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vendredi 26 novembre 2010

Un escalier multimédia HD LCD a Montreal

 Centre-ville de Montréal - Vidéotron présente sa vision du futur
L'une des grandes attractions du magasin est son escalier multimédia. Muni de 150 écrans de type LED haute définition, cet escalier est unique en Amérique du Nord.
© Agence QMI

Vidéotron a procédé mardi à l’ouverture de son magasin phare situé au 1192 rue Sainte-Catherine à Montréal. Cette nouvelle boutique de plus de 4500 pieds carrés est dotée d’équipements à la fine pointe des technologies de communication.

« L’ouverture de la nouvelle boutique Vidéotron s’inscrit dans notre volonté de faire vivre la meilleure expérience possible à notre clientèle, d’anticiper ses besoins en matière de technologie et de divertissement et de se différencier dans le marché. En tant que chef de file, établir une adresse de prestige sur l'artère commerciale la plus importante au Canada allait de soi », a précisé Robert Dépatie, président et chef de la direction de Vidéotron.

L'une des grandes attractions du magasin est son escalier multimédia. Muni de 150 écrans de type LED haute définition, cet escalier est unique en Amérique du Nord. Seules Rome et Hong Kong peuvent se targuer d’en héberger un du même genre.

De plus, la boutique comprend une Zone multiproduit où les gens peuvent se familiariser avec les produits, services et forfaits de Vidéotron principalement destinés au foyer branché, soit la téléphonie résidentielle et mobile, la télé numérique illico et Internet.

À l’étage supérieur, la Zone Service Affaires a été aménagée pour les entreprises clientes qui désirent connaître les produits et services de Vidéotron.

Le magasin phare de Vidéotron s'inscrit dans sa stratégie commerciale visant à étendre ses services dans les grands centres de l'ensemble de son territoire de desserte. À ce jour, Vidéotron compte 72 boutiques en SuperClub Vidéotron, 11 boutiques dans les magasins Archambault, 19 kiosques et 19 magasins dans les centres commerciaux du Québec.


REF.:

Écran 3D sans lunette,sombre avenir !

Innovation - Création d' écrans 3D sans lunette
C’est surtout le jaillissement qui impressionne, c'est-à-dire les objets qui semblent sortir de l’écran.
© Nümerix

Les écrans 3D actuels, ainsi que la prochaine génération, dite passive (voir les précisions en fin texte) qui sortira en 2011 nécessitent de porter des lunettes pour voir la 3D. Mais le rêve, c’est quand même des écrans 3D sans lunette, ce qui n’arrivera pas en magasin avant au moins cinq ans. Eh bien, cette technologie existe déjà, et nous l’avons essayé à Montréal.

Sony et Samsung ont déjà présenté des prototypes d’écrans 3D, mais ceux-ci se limitent à 20 pouces. La technologie développée par Alioscopy, une société française représentée en Amérique du Nord par Nümerix, peut être utilisée sur des écrans allant jusqu’à 47 pouces. Alioscopy travaille sur des surfaces plus grandes encore, comme 55 ou 60 pouces, mais aucune date de disponibilité n’a été annoncée.

Fonctionnement

Ces écrans 3D comportent des filtres lenticulaires sur l’écran permettant d’afficher le rendu 3D. Mais en amont, les scènes filmées en 3D, le sont avec une caméra à huit objectifs. Pourquoi huit caméras? Comme l’explique Jean Blais de chez Nümerix «Les recherches faites par Alioscopy ont démontré que la meilleure image avec le meilleur jaillissement, et le plus large angle de vue s’obtenait avec huit caméras. Avec moins de caméras on perd de l’effet 3D, avec plus de caméras on perd de l’angle de vision».

Chaque microprisme sur l’écran reproduit huit images en même temps sous différents angles. Le cerveau remet tout en ordre et permet alors de voir cette 3D sans lunettes. Quant à l’angle de vision, il est de 45 degrés. Et même si ça n’atteint pas l’angle des téléviseurs 2D actuels, on peut quand même les regarder de côté et voir la 3D.

Il est aussi possible de modéliser des objets en 3D, et de les intégrer directement dans une vidéo en temps réel, où ils auront un rendu 3D grâce à un programme informatique.

Impressions

Franchement, on ne pensait pas que cette technologie était aussi incroyable. L’effet de profondeur est saisissant. C’est surtout le jaillissement qui impressionne, c'est-à-dire les objets qui semblent sortir de l’écran. Sur une séquence qui montrait des pièces de monnaie en chute libre, celles-ci jaillissent à 2,5 mètres de l’écran. Le démonstrateur, assis à deux mètres de l'écran, plaçait son bras dans le champ et les pièces passaient par-dessus littéralement.

Pour quand?

Pour l'instant, à un tarif de 5900$ pour un 24 pouces et de 14 900$ pour un 47 pouces, ça reste dispendieux et réservé aux entreprises, ou à Bill Gates qui voudrait impressionner ses amis.(c'est entre 243,83$/pouce et 317,02$/pouce)

Mais il y a encore des contraintes techniques, comme l’obligation d’être à trois mètres d’un écran 47 pouces sous peine de voir une image floue (les 24 pouces n’ont pas ce problème).

Mais le fait qu’il y ait huit caméras inclut que le signal est multiplié par 8, une séquence de 2 minutes tient donc sur 10GO (un Blu Ray contient 50GO). Pour l’instant, aucun support numérique ou opérateur comme Vidéotron n’ont la capacité ou l’infrastructure pour de tels débits. Nümerix table donc sur un lancement dans cinq ans au minimum quand la technologie aura évolué.

Précisions

Technologie active
les écrans 3D actuels exigent des lunettes actives. Ces lunettes comportent un système électronique qui obstrue chaque œil en alternance 100 fois par seconde, le cerveau en reconstituant l’image donne l’impression d’une image 3D. Le défaut de cette technologie est qu’elle peut causer des maux de tête, malgré le fait que de nombreux constructeurs nient ce problème.

Technologie passive
La technologie passive fait quant à elle appel à des lunettes dont la polarité des verres est différente. Deux images sont affichées à l’écran, et chaque verre voit une image différente. Le cerveau recrée donc un effet 3D. Cette technologie est utilisée dans les cinémas actuellement, tandis que les premiers écrans passifs apparaîtront en 2011.


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Si Chrome OS sort,fini les gros systèmes d'exploitation Lourd et LENT !

Le système d'exploitation pour ordinateurs tant attendu de Google, Chrome OS, pourrait être dévoilé d'ici la fin de l'année, rapporte le site Engadget. Et si les développeurs pourraient bientôt avoir un aperçu du système d'exploitation de Google, les consommateurs devront attendre 2011.

La semaine dernière, le PDG de Google, Eric Schmidt, a affirmé en entrevue que Chrome OS serait disponible en 2011 et non pas d'ici la fin de l'année, comme c'était initialement prévu.

Selon le blogue américain, les grands manufacturiers que sont Acer et HP ne sortiront pas d'ordinateur portable équipé de Chrome OS avant l'an prochain.

Google aurait toutefois l'intention de dévoiler d'ici la fin de l'année un ordinateur portable frappé de son logo, comme il l'a fait dans le domaine de la téléphonie cellulaire avec son Nexus One.

Selon Engadget, cet ordinateur serait au départ destiné à la communauté des adopteurs précoces et des développeurs, puisque Chrome OS y serait encore en version bêta.

Un article publié aujourd'hui dans le New York Times vient confirmer cette version en affirmant que Google dévoilera d'ici la fin de l'année un ordinateur ultra portable qui fonctionnera avec Chrome. «Bien que Google ait refusé de donner des détails sur l'appareil, on s'attend à ce qu'il soit fabriqué par une autre compagnie et identifié au nom de Google, comme Google l'a fait avec son téléphone Nexus, qui fonctionne avec Android», lit-on dans le quotidien américain.

Avec Chrome OS, Google promet un système d'exploitation que l'on pourra charger en quelques secondes et qui permettra aux utilisateurs de stocker toutes leurs données dans le «nuage».


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L'Histoire de Windows : XP c'est 59% de parts de marché

Le système d'exploitation Windows, développé par la société américaine Microsoft, fête son 25ème anniversaire. Depuis le Windows 1.0, le fameux logiciel n'a cessé de dominer très largement le marché des ordinateurs personnels. Il est aujourd'hui installé sur plus de 9 ordinateurs sur 10 dans le monde.

20 novembre 1985. La date marque l'acte de naissance de Windows 1 (version 1.01, basée sur MS-DOS), premier système d'exploitation graphique lancé par Microsoft, fondée dix ans plus tôt par Paul Allen et un certain Bill Gates. L'entreprise informatique de Redmond, près de Seattle, proposait avec ce logiciel vendu 99 dollars une interface graphique permettant aux possesseurs de micro-ordinateurs de gérer différentes applications, comme des bases de données documentaires, un bloc-notes, ou des tables de calculs.

Si Windows 2 sort deux ans plus tard, en décembre 1987, c'est avec la troisième mouture, Windows 3, en mai 1990 (puis Windows 3.1 en 1992), que Microsoft connaît son premier grand succès commercial. Commercialisé directement sur les nouveaux PC, cet OS présente une interface plus conviviale et plus évoluée (prise en charge des CD-Roms, support des couleurs en 24 bits, etc.).

Le 24 août 1995, quelques jours avant la rentrée des classes, et alors qu'Apple et ses Mac sont en chute libre sur le marché de l'informatique personnelle, Microsoft sort Windows 95. Livré en CD-Rom ou fourni sous forme de licence avec les nouveaux ordinateurs de bureau, Windows 95 parvient, en quelques mois à peine, à devenir jusqu'alors le système d'exploitation le plus populaire de l'histoire informatique.

Dans l'univers PC, ce système d'exploitation a apporté des améliorations flagrantes pour l'utilisateur, notamment en matière d'interface et de présentation graphique. Il introduit par exemple le bouton "Démarrer" en bas à gauche du bureau et la barre des tâches, deux fonctions toujours présentes aujourd'hui, mais également le navigateur Internet Explorer, pour surfer sur une Toile encore embryonnaire.

Windows 95 fut remplacé trois ans plus tard Windows 98 dont le succès fut retentissant et planétaire.

Ont suivi Windows NT, dédié aux professionnels et aux entreprises, un Windows Me (Millenium) en 2000 moins apprécié que Windows 98, et Windows XP, en 2001, qui reste à ce jour l'OS de Microsoft ayant eu la plus longue carrière (près de dix ans).

Windows XP a été successivement remplacé par Windows Vista (2007), fortement décrié, et Windows 7 (2009). Dernier OS de Microsoft en date, Windows 7 a reçu des critiques nettement plus favorables que Vista, grâce notamment à une meilleure optimisation et une sécurisation plus avancée.

Selon les données du site spécialisé Net Applications, Windows XP était, en octobre 2010, le système d'exploitation le plus utilisé au monde, avec près de 59% de parts de marché, devant Windows 7 (18,33%), Windows Vista (12,93%), et Mac OS X d'Apple (moins de 5% pour les différentes versions).

Les rançons de ce succès sont également nombreuses. Exemple avec la prolifération des virus, qui attaquent principalement les systèmes Windows, mais aussi les condamnations pour abus pour position dominante. La Commission européenne a ainsi infligé 497 millions d'euros d'amende à Microsoft en 2004, avant de doubler cette somme en 2008 (899 millions).

D'ici deux ans, Microsoft devrait sortir la huitième génération de Windows ("Windows 8"). L'avenir du célèbre logiciel passe également par les smartphones, où la firme vient juste de lancer "Windows Phone 7", un OS spécialement conçu pour les téléphones mobiles à écran tactile.

Les dates-clés de Windows :

20 novembre 1985 : sortie de Windows 1.0.1

22 mai 1990 : lancement de Windows 3.0

24 août 1995 : lancement de Windows 95

25 juin 1998 : sortie de Windows 98

25 octobre 2001 : sortie de Windows XP

31 décembre 2001 : arrêt du support pour Windows 95

24 mars 2004 : Microsoft est condamné à payer une amende de 497 millions d'euros par l'UE pour abus de position dominante sur le marché des lecteurs multimédia et de supprimer son Media Player de Windows.

30 janvier 2007 : sortie de Windows Vista

27 février 2008 : Bruxelles inflige une amende record à Microsoft (899 millions d'euros) pour avoir tardé à assurer l'interopérabilité des ses logiciels avec ceux des concurrents.

22 octobre 2009 : sortie de Windows 7

21 octobre 2010 : sortie de Windows Phone 7 pour les téléphones intelligents


REF.:

Windows Phone 7 : premier bilan du Market Place

-Nombre d'applications et catégories

A fin novembre, Distimo a comptabilisé 2674 applications pour Windows Phone 7 depuis son lancement le 21 octobre. Rappelons que les programmes pour Windows Mobile 6.x ne sont pas compatibles avec le nouvel OS de Redmond.

Même si Microsoft souligne qu'il ne fera pas la course au nombre d'applications disponibles, Distimo note que sur la même période, le Market pour Windows Mobile ne proposait que 1350 applications.

Les jeux et les outils sont de loin les catégories qui proposent le plus d'applications. Les outils de productivité représentent un peu plus de 5% du catalogue.

Catégories les plus populaires

Il n'y pas photo : 40% des applications les plus téléchargées sont des jeux (contre 34% pour Windows Mobile 6.x). Microsoft a mis l'accent sur le ludique puisque Windows Phone 7 permet d'établir des passerelles entre la Xbox 360 et un smartphone WP7.

Les applications de divertissement prennent la deuxième place, alors que celle-ci était occupée par les outils avec Windows Mobile. Ces derniers sont néanmoins la 3e catégorie la plus populaire pour WP7.

Prix moyen des applications

Alors que les applications pour Windows Mobile étaient en moyenne les plus chères du marché, celles pour Windows Phone 7 sont au contraire parmi les plus abordables.

Le prix moyen est de 1,95 dollars (toutes les applications payantes) et de 2,54 dollars en moyenne pour les 100 applications les plus populaires.


Structure des prix des applications

Windows Phone 7 propose le plus d'applications dont le prix est compris entre 0,01 et 1,99 dollars (85% du catalogue contre seulement 35% pour Windows Mobile).

Chez la concurrence, la proportion d'apps dont le prix est inférieur à 2 dollars varie de 57 à 71% (OVI et Palm).


Les applications les plus téléchargées en octobre

Dans le gratuit, l'appli YouTube tient le haut du pavé, suivi de Xbox Live Extra, Facebook, le reader d'Adobe et l'incontournable Netflix (service de location de films en streaming). Shazam et Twitter prennent la 7e et 8e place.

Au rayon payant, les 10 applications les plus téléchargées sont des jeux avec en tête Bejeweled Live, Need for Speed Undercover, Flight Control, The Harvest et Earthworm Jim.





REF.: Olivier Chicheportiche, businessMOBILE.fr