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lundi 27 décembre 2010

Sony lance «Music Unlimited», un service d'écoute de musique en continu

Sonylance«MusicUnlimited»,unserviced'écoutedemusiqueencontinu

image:http://assets.branchez-vous.net/images/techno/music-unlimited-sony.jpg

L'entreprise nippone vient de lancer son serviceMusic Unlimited, donnant accès à plus de 6 millions de titres musicaux. Il s'agit d'une extension à son service Qriocity, une plateforme de distribution de films, de jeux, de livres et de musique, lancée au début du mois de septembre.

Or, ce service de musique en ligne ne sera accessible que depuis ses propres produits: les ordinateurs Vaio, la console de jeux PlayStation 3, les plus récents modèles de lecteurs Blu-Ray et les téléviseurs connectés à Internet appartenant à sa gamme Bravia. Dans ce contexte, Sony se rapproche d'Apple, en fournissant un service uniquement disponible sur ses propres produits.

Pour l'heure, le lancement de Music Unlimited ne concerne que l'Angleterre et l'Irlande, mais Sony a déjà prévu son accessibilité au Canada, aux États-Unis, en Australie et plusieurs pays d'Europe en 2011. Le service est disponible sur abonnement et intègre les catalogues des artistes associés à Sony Music, mais aussi à ceux appartenant à d'autres maisons de disques.

Le site d'écoute de musique en continu de Sony ne sera pas disponible sur ses appareils mobiles dans un premier temps, mais la Japonaise affirme que ce sera prochainement le cas. Sony pourrait aussi éventuellement élargir son offre en proposant des vidéos.


REF.: Branchez-vous.com

dimanche 26 décembre 2010

Bell est dans marde,le CRTC sévit contre Bell

Ottawa - Le CRTC sévit contre Bell

© Archives/ Agence QMI

OTTAWA - Bell Canada a versé lundi un montant record de 1,3 million $ pour avoir enfreint la loi en communiquant avec des Canadiens dont les noms apparaissaient sur la Liste nationale des numéros de télécommunication exclus, dans le but de leur vendre des services téléphoniques, internet ou de télévision.

«Tous les télévendeurs doivent respecter le souhait des Canadiens qui ont inscrit leur numéro de téléphone sur la Liste nationale de numéros de télécommunication exclus ou qui ont demandé à un télévendeur d’inscrire leur numéro sur leur liste interne», a indiqué la cadre en chef de la mise en application des règlements en matière de télécommunications au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC), Andrea Rosen.

Selon le CRTC, Bell faisait essentiellement appel à des télévendeurs indépendants qui agissaient à partir du Canada ou de l’étranger. Bell aurait ainsi communiqué avec de nombreux consommateurs entre janvier et octobre 2010, alors que ceux-ci avaient pourtant inscrit leur nom sur la Liste nationale des numéros de télécommunication exclus ou sur la liste interne de Bell.

De nombreuses plaintes ont amené le CRTC à enquêter ce printemps et l’entente avec Bell au montant de 1,3 million $ a été conclue lundi.

D’autre part, à la suite d’une autre enquête, le CRTC a déterminé que Bell Canada avait utilisé des composeurs-messagers automatiques pour communiquer avec ses clients ayant adhéré aux services mobiles prépayés sans que ceux-ci aient consenti à de tels appels. Bell Canada n’admet pas que son utilisation des composeurs-messagers automatiques était fautive, mais la compagnie dit qu’elle cessera de faire ces appels et elle versera un don de 260 000 $ à l’Institut d’ingénierie des systèmes d’information de l’Université Concordia.

Le CRTC a imposé 29 amendes depuis la création de la Liste nationale en septembre 2008. Jusqu’à la semaine dernière, les amendes s’élevaient au total à 195 000 $, mais le Conseil n’avait cependant réussi à recueillir qu'environ 10 000 $.

Le CRTC a annoncé vendredi dernier qu’il avait obtenu 500 000 $ du géant du télémarketing Xentel, qui a admis avoir enfreint la loi.

Le CRTC a reçu environ 350 000 plaintes depuis 2008. Environ 8,9 millions de numéros de téléphone ont été ajoutés à la Liste nationale des numéros de télécommunication exclus.

REF.:

La carrière de Saint-Boniface, en Mauricie, a contaminée 625 maisons dans la région de Trois- Rivières

Construction - «Il y a ici des drames humains épouvantables»
Yvon Boivin, le président de la coalition des victimes de pyrrhotite de Trois-Rivières, pose dans la cuisine, derrière plusieurs boîtes empilées dans la salle à manger.
© Dany Doucet/Agence QMI
Pyrrhotite - Québec analyse des scénarios pour aider

TROIS-RIVIÈRES - La contamination à la pyrrhotite de quelque 625 maisons dans la région de Trois- Rivières exerce un stress considérable sur les familles touchées.

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Les maisons sens dessus dessous

Les Boivin ont de bons revenus, mais ils ont quand même mis toutes les économies dans leur grande maison (leur troisième à vie), dans laquelle ils ont emménagé en 2006.

«On a été obligés de réhypothéquer pour 100 000 $. Heureusement, on pouvait se le permettre, mais je peux vous dire que ce n'est pas le cas de tout le monde ici», explique Yvon Boivin, qui reçoit les confidences de plusieurs propriétaires désespérés en tant que président de la coalition formée par les victimes.

Les problèmes sont amplifiés du fait qu'il s'agit de maisons neuves encore engourdies par de lourdes hypothèques.

En général, elles appartiennent à de jeunes couples qui en ont déjà plein les bras à joindre les deux bouts.

Rien des gouvernements

Réinvestir souvent le même montant que le prix d'acquisition de la maison (la moyenne des travaux est de 240 000 $ jusqu'à présent, selon la coalition), c'est tout simplement impossible pour plusieurs jeunes familles.

Elles sont d'ailleurs nombreuses, semble-t-il, à ne voir leur chance de passer au travers cette épreuve que le jour où les gouvernements, comme ces derniers l'avaient fait pour les victimes de la pyrite sur la Rive-Sud de Montréal, annonceront un programme d'aide pour les victimes.

Mais ce jour viendra-t-il? Aucun politicien n'a rien promis jusqu'à maintenant, au contraire.

"Nous sommes victimes d'une situation causée par quelque chose qui aurait dû être évité, que le gouvernement aurait dû contrôler. Ce n'est pas normal qu'on ait laissé une carrière contaminée opérer en toute légalité, explique Yvon Boivin,

«Est-ce que les propriétaires de maisons doivent maintenant certifier et inspecter la qualité des matériaux qu'ils achètent ? Bien voyons donc ! Comment voulez-vous qu'on sache, nous, si les agrégats ou le béton sont bons, demande-t-il. C'est le rôle d'un gouvernement de faire ça.»

Divorces et faillites

"Tout ce stress financier et le désordre de ces travaux majeurs qui durent de longues périodes entraînent beaucoup de tensions dans les couples. Il y a des séparations, des faillites et d'autres drames qui s'en viennent, dit-il.

«Personne n'en parle à l'extérieur de notre région, mais il y a ici des drames humains épouvantables.»

Le stress se ressent chez les enfants aussi.

Il y a même des personnes âgées parmi les victimes.

«Il y a une dame de 85 ans qu'on essaie d'aider à se démêler dans tout ça ; je vous dis que ce n'est pas facile, reprend M. Boivin. Il faut surveiller de près les travaux. J'ai moi-même évité quatre vices de construction en surveillant mon chantier.»

Pas toutes garanties

Ceux qui avaient acheté une maison neuve d'un entrepreneur et qui bénéficiaient donc du plan de garantie de l'Association des constructeurs d'habitations du Québec (APCHQ) (seulement cinq propriétaires bénéficiaient de la garantie de l'Association de la construction du Québec) vont sans doute passer au travers, malgré plusieurs embûches.

Mais pour les quelque 130 propriétaires qui avaient eux-mêmes construit ou sous-contracté la construction de leur maison, c'est le désastre.


* La pyrrhotite est un minéral de couleur dorée qui se trouve dans les agrégats d'une carrière de Saint-Boniface, en Mauricie, et qui a servi pour les fondations et dans la recette de béton utilisée pour les fondations et les revêtements de plusieurs maisons construites depuis 2003.

La faute du gouvernement

Pour la coalition des victimes de Trois-Rivières, le gouvernement doit faire sa part dans ce désastre qui pourrait avoir fait pour 100 M$ de dommages.

Premièrement, c'est lui qui n'aurait pas dû accorder un permis d'exploitation à la carrière d'où provient la pierre concassée contaminée à la pyrrhotite qui cause la fissuration du béton de leurs maisons.

Deuxièmement, les deux gouvernements récolteront, pour réparer leurs maisons, en taxes de vente seulement, près de 15 M$. C'est sans compter l'impôt sur le revenu.

Troisièmement, les deux gouvernements étaient venus en aide aux victimes de la pyrite, il y a quelques années, et il reste même de l'argent dans ce fonds d'aide.

REF.:

Fraudes: Vol à l'étalage : un sommet pendant les Fêtes

QUÉBEC - Le vol à l’étalage connaît une recrudescence durant la période des Fêtes. Pour les commerçants, le problème est bien réel. Au Québec, on estime que les pertes économiques liées à la fraude et aux vols s’élèvent à près d’un milliard de dollars.

Selon le Conseil québécois du commerce de détail (CQCD), le vol à l’étalage et les fraudes par cartes de crédit s’élèvent à plus de 882 millions $, soit l’équivalent de 1,4 % des ventes annuelles.

«C’est évident que cela a un impact économique majeur. Un milliard de dollars de pertes par année, c’est non négligeable. Ça vient à avoir un effet sur le coût des produits », a expliqué Gaston Lafleur, président du CQCD. Parmi les dommages collatéraux, il y a les pertes d’emploi. Les entreprises, qui voient fondre leur marge bénéficiaire à cause des pertes encourues, ont une capacité d’expansion moindre.

«Dans plusieurs cas, le pourcentage de pertes est plus élevé que les bénéfices nets de l’entreprise après impôts. C’est beaucoup! Cela signifie que si vous volez un chandail, il faut en vendre quinze pour le récupérer», a-t-il comparé.

L’augmentation des prix a cependant une limite. Pour rester concurrentielles, les entreprises n’ont d’autres choix que de maintenir un certain équilibre.

Phénomène à la hausse

Selon un sondage mené par le CQCD, la situation ne va pas en s’améliorant. En fait, 54 % des commerçants consultés évaluent que le nombre global d’événements a augmenté au cours des dernières années.

La valeur moyenne des vols enregistrés s’élève à 227 $. Les endroits les plus courus sont les supermarchés, les grands magasins, les magasins de produits électroniques et autres. Subissant la pression sociale, les femmes sont plus enclines à voler des biens mode comme des vêtements et des accessoires pour mieux paraître. Les statistiques démontrent également que les vols internes, commis par des employés, sont en nette progression.

La clémence des juges

L’article 355 du Code criminel prévoit une peine maximale de six mois de prison, sauf que dans les faits, les juges sont beaucoup moins sévères, surtout lorsqu’il s’agit d’une première offense.

Chaque année, Me Xavier Cormier représente une quarantaine de clients dans la région de Montréal qui sont appelés devant le juge pour répondre à des accusations de vol à l’étalage.

Parmi eux, il y a des ingénieurs et des professionnels du monde de la santé pour qui la réputation n’a pas de prix. Généralement, les juges vont imposer une amende assortie d’une probation d’un an. Le montant de l’amende est déterminé en fonction de la valeur de la marchandise et de la capacité de payer de l’accusé. Selon Me Cormier, les sommes varient autour de quelques centaines de dollars.

«Dans 95 % des cas, mes clients vont demander une absolution, au terme d’une négociation avec le procureur. On demandera à la personne de faire un don à un organisme de charité et d’expliquer au juge les raisons pour lesquelles un dossier judiciaire serait préjudiciable», a ajouté l’avocat.

Que ce soit pour des raisons professionnelles ou en raison des déplacements aux États-Unis, les jugent vont consentir à accorder l’absolution.

«Ça permet d’éviter un casier judiciaire», a souligné Me Cormier.

Lorsque l’accusé n’a pas la capacité de payer, il peut se voir imposer une sentence suspendue.


La motivation des voleurs

Utilisation personnelle : 27 %

Manque d’argent : 19 %

Vente contre bénéfices : 16 %

Dépendance à la drogue/alcool : 11 %

Affiliation à un gang : 9 %

Défi : 7 %

Dettes/problèmes de jeux : 6 %

Pression des pairs : 2 %

Autres : 3 %

Source : Conseil québécois du commerce de détail


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Anatomie humaine: Google aide la médecine avec le «Body Browser»

Anatomie humaine - Google aide la médecine avec le «Body Browser»
Le programme affiche l'image d'une femme en tenue de gym. Avec votre curseur, vous pouvez enlever les couches successives de son corps.

Les médecins et étudiants en médecine vont bientôt pouvoir profiter d'un nouvel outil développé par Google pour explorer l'anatomie humaine et expliquer les procédures chirurgicales aux patients.

Le 16 décembre, Google a inauguré le Body Browser, un outil qui permet de voir le corps humain en 3 dimensions, couche par couche et dans les détails.

Conçu comme un outil pédagogique, le Google Body Browser a été lancé en version bêta. Il faut pour cela que votre navigateur soit compatible WebGL, ce qui n'est pas le cas de tous les navigateurs (le navigateur Chrome de Google est compatible WebGL).

Le programme affiche l'image d'une femme en tenue de gym, face à l'objectif. Avec votre curseur, vous pouvez enlever les couches successives de son corps (mais pas ses vêtements) pour étudier son anatomie (structure musculaire, organes, veines, nerfs).

Si vous voulez plus d'infos sur les parties du corps qui sont révélées, vous pouvez cliquer sur «Labels» et le programme se transforme en manuel d'anatomie, avec des notes détaillées sur les différentes parties du corps.

Outil pour la médecine

Pour les étudiants en médecine, le Google Body Browser pourrait bien remplacer les croquis traditionnels et les programmes de restitution en 3D qui sont bien plus chers (et beaucoup plus détaillés) comme «Primal Pictures» ou «Visible Body», vendus plusieurs centaines d'euros pour une seule partie du corps.

En attendant, les docteurs disent qu'ils pensent que le produit pourrait se développer pour devenir un nouvel outil prisé de la profession, à l'instar de Skype, qui permet aux docteurs, aux infirmiers et infirmières et aux travailleurs sociaux d'échanger des infos avec leurs patients et les membres des familles des patients en vidéoconférence.

Dans un entretien avec le site consacré aux nouvelles technologies TechNewsWorld, le docteur américain Eric Rackow, spécialisé dans la médecine pour le seniors, ajoute: «Parmi nos outils pédagogiques en ligne, il y a une série de séminaires web sur comment s'occuper des patients, une application iPhone/iPad, et un programme appelé Managing Complex Chronic Conditions qui aide à évaluer les risques d'hospitalisation chez les patients».

Pour l'égalité des sexes, Google a annoncé avoir prévu un modèle masculin pour le Body Browser, qui devrait bientôt arriver.

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