargement américain Cnet.com, le programme d'écoute a été téléchargé plus de 1,4 million de fois, dont quelque 18 000 la semaine passée.

Les deux fichiers les plus chers, baptisés «Gate of Hades» et «Hand of God» et d'une durée de 30 minutes, peuvent au choix, selon leur description, plonger l'utilisateur dans ses pires cauchemars ou lui faire atteindre un état de béatitude.

Entre chaque prise, les concepteurs conseillent de s'administrer un «reset», un son de 20 minutes censé dissiper les effets des écoutes précédentes.

«L'effet des sons cesse dès qu'on stoppe l'écoute», a fait valoir la neuropsychologue, soulignant toutefois que «l'utilisation intensive de sons stimulants peuvent générer à la longue des troubles du sommeil ou de l'anxiété comme peut le faire l'utilisation de beaucoup de psychostimulants».

S'inspirant du fonctionnement des trafics de drogues réels, I-Doser.com propose d'abord d'essayer plusieurs de ses produits gratuitement. Il s'appuie également sur un réseau de revendeurs recrutés par le site et rémunérés à hauteur de 20% du tarif des «doses» qu'ils réussissent à écouler.

Même si elles indiquent avoir connaissance de ces «drogues» d'un genre nouveau, les autorités se veulent rassurantes.

«On n'a pas de remontée du terrain concernant ce phénomène. Rien ne dit qu'il soit en train d'émerger. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir», a assuré à l'AFP la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt).

Interrogée sur la possibilité d'addiction que pouvaient occasionner ces sons, Brigitte Forgeot a estimé qu'il n'y avait «pas de risque».

«Il ne s'agit pas d'une drogue dans la mesure où il n'y a pas d'accoutumance au + "produit", ni de besoin d'augmenter des doses. Pour autant, l'effet n'est pas virtuel, il existe de véritables effets, mesurables par des tests», a-t-elle précisé, ajoutant que «les risques existent plutôt pour des personnes fragiles qui seraient tentées de masquer ainsi, voire de traiter, leur mal-être».


REF.:

Application iPhone: Sound Hound




Sound Hound
Sound Hound est un moteur de reconnaissance musicale. Les utilisateurs peuvent chanter, fredonner ou jouer une mélodie dans l'application et recevoir en retour des infos sur le titre du morceau, le nom de l'interprète, les paroles de la chanson et le titre de l'album. L'application propose aussi des échantillons d'autres chansons similaires du même artiste et des liens pour acheter les morceaux sur iTunes.

Prix: 4,99$


La cote du Grand Té0: un 11,5/10, meilleur que Shazam !

Voitures électriques - Oregon: Enfin,une Première borne publique de recharge rapide

Voitures électriques - Oregon - Première borne publique de recharge rapide
Le gouverneur de l'Oregon, Ted Kulongoski, recharge une Nissan LEAF, à la première borne publique de recharge rapide aux États-Unis.
© AFP

Alors que les États-Unis se préparent à l'introduction en masse des voitures électriques à la fin de l'année, la première borne publique de recharge rapide a été inaugurée la semaine dernière.

Située à Portland, dans l'Oregon, la borne est la première d'un réseau qui devrait s'étendre à travers les États-Unis. La borne, de type Takasago Rapid Charging Station, est le produit d'un partenariat entre Portland General Electric et le groupe d'électronique NEC et peut recharger une batterie lithium-ion à 80% en 20 à 30 minutes.

Par comparaison, une recharge classique à domicile nécessite une nuit entière pour atteindre une charge complète.

La borne a fait l'objet d'une démonstration avec un véhicule Nissan LEAF, qui doit sortir cette année aux États-Unis, et devrait coûter 32 780$.

L'utilisation de la borne sera gratuite, même si le parking du complexe qui l'accueille, au World Trade Centre (au 121 SW Salmon Street) ne l'est pas.

Le développement des bornes de recharge est perçu comme un facteur crucial, pour l'adoption de l'automobile électrique.

En juillet, General Electric a présenté sa «WattStation», une borne de recharge visant à la fois les consommateurs et les commerçants, capable de recharger des véhicules en quatre à huit heures. La version pour la maison devrait coûter entre 1000 et 1500$.


REF.:

mardi 17 août 2010

Le Code CUP expliqué:


Le code universel des produits

Le code CUP de 12 chiffres décimaux que SLLLLLLMRRRRRRE, où S (start) et E (fin) sont le modèle 101 bits, M (au centre) est le modèle 01010 bits (appelées barres de garde), et chaque L (à gauche) et R (droite ) sont des chiffres, chacun représenté par un code à sept bits. Il s'agit d'un total de 95 bits. Le modèle binaire pour chaque chiffre est conçu pour être aussi peu comme les autres que possible, et de ne pas avoir plus de quatre 1s consécutifs ou 0s dans l'ordre. Les deux sont pour la fiabilité dans l'analyse.


REF.: Google;)