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vendredi 11 février 2011

L'application de traduction de Google est disponible gratuitement sur iTunes.

ApplicationiOS:Googlepourtraduiredeslangues...presquecommedansStarTrek

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L'application de Google permet de traduire des contenus en texte ou vocaux en une cinquantaine de langues depuis un iPhone, un iPad ou un iPod Touch.

L'application de traduction de Google est disponible gratuitement sur iTunes.

En août 2008, Google avait lancé son application web pour iPhoneGoogle Translate HTML5. La nouvelle application de Google rassemble la totalité de ces fonctionnalités, mais intègre aussi plusieurs nouveautés.

Pour la plupart des langues disponibles, l'usager peut enregistrer vocalement le contenu à traduire et écouter les traductions correspondantes. Plus précisément, il est possible de traduire du contenu texte entre 57 langues, mais ce nombre diminue à une quinzaine de langues lorsqu'il s'agit de traduire un contenu vocal. D'ailleurs, l'usager peut entendre ses traductions à voix haute en 23 langues.

De plus, les traductions peuvent être affichées en mode plein écran, afin que les interlocuteurs puissent aussi visualiser les traductions. Une sélection de phrases ou de mots-clés pratiques peut aussi être enregistrée, ainsi que l'historique des traductions, afin qu'ils demeurent accessibles en tout temps et même en mode hors connexion.

Comme dans le cas de la version web, un dictionnaire permet de mieux comprendre la signification des mots traduits ou à traduire.

Le lancement de Traduction Google pour iOS (3 et supérieur) survient après celui destiné aux appareils Android, dont l'application a été publiée en janvier sur l'Android Market.

Une vidéo de Google montre le potentiel de l'application.



REF.:Branchez-vous, Aude Boivin Filion

jeudi 10 février 2011

4G (DC-HSPA+)chez Telus, vers Mars 2011

Teluslancerasonréseau4Gceprintempsenpromettantdesvitessesjusqu'à42Mb/s

image:http://assets.branchez-vous.net/images/telus/telus3.jpg

Telus annonce la mise à niveau de son réseau Internet mobile HSPA+. L'entreprise promet que son nouveau réseau à double canaux DC-HSPA+ offrira des vitesses de téléchargement pouvant atteindre les 42 Mb/s et de téléversement de 11Mb/s.

Par voie de communiqué, l'entreprise précise que les intéressés pourront profiter de son réseau en mettant la main sur la clé 4G Internet mobile de Sierra Wireless AirCard319U. Il s'agit du premier dispositif qui pourra tirer profit de sa technologie à double canaux (DC-HSPA+). Telus l'offrira ce printemps, vers le mois de mars.

Comme le précise Telus, «cette clé reste compatible avec la technologie HSPA+ et comprend le gestionnaire de connexion Sierra Wireless Watcher, qui permet au client de surveiller sa transmission de données à l'échelle locale et internationale».

D'après les critères de l'Union internationale des télécommunications (UIT), le réseau mobile HSPA+ de TELUS est maintenant reconnu comme étant une technologie de 4e génération (4G).

Les réseaux 4G, dans sa définition actuelle, sont-ils vraiment une chose nouvelle au Canada? Notre blogueur Maxime Johnson tente de démystifier la question sur son blogue.


REF.: Aude Boivin Filion,branchez-vous,

Film: Au sujet du scandale du Lobbyiste Abramoff


Le scandale du Lobbyiste Jack Abramoff sur les Indiens est un scandale politique américain concernant le travail effectué par les lobbyistes politiques Jack Abramoff, Ralph E.Reed, Jr., Grover Norquist et Michael Scanlon
sur les intérêts indiens de jeu de casino.
Pour un montant estimé à 85 $ millions en frais. Abramoff et Scanlon ont surfacturés grossièrement leurs clients, et secrètement
se partagent les profits de plusieurs millions de dollars. Dans un cas, ils ont secrètement orchestrée le lobbying contre leurs propres clients safin de les forcer
à payer pour des services de lobbying.
Dans le cadre du régime, les lobbyistes sont accusés d'avoir illégalement donner des cadeaux et des dons de campagne aux législateurs en échange de votes ou de soutien de la législation. Le Représentant Bob Ney (R-OH) et deux aides à Tom DeLay (R-TX) ont été directement impliqués; d'autres politiciens, principalement législateurs républicains ayant des liens avec les Affaires indiennes, ont des liens différents.

*Ce qu'en pense les gens de se film :
Lorsque méga-lobbyiste Jack Abramoff a été condamné à la prison au début de 2006, il était considéré comme la personnification de la corruption, ainsi que Tom DeLay et Bob Ney. Mais comme le film "

Casino Jack and the United States of Money

"
montre, Abramoff et les personnes qui lui sont associées ont été que la pointe de l'iceberg. Alex Gibney dans son documentaire prend la même approche à son sujet que son précédent documentaire "Enron: The Smartest Guys in the room" , en regardant les racines du personnage principal, et comment la déréglementation a conduit à l'aboutissement.

J'avais lu dans le livre Al Franken "The Truth with Jokes" sur les escroquer Abramoff des Indiens Tigua et la promotion DeLay des îles Mariannes à cacher sweatshops l'industrie du vêtement est là. Le documentaire s'intéresse à ceux-ci, et va un peu plus loin dans le rôle d'Abramoff dans le collège des républicains, l'alliance avec angolais Jonas Savimbi autocrate, et plus encore. L'un des points les plus importants est de savoir comment Abramoff et Ralph Reed utilise le fondamentalisme religieux, en particulier la façon dont Reed a été prise de grosses sommes d'argent par le biais des liens vers des casinos indiens tout en pontifiant contre le jeu.

Mais le sujet le plus important que le documentaire fait apparaître, c'est que ce n'est ni "quelques pommes pourries», ni une conspiration. Cela s'est produit parce que le peuple américain a laisser se produire en négligeant de le prendre au sérieux. La Prévention de tels événements à l'avenir exige que le peuple américain à rester vigilants de leur gouvernement, et des sociétés.

Tout le monde devrait voir ce documentaire!



NOTA:
Lobby est un mot anglais qui signifie en français « groupe de pression » ou « groupe d’intérêts communs ». Au pluriel, il s'écrit lobbys ou lobbies.On trouve habituellement la distinction entre les « professionnal lobbies » (acteurs économiques (groupes industriels ou financiers, entreprises multinationales ou organisées en filières, organisations professionnelles, syndicats, fédérations...) et les « citizens lobbies » ou « non profits groups » (les organisations non gouvernementales et les associations quand celles-ci s'organisent pour démarcher régulièrement les élus). Ce classement, issu de la recherche anglo-saxonne, s'est imposé face à une recherche européenne très peu fournie en matière de groupes d'intérêt. Il fait l'objet d'un débat en Europe quand il s'agit d'associations qui défendent des causes qu'elles présentent comme relevant de l'intérêt général. Elle est contestée, par exemple, par le réseau d'associations ETAL (Encadrement et transparence des activités de lobbying), par la Fondation Sciences Citoyennes, de même que par des élus et par des commentateurs spécialisés.

Chaque lobby dispose d'outils d'influence (clubs de réflexion et d'influence dits aussi « think tanks », lobbyistes et cabinet de lobbying ou de conseils, avocats, associations et fondations, etc.).

Des gouvernements ou des collectivités locales peuvent s'organiser également en lobbies ou recourir à des cabinets de lobbying pour faire valoir leurs point de vue et intérêts auprès d'autres autorités politiques, élus et institutions (exemple : des Conseils régionaux auprès du Parlement européen, des pays auprès de l'ONU ou du Fonds Monétaire International). Pour certains auteurs, au contraire du plaidoyer, le lobbying (représentant d'intérêts cherche à peser sur les décisions politiques sans chercher à gouverner directement.



*Autres films sur les scandales du Lobbyisme:

Filmographie:



mercredi 9 février 2011

Notre système d’éducation actuel, c’est exactement le portrait de notre système de santé dans quelques années.

Elle est nettement moins visible. Pas tellement individuelle comme collective. C’est pire encore. Exceptionnellement, pour ce billet, je transcrirai un passage de mon livre actuellement en librairie, Parenthèse.

“La caméra roule toujours. Depuis plus d’une demi-heure, je parle sans cesse, passant d’un sujet à un autre. J’aborde l’éducation. Assurément le meilleur et l’un des seuls remèdes à la pauvreté. Je n’aime pas ce que je vois. D’un côté le privé, fortement subventionné, qui prend de plus en plus la place du public. Qui a la cote aussi. Une forme de snobinage également. De l’autre, le public, asséché, sucé qui de plus, à l’instar du communautaire, doit s’occuper des rejets, des déchets. De plus en plus nombreux. À cause du tri. De la sélection du privé. Pas le choix, sinon, qui le fera? Certainement pas le privé. Dès lors, qui veut envoyer ses enfants apprendre à travers les rebuts? Un cercle vicieux. Le syndrome Hygrade qui prend forme. Deux systèmes, deux catégories, deux castes bientôt. Et on parle d’unité, de solidarité, de mobilisation de la population. Quelle farce! Quelle hypocrisie! On fait l’inverse. Ça me révolte. Qu’on laisse tranquillement au privé la liberté d’éduquer une société. Ça m’insulte de devoir payer pour les plus riches. Ça m’horripile qu’un gouvernement se dise incapable de financer correctement son système d’éducation public. Incapable d’investir dans son avenir. Pour moi, c’est la pire des pauvretés. L’éducation n’est pas un privilège, mais un droit”.

Et rien n’indique que la tendance ne deviendra pas une vague, si ce ne l’est déjà. Notre système d’éducation actuel, c’est exactement le portrait de notre système de santé dans quelques années.

Quand le mot collectif ne veut plus rien dire, le mot société n’a plus guère de sens.

Monde du travail Une pénurie de main-d'oeuvre accrue

Monde du travail - Une pénurie de main-d'oeuvre accrue


MONTRÉAL - Le Québec connaîtra une pénurie de main-d'oeuvre qui affectera son économie dans les années à venir, car il y aura jusqu'à 26 fois plus d'offres d'emploi que de diplômés, selon Jobboom.

Les étudiants québécois peuvent dormir tranquilles, car les offres d’emplois seront supérieures au nombre de diplômés dans plusieurs secteurs d’activité au cours des prochaines années, selon la 14e édition du « Bilan des perspectives du marché du travail » rendu public mercredi matin par Jobboom.

Selon l’étude, quelque 80 programmes professionnel, collégial et universitaire offrent une formation dans des secteurs en situation de plein emploi au Québec.

Ces programmes sont liés aux technologies de l’information et des communications qui se classent en tête de liste. On estime que les entreprises de ce domaine devront pourvoir 7500 postes par an d’ici 2014.

« Plusieurs secteurs profitent de la vigueur de notre économie, des programmes d’infrastructures et des départs massifs à la retraite », a noté Patricia Richard, directrice des contenus chez Jobboom.

Les assureurs et les entreprises de services financiers connaitront une croissance importante en créant 10 000 emplois d’ici 7 ou 8 ans.

Le domaine de la transformation alimentaire et le secteur minier pourraient générer chacun 6000 postes d’ici 5 ans en raison de la croissance attendue de leurs affaires. Les attentes sont aussi élevées dans les secteurs de la santé et de la construction.

Le réseau de la santé devra à lui seul embaucher de 13 000 à 22 000 employés d’ici 2015. On évalue que le domaine de la construction devra recruter 14 000 nouveaux travailleurs par an d’ici 2013 pour combler les besoins ponctuels générés par les programmes d’infrastructures notamment.

Jobboom a même constaté qu’une trentaine de programmes de formation n’arrivent pas à former suffisamment de diplômés pour répondre à la demande des employeurs. C’est le cas du secteur de l’Environnement. Lors de l’année scolaire 2009-10, l’Université de Sherbrooke a par exemple affiché 600 postes pour les 23 finissants de son baccalauréat en écologie.

Les quelque 140 diplômés en sciences biologiques de l’Université Laval et de l’Université de Sherbrooke ont également pu choisir parmi près de 600 emplois au terme de leur parcours universitaire l’an dernier.

L’environnement est l’un des secteurs d’emplois les plus dynamiques. Le nombre d’emplois a progressé de 27,5 % dans ce domaine entre 2007 et 2010, malgré la récession qui a frappé l’économie canadienne.

REF.: